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J’ai le plaisir de présenter le Rapport ministériel sur le rendement de l’École de la fonction publique du Canada (l’École) pour l’exercice 2006-2007.
Le présent régime est résolu à réinstaurer la confiance des Canadiennes et des Canadiens dans leur gouvernement. Une priorité permanente consiste à s’assurer que le gouvernement fédéral et la fonction publique fédérale sont efficaces et responsables. Grâce à ses travaux d’élaboration d’une approche intégrée concernant l’apprentissage, la formation et le perfectionnement dans la fonction publique, l’École contribue à doter la fonction publique d’un effectif professionnel, bien formé et hautement qualifié.
L’École est la prestataire de services d’apprentissage commun du gouvernement fédéral et elle répond aux besoins des fonctionnaires canadiens en matière d’apprentissage et de leadership. En appuyant le perfectionnement du personnel, en offrant un perfectionnement en leadership pour la fonction publique, en accélérant le transfert de connaissances sur les pratiques exemplaires de gestion dans le secteur public, ainsi qu’à travers ses responsabilités en matière d’apprentissage organisationnel, l’École supporte directement le Renouvellement de la fonction publique. Elle joue également un rôle central pour instiller un sens partagé des valeurs et des responsabilités chez tous les fonctionnaires, par le biais, en particulier, de la prestation de la formation indispensable, présentée dans la Politique en matière d’apprentissage, de formation et de perfectionnement du Conseil du Trésor (janvier 2006).
Des réalisations importantes ont marqué l’exercice 2006-2007 à l’École, surtout dans les domaines de la formation indispensable. Grâce à la mise en œuvre de ses nouveaux programmes et à l’examen permanent des cours existants, l’École continue d’assurer la pertinence et l’accessibilité de ses produits de formation, ainsi que leur contribution aux priorités de gestion de la fonction publique.
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L’honorable Vic Toews
Président du Conseil du Trésor
Je soumets, aux fins de dépôt au Parlement, le Rapport ministériel sur le rendement (RMR) de 2006-2007 de l’École de la fonction publique du Canada.
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Ruth Dantzer |
En veillant à ce les fonctionnaires aient les connaissances de base pour accomplir leur travail, à ce qu’ils aient accès aux programmes de perfectionnement en leadership et à ce qu’ils connaissent les pratiques et les techniques innovatrices en gestion pour répondre aux attentes des Canadiens et des Canadiennes, l’École remplit son mandat législatif qui consiste à :
2006-2007 | ||
Dépenses prévues |
Total des autorisations |
Dépenses réelles |
109 124$ |
136 100$ |
113 037$ |
2006-2007 | ||
Prévues |
Réelles |
Écart |
930 |
966 |
36 |
1L’augmentation entre les dépenses prévues et le total des autorisations est principalement due à l’augmentation des revenus, le revenue reporté, le budget d’exploitation reporté, ainsi que les indemnités de rajustement des traitements.
