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Avis de santé professionnelle - Maladie à virus Ebola - Le 25 novembre 2014

Direction des services de santé spécialisés, Santé Canada

  • Le présent avis de la Direction des services de santé spécialisés (DSSS) de Santé Canada vise à offrir aux ministères fédéraux des lignes directrices relatives aux mesures de santé au travail recommandées, lesquelles s'appuient sur les connaissances actuelles au sujet du virus Ebola.
  • En août 2014, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a décrété que l'éclosion de maladie à virus Ebola en Afrique occidentale constituait une urgence de santé publique de portée internationale nécessitant une intervention internationale coordonnée pour arrêter la propagation.
  • Pour l'instant, le risque pour la santé publique au Canada associé au virus Ebola est considéré comme étant très faible. 
  • Les employés fédéraux devraient continuer d'observer les mesures de protection courantes contre les maladies infectieuses.
  • Le présent avis s'appuie sur les plus récentes connaissances au sujet du virus Ebola, lesquelles sont en évolution constante.

Objet

L'objet du présent avis est d'offrir aux ministères fédéraux des conseils en matière de santé au travail concernant le virus Ebola. L'avis se fonde sur les renseignements actuellement disponibles au sujet du virus. Il sera mis à jour au fur et à mesure que de nouveaux renseignements deviendront disponibles.

Enjeu

Une éclosion de maladie à virus Ebola est en cours en Afrique occidentale. Les pays aux prises avec une transmission intense à grande échelle sont la Guinée, la Sierra Leone et le Libéria. D'autres pays, dont le Nigeria, le Sénégal, l'Espagne, le Mali et les États-Unis, ont également signalé un ou plusieurs cas initiaux ou ont fait état d'une transmission localisée. Par ailleurs, on a observé une éclosion distincte de maladie à virus Ebola dans la République démocratique du Congo, qui n'est pas liée à l'épidémie sévissant en Afrique occidentale. En raison de leurs fonctions, des fonctionnaires fédéraux qui travaillent soit au Canada ou à l'étranger pourraient entrer en contact avec des individus potentiellement infectés par le virus Ebola.

Contexte

En mars 2014, l'OMS a confirmé la propagation du virus Ebola dans des régions de la Guinée, de la Sierra Leone et du Libéria ainsi que des taux de mortalité élevés chez les individus infectés. Par la suite, en août 2014, l'OMS a décrété que l'éclosion de maladie à virus Ebola en Afrique occidentale constituait une urgence de santé publique de portée internationale nécessitant une intervention internationale coordonnée pour arrêter la propagation. La transmission se poursuit à grande échelle en Afrique occidentale. Par suite d'une intervention fructueuse au Sénégal et au Nigeria visant à traiter des cas importés, l'OMS a déclaré, les 17 et 19 octobre 2014 respectivement, que ces deux pays avaient réussi à mettre fin à l'éclosion de virus Ebola. L'Espagne a signalé un cas au début d'octobre; la personne infectée a pu être traitée avec succès. Si aucun autre cas n'est déclaré, la fin de l'éclosion pourrait être déclarée en Espagne au début du mois de décembre. Aux États-Unis, on a recensé quelques cas seulement, notamment chez un voyageur et un travailleur de la santé de retour au pays, ainsi qu'une transmission locale. Au moment de diffuser le présent avis, il n'y avait aucun cas actif aux États-Unis. La République démocratique du Congo a également dû composer avec une éclosion distincte du virus Ebola dans la province de l'Équateur, éclosion qui n'est pas liée à celle qui s'est déclarée d'abord en Afrique occidentale. Cette éclosion a été endiguée; en effet, aucun nouveau cas n'a été déclaré depuis la mi-octobre. La fin de l'éclosion dans ce pays a été déclarée le 20 novembre 2014.

