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De nombreuses variantes de ce modèle de gestion du risque sont en usage, y compris des matrices auxquelles on a ajouté des rangées ou des colonnes pour faire place aux mentions « très élevée » et « très faible ». La description de l'incidence et de la probabilité le long des deux axes peut varier, tout comme la description de certaines cellules, selon le contexte et les exigences de l'organisation utilisant le modèle. Certaines versions comprennent des renvois à la structure de prise de décisions de l'organisation, c'est-à-dire que les cellules ombrées peuvent préciser le niveau d'autorisation requis ou le rang de la personne responsable de la gestion du risque en question. Cela aide à déterminer où un risque donné se situe au plan de la probabilité et de l'incidence, et à établir la réponse de l'organisation pour gérer le risque.
Pour schématiser la position des principaux risques les uns par rapport aux autres sur une même page, on peut aussi utiliser des cartes du risque à l'échelle de l'organisation, d'un secteur d'activité ou d'un programme.
Le modèle peut aussi être utilisé pour évaluer des idées dans le contexte de la recherche d'occasions ainsi que de l'innovation ou de l'expérimentation, l'idée étant qu'une organisation souhaite investir de façon appropriée en fonction du rendement probable de ces placements. Dans ce contexte, on tiendra compte de l'incidence et de la probabilité en posant des questions comme les suivantes :