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Nom de l'initiative horizontale : Plan de gestion des produits chimiques
Nom des ministères responsables : Santé Canada et Environnement Canada
Activité de programme du ministère responsable : Santé environnementale durable et gestion des substances et des déchets
Date de mise en œuvre : 2007-2008
Date de clôture : 2010-2011
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 299,2 M$
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Le Plan de gestion des produits chimiques (PGPC) fait partie du plan environnemental global du gouvernement et il est géré conjointement par Santé Canada et Environnement Canada (EC). Les activités exposées dans ce plan tirent parti de la position de chef de file mondial du Canada dans la saine gestion des substances et des produits chimiques, et portent sur des mesures opportunes à l'égard des principales menaces pour la santé et l'environnement. Le plan comprend notamment l'évaluation des risques, la gestion des risques, le contrôle et la surveillance ainsi que la recherche sur des produits chimiques qui peuvent être nuisibles à la santé humaine et à l'environnement.
Le PGPC génère également, par des mesures réalistes et applicables, un niveau de responsabilité accru pour l'industrie. En outre, il stimule l'innovation et augmente la compétitivité canadienne dans un marché international où de plus en plus d'attention est portée à l'innocuité des substances chimiques et à la sécurité des produits.
Santé Canada et Environnement Canada gèrent ensemble le financement du PGPC et s'assurent que le Plan cadre bien avec les priorités en matière de santé humaine et d'environnement.
En 2010-2011, les secteurs de programme énumérés ci-après ont été touchés par les activités du PGPC.
À Santé Canada
À Environnement Canada
Pour obtenir de plus amples renseignements, visitez le portail des substances chimiques du gouvernement du Canada à l'adresse suivante : http://www.chemicalsubstanceschimiques.gc.ca
Résultats partagés :
Parmi les résultats de haut niveau liés à la gestion du PGPC, mentionnons les suivants :
Structures de gouvernance :
Santé Canada partage la responsabilité du PGPC avec Environnement Canada. Le PGPC est composé de cinq éléments interreliés qui doivent être planifiés, exécutés et évalués selon un cadre intégré, géré conjointement par Santé Canada et par Environnement Canada.
La gouvernance est assurée par un comité conjoint de sous-ministres adjoints de Santé Canada et d'Environnement Canada et par le Comité exécutif interministériel de gestion des produits chimiques (CEGPC). Ces comités ont été mis sur pied en vue de maximiser la coordination des efforts tout en réduisant la répétition inutile d'activités au sein des deux ministères.
Le comité des SMA sur le PGPC offre une fonction d'orientation stratégique, de coordination et de remise en question pour la mise en œuvre globale du PGPC ainsi que le suivi des résultats de ses activités et de l'utilisation des ressources. Le comité sert de forum de haut niveau pour la formulation de recommandations sur la gestion des produits chimiques qui seront présentées aux sous-ministres.
Le CEGPC est le principal comité de gestion à l'échelon des directeurs généraux qui contribue à l'élaboration d'orientations stratégiques communes entre EC et Santé Canada. Il constitue également un organe officiel pour les consultations et les coopérations en vue d'assurer des actions concertées opportunes dans la mise en œuvre intégrée des activités du PGPC. Les rapports du CEGPC au Comité des SMA contiennent des recommandations sur la mise en œuvre de programmes, sur les résultats et sur l'utilisation des ressources.
Points saillants du rendement :
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-2011 (en millions de dollars) | |||
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Dépenses prévues 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 |
Résultats prévus 2010-2011 |
Résultats obtenus 2010-2011 |
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Santé Canada | Hygiène de l'environnement durable | Évaluation des risques | 9,9 | 3,5 | 3,5 |
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Un élément clé du PGPC est de prendre des mesures immédiates à l'égard des 200 substances chimiques présentant la priorité la plus élevée qui ont été relevées dans le cadre du programme Défi. Ce programme mettait l'industrie et les intervenants au défi de fournir des renseignements sur les substances chimiques et les pratiques de gestion sécuritaires pour 196 des substances
commercialisées présentant la priorité la plus élevée. Le gouvernement du Canada a depuis publié des renseignements sur toutes les substances du Défi, indiquant lesquelles pouvaient présenter un risque pour la santé humaine ou l'environnement. Il a aussi obtenu de l'industrie l'information nécessaire en vertu de l'article 71 sur toutes les substances, publié une ébauche ou un
rapport définitif d'évaluation préalable des risques pour 192 des 196 substances du Défi et pris des mesures de gestion des risques à l'égard de 45 substances susceptibles de présenter un risque pour la santé ou l'environnement. La majorité des évaluations des risques prévues dans le cadre du PGPC à des fins de publication au cours de l'exercice 2010-2011 sont terminées. Ces évaluations comprenaient la diffusion des rapports définitifs d'évaluation préalable pour les substances des lots 8 à 10 ainsi que les ébauches des rapports d'évaluation pour les substances des lots 10 à 12, y compris d'autres substances des lots 1 (CHPD), 6 et 8. Au total, les ébauches des rapports d'évaluation préalable de 47 substances (ou groupes de substances) et les rapports d'évaluation définitifs de 43 substances (ou groupes de substances) ont été publiés. Plusieurs rapports concernant des substances non liées au Défi ont également été publiés dans la Gazette du Canada, Partie I (rapport définitif d'évaluation préalable de l'éthylèneglycol et rapport final sur l'état des connaissances scientifiques sur le décaBDE; ébauche des rapports d'évaluation préalable de la quinoléine, de l'acide perfluorooctano [APFO], des acides perfluorocarboxyliques [APFC] et de l'hexabromocyclododécane [HBCD]). Un rapport d'évaluation de suivi sur l'aniline a également été publié en 2010-2011. En 2010-2011, trois ébauches de rapport d'évaluation préalable portant sur environ 70 substances pétrolières désignées comme étant restreintes aux raffineries de pétrole et aux usines de valorisation ont été publiées dans la Partie I de la Gazette du Canada. Des stratégies et des méthodes pour évaluer les substances restantes (ou les groupes de substances) du secteur pétrolier sont présentement élaborées. Dans le cadre du Défi, des approches de gestion des risques ont été publiées pour neuf substances des lots 8 à 10 considérées néfastes pour la santé humaine ou l'environnement (la publication des approches relatives aux lots 11 et 12 est prévue en 2011-2012), et la portée de la gestion des risques a été définie pour 13 substances des lots 8 à 11 proposées en vue de se conformer à au moins un des critères de l'article 64 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (LCPE, 1999). (La portée des substances du lot 12 a été définie en partie.) Les outils de gestion des risques proposés pour les lots 1 et 2 ont été mis au point et publiés aux fins de commentaires, selon l'échéancier prévu. Au total, 34 outils de gestion des risques ont été utilisés en 2010-2011 pour des substances du Défi PGPC. Cette année, les mesures prises ou proposées à l'égard de substances désignées comme étant néfastes pour la santé humaine ou l'environnement dans le cadre du Défi comprenaient un nouvel ajout de substances à la Liste critique de Santé Canada (16 substances du PGPC des lots 3 à 9 ont été ajoutées à la Liste critique de Santé Canada en mars 2011; jusqu'à maintenant, 25 substances des lots 1 à 9 du PGPC ont été ajoutées à cette liste), des activités de surveillance alimentaire ciblées relativement à des substances préoccupantes dont la principale source d'exposition est les aliments ainsi que des propositions d'ajout de certains additifs alimentaires à la liste du Règlement sur les aliments et drogues, ou de leur retrait de cette liste. De même, 16 outils proposés en vertu de la LCPE 1999 pour des substances considérées néfastes pour la santé humaine ou l'environnement dans les lots 1 à 3 ont été publiés dans la Gazette du Canada, Partie I, y compris des propositions d'avis de prévention de la pollution à l'égard de quatre substances [bisphénol A, isoprène, siloxanes (D4) et TDI]. En ce qui concerne les substances pour lesquelles une exposition récente ne présente pas de risques, mais qui, en raison d'une nouvelle activité ou utilisation, peut être néfaste pour la santé humaine ou l'environnement, les dispositions relatives à une nouvelle activité (NAc) de la LCPE 1999 prévoient la collecte d'information et l'évaluation avant le début de cette nouvelle activité ou utilisation. Des NAc ont été soit proposées soit mises en œuvre pour 55 substances du Défi qui ne respectaient pas l'article 64 de la LCPE 1999 ou qui n'étaient pas vendues au pays. Environ 26 NAc ont également été proposées ou mises en œuvre pour des substances du Défi qui répondaient à au moins un des critères de l'article 64 de la LCPE 1999. Le gouvernement du Canada a continué de solliciter des conseils et des commentaires auprès du Conseil consultatif des intervenants du PGPC (les membres proviennent notamment d'organisations non gouvernementales et de l'industrie). En mai 2010, Santé Canada et EC ont présidé une réunion en personne où les membres du Conseil ont pu se prononcer sur les activités liées au PGPC. Les conseils et commentaires du Conseil consultatif des intervenants du PGPC et d'autres intervenants ont également été sollicités lors d'un atelier tenu en novembre 2010 en vue de déterminer les prochaines substances à évaluer dans le cadre du PGPC. Les programmes de surveillance environnementale ont été intégrés et renforcés en fonction du PGPC afin d'offrir un programme véritablement national, capable de faire respecter les engagements actuels du gouvernement en matière de surveillance et d'être sensible aux nouvelles substances chimiques préoccupantes. La surveillance environnementale et la surveillance des substances chimiques présentes dans l'air, les aliments, l'eau, les sédiments, les poissons et les oiseaux ainsi que dans les eaux usées et les rejets des décharges sont coordonnées par un groupe de travail dirigé par EC (dont des membres représentent Santé Canada). L'Initiative de suivi et de surveillance mise en œuvre par Santé Canada dans le cadre du PGPC finance des projets pluriannuels visant à approfondir les connaissances relatives aux priorités suivantes : programmes nationaux de biosurveillance, études de biosurveillance axées sur les populations ciblées, recherche à l'appui de la biosurveillance et surveillance environnementale ciblée. Dix-neuf projets pluriannuels ont été financés dans le cadre de cette initiative, dont dix en 2010-2011. Parmi ces projets, mentionnons les suivants :
L'Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS) est une enquête nationale que mène Statistique Canada, en collaboration avec Santé Canada et l'Agence de la santé publique du Canada, en vue de recueillir auprès des Canadiens des renseignements sur leur santé. Santé Canada s'occupe de la composante de biosurveillance de l'enquête qui consiste à prélever des échantillons
de sang et d'urine afin d'obtenir des données nationales représentatives de l'exposition aux substances chimiques de l'environnement. En 2010-2011, Santé Canada a publié le Rapport sur la biosurveillance humaine des substances chimiques de l'environnement au Canada qui donne des résultats complets de la biosurveillance des substances chimiques mesurées dans le cadre du cycle 1. À
l'exception du plomb, ces résultats fournissent les toutes premières données de biosurveillance nationales représentatives sur l'ensemble des substances chimiques mesurées. Le deuxième cycle de l'Enquête (2009-2011) est actuellement en cours et vise des enfants âgés de trois à cinq ans. Il comprend aussi une composante sur l'air intérieur. La collecte des données se fait dans 18
sites répartis dans tout le Canada. La planification des cycles 3 et 4 de l'enquête a elle aussi débuté.
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Gestion des risques | 50,1 | 16,1 | 12,8 | ||||
Recherche | 26,6 | 6,8 | 5,0 | ||||
Suivi et surveillance | 34,0 | 13,8 | 13,7 | ||||
Gestion de programme | 5,4 | 1,4 | 1,3 | ||||
Produits de consommation | Évaluation des risques | 12,6 | 5,4 | 4,2 | |||
Réglementation des pesticides | Évaluation des risques | 9,9 | 3,3 | 3,3 | |||
Gestion des risques | 3,6 | 4,7 | 4,7 | ||||
Produits de santé | Évaluation des risques | 3,3 | 1,5 | 1,5 | |||
Gestion des risques | 12,5 | 4,3 | 3,5 | ||||
Recherche | 2,5 | 1,4 | 1,4 | ||||
Suivi et surveillance | 1,1 | 0,6 | 0,6 | ||||
Gestion de programme | 0,1 | 0.1 | |||||
Aliments et nutrition | Évaluation des risques | 3,8 | 1,4 | 2,1 | |||
Gestion des risques | 6,2 | 2,1 | 0,5 | ||||
Recherche | 1,2 | 0,4 | 2,1 | ||||
Suivi et surveillance | 2,0 | ||||||
Environnement Canada | Gestion des produits chimiques | Évaluation des risques | 13,1 | 4,8 | 4,8 |
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Gestion des risques | 64,9 | 24,4 | 18,6 | ||||
Recherche | 2,1 | 0 | 0,0 | ||||
Suivi et surveillance | 26,4 | 7,8 | 7,8 | ||||
Total |
Commentaires sur l'écart :
Résultats atteints par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : S.O.
Personne-ressource :
Suzanne Leppinen, directrice
Gestion des programmes horizontaux et internationaux
Direction de la sécurité des milieux
Direction générale, santé environnementale et sécurité des consommateurs
Santé Canada
Téléphone : 613-941-8071
suzanne.leppinen@hc-sc.gc.ca
Stewart Lindale, directeur
Affaires législatives et réglementaires
Direction générale de l'intendance environnementale
Environnement Canada
Téléphone : 819-934-2358
Steward.Lindale@ec.gc.ca
Nom de l'initiative horizontale : Mise en œuvre d'un plan d'action pour la protection de la santé humaine contre les contaminants de l'environnement
Nom des ministères responsables : Santé Canada
Activité de programme du ministère responsable : 3.1 Hygiène de l'environnement durable
Date de mise en œuvre : 2008-2009
Date de clôture : 2012-2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 84,6 M$
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Des études récentes révèlent que les Canadiens sont préoccupés par les contaminants de l'environnement. Il faut veiller à ce que les Canadiens disposent de renseignements fiables sur l'impact des produits chimiques sur l'environnement et sur les mesures qu'ils doivent prendre en conséquence.
Le gouvernement a déjà pris des mesures à l'égard des contaminants de l'environnement par le truchement du Plan de gestion des produits chimiques et du Programme de l'air pur, qui portent sur les substances qui présentent des risques connus pour la santé humaine et l'environnement. L'industrie et les intervenants appuient ces initiatives, mais ils continuent d'affirmer que les décisions
doivent être fondées sur des données scientifiques. Cela exige des mécanismes, notamment des mécanismes de contrôle, de surveillance et de recherche, afin de veiller à ce que l'efficacité des interventions visant les risques potentiels connus puisse être évaluée et à ce que les nouveaux risques puissent être détectés.
Le plan d'action pour protéger la santé humaine des contaminants de l'environnement vise à protéger davantage les Canadiens contre les contaminants environnementaux, tout en accroissant la base de connaissances touchant les niveaux de contaminants et les effets possibles sur la santé, en particulier
Une somme de 13,1 millions de dollars a été affectée à Santé Canada, pour la période de 2008-2009 à 2012-2013, pour la rédaction d'un guide sur la santé de l'environnement destiné aux Canadiens, ainsi que d'un guide adapté aux besoins des communautés des Premières nations et des Inuits. Le guide vise à sensibiliser les Canadiens aux risques que posent les contaminants nuisibles de l'environnement pour leur santé, de même qu'aux mesures directes qu'ils peuvent prendre pour réduire ces risques et améliorer leur santé.
Pour la même période, Statistique Canada a reçu 54,5 M$ pour mener l'Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS), et Santé Canada, 5,6 M$, pour réaliser l'Initiative de biosurveillance des Premières nations (IBPN). L'ECMS sert à recueillir des renseignements auprès des Canadiens sur leur état de santé général et leur mode de vie et comporte le prélèvement d'échantillons de sang et d'urine, notamment à des fins d'analyses à la recherche de contaminants de l'environnement. L'ECMS ne fournit pas de données sur les Premières nations vivant dans les réserves et les Inuits. C'est l'IBPN qui ciblera ces communautés.
Une somme de 5,9 millions de dollars a été affectée à l'Agence de la santé publique du Canada, pour la période de 2008-2009 à 2012-2013, afin d'améliorer la surveillance des anomalies congénitales.