Pour obtenir de l'information à jour sur la situation actuelle relative à l'éclosion du virus Ebola, prière de consulter le site Web de l'OMS dans lequel vous trouverez les rapports de situation produits régulièrement concernant la Feuille de route pour la riposte au virus Ebola.

Qu'est-ce que la maladie à virus Ebola?

La maladie à virus Ebola est une maladie virale rare et grave qui entraîne une fièvre hémorragique chez les humains et les animaux. Le virus peut infecter les humains et les primates non humains (singes, gorilles, etc.). Lorsqu'une personne est infectée, elle peut devenir très malade; les premiers symptômes sont la fièvre, les frissons, une faiblesse, des maux de tête et de gorge et des douleurs musculaires. Les autres symptômes sont les nausées, les vomissements et les diarrhées ainsi que des saignements de différentes parties du corps (c.-à-d. des hémorragies). Le délai entre l'infection et l'apparition des symptômes peut varier entre 2 et 21 jours. Il n'existe actuellement aucun traitement ni vaccin homologué contre le virus Ebola. Pour réduire le taux de morbidité et de mortalité associé à la maladie, il est essentiel de poser un diagnostic précoce et de commencer rapidement les traitements d'appoint.

Comment le virus Ebola se transmet-il?

Le virus Ebola peut se propager des façons suivantes :

  • de personne à personne par contact direct (c.-à-d. par une lésion cutanée ou les muqueuses) avec du sang ou des liquides corporels d'une personne infectée et malade ou d'une personne décédée des suites de la maladie à virus Ebola;
  • contact avec de l'équipement médical, comme des seringues, contaminé par du sang ou des liquides corporels d'une personne infectée et malade;
  • contact avec des animaux infectés (chauves-souris, singes, gorilles, cochons, etc.)

Le virus Ebola ne se transmet pas par simple contact. La transmission par voie aérienne chez les humains n'a pas été observée. S'il n'y a pas de contact direct (par une lésion sur la peau ou les muqueuses comme les lèvres, les narines, la bouche ou les yeux) avec du sang ou des liquides corporels d'une personne infectée présentant des symptômes d'infection au virus Ebola, il y a peu de risque de contracter cette infection dans un milieu où la maladie est présente. Le virus Ebola ne peut être transmis par une personne qui ne présente pas de symptômes. Dans les endroits où le virus est présent et où il est possible d'être exposé au virus, comme les établissements de soins de santé, le risque est également très faible si des mesures de précaution sont adoptées et appliquées, comme le port d'un équipement de protection individuelle (EPI) et l'application de mesures de prévention et de contrôle de l'infection.

Que fait-on pour protéger les fonctionnaires fédéraux?

L'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) prend des mesures pour prévenir et contrôler la propagation au Canada des maladies transmissibles, comme l'infection à virus Ebola, en appliquant la Loi sur la mise en quarantaine. Cette loi est appliquée en tout temps à tous les points d'entrée au Canada. Le gouvernement du Canada aide les provinces, les territoires et les autorités sanitaires locales dans leurs activités visant à cibler rapidement, à tester, à diagnostiquer et à gérer un patient soupçonné d'avoir contracté le virus Ebola. Le gouvernement du Canada collabore aussi étroitement avec l'OMS et d'autres partenaires internationaux afin de mieux comprendre la situation et de contenir et limiter la transmission. L'ASPC et la DSSS fourniront la documentation et les lignes directrices à jour de l'OMS et d'autres autorités sanitaires au besoin.

Pour obtenir les dernières mises à jour sur le virus Ebola, y compris le nombre total de cas et de décès, prière de visiter le site Web Alerte et action au niveau mondial de l'Organisation mondiale de la Santé. Vous pouvez également consulter et suivre l'information diffusée par l'Agence de la santé publique du Canada concernant le virus Ebola.