La différence entre le total des autorisations et les dépenses réelles est constituée des revenus qui seront reportés à l’exercice financier 2007-2008 en vertu de l’article 18(2) de la Loi sur l’École de la fonction publique du Canada et des ressources non utilisées pendant le cours normal des activités.Résultat stratégique : Les fonctionnaires ont les connaissances communes et les compétences en leadership et en gestion dont ils ont besoin pour servir efficacement le Canada et les Canadiens | ||||
Priorité |
Résultat prévu |
Sommaire du rendement |
Dépenses prévues |
Dépenses réalisées |
Accentuer la capacité des fonctionnaires de respecter les normes de l’employeur en matière de connaissances : Formation indispensable :
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Des fonctionnaires capables d'exécuter leurs tâches actuelles et de relever les défis de leur prochain emploi, dans un milieu de travail dynamique et bilingue |
Dépasse les attentes |
28 887$ |
26 034$ |
Renforcer et soutenir la gestion du secteur public et les fondements professionnels au moyen d’un apprentissage ciblé : Élaborer une stratégie pour les collectivités fonctionnelles |
Des fonctionnaires capables d'exécuter leurs tâches actuelles et de relever les défis de leur prochain emploi, dans un milieu de travail dynamique et bilingue |
Satisfait à toutes les attentes |
16 443$ |
19 906$ |
Faciliter la capacité en matière de langues officielles : Promouvoir un nouveau modèle de formation linguistique |
Des fonctionnaires capables d'exécuter leurs tâches actuelles et de relever les défis de leur prochain emploi, dans un milieu de travail dynamique et bilingue |
Dépasse les attentes |
33 776$ |
30 962$ |
Assurer le perfectionnement systémique des fonctionnaires très prometteurs : Élaborer des programmes de perfectionnement accéléré du leadership |
La fonction publique compte sur des leaders dynamiques pour fournir des résultats à la population canadienne |
Satisfait à toutes les attentes |
5 436$ |
9 504$ |
Améliorer la capacité des organismes : Établir des relations avec les ministères clients |
La fonction publique innove afin d’atteindre l’excellence dans les résultats qu’elle donne à la population canadienne |
Satisfait à toutes les attentes |
5 849$ |
6 051$ |
La connaissance des pratiques innovatrices en gestion et des nouveaux enjeux est transférée : Déterminer et transférer les pratiques innovatrices |
La fonction publique innove afin d’atteindre l’excellence dans les résultats qu’elle donne à la population canadienne |
En cours |
9 261$ |
10 234$ |
L’École de la fonction publique du Canada (l’École), créée le 1er avril 2004, résulte de la fusion de trois institutions vouées à l’apprentissage dans la fonction publique : le Centre canadien de gestion (1991), Formation et perfectionnement Canada (1990) et Formation linguistique Canada (1964). Depuis, l’École a relevé avec succès d’importants défis organisationnels et, en collaboration avec ses partenaires de portefeuille, elle a mis en œuvre des mesures prospectives intégrées afin de satisfaire aux besoins communs en matière d’apprentissage au sein de la fonction publique fédérale.
La Politique en matière d’apprentissage, de formation et de perfectionnement du Conseil du Trésor (la politique) est entrée en vigueur le 1er janvier 2006. Elle souligne la valeur de l’apprentissage et l’importance de la création d’une culture axée sur l’apprentissage dans la fonction publique. Elle établit, plus particulièrement, les responsabilités en matière d’apprentissage des employés, des organismes et de l’employeur et elle expose les exigences particulières de l’employeur en matière de formation.
Pour mettre en œuvre la Politique, l’École a élaboré et a mis sur pied de nouveaux programmes dans les domaines de la formation indispensable. Le programme d’orientation à la fonction publique, la formation relative à la délégation de pouvoirs et la formation pour les collectivités fonctionnelles, ainsi que d’autres activités d’apprentissage, comme le perfectionnement en leadership, la recherche sur la gestion innovatrice en gestion publique et la promotion du nouveau modèle de formation linguistique, contribuent tous à s’assurer que :
Dans le cadre d'ensemble du gouvernement, l’École de la fonction publique du Canada est une organisation fédérale qui contribue à tous les résultats du gouvernement du Canada en fournissant des services d’apprentissage et du soutien à tous les ministères et organismes.
Les priorités de l’École contribuent à assurer la responsabilisation, le professionnalisme et le bilinguisme de la fonction publique fédérale. Elle accomplit cela grâce à ses activités qui appuient :
L’augmentation entre les dépenses prévues et le total des autorisations est principalement due à l’augmentation des revenus, le revenue reporté, le budget d’exploitation reporté, ainsi que les indemnités de rajustement des traitements.
La différence entre le total des autorisations et les dépenses réelles est constituée des revenus qui seront reportés à l’exercice financier 2007-2008 en vertu de l’article 18(2) de la Loi sur l’École de la fonction publique du Canada et des ressources no