Une somme de 5,5 millions de dollars a été affectée à l'Agence de la santé publique du Canada pour la période de 2008-2009 à 2012-2013 pour la surveillance des troubles du développement.Résultats partagés :
Structures de gouvernance :
Toutes les initiatives du plan d'action prennent appui sur les structures de gouvernance et de gestion déjà établies pour les programmes gouvernementaux permanents, notamment le Programme de statistiques sur la santé de la population canadienne, le Plan de gestion des produits chimiques, l'initiative en matière de vie saine et de prévention des maladies chroniques de l'Agence de la santé publique du Canada, de même que les volets de systèmes de surveillance nationaux élaborés par l'Agence de la santé publique du Canada de concert avec les intervenants.
Chacun des programmes de Santé Canada, de l'Agence de la santé publique du Canada et de Statistique Canada sera entièrement responsable de la gestion des initiatives qu'il dirige dans le cadre du plan d'action. Les consultations et la participation des intervenants seront régies par les structures consultatives et les comités interministériels déjà établis.
Une structure de gouvernance tripartite de Santé Canada, de l'Agence de la santé publique du Canada et de Statistique Canada sera utilisée pour surveiller la mise en œuvre de l'Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS). L'ECMS s'appuiera sur la structure de gouvernance actuelle du Programme de statistiques sur la santé de la population canadienne, qui compte des cadres supérieurs des trois organismes fédéraux.Points saillants du rendement :
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-211 (en million de dollars) | |||
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Dépenses prévues | Dépenses réelles | Résultats prévus | Résultats obtenus | ||||
Santé Canada | Hygiène de l'environnement durable | Guide sur la santé environnementale destiné aux Canadiens | 13,1 | DGSESC : 0,385 M$ DGSPNI :0,7 M$ DGAPCC :1,6 M$ |
DGSESC : 0, 271M$ DGSPNI : 0,392 M$ DGAPCC :1,075 M$ |
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DGSESC/DGAPCC Poursuite de la campagne de marketing sur la santé environnementale/Distribution des guides sur la santé environnementale. Lors de la campagne de marketing sur la santé environnementale de 2010-2011, l'information a été communiquée en ligne principalement, car des études récentes révèlent que c'est ainsi que les Canadiens préfèrent recevoir l'information touchant à l'environnement.
En 2010-2011, l'information communiquée dans le cadre de la campagne de marketing sur la santé environnementale des Premières nations et des Inuits l'a été directement aux communautés et en ligne, car des études récentes révèlent que c'est ainsi que les membres des Premières nations et les Inuits préfèrent recevoir l'information touchant à l'environnement.
DGSPNI/DGAPCC
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Programmes et services liés à la santé des Premières nations et des Inuits | Initiative de biosurveillance des Premières nations | 5,6 | DGSPNI : 1,17 M$ | DGSPNI : 1,126 M$ |
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Agence de la santé publique du Canada | Surveillance et évaluation de la santé de la population | Surveillance accrue des anomalies congénitales | 5,9 | 1,2 | 0,950 |
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Surveillance des troubles du développement | 5,5 | 1,4 | 0,183 |
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Statistique Canada | Statistiques sociales | Enquête canadienne sur les mesures de la santé | 54,5 | 14 | 13,532 |
La couverture médiatique liée à la publication des données du cycle 1 de l'ECMS (y compris les tableaux, les feuilles d'information et les articles de recherche) sera surveillée. On surveillera également l'accès au site Web et les demandes de renseignements. Les fichiers de microdonnées de l'ECMS seront mis à la disposition des centres de données de recherche de Statistique
Canada situés dans les universités canadiennes. |
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Total | 84,6 | 20,455 | 16,403 |
Commentaires sur l'écart :
Santé Canada
DGSESC/DGAPCC : Les dépenses ont été réduites par l'adoption d'autres approches de prestation, des gains d'efficience et le recours aux partenariats.
DGSPNI/DGAPCC : Les guides à l'intention des jeunes Inuits et des Premières nations ainsi que les guides sur les activités au printemps et à l'été destinés aux Premières nations ont été reportés, de sorte que les fonds prévus pour leur impression et leur distribution n'ont pas été dépensés pendant l'année financière. Les retards dans la dotation ont aussi contribué aux écarts.
ASPC : Le travail de démarrage a pris plus de temps que prévu. En 2010-2011, l'Agence de la santé publique du Canada a créé une nouvelle unité chargée de concevoir et d'administrer un réseau de surveillance et un comité consultatif devant assurer la supervision de ce réseau. L'unité a commencé à préparer le terrain et a réalisé des progrès vers l'établissement du réseau qui favorisera la surveillance des troubles du développement (surtout des TED) au pays.Résultats atteints par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Santé Canada : Partenariats dans le cadre de l'Initiative de biosurveillance des Premières nations
Remarque : Puisqu'il s'agit d'un partenariat Santé Canada-Assemblée des Premières nations, de nombreux résultats sont le fruit d'une collaboration entre les deux parties.
Personne-ressource :
Suzanne Leppinen
Directrice, Bureau des politiques sur les produits chimiques
Direction des milieux sains, Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs, Santé Canada
613-941-8071
Suzanne.Leppinen @hc-sc.gc.ca
Nom de l'initiative horizontale : Développement de la petite enfance (DPE), Stratégie de développement des jeunes enfants des Premières nations et des autres Autochtones.
Nom des ministères responsables : Santé Canada.
Activité de programme du ministère responsable : Programmes et services liés à la santé des Premières nations et des Inuits.
Date de mise en œuvre :
Volet DPE : octobre 2002.
Volet Apprentissage et garde des jeunes enfants (AGJE) : décembre 2004.
Date de clôture :
Volet DPE : en cours.
Volet AGJE : en cours.
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) :
DPE : 320 M$ de 2002-2003 à 2006-2007 (60 M$ en 2002-2003 et 65 M$ par la suite). Années subséquentes : 65 M$ par année.
AGJE : 45 M$ de 2005-2006 à 2007-2008 (14,5 M$ en 2005-2006, 15,3 M$ en 2006-2007 et 15,2 M$ en 2007-2008). Années subséquentes : 14 M$ par année.
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
La Stratégie de développement des jeunes enfants des Premières nations et des autres Autochtones a été annoncée le 31 octobre 2002. La stratégie prévoit un montant de 320 millions de dollars sur cinq ans en vue d'améliorer et d'élargir les programmes et services de DPE en cours destinés aux enfants autochtones, d'améliorer la capacité et les réseaux de DPE, de lancer de nouvelles initiatives de recherche en vue de mieux apprécier les progrès réalisés par les enfants autochtones et de travailler à la mise en place d'une approche à « guichet unique » afin d'assurer une meilleure intégration et coordination des programmes fédéraux de DPE à l'intention des Autochtones. En décembre 2004, comme première étape à la mise en place d'un « guichet unique », le Cabinet a approuvé un financement supplémentaire de 45 millions de dollars sur trois ans (à compter de 2005-2006) et de 14 millions de dollars pour les années subséquentes pour améliorer l'intégration et la coordination de deux programmes de DPE (Programme d'aide préscolaire aux Autochtones dans les réserves [PAPAR] et Initiative de services de garde d'enfants pour les Premières nations et les Inuits [ISGPNI]). Ces fonds seront utilisés pour faciliter l'accès aux programmes d'apprentissage et de garde des jeunes enfants destinés aux Premières nations qui vivent dans les réserves et pour améliorer l'intégration et la coordination des deux programmes au moyen d'une planification et d'une formation commune et d'un regroupement de services. La stratégie comprend également les programmes de garde des enfants financés par Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC) en Alberta et en Ontario.
Résultats partagés :
La Stratégie fédérale de DPE vient compléter l'accord de septembre 2000 des premiers ministres fédéral, provinciaux et territoriaux (FPT) en matière de DPE. Elle prévoit combler les écarts entre les chances d'épanouissement des enfants autochtones et celles des enfants non autochtones en améliorant les possibilités de développement des jeunes enfants autochtones (de 0 à 6 ans) et de leur famille. Le financement approuvé pour l'AGJE complète le financement accordé aux provinces et aux territoires en vertu du Cadre multilatéral pour l'apprentissage et la garde des jeunes enfants (mars 2003) en vue de faciliter l'accès aux programmes et aux services d'AGJE.