Risque pour les fonctionnaires fédéraux

Pour l'instant, le risque pour la santé publique au Canada associé au virus Ebola est considéré comme étant très faible. À l'heure actuelle, aucun cas de maladie à virus Ebola n'a été confirmé au Canada. Bien que la maladie soit rare, il y a une possibilité de transmission interhumaine, notamment parmi les travailleurs de la santé, les membres de la famille ou les autres personnes qui prodiguent des soins ou ont des contacts directs avec une personne infectée. Pour les employés et leur famille qui résident à l'étranger, le risque est également considéré comme étant très faible si des précautions sont prises pour éviter les contacts avec du sang ou des liquides corporels et avec des personnes malades ou qui semblent l'être.

Recommandations à l'intention des fonctionnaires fédéraux

Les fonctionnaires fédéraux qui pourraient entrer en contact avec des individus potentiellement malades devraient observer les mesures de protection courantes contre la propagation des maladies infectieuses en milieu de travail. Il s'agit notamment de mesures d'hygiène personnelle telles que les suivantes : se laver les mains fréquemment; éviter de se toucher les yeux, le nez et la bouche; éviter les contacts étroits avec des personnes malades. De plus, les surfaces communes qui sont souvent utilisées doivent être nettoyées et désinfectées sur une base régulière, et il faut assurer un bon entretien ménager du milieu de travail.

Recommandations à l'intention des milieux de travail qui peuvent avoir à composer avec des cas d'Ebola

Dans les milieux de travail fédéraux au Canada, de même que dans les missions canadiennes à l'étranger, les fonctionnaires fédéraux pourraient rencontrer des individus dont l'état de santé est inconnu et qui ont l'air malade (comme des personnes qui ont de la fièvre, qui toussent ou qui sont en sueur). Dans de telles situations, et si des facteurs de risque associés au virus Ebola sont présents (comme un voyage effectué dans une zone touchée) ou d'autres facteurs de risque (comme un contact direct avec une personne atteinte du virus Ebola), l'individu devrait être placé en isolement dans une aire ou une pièce séparée à l'écart de la circulation normale des voyageurs, des visiteurs et du personnel. On recommande de contacter par la suite les autorités sanitaires concernées pour la suite des procédures de gestion de cas, notamment une évaluation des risques pour la santé. Les employés devraient éviter tout contact avec le sang et les autres liquides corporels des individus concernés et devraient également suivre les mesures de protection qui sont recommandées pour prévenir les infections et lutter contre celles-ci dans leur milieu de travail. Ces mesures comportent des procédures de nettoyage et de désinfection ainsi que des procédures de gestion des déchets s'appliquant au milieu en question. Les employés fédéraux susceptibles d'entrer en contact avec le virus Ebola peuvent également consulter le document de questions et réponses sur le milieu de travail.

Par ailleurs, en raison de la nature de leur travail, les employés de certains ministères fédéraux sont plus à risque de rencontrer des individus potentiellement infectés par le virus Ebola. Ces ministères et employés sont les suivants : l'Agence des services frontaliers du Canada (agents des services frontaliers); l'Agence de la santé publique du Canada (agents de quarantaine et techniciens de laboratoire); Citoyenneté et Immigration Canada (agents d'immigration); Transports Canada et le ministère de la Défense nationale (premiers intervenants); le ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement. On recommande à ces ministères d'examiner et d'appliquer leurs procédures opérationnelles normalisées pour s'assurer que des mesures de sécurité et de contrôle sont en place conformément à leurs rôles, à leurs activités et aux risques connexes. Des documents d'orientation permettant de soutenir ces rôles, y compris des mesures de prévention et de contrôle des infections, se trouvent sur le site Web de l'ASPC traitant du virus Ebola.

Recommandations à l'intention des voyageurs

On recommande aux fonctionnaires fédéraux canadiens d'éviter tout voyage non essentiel dans des pays où l'on observe une transmission active à grande échelle du virus Ebola. À l'heure actuelle, ces pays sont la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone. Si le voyage ne peut être évité, les fonctionnaires qui doivent voyager ou travailler dans les zones touchées devraient lire et suivre les mesures de protection qui sont recommandées dans les conseils de santé aux voyageurs de l'Agence de la santé publique du Canada pour ces destinations.

