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ARCHIVÉ - Mesure du rendement de l'Initiative du Gouvernement en direct

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4)      Résultats du Gouvernement en direct (2003)[1]

Résumé des résultats atteints

Le Canada maintient son avance sur la scène internationale dans l'élaboration du cybergouvernement. En effet, selon le rapport d'Accenture de 2003, intitulé « e-Government Leadership: Engaging the Customer », le Canada se place au premier rang mondial pour la troisième année consécutive, en majeure partie en raison des travaux qu'il a effectués jusqu'à présent pour transformer ses services. Parmi les forces relevées à l'égard de l'approche canadienne, mentionnons : l'élaboration et l'évolution des services en direct pour répondre aux demandes des citoyens et des clients, l'accent sur une stratégie coordonnée de prestation multimodale des services et la mise en œuvre de solutions horizontales telles que la Normalisation des sites Internet et l'Outil de mesures communes.

Dans une étude complémentaire, Accenture prétend qu'il existe un écart entre la première position actuelle du Canada et les perceptions de ses citoyens (e-Government: The Citizen's View, 2003). Ainsi, dans une comparaison entre les internautes de six pays différents –Australie, Angleterre, Canada, Singapour, Espagne et États-Unis – les Canadiens se sont classés au cinquième rang quant à la connaissance des avantages de la prestation des services en direct, ce qui sous-entend qu'il est nécessaire de cibler davantage les stratégies de promotion et de communications.

La Brown University a classé le Canada au troisième rang mondial en 2003 (contexte mondial du cybergouvernement) en relevant les points suivants : le degré d'évolution élevé du Site du Canada, des passerelles et des portails Web intégrés; les rapports, les guides et autres publications faciles à comprendre; les options de personnalisation et d'adaptation offertes sur les sites Web du gouvernement fédéral; la large diffusion des avis de confidentialité en direct. En utilisant une méthodologie légèrement différente, l'Organisation des Nations Unies (ONU) a classé le Canada au troisième rang mondial pour sa participation en ligne et au sixième rang pour la maturité des services offerts en direct (Global e-Government Survey, 2003). Pour l'ONU, l'une des caractéristiques les plus fortes du cybergouvernement du Canada, c'est l'attention portée au développement des portails.


[1]    Le 12 décembre 2003, on a procédé à une réorganisation des ministères et organismes suivants : Agence des douanes et du revenu du Canada, Patrimoine canadien, Communication Canada, ministère des Affaires étrangères et du Commerce international, Environnement Canada, Santé Canada, Développement des ressources humaines Canada, Défense nationale, Commission de la fonction publique et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. Les références à des ministères et organismes particuliers se fondent sur les renseignements qu'ils nous ont communiqués avant cette date. Le prochain rapport sur la mesure du rendement tiendra compte de la liste révisée des ministères et organismes qui participent à l'Initiative du GED, et des services particuliers dont ils sont responsables.