Structures de gouvernance :
Points saillants du rendement :
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-2011 (en millions de dollars) | |||
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Dépenses prévues 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 |
Résultats prévus 2010-2011 |
Résultats obtenus 2010-2011 |
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Santé Canada | Programmes et services liés à la santé des Premières nations et des Inuits | Programme d'aide préscolaire aux Autochtones dans les réserves (PAPAR) |
DPE :
Dépenses engagées en 2002. |
21,519 |
27,374 $ |
Expansion et amélioration du programme. |
Le programme PAPAR a été mis en œuvre dans 15 autres collectivités des Premières nations en Colombie-Britannique. |
AGJE :
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7,500 $ |
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Ensemble des troubles causés par l'alcoolisation fœtale - Volet Premières nations et Inuits (ETCAF) |
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15,000 $ | 12,862 $ | Expansion et amélioration du programme |
L'intégration des programmes qui favorisent la santé maternelle et infantile a été renforcée dans les collectivités des Premières nations et des Inuits, ce qui a donné lieu à une meilleure coordination et collaboration entre les programmes. |
||
Renforcement de la capacité (Stratégie fédérale de 2002) |
Dépenses engagées en 2002. |
1,015 $ | 0,915 $ |
Capacité accrue |
Dans le cadre du volet sur le renforcement de la capacité de la Stratégie fédérale de 2002, Santé Canada a alloué des fonds à des organismes nationaux autochtones pour renforcer la capacité et l'expertise en ce qui a trait au développement de la petite enfance. En 2010-2011, des fonds ont été alloués à l'Assemblée des Premières nations (APN), à Inuit Tapiriit Kanatami (ITK), à l'Association des femmes autochtones du Canada (AFAC) et au Ralliement national des Métis (RNM). En outre, AINC fournit un financement à Pauktuutit Inuit Women of Canada. En 2010-2011, le financement a permis à ces organismes de participer à l'élaboration de la Stratégie fédérale en planifiant de façon stratégique et en renforçant leurs capacités. Du financement pour de la formation horizontale a été accordé à des régions en vue de soutenir la formation des travailleurs du DPE dans les sites du PAPAR et de l'ISGPNI. Santé Canada s'emploie à élaborer une stratégie de formation axée sur les travailleurs communautaires, y compris les travailleurs du DPE, qui mènera à une formation et à une certification adaptées à la culture des fournisseurs de programmes de développement de la petite enfance dans les réserves. |
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Agence de la santé publique du Canada | Programmes destinés à l'enfance et à l'adolescence | Programme d'aide préscolaire aux Autochtones dans les communautés urbaines et nordiques (PAPACUN) |
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12,576 $ | 10,977 $ | Expansion et amélioration du programme en augmentant le nombre de travailleurs pour les services de proximité en matière de besoins spéciaux ainsi que pour les services destinés aux parents (accroître la formation en besoins spéciaux et fournir des services à 1 000 enfants de plus). | Des programmes pilotes d'approche ont été élaborés par les sites du PAPA afin que des services puissent être fournis aux familles n'ayant pas accès au programme. Une formation sur le développement de la petite enfance (DPE) et les besoins spéciaux ainsi que des tests d'évaluation de la maturité scolaire ont été fournis dans l'ensemble des 128 sites, et ce, dans le but d'améliorer le bien-être des enfants. |
Renforcement de la capacité |
Dépenses engagées en 2002. |
0,500 $ |
0,365 $ |
Capacité accrue grâce à une coordination horizontale, à un engagement et à l'élaboration d'outils et de ressources. |
Des conférences téléphoniques mensuelles et deux réunions face-à-face annuelles avec le Conseil consultatif autochtone ont donné lieu à un renforcement de la capacité et de l'engagement des intervenants, à la création d'outils d'information (trousse d'outils sur l'alphabétisme chez les jeunes enfants) et à la réalisation d'activités d'échange. | ||
Ressources humaines et du Développement des compétences | Apprentissage continu - Ressources humaines en santé (RHS) | Initiative de services de garde d'enfants pour les Premières nations et les Inuits (ISGPNI) |
Dépenses engagées en 2002 AGJE
|
9,140 $ |
Expansion et amélioration du programme. |
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Recherche et connaissances |
Dépenses engagées en 2002. Volet autochtone de De 2004-2005 à 2010-2011, 700,000 $ par exercice financier |
4,240 $
Volet autochtone de 2010-2011 181,168 $ |
Information sur le bien-être des enfants autochtones par l'intermédiaire de l'Enquête sur les enfants autochtones (EEA) et du volet autochtone de l'initiative Comprendre la petite enfance (CPE). |
Résultats du volet autochtone de l'initiative CPE en 2010-2011 : - Le projet avec le Grand conseil de Prince Albert (GCPA) dans le cadre du volet autochtone de l'initiative CPE a une capacité accrue quant à la collecte et à l'analyse des données et à la diffusion des résultats du projet; |
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Affaires autochtones et Développement du Nord Canada | Les gens - Le développement social |
Initiatives relatives à la capacité
5,050 $ (de 2002-2003 à 2006-2007) |
5,050 $ (de 2002-2003 à 2006-2007) |
1,010 $ | 0,984 $ | Appuyer les travaux horizontaux réalisés avec les partenaires de l'initiative CPE en finançant des recherches et en renforçant la capacité. | |
Total |
DPE : (de 2002-2003 à 2006-2007) : (60,000 $ en 2002-2003 et 15,300 $ en 2006-2007; 15,200 $ en 2007-2008); 14,000 $/année subséquente. |
DPE :
AGJE : 14,000 $/année |
Commentaires sur l'écart :
Volet autochtone de l'initiative Comprendre la petite enfance
Le volet autochtone de l'initiative CPE s'est vu accorder un financement de 300 000 $ en subventions et en contributions pour l'exercice 2010-2011 de même qu'un financement non salarial de 400 000 $, pour un total de 700 000 $. Le projet en Saskatchewan du Grand conseil de Prince Albert dans le cadre de l'initiative CPE, qui était le seul projet
autochtone réalisé au cours de cette initiative, a enregistré des dépenses réelles de 208 366 $ pendant l'exercice 2010-2011. L'écart (491 634 $) est attribuable à la temporisation de l'initiative CPE, qui a pris effet le 31 mars 2011.
ASPC - L'écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est attribuable à diverses limitations opérationnelles en cours d'exercice, notamment les retards en matière de recrutement; les rajustements des ententes de subventions et de contributions en cours d'exercice qui ont fait en sorte que les fonds n'ont pas été pleinement utilisés; et le report d'un atelier national de
formation qui était prévu (tandis que les responsables cherchent des stratégies de formation plus efficaces et rentables).
Résultats atteints par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : s.o.
Personne-ressource :
Cathy Winters
Coordonnatrice principale des politiques
Division de l'enfance et de la jeunesse
Direction des programmes communautaires
Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits
Santé Canada
Indice de l'adresse 1919A
Pré Tunney, Ottawa
Téléphone : 613-952-5064
Courriel : Cathy_winters@hc-sc.gc.ca
1. Titre de l'initiative horizontale
Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation (le Plan d'action)
2. Nom des ministères responsables
La responsabilité est partagée entre Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) et les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
3. Activité de programme des ministères responsables
4. Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale
Exercice 2008-2009
5. Date d'échéance de l'initiative horizontale
Exercice 2012-2013 (et exercices suivants)
6. Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l'échéance)
489,4 millions de dollars sur cinq ans jusqu'en 2012-2013, et 126,7 millions de dollars par la suite
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement)
Le gouvernement fédéral est responsable de promouvoir la santé et la sécurité des Canadiens. À ce titre, son rôle est de s'assurer que les produits utilisés par les Canadiens sont sans danger. Les conséquences indésirables associées à des produits non sécuritaires ont des répercussions non seulement sur le public canadien, mais aussi sur l'économie canadienne. Le Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation (Plan d'action) est une initiative horizontale visant à moderniser et à renforcer le système de sécurité du Canada en ce qui concerne les produits alimentaires, de santé et de consommation. Un certain nombre d'incidents récents très médiatisés tels que la présence de plomb et d'aimants pouvant être ingérés dans les jouets pour enfants, des contaminants dans les produits alimentaires importés et le retrait massif de certains médicaments d'ordonnance ont mis en lumière la nécessité d'une action gouvernementale.
