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L’ARC est un modèle de fiabilité en matière d’administration des impôts et des prestations, fournissant un service et une valeur sans égal à ses clients et offrant des perspectives de carrière exceptionnelles à ses employés.
ARC contribue au mieux-être de la population canadienne et à l’efficience du gouvernement en assurant une administration de l’impôt et des prestations de calibre mondial, réceptive, efficace et fiable.
Chaque année, l’Agence du revenu du Canada (ARC) administre des milliards de dollars en recettes fiscales et distribue en temps opportun des paiements de prestations exacts à des millions de Canadiens. Depuis sa création il y a presque dix ans, l’ARC s’est fermement établie en tant qu’organisation nationale à haut rendement qui dispose d’une capacité inégalée en matière d’exécution de programmes.
L’ARC demeure résolue à mettre en oeuvre des initiatives ambitieuses visant à simplifier le processus fiscal pour les petites et moyennes entreprises et elle continuera à mettre l’accent sur la réduction du fardeau fiscal dans les années à venir, conformément à sa responsabilité générale relative à l’observation fiscale et au recouvrement des recettes. En outre, en réponse à la rétroaction obtenue de ses intervenants, l’ARC prend des mesures concrètes pour améliorer le service aux Canadiens afin de s’assurer qu’ils sont traités de façon juste et uniforme.
Le premier ministre a placé le renouvellement de la fonction publique parmi les principales priorités du gouvernement du Canada. Une partie essentielle de ce renouvellement requiert que les ministères et organismes fédéraux examinent les objectifs opérationnels futurs de manière à pouvoir cerner les compétences et les connaissances dont leur effectif a besoin. Dans le présent Rapport sur les plans et les priorités, l’ARC a relevé ce défi en intégrant davantage les ressources humaines et la planification opérationnelle. Le plan porte sur les défis et les mesures pour appuyer dans son ensemble le renouvellement de l’ARC et de la fonction publique.
Le maintien de la confiance des Canadiens dans l’intégrité de notre régime fiscal sera toujours essentiel à notre succès. L’engagement de l’ARC à l’égard de l’excellence de ses opérations et en milieu de travail donne aux Canadiens l’assurance qu’ils peuvent continuer à percevoir l’ARC comme un administrateur fiscal équitable et responsable.
Le ministre du Revenu national,
L’honorable Jean-Pierre Blackburn, C.P., député
À l’aube de son dixième anniversaire, l’Agence du revenu du Canada (ARC) s’est établie comme un organisme national à rendement élevé, doté d’une capacité hors pair et d’une technologie de pointe en ce qui a trait à l’exécution des programmes. Le Rapport sur les plans et les priorités 2009-2010 présente les stratégies que nous mettrons en place pour faire fond sur ce rendement solide, alors que nous nous efforçons de réaliser notre vision, soit d’être un modèle de fiabilité en matière d’administration des impôts et des prestations, fournissant un service et une valeur sans égal à nos clients et offrant des perspectives de carrière exceptionnelles à nos employés.
Conformément à notre mandat, l’ARC est régie par deux résultats stratégiques :
Le régime fiscal du Canada est fondé sur l’autocotisation et l’observation volontaire. Notre approche à l’égard de l’administration des lois fiscales du Canada repose sur l’efficacité de la gestion du risque afin de déterminer les risques en matière d’observation et d’en évaluer l’incidence possible sur l’assiette fiscale. Chaque service que nous offrons est intégré à nos stratégies d’observation et doit prendre en compte nos coûts et notre capacité ainsi que les besoins et les attentes des Canadiens. En outre, une solide infrastructure en technologie de l’information est essentielle à notre capacité à exécuter les principaux programmes et services liés à notre mission.
En réponse aux défis et aux possibilités que nous avons cernés dans notre environnement opérationnel, nous concentrerons nos efforts au cours de la période de planification sur les éléments suivants :
En exécutant les programmes de prestations et en assurant les services connexes, l’ARC soutient les efforts des gouvernements pour aider les familles et les enfants, les ménages à faible et moyen revenus ainsi que les personnes handicapées. Pour maintenir la solidité de notre rendement au chapitre de l’exécution des programmes de prestations, nous concentrerons nos efforts sur les éléments suivants pendant la période de planification :
Dans la réalité économique d’aujourd’hui, en constante évolution, les Canadiens s’attendent plus que jamais à un régime fiscal et de prestations qui fonctionne bien. Les contribuables et les bénéficiaires de prestations nous confient leurs renseignements en toute confiance et nos clients gouvernementaux ont l’assurance que nous sommes responsables lorsque nous traitons avec les Canadiens. La mise en oeuvre des initiatives au cours de la période visée par ce rapport servira à améliorer notre capacité à atteindre nos résultats stratégiques.