Avant le départ et pendant le voyage :

  • Consultez un professionnel de la santé ou une clinique santé-voyage au moins six semaines avant votre départ.
  • Évitez d'entrer en contact direct avec le sang ou les liquides corporels des personnes infectées par le virus Ebola ou par une maladie inconnue.
    • Évitez les contacts directs avec les corps de personnes décédées des suites de la maladie à virus Ebola ou d'une maladie inconnue.
    • Évitez le contact avec tout objet, tel que des seringues, qui est contaminé avec du sang ou des liquides corporels.
    • Évitez les relations sexuelles non protégées avec une personne infectée ou avec une personne se rétablissant de l'infection à virus Ebola.
  • Lorsqu'il est question d'exposition, les travailleurs de la santé sont plus à risque; ils devraient donc respecter des mesures strictes de prévention et de contrôle des infections.
    • Les travailleurs de la santé devraient appliquer des mesures de contrôle des infections strictes, notamment l'utilisation adéquate d'un EPI pour protéger toutes les parties du corps exposées (comme une blouse, un masque ou un appareil respiratoire, des lunettes de protection, un protecteur facial et des gants), lorsqu'ils prennent soin de personnes atteintes ou potentiellement atteintes.
    • En plus des pratiques de routine qu'il faut mettre en œuvre dans les interventions auprès de tous les patients, il est recommandé de se protéger contre les interventions produisant des contacts, des gouttelettes et des aérosols.
    • Les patients atteints du virus Ebola devraient être isolés.
  • Évitez d'entrer en contact étroit avec des animaux ou de les manipuler.
    • Évitez les animaux vivants ou morts, car ils peuvent propager le virus. Les animaux suivants peuvent être porteurs du virus : chimpanzés, gorilles, singes, antilopes de forêt, porcs, porcs-épics, duikers et roussettes.
    • Évitez de manipuler de la viande crue ou qui n'est pas assez cuite.
  • Appliquez de bonnes pratiques d'hygiène des mains.
  • Évitez de vous rendre dans les hôpitaux d'Afrique occidentale qui traitent des patients atteints du virus Ebola.
  • Sachez reconnaître les symptômes de l'infection à virus Ebola et consultez un professionnel de la santé si vous développez ces symptômes pendant votre voyage.
  • Sachez reconnaître les symptômes de l'infection à virus Ebola et consultez un professionnel de la santé si vous développez ces symptômes pendant votre voyage ou pendant que vous séjournez dans une région touchée par l'éclosion de maladie à virus Ebola.
    • Si vous résidez à l'étranger, vous pouvez communiquer avec l'ambassade ou le consulat canadien pour obtenir d'autres conseils sur les endroits où vous pouvez obtenir les soins médicaux requis.

Lors du retour au Canada :