Le Plan d'action modernise le système réglementaire du Canada afin que celui-ci puisse mieux protéger les Canadiens contre les produits de consommation non sécuritaires en raison des réalités actuelles et des pressions futures. Le Plan d'action soutient le système réglementaire canadien en permettant de modifier les lois désuètes sur la santé et la sécurité ou de les remplacer par de nouveaux régimes législatifs correspondant aux réalités modernes, et d'améliorer les programmes de sécurité dans des secteurs où des outils législatifs modernes existent déjà. Le Plan d'action veille à ce que les Canadiens possèdent les renseignements nécessaires pour évaluer les risques et les bienfaits associés aux produits de consommation et de santé qu'ils choisissent d'utiliser et pour réduire les risques associés à la salubrité des aliments.
Le Plan d'action est un plan intégré fondé sur le risque qui comprend une série d'initiatives axées sur trois principaux piliers : prévention active, surveillance ciblée et intervention rapide. Nous nous concentrons sur la prévention active afin d'éviter le plus grand nombre d'incidents possible et nous collaborons étroitement avec l'industrie pour sensibiliser le public, fournir des directives quant aux règlements et aider à déterminer les préoccupations de sécurité tôt dans le processus. La surveillance ciblée assure la détection précoce des problèmes de sécurité et une vérification supplémentaire à l'étape appropriée du cycle de vie d'un produit. Afin d'améliorer les capacités d'intervention rapide et de veiller à ce que le gouvernement ait la capacité d'agir rapidement et efficacement, le cas échéant, nous nous efforçons d'améliorer les évaluations des risques pour la santé, de renforcer la capacité de rappel et d'accroître notre efficacité d'intervenir et de communiquer clairement avec les consommateurs et les intervenants.
8. Résultats partagé
9. Structures de gouvernance
La ministre de la Santé et le ministre d'Agriculture et Agroalimentaire Canada ont la responsabilité commune d'obtenir des résultats et de fournir de l'information sur les progrès accomplis quant au Plan d'action.
Un cadre de gouvernance a été établi et adopté par tous les ministères et organismes partenaires. Afin de faciliter la coordination horizontale, les groupes de travail de niveau des directeurs généraux (DG) et des directeurs exécutifs (DE) suivants ont été créés : groupe de travail sur les produits de santé, groupe de travail sur les produits de consommation, groupe de travail sur les aliments, groupe de travail sur les communications et groupe de travail sur les lois et les règlements. Les groupes de travail relèvent d'un comité de coordination de niveau des DG/DE. Un comité de direction de niveau des sous-ministres adjoints (SMA) et des vice-présidents (VP) fournit l'orientation au comité de coordination. Un comité de surveillance composé d'administrateurs généraux facilite la formulation de directives de haut niveau au comité directeur.
La Direction générale de la politique stratégique (DGPS) de Santé Canada assure la fonction de secrétariat pour le Plan d'action. Elle joue un rôle intégral dans l'appui des activités continues et la prise de décisions des comités de gouvernance, la surveillance et l'intégration du rendement par rapport aux engagements et la formulation de recommandations à l'intention des cadres supérieurs. La DGPS coordonne aussi la mise en œuvre des initiatives relatives aux lois et aux règlements.
La Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs (DGSESC) de Santé Canada et l'Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) travaillent, de concert avec l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC), à la mise en œuvre des activités du Plan d'action associées aux produits de consommation.
Avec le soutien dispensé par la Direction générale de la politique stratégique de Santé Canada (DGPS) et les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) dans le cadre d'une initiative (connaissances accrues concernant l'innocuité et l'efficacité des médicaments après leur mise en marché), la Direction générale des produits de santé et des aliments (DGPSA) de Santé Canada assume la responsabilité principale de mettre en œuvre les activités du Plan d'action associées aux produits de santé.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), la Direction générale des produits de santé et des aliments (DGPSA) de Santé Canada et l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) travaillent de concert pour mettre en œuvre les activités du Plan d'action associées à la salubrité des aliments.
La Direction générale des affaires publiques, de la consultation et des communications (DGAPCC) fournit un soutien aux communications pour toutes les initiatives mentionnées ci-devant et coordonnera ou dirigera de nombreuses activités horizontales du Ministère menées dans le cadre de la Stratégie d'information des consommateurs.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-2011 (en millions de dollars) | |||
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Dépenses prévues 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 |
Résultats prévus 2010-2011 |
Résultats obtenus 2010-2011 |
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Santé Canada | Produits de santé | Prévention active | 57,6 $ | 9,7 $ | 7,0 $ | Sensibilisation et connaissances accrues de l'industrie à l'égard des exigences réglementaires |
Procédure opératoire normalisée (PON)/Documents d'orientations
Il existe des documents pertinents touchant les médicaments à usage humain et comprenant des directives fournies dans une ligne directrice externe à l'intention de l'industrie sur la façon de demander une réunion avant le dépôt d'une présentation et de soumettre un dossier d'information avant la tenue de la réunion. Une PON interne a été rédigée afin de contrôler et d'enregistrer les réunions préalables aux présentations relativement aux produits biologiques et radiopharmaceutiques. Des documents d'orientation et des produits de communication sont disponibles sur le site Web de Santé Canada, et les promoteurs y sont renvoyés pendant les réunions. Réunions Au cours de l'exercice 2010-2011, les promoteurs ont présenté 49 demandes de réunions préalables aux présentations relativement aux produits biologiques et radiopharmaceutiques, et toutes ces réunions ont eu lieu. À la suite de ces réunions, 18 présentations ont été déposées et acceptées pour examen. Des 18 présentations acceptées pour examen, 9 ont fait l'objet d'une décision favorable et les autres sont en cours d'évaluation ou d'examen préliminaire. Selon les sondages, tous les promoteurs estiment que les réunions préalables aux présentations ont ajouté de la valeur à leur demande. Nous avons tenu 97 réunions préalables aux présentations sur les médicaments. Projet pilote de présentation de produits oncologiques : Nous avons tenu 17 réunions préalables aux présentations relativement à des produits oncologiques en 2010-2011, soit une légère hausse par rapport aux 11 réunions de l'année dernière. Des 17 réunions tenues, 12 concernaient des présentations de drogue nouvelle (PDN) et 5, des Suppléments à une présentation de drogue nouvelle (SPDN). Parmi les PDN, 2 des 12 ont été déposées et sont en cours d'examen. Parmi les SPDN, 4 des 5 ont été déposés et sont en cours d'examen. Après un suivi des réunions tenues au cours de l'exercice 2009-2010 sur les médicaments à usage humain, nous n'avons pu tirer aucune conclusion précise quant à l'effet des réunions préalables aux présentations sur les décisions rendues. L'analyse se poursuit et sera terminée à la fin du projet pilote. L'information est communiquée à l'industrie et aux agents de réglementation, et les discussions portent davantage sur les enjeux scientifiques que sur les enjeux purement réglementaires qui ne sont pas explicitement abordés dans le Règlement. Les réunions permettent aux intéressés d'analyser plus tôt la portée des principaux enjeux au cours de l'examen, et à Santé Canada d'avoir l'avis de cliniciens spécialistes canadiens et de leur poser directement des questions. Il n'est pas établi si le fait de tenir des réunions renforce l'efficacité ou produit un résultat différent. |
Surveillance accrue des stratégies de gestion et d'atténuation du risque associé aux produits de santé |
La totalité des plans de gestion des risques et des plans de gestion et d'atténuation des risques (PGR et PGAR) ont été jugés satisfaisants après la réception des clarifications provenant des détenteurs d'autorisation de mise en marché (DAMM) sur tous les sujets de préoccupation.