L’Agence du revenu du Canada (ARC) mène des analyses de l’environnement afin de mieux comprendre l’environnement externe. Nous effectuons également des évaluations des risques pour répondre aux menaces et les occasions qui peuvent entraver notre capacité d’atteindre nos résultats stratégiques. Notre Conseil de direction ajoute à ce processus une vaste perspective des secteurs public et privé.
Le récent discours du Trône a défini les priorités du gouvernement fédéral. Il a réitéré l’engagement pris par le gouvernement de renouveler la fonction publique du Canada et de mettre en place un régime de rémunération à la mesure des moyens du gouvernement du Canada. Il est prévu que ces priorités auront une certaine incidence sur l’ARC, bien que celle-ci soit un employeur distinct. Le budget de 2009 a annoncé de nombreuses mesures d’allègement fiscal qui auront une incidence sur l’administration du régime fiscal du Canada par l’ARC. Ces mesures comprennent des rajustements aux taux d’imposition, à certaines limites de retrait et aux seuils de certains avantages, ainsi que l’instauration du nouveau crédit d’impôt pour la rénovation domiciliaire.
Le gouvernement fédéral doit toujours composrer avec certains événements antérieurs qui ont une incidence résiduelle sur la confiance des Canadiens à son égard. La protection des renseignements et le point de vue des Canadiens en ce qui concerne les bons services et l’exécution responsable de la loi jouent un rôle significatif dans le niveau de confiance qu'ils accordent à l’ARC.
Dans le budget de 2009, le gouvernement a annoncé que l’économie mondiale connaît la pire récession depuis les années 1930. On s’attend à une contraction du PIB réel et le ministre des Finances a annoncé que, selon les incertitudes actuelles et afin de soutenir l’économie, le gouvernement du Canada a planifié des déficits budgétaires pour les quatre prochaines années financières. Le taux d’intérêt de référence de la Banque du Canada a chuté au niveau le plus bas de son histoire et le récent déclin des perspectives économiques incite les Canadiens à faire preuve d’une plus grande prudence dans leurs dépenses.
Compte tenu de la situation économique et financière mondiale récente, l’ARC doit continuer de se concentrer sur tous les secteurs de l’économie afin de s’assurer que de hauts niveaux d’observation sont maintenus.
De nombreux facteurs contribuent aux défis en matière d’observation, y compris l’économie internationale de plus en plus volatile, la poursuite d’une intégration transfrontalière du commerce, les complexités du commerce électronique et les tendances démographiques. Ces facteurs exercent des pressions sur la capacité de l’ARC à maintenir de hauts niveaux d’observation.
Le niveau croissant de la dette fiscale gérée par l’ARC continue d’être l’un des secteurs à risque. Des données récentes d’Equifax ont révélé que le taux moyen de délinquance des Canadiens à l’échelle nationale a augmenté de 5,5 % entre mars 2007 et mars 2008.
Le récent recensement a révélé qu’entre 2001 et 2006, le Canada affichait la croissance démographique la plus marquée parmi les pays du G8 malgré un taux de fécondité inférieur au seuil de renouvellement des générations. Les données du recensement indiquent également que les immigrants représentent presque 20 % de notre population.
Les nouveaux immigrants font face à certains défis nécessitant des efforts continus de visibilité de la part de l’ARC afin de s’assurer qu’ils sont au courant des crédits et prestations auxquels ils ont droit. Un accroissement du nombre d’immigrants de pays dont les administrations fiscales ne sont pas fondées sur l’autocotisation signifie que plus de renseignements et d’aide sont requis de la part de l’ARC afin de promovoir l’observation des lois fiscales.
L’ARC devra s’ajuster pour répondre aux besoins d’une population vieillissante. On prévoit une diminution de la taille de la population active du Canada au cours des 10 prochaines années en raison de l’incapacité de remplacer les travailleurs sortants par la croissance naturelle.
Les administrations fiscales des pays membres de l’OCDE dépendent de plus en plus des solutions de TI pour les services au public, l’analyse du risque et l’observation. L’ARC dépend énormément de la TI pour la prestation de ses programmes et services, et les Canadiens demandent plus d’options de services électroniques. Ainsi, nous devons nous assurer que nos systèmes et infrastructures sont robustes et sécuritaires afin de faire face aux charges de travail actuelles et prévues.
L’Agence du revenu du Canada (ARC) a pour mandat d’exécuter les programmes fiscaux, de prestations et autres au nom du gouvernement du Canada et des gouvernements provinciaux, territoriaux et certains gouvernement des Premières nations.