  • Les aéroports des pays touchés par le virus procèdent au contrôle des voyageurs qui présentent des signes de maladie à virus Ebola ou de fièvre ou qui pourraient avoir été exposés au virus Ebola. Les personnes exposées au virus et celles qui présentent des symptômes de la maladie ne seront pas autorisées à emprunter des vols commerciaux ou à voyager à bord d'autocar, de trains ou de navires commerciaux. 
  • En vertu de la Loi sur la mise en quarantaine, au moment de l'arrivée au Canada, tous les voyageurs doivent informer un agent des services frontaliers s'ils sont atteints ou soupçonnent d'être atteints d'une maladie transmissible, ou s'ils ont été en contact avec une personne atteinte d'une telle maladie. Des mesures renforcées liées au virus Ebola ont été mises en place aux frontières canadiennes. Ces nouvelles mesures prévoient entre autres que les agents des services frontaliers dirigent tous les voyageurs qui, au cours de 21 jours précédents, ont séjourné en Guinée, au Liberia, en Sierra Leone ou au Mali, ou tous les voyageurs qui ont été en contact avec une personne infectée par le virus Ebola, vers un agent de quarantaine qui procédera à un contrôle détaillé, y compris la prise de température. L'agent de quarantaine déterminera les mesures prévues aux termes de la Loi sur la mise en quarantaine qui doivent être prises concernant ces voyageurs, et ce, en fonction d'une évaluation des symptômes et du risque d'exposition au virus Ebola.
  • Par ailleurs, ces voyageurs recevront une trousse d'autosurveillance du virus Ebola qui comprend un thermomètre et des directives d'autosurveillance des symptômes causés par le virus pendant une période pouvant aller jusqu'à 21 jours suivant l'arrivée au Canada. La trousse contient également la marche à suivre si des symptômes apparaissent.
  • Les voyageurs qui présentent des symptômes ressemblant à ceux du virus Ebola devront subir un examen médical et seront placés en isolement dans un établissement médical aux fins d'enquête.
  • Pour en savoir plus sur les exigences se rapportant aux voyageurs en provenance de la Guinée, du Liberia et de la Sierra Leone qui arrivent au Canada, veuillez consulter le Décret no 2 visant la réduction du risque d'exposition à la maladie à virus Ebola au Canada de la Loi sur la mise en quarantaine.

Une fois de retour au Canada :

  • Surveillez votre état de santé après votre retour ou entrée au Canada si vous arrivez d'une région touchée par l'éclosion de maladie à virus Ebola. Les personnes qui auront reçu une trousse d'autosurveillance de la MVE doivent suivre les directives fournies par l'agent de quarantaine.
  • Consultez immédiatement un médecin si vous avez de la fièvre ou présentez d'autres symptômes dans les trois semaines suivant votre retour au Canada.
  • Avant votre rendez-vous, n'oubliez pas d'aviser le professionnel de la santé que vous avez voyagé dans une région aux prises avec le virus Ebola et de l'informer de vos symptômes ainsi que de vos activités ou de votre travail dans cette région. De cette façon, le professionnel de la santé pourra s'organiser pour vous voir sans exposer d'autres personnes. Si vous pensez avoir contracté l'infection, il est important de limiter vos contacts avec les autres le plus possible jusqu'à ce que vous ayez été évalué(e) par le professionnel de la santé.

Travailleurs de la santé

Les travailleurs de la santé et les travailleurs humanitaires sont plus à risque d'être exposés au virus en raison de la nature de leur travail quand ils prennent soin de patients atteints du virus Ebola s'ils n'utilisent pas l'EPI qui convient et s'ils ne suivent pas à la lettre les mesures recommandées pour prévenir et contrôler l'infection. Les autres risques auxquels s'exposent les travailleurs des équipes de soins et d'intervention en cas d'épidémie sont les suivants : détresse psychologique; stigmatisation; violence; horaire excessif de travail; stress thermique; déshydratation en raison de l'utilisation d'un EPI lourd; risques ergonomiques en raison de la manipulation de corps et de lourdes charges. Il est essentiel que les travailleurs soignant et gérant des patients atteints du virus Ebola (y compris les cas présumés) suivent une formation appropriée en santé au travail et respectent à la lettre les mesures de prévention et de contrôle des infections établies par leur service de santé et de sécurité au travail. Ils doivent également suivre les recommandations des autorités sanitaires publiques et locales.

Documents d'orientation

Les documents d'orientation de l'ASPC ci-après peuvent aider les ministères à mettre en place leurs procédures internes. Comme certains de ces documents font l'objet de révisions ou seront mis à jour ultérieurement, il est important de chercher leur version la plus récente sur le site Web consacré au virus Ebola, dans la section Ressources additionnelles de la page Web à l'intention des professionnels de la santé.

Prévention et contrôle des infections

Biosécurité

Références

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