PGAR reçus : 18; PGAR terminés : 19 Nota - Les plans de gestion des risques (PGR) sont fournis par les DAMM et le plan de gestion et d'atténuation des risques (PGAR) est le suivi assuré par le DAAM relativement au PGR initial. Les plans cumulés de l'exercice précédent expliquent le plus grand nombre de plans terminés que de plans attribués. |
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Sensibilisation et compréhension accrues des consommateurs et des professionnels de la santé à l'égard de l'utilisation sécuritaire des produits de santé |
Mobilisation des intervenants
Les relations avec les principaux intervenants, tels que le Young Consumers Network et le Groupe d'experts sur la littératie en matière de santé de l'Association canadienne de santé publique, ont été établies et améliorées par le truchement de sept réunions organisées dans le cadre du Programme de rencontres entre les intervenants et le SMA. Les opinions des intervenants, reçues par des sondages et des mesures de suivi, ont fait l'objet d'un contrôle. En janvier 2010, l'atelier de Santé Canada Projet d 'étiquetage des produits de santé en langage clair a été organisé à Ottawa pour consulter les intervenants. Santé Canada utilisera les résultats de cette consultation pour déterminer la meilleure façon d'améliorer les documents d'information sur les produits, pour l'ensemble des Canadiens. Le fait de fournir de l'information aux consommateurs en langage clair est important pour l'utilisation sécuritaire et efficace des produits thérapeutiques et aidera les consommateurs à faire des choix éclairés au sujet de leur santé. Bassin de patients et de clients Nous avons approuvé une proposition visant à créer un basin de patients et de clients à partir duquel la Direction générale pourra choisir des intervenants engagés et informés pour participer à la prise de décision. Le Plan opérationnel associé au bassin a été réalisé grâce à de vastes consultations tenues auprès d'intervenants externes et de clients des programmes. Une stratégie d'apprentissage et un plan de programme d'études ont été élaborés pour le bassin, y compris de la matière pour deux modules d'apprentissage. Élaboration de politiques Le Réseau du gestionnaire du Secrétariat de la DGPSA et le Groupe de référence de Santé Canada ont travaillé de concert afin d'apporter leur contribution à l'élaboration de la Politique sur la gestion des organismes consultatifs externes de Santé Canada qui sera publiée incessamment. Développement Web et affichage sur le Web Santé Canada a dirigé l'examen des 5 000 pages Web désuètes de la DGPSA et a influencé l'architecture de l'information afin d'améliorer l'accès à l'information pour les intervenants et le grand public. Santé Canada a également élaboré de nouvelles pages et sections Web sur les enjeux liés aux produits de santé et les a révisées au besoin pour le public de consommateurs. Médias sociaux Le projet sur les médias sociaux a permis aux consommateurs d'avoir accès à des services d'information mobiles grâce au lancement de l'application sur les Rappels et les avis de sécurité pour les téléphones intelligents BlackBerry, Android et iPhone. Cet outil permet aux acheteurs de découvrir si le produit qu'ils ont l'intention d'acheter ou qu'ils ont déjà acheté fait l'objet d'un rappel. Le projet a amélioré le widget sur les Rappels et les avis de sécurité de Santé Canada en incluant tous les rappels et les avis de communication touchant les risques pour la santé et la sécurité lancés par l'ensemble des ministères gouvernementaux, y compris l'Agence canadienne d'inspection des aliments et Transports Canada. Le projet a encouragé le réseautage social et les conversations entre les consommateurs grâce à des messages affichés sur la page Canadiens en santé lancée sur Facebook. Le projet a fait la promotion des risques ou autres faits relatifs à la consommation par le truchement du compte Twitter de Santé Canada. Les comités consultatifs scientifiques et les comités consultatifs d'experts fournissent en permanence des avis médicaux, techniques et scientifiques et des recommandations sur les questions de réglementation concernant les médicaments et les matériels médicaux afin d'aider Santé Canada à prendre des décisions en matière de réglementation. Ces renseignements sont mis à la disposition du grand public sur le site Web de Santé Canada. L'an dernier, les comptes rendus des décisions suivants ont été affichés : Comité consultatif scientifique sur les matériels médicaux utilisés pour l'appareil cardiovasculaire (01-06-2010); Comité consultatif scientifique sur les matériels médicaux utilisés pour l'appareil cardiovasculaire (10-12-2010); Comité consultatif scientifique sur les thérapies oncologiques (15-04-2010); Groupe consultatif scientifique sur les exigences en matière de bioéquivalence pour les formes pharmaceutiques à libération modifiée (11-06-2010); Groupe consultatif scientifique sur l'abus d'analgésiques opioïdes (29-03-2011). En 2010-2011, Santé Canada a préparé et publié 26 avis de décision (AD) (16 portant sur les médicaments à usage humain, 9 sur les produits biologiques, 4 sur les matériels médicaux) et 37 sommaires des motifs de décision (19 portant sur les médicaments à usage humain, 13 sur les produits biologiques et 5 sur les matériels médicaux). Les résultats de l'évaluation interne et externe de la phase I de l'initiative du Sommaire des motifs de décision (période couvrant janvier 2005 à septembre 2010) ont été publiés. Le rapport d'évaluation contient des recommandations à mettre en œuvre à court terme ainsi que des conclusions qui éclaireront l'élaboration de la phase 2 de l'initiative du Sommaire des motifs de décision. Nous avons affiché sur le Web une ébauche de lignes directrices - Hépatotoxicité des produits de santé - qui contient des recommandations issues des délibérations du Groupe consultatif scientifique sur l'hépatotoxicité. En 2010-2011, toutes les monographies de produits, soit 1 936, ont été traitées et affichées sur le site Web de Santé Canada, et ce, dans le respect des normes de service. Parmi les monographies de produits traitées, 1 641 concernaient des produits pharmaceutiques et 295, des thérapies biologiques. Parmi les documents généraux affichés sur le site Web de Santé Canada, il y a lieu de citer :
Avis et mises en garde en matière de communication des risques affichés sur le site Web de Santé Canada (MedEffet Canada) :
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Santé Canada | Produits de santé | Surveillance ciblée | 34,6 $ | 8,1 $ | 3,3 $ | Capacité accrue de Santé Canada et de l'industrie à relever les questions liées aux risques et à y répondre |
Les détenteurs d'autorisation de mise en marché fournissent à Santé Canada des Rapports périodiques de pharmacovigilance (RPPV) sur les produits de santé. Santé Canada soumet les rapports à un examen de niveau 1 (examen de base) et à un examen de niveau 2 (examen plus détaillé du même rapport). Les RPPV assortis de conditions visent les produits
présentant des preuves d'efficacité clinique prometteuses qui nécessitent le contrôle de l'innocuité et la présentation périodique de rapports innocuité afin de remplir les conditions imposées en vertu de l'Avis de conformité pour permettre la commercialisation du produit.
Rapports
RPPV 2010-2011 (AAP 2.1)
(Nota : Les présentations cumulées de l'exercice précédent expliquent le plus grand nombre de rapports terminés que de rapports attribués.)