Depuis sa création en 1999, l’ARC s’est établie comme organisation nationale à rendement élevé, dotée d’une capacité d’exécution de programmes sans pareil. Alors que nous entamons notre deuxième décennie à titre d’agence, notre vision nous guidera et nous poursuivrons nos priorités et ferons des investissements à l’appui de la réalisation de nos résultats stratégiques.
Nous administrons les lois promulguées par le Parlement et par les assemblées législatives de partout au Canada. Nous nous efforçons d'inciter les Canadiens à s’acquitter de leurs obligations, mais les niveaux élevés d’observation dépendent aussi de facteurs indépendants de notre volonté. Par conséquent, atteindre un niveau d’observation totale n’est pas une attente réaliste et des pratiques et stratagèmes frauduleux d’évitement fiscal de plus en plus sophistiqués peuvent élargir notre capacité à préserver l’intégrité fiscale du Canada.
Nous encourageons le civisme, par nous-même et en collaboration avec les autres ministères fédéraux, provinciaux et territoriaux. Nous prenons des mesures pour accroître la sensibilisation des Canadiens quant à leurs obligations, à leurs droits et aux conséquences de l’inobservation. Nous améliorons ainsi leurs connaissances du régime fiscal et de prestations du Canada. Une vigilance constante est essentielle puisqu’elle nous permet de voir à ce que notre système d’administration fonctionne bien et de limiter le plus possible le nombre de cas de fraude, d’inobservation et d’évasion fiscale.
Nous adaptons et actualisons constamment nos tactiques pour relever les défis en constante évolution liés à l’intégration transfrontalière accrue du commerce et à la structure changeante de l’économie mondiale. Toutefois, il faut un leadership solide au sein des organismes multinationaux et il faut également établir des relations et développer des capacités afin de protéger les intérêts et les valeurs du Canada. Nous maintiendrons une solide présence sur la scène internationale pour faire progresser les protocoles et les pratiques visant à guider le travail des administrations fiscales dans le monde entier.
L’ARC est un chef de file innovateur dans la fourniture de services fiscaux et de prestations, créant de nouvelles possibilités de partenariats avec des clients gouvernementaux intéressés et d’autres ministères fédéraux en vue de réduire le chevauchement des tâches et de permettre l’offre de services par guichet unique. Cela exige non seulement l’excellence dans les activités quotidiennes, mais également l’adaptabilité et la durabilité des systèmes à plus long terme.
Le coût lié au paiement d’impôt comprend l’argent dépensé pour préparer, calculer et verser l’impôt. Le plan d’action du ministre en ce qui concerne l’allègement du fardeau engage l’ARC à examiner chaque année, et à en rendre compte, les moyens utilisés afin de promouvoir l’allègement du fardeau. Cela doit être fait conformément à notre responsabilité générale relative à l’observation fiscale et au recouvrement des recettes.
Dans le cadre de l’engagement d’intégrer les ressources humaines et la planification opérationnelle, nous avons mis en oeuvre en 2008 notre Plan des effectifs de l’Agence. Ce Plan présente un programme visant à relever les défis liés à l’effectif et à miser sur nos forces, dans le but d’attirer et de maintenir en poste les meilleurs talents et créer un milieu de travail axé sur la gestion des risques intelligente et l’innovation.
L’ARC est responsable de l’administration, de l’établissement des cotisations et de la perception de milliards de dollars en taxes et impôt annuellement. Nous contribuons directement à la qualité de vie des Canadiens en assurant la prestation des services fiscaux et l’exécution des programmes de prestations pour le compte du gouvernement du Canada, de gouvernements provinciaux et territoriaux et de certains gouvernements des Premières nations. Nous appuyons ainsi le bien-être économique et social des Canadiens incluant les familles et les enfants, les ménages à faible et à moyen revenus et les personnes handicapées.
Le mandat de l’ARC prévoit deux résultats stratégiques qui résument notre contribution à la société canadienne. La réalisation de ces résultats démontre que nous remplissons le mandat que nous a confié le Parlement.
Le Rapport sur les plans et les priorités 2009-2010 met en branle un programme dynamique pluriannuel qui sert de fondement à la réalisation de notre vision. Nos résultats stratégiques régissent les priorités que nous poursuivons et les investissements que nous faisons pour les appuyer.
En réponse aux défis et aux possibilités que nous avons cernés dans notre environnement opérationnel, nous nous concentrerons sur l’intégrité fiscale, le renforcement du service, la validation des prestations, le maintien de relations efficaces et la durabilité des opérations au cours de la période de planification.