RPPV 2009-2010 (AAP 2.1)
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Incluse dans les IRSC et le RIEM | 1,1 $ | 1,0 $ | Connaissance accrue de l'innocuité et de l'efficacité des médicaments après leur mise en marché afin de prendre des décisions éclairées Capacité accrue, au Canada, entreprendre des recherches correspondant aux priorités sur l'innocuité et l'efficacité des médicaments après leur mise en marché |
Voir aussi : Instituts de recherche en santé du Canada, Recherche correspondant aux priorités stratégiques, Surveillance ciblée
Réseau sur l'innocuité et l'efficacité des médicaments (RIEM) Les organismes partenaires (IRSC et Santé Canada [DGPS et DGPSA]) ont collaboré à la préparation du matériel nécessaire pour la première réunion du comité de direction du RIEM. L'équipe de mise en œuvre du projet du RIEM de Santé Canada (créée par la DGPSA en 2009 et composée de représentants de la DGPSA et de la DGSPNI) a continué de rassembler les questions de recherche du personnel de Santé Canada pour les examiner dans le cadre du programme de recherche national du RIEM. Cette année, 9 nouvelles demandes de recherche ont été envoyées au Bureau de coordination du RIEM des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) pour qu'ils les examinent. Le cadre de mesure et d'évaluation du RIEM a été approuvé en août 2010. Les partenaires travaillent à établir des stratégies pertinentes de collecte de données pour appuyer les mesures et les rapports du rendement du RIEM en 2012-2013 et 2016-2017. Santé Canada lancera un projet pilote d'évaluation des conclusions du RIEM lorsqu'il aura reçu les résultats de la recherche en 2011-2012. En janvier 2011, les partenaires du RIEM ont tenu un forum de discussion pour permettre aux employés de Santé Canada d'obtenir des opinions sur le développement du RIEM, de ses processus et de ses domaines. En avril 2010, Santé Canada a terminé le contrat touchant l'établissement d'un organigramme provisoire des processus du RIEM qui visait à améliorer le processus et les procédures du RIEM. En novembre 2010, les partenaires ont fait une présentation sur le RIEM au Forum scientifique de Santé Canada. Santé Canada demeure un participant actif dans les activités du RIEM dirigées par les IRSC. Les partenaires du RIEM continuent de mobiliser des partenaires à l'échelle internationale qui mettent en œuvre des initiatives connexes (p. ex., EnCepp dans l'Union européenne et Sentinelle aux États-Unis) pour mettre en commun des pratiques exemplaires et exploiter des possibilités d'échanger des données. Santé Canada continue de faciliter la communication avec les provinces et les territoires dans la mesure du possible. |
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Santé Canada | Produits de santé | Intervention rapide | Ressources actuelles | Ressources actuelles | Aptitude d'intervention améliorée grâce à de meilleurs outils pour intervenir en cas d'incident | De nouveaux outils sont en suspens en raison de retards dans l'adoption de nouvelles mesures législatives. | |
Santé Canada | Produits de consommation | Prévention active | 41,0 $ | 9,3 $ | 6,75 $ | Sensibilisation et compréhension accrues de l'industrie des produits de consommation à l'égard des obligations relatives à la sécurité des produits |
Pour renforcer la sensibilisation de l'industrie à l'égard de ses obligations en matière d'innocuité des produits, un plan de sensibilisation des intervenants a été lancé en ce qui concerne la Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation (LCSPC). Ce plan comprend des activités de sensibilisation régionales, une campagne d'avis publics et la
création d'un site Web ciblant l'industrie.
Nous avons lancé des activités de communication, par exemple :
Dans le cadre de la préparation à l'entrée en vigueur de la LCSPC, nous avons rédigé des lignes directrices provisoires à l'intention de l'industrie sur l'obligation de déclarer les incidents et de tenir les dossiers, et nous avons tenu des consultations ciblées auprès des représentants de l'industrie afin d'obtenir leur rétroaction. De plus, des documents de consultation préliminaires ont été publiés sur la proposition d'établir un règlement sur les exemptions et un autre sur les sanctions administratives pécuniaires en vertu de la LCSPC.
De plus, nous avons mis à jour cinq publications à l'intention de l'industrie qui visent à informer les intéressés des nouvelles exigences réglementaires et des lignes directrices touchant certains produits de consommation :
Des activités constantes de promotion de la conformité auprès de l'industrie ont été menées dans l'ensemble du pays au moyen de présentations faites devant des associations de surveillance des produits de consommation, d'expositions dans des foires commerciales et de réunions avec des entreprises individuelles.
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Sensibilisation accrue de l'industrie à l'égard des normes de sécurité des produits de consommation |
Nous avons également publié l'information suivante pour renforcer la sensibilisation de l'industrie :
Pour sensibiliser davantage les consommateurs aux questions de sécurité des produits, nous avons mené des activités de sensibilisation des consommateurs dans tout le Canada par le biais d'expositions présentées au cours d'événements auxquels participent un grand nombre de consommateurs et d'intervenants. Nous avons également tenu des discussions avec les représentants régionaux de la santé publique afin de faciliter le transfert des connaissances des dispensateurs de soins de santé aux consommateurs. Le nombre de plaintes et d'incidents liés aux produits de consommation a constamment augmenté, ce qui prouve que les consommateurs sont bien au courant du mécanisme des plaintes reliées aux produits de consommation de Santé Canada (exercice 2006-2007, 567 plaintes; exercice 2007-2008, 672 plaintes; exercice 2008-2009, 944 plaintes; exercice 2009-2010, 1 102 plaintes; exercice 2010-2011, 1 359 plaintes). Les inscriptions sur le site Web au sujet des Rappels liés à la sécurité des produits de consommation ont augmenté, passant à plus de 8 000 abonnés en 2010-2011. Voici l'augmentation des inscriptions, comme le montrent les données des années antérieures :
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Sensibilisation et compréhension accrues de l'industrie des produits de consommation à l'égard des normes |
Les données indiquent que l'augmentation des déclarations par les consommateurs est liée à la hausse des inscriptions sur le site Web des rappels et témoigne d'une sensibilisation accrue des consommateurs aux risques associés aux produits de consommation.
Une recherche sur l'opinion publique a été réalisée dans le cadre du plan général de recherche sur l'opinion publique de Santé Canada. Même si la majorité des répondants déclarent comprendre les obligations de l'industrie et le rôle de surveillance après la mise en marché de Santé Canada en ce qui concerne la sécurité des produits, une forte proportion d'entre eux (83 %) déclarent qu'ils sont d'avis que Santé Canada avait déjà le pouvoir d'ordonner le rappel obligatoire de produits dangereux que lui confère actuellement la nouvelle Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation. Pour renforcer plus efficacement la sensibilisation des consommateurs à l'égard des questions de sécurité des produits par le truchement des médias sociaux, Santé Canada :
Les documents suivants ont été publiés et mis à jour sur le site Web de Santé Canda :
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Sensibilisation et compréhension accrues des consommateurs à l'égard des questions relatives à la sécurité des produits de consommation |
Pour renforcer la sensibilisation des consommateurs à l'égard des questions relatives à la sécurité des pesticides, Santé Canada :
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Santé Canada | Produits de consommation | Surveillance ciblée | 15,7 $ | 3,8 $ | 5,43 $ | Amélioration de l'à-propos et de la qualité de l'information relative à la sécurité des produits de consommation |
Pour améliorer l'à-propos et la qualité de l'information relative à la sécurité des produits de consommation, nous :
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Amélioration du Règlement sur les cosmétiques en vertu de la Loi sur les aliments et drogues |
Santé Canada a continué de travailler sur :
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Échange accru d'information avec les organismes de réglementation internationaux |
Pour un échange accru d'information avec les organismes de réglementation internationaux partenaires en vue d'améliorer la sécurité des produits de consommation au Canada nous :
En ce qui concerne les dispositifs émettant des radiations, nous avons collaboré avec les organismes de réglementation internationaux partenaires suivants :
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Santé Canada | Produits de consommation | Intervention rapide | 17,9 $ | 4,6 $ | 6,20 $ | Amélioration de la compétence législative et des outils de réglementation pour les produits de consommation |
Le PASPAC se fonde essentiellement sur l'amélioration de la compétence législative et des outils de réglementation pour les produits de consommation. La Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation (LCSPC) donne au gouvernement des pouvoirs législatifs plus rigoureux et plus modernes pour l'aider à protéger les Canadiens contre les
produits de consommation qui présentent un risque déraisonnable.
Règlement sur les revêtements; Règlement sur les vêtements de nuit pour enfants; Règlement sur les ensembles de retenue et rehausseurs de sièges d'automobile; Règlement sur les jouets; Règlement sur les bougies; Règlement sur les bijoux pour enfants; Règlement sur les protecteurs faciaux pour joueurs de hockey sur glace et de crosse en enclos; Règlement sur les casques de hockey sur glace; Règlement sur l'inflammabilité des textiles; Règlement modifiant le Règlement sur les produits en amiante; Règlement modifiant le Règlement sur les produits chimiques et contenants de consommation (2001). De plus, de nouveaux règlements relevant désormais de la LCSPC ont été publiés dans la Gazette du Canada, Partie II : Règlement modifiant le Règlement sur les revêtements; Règlement sur les produits de consommation contenant du plomb (contact avec la bouche); Règlement sur les lits d'enfant, berceaux et moïses, Règlement sur les phtalates. En appui à la modernisation de la Loi sur les dispositifs émettant des radiations (LDER), nous avons effectué de la recherche stratégique et des analyses. Nous avons conclu qu'il est préférable d'opter, pour l'instant, de ne pas poursuivre les modifications législatives même si la modernisation de la loi pouvait être utile, en ce sens qu'elle permettrait d'avoir des pouvoirs uniformes dans l'ensemble de la législation de Santé Canada pour des produits similaires (p. ex., produits de consommation et matériels médicaux). Nous chercherons essentiellement à améliorer l'administration et l'application des mesures législatives existantes. Notamment, nous mettrons à profit d'autres lois et règlements qui régissent les effets qu'ont sur la santé les dispositifs émettant des radiations (p. ex., la Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation, pour les produits de consommation, et le Règlement sur les instruments médicaux en vertu de la Loi sur les aliments et drogues, pour les matériels médicaux); la mise à jour des règlements existants et l'adoption de nouveaux règlements pour mieux utiliser les pouvoirs existants en vertu de la LDER; la conclusion de partenariats avec d'autres organismes de réglementation fédéraux; une meilleure utilisation des ressources existantes pour gérer les dispositifs émettant des radiations. Nous élaborons des protocoles d'entente avec d'autres ministères gouvernementaux pour effectuer les évaluations prévues par la LDER :
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Surveillance améliorée en matière de produits de consommation et cosmétiques |
Le régime de réglementation du Programme de sécurité des produits de consommation se fonde sur la surveillance et le contrôle après la mise en marché. Pour vérifier la conformité de l'industrie, nous avons sondé les exigences selon un cycle établi à l'avance (le Plan d'évaluation cyclique). Pour le cycle de 2010, nous avons ciblé 13 catégories de produits selon des risques
bien définis et des données de référence (établies au cours des cycles antérieurs).