Le tableau ci-après donne un aperçu de la contribution des priorités à l’atteinte de nos résultats stratégiques et du lien entre eux.
Le tableau suivant explique le total des ressources financières et humaines nécessaires à la réalisation de nos priorités. Cela comprend également une ventilation de nos activités de programme et de leurs ressources financières. Le tableau indique leur concordance avec les résultats du gouvernement du Canada.
Pour la période de 2005-2006 à 2008-2009, le total des dépenses comprend les crédits parlementaires et les sources de revenus suivants : le budget principal des dépenses, les budgets supplémentaires des dépenses, le crédit 5 du Conseil du Trésor (CdT) – Éventualités du gouvernement, le crédit 15 du CdT – Rajustements de la rémunération et le crédit 23 du CdT – Besoins en matière de rémunération ainsi que les reports de fonds inutilisés des années précédentes. Sont inclus également la dépense des revenus résultant de la poursuite des opérations en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada, les versements d’allocations spéciales pour enfants, les paiements aux agences privées de recouvrement en vertu de l’article 17.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques, ainsi que les paiements aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d'oeuvre. Pour la période de 2009-2010 à 2011-2012, le total des dépenses comprend les dépenses et les recettes prévues mais exclut les rajustements liés aux reports de fonds inutilisés des années précédentes, ceux-ci étant encore inconnus.
Depuis 2005-2006, l’augmentation du niveau de référence du crédit 1 de l’Agence du revenu du Canada est principalement attribuable à ce qui suit : les conventions collectives / attributions de contrats; les mesures de vérification et d’exécution législatives améliorées, incluant les initiatives liées aux politiques et aux opérations découlant des budgets et des énoncés économiques fédéraux; le transfert provenant de Travaux publics (TPSGC) et Services gouvernementaux Canada pour les services en matière d’installations et de biens immobiliers; la prise en charge des responsabilités associées à l’administration de l’impôt sur le revenu des sociétés de l’Ontario, à l’entente canado-américaine sur le bois d’oeuvre et au problème de l’évitement fiscal interprovincial.
L’augmentation au crédit 1 est compensée par divers exercices de réduction budgétaire, incluant : la revue des dépenses et les réductions en approvisionnement; les mesures de compression des dépenses de 2006; les économies coût-efficacité réalisées au budget fédéral de 2007; les économies découlant de l’examen stratégique du budget fédéral de 2008; la réforme du gouvernement en matière d’approvisionnement et les économies coût-efficacité.
Les autorisations législatives de l’Agence ont fluctué au cours de la période de 2005-2006 à 2011-2012 en raison des éléments suivants: rajustements aux versements d’allocations spéciales pour enfants, pour les enfants admissibles à la charge des institutions spécialisées; rajustements aux taux de contribution aux régimes d’avantages sociaux des employés; augmentations de la dépense des revenus résultant de la poursuite des opérations en vertu de l’article 60 de la Loi sur l’Agence du revenu du Canada; instauration entre 2007-2008 et 2009-2010 des paiements aux agences privées de recouvrement en vertu de l’article 17.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques; paiements aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d'exportation de produits de bois d'oeuvre.
Le montant inscrit au budget principal des dépenses de l’Agence du revenu du Canada (ARC) pour 2009-2010 a augmenté de 650,6 millions de dollars par rapport à 2008-2009; les principales modifications apportées sont les suivantes.
Une augmentation nette de 181,3 millions de dollars au crédit 1 est attribuable à :
Une augmentation de 43,5 millions de dollars en recettes disponibles liées essentiellement aux services informatiques fournis par l’ARC à l’Agence des services frontaliers du Canada ainsi qu’aux activités relatives à l’administration de l’impôt sur le revenu des sociétés de l’Ontario.
Une augmentation de 12,8 millions de dollars des contributions aux RASE liée surtout aux conventions collectives et à l’administration de l’impôt sur le revenu des sociétés de l’Ontario.
Une augmentation de 2 millions de dollars des allocations spéciales pour enfants correspondant aux allocations pour enfants admissibles à la charge d’institutions spécialisées.
Une diminution de 18 millions de dollars liée aux paiements versés aux agences privées de recouvrement en vertu de l’article 17.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques.
Une augmentation de 429 millions de dollars liée aux paiements aux provinces en vertu de la Loi de 2006 sur les droits d’exportation de produits de bois d'oeuvre.
L’ARC étant consciente de l’augmentation des immobilisations qu’elle achète et met au point, surtout en ce qui concerne les biens en matériel et logiciels informatiques, a indiqué au Conseil du Trésor du Canada son intention de présenter un crédit pour dépenses d’immobilisations en 2010-2011 et travaille activement à réaliser cet objectif.