Tapis (20 échantillons - 15 % non conformes); landaus et poussettes (9 échantillons - 100 % non conformes); isolant cellulosique (10 échantillons - 20 % non conformes); charbon de bois - étiquettes de mise en garde (55 échantillons - 42 % non conformes); vêtements de nuit pour enfant (9 échantillons - 33 % non conformes); couvre-fenêtres à cordon (aucun échantillon provenant de l'étude préliminaire); cosmétiques (97 échantillons - 4 % non conformes); lits d'enfant et berceaux (23 échantillons - 100 % non conformes); matelas (futons) (26 échantillons - 73 % non conformes); jouets-dentition (11 échantillons - 9 % non conformes); tentes (20 échantillons - 100 % non conformes); jouets (en peluche) (27 échantillons - 41 % non conformes); jouets (hochets) (29 échantillons - 10 % non conformes). Des mesures correctives ont été prises pour 100 % des cas de non-conformité. Les mesures correctives comprennent notamment : les rappels, les communications avec l'industrie, des avis d'interruption de vente, l'éducation et des engagements publics pris par l'industrie. Des activités régionales en matière de conformité et d'application de la loi ont été menées conformément à des plans de travail, notamment la mise en œuvre des projets d'application cyclique, la promotion de la conformité, les inspections de l'industrie dans les collectivités situées en dehors des grandes villes, les inspections aux douanes et la surveillance des produits rappelés. Nota : Étant donné que nous n'inspectons pas la totalité des établissements, de telles mesures ne sont pas une indication des taux de conformité observés dans l'ensemble du marché pour une catégorie de produits donnés. En outre, nous respectons l'échéance établie concernant les inspections, l'échantillonnage et les tests prévus dans le plan d'évaluation cyclique. Le plan a été révisé pour permettre de tenir compte de la mise en œuvre de la LCSPC et d'ajouter de nouveaux règlements. De plus, une étude non prévue des solutions de lissage des cheveux a été menée en réponse à l'introduction sur le marché d'un nouveau type de produit et aux plaintes formulées par les consommateurs par la suite. Vingt-deux produits ont été jugés contenir des niveaux dangereux de formaldéhyde et ont été retirés du marché. |
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Santé Canada | Réglementation des pesticides | Prévention active | 6,9 $ | 1,64 $ | 1,37 $ | Sensibilisation accrue de l'industrie (fabricants et détaillants) à l'égard des risques et des exigences réglementaires connexes |
Nous avons mené un programme de consultation auprès de l'industrie (fabricants et formulateurs) en ce qui concerne le contrôle et l'assurance de la qualité de la fabrication des pesticides (38 consultations). Nous avons évalué le degré de sensibilisation de l'industrie à l'égard des exigences réglementaires et de la communication de l'information.
Nous avons terminé la première phase d'un programme de consultation mené auprès des associations de biens locatifs (84 consultations) afin de juger leur connaissance en ce qui concerne l'utilisation sécuritaire des pesticides et les exigences réglementaires connexes. Nous avons également évalué les mécanismes mis en place par les associations pour déclarer les incidents liés aux pesticides et le degré de communication qu'ils ont avec leurs membres. Nous avons a fait 10 présentations à l'intention des exploitants d'entreprises de lutte antiparasitaire et de leurs techniciens en Alberta et au Québec, en leur fournissant un aperçu du processus de réglementation et en leur présentant des outils en ligne (p. ex., recherche d'étiquette). Au cours des inspections, nous avons donné de l'information à 135 vendeurs et importateurs ou distributeurs afin de les sensibiliser davantage à l'égard des exigences de la réglementation. Nous avons participé à l'assemblée générale annuelle FPT ainsi qu'à l'assemblée générale annuelle de l'Association of American Pesticide Control Officials (AAPCO). Nous avons rencontré des associations de consommateurs et de vendeurs chinois, ce qui a facilité l'organisation de séminaires pour des groupes d'immigrants sur l'utilisation sécuritaire des pesticides et sur les exigences réglementaires connexes. Nous avons contribué à des discussions internes continues relativement à une approche adoptée en matière de politiques et de réglementation pour les articles traités avec des pesticides. |
Santé Canada | Réglementation sur les pesticides | Intervention rapide | 8,0 $ | 2,1 $ | 1,75 $ | Surveillance accrue des produits de lutte antiparasitaire à l'aide d'une approche axée sur la gestion du risque |
Nous avons mené un programme d'inspection des établissements de vente de produits pour piscine et spa (110 inspections). Nous avons assuré le suivi dans les cas de non-conformité, notamment par des lettres aux titulaires.
Nous avons mené un programme d'inspection ciblant les personnes soupçonnées de vendre des produits antiparasitaires non homologués d'autres pays (p. ex., craie insecticide, boules à mites) et les importateurs et distributeurs (135 inspections), ce qui a donné lieu à 135 mesures coercitives. Nous avons traduit et distribué des fiches de renseignements chinoises. Nous avons élaboré et mis à l'essai des modèles et des outils pour l'évaluation des risques en matière de conformité de l'ARLA dans le but de régler des problèmes liés à la sécurité des produits de consommation. Nous avons élaboré un document d'orientation fondé sur les risques visant à faciliter la planification et la priorisation des activités en matière de conformité. Nous avons lancé un programme d'inspection cyclique afin de surveiller et de vérifier systématiquement la conformité des groupes ou communautés réglementés, notamment ceux qui sont liés aux pesticides destinés aux consommateurs. Nous avons mis en œuvre, à l'usage des agents de conformité, une base de données de suivi des résultats relatifs à la conformité, qui permettra de produire des déclarations sur Web. Nous avons modifié le Règlement sur les sanctions administratives pécuniaires (SAP) qui a été publié dans les Parties I et II de la Gazette du Canada, lequel permettra de signifier des procès-verbaux pour une plus vaste gamme de violations qui faisaient partie de la nouvelle Loi sur les produits parasitaires adoptée en 2006, notamment les violations concernant les ventes et les déclarations d'incidents et fait des travaux considérables sur la mise en œuvre de procédures relatives aux SAP. Nous avons participé à un projet pilote visant à rationaliser l'interface entre l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) et Santé Canada relativement à des questions de conformité, grâce à l'utilisation de centres d'appels. Nous avons travaillé avec l'ASFC à renforcer la surveillance à la frontière, notamment en rédigeant une annexe en appui au protocole d'entente-cadre entre Santé Canada et l'ASFC. Dans le cadre de l'Initiative du guichet unique, nous avons participé au projet Pathfinder de l'ASFC qui permettra à l'ARLA de recevoir des données sur l'importation des pesticides recueillies par l'ASFC. Nous avons échangé des données sur la conformité des pesticides et l'application de la loi avec l'Environmental Protection Agency des États-Unis et discuté des questions et préoccupations communes relativement aux pesticides destinés aux consommateurs. Des activités de contrôle de la conformité ont été menées au Canada à la suite de cet échange d'information (p. ex., Santé Canada a alerté les consommateurs canadiens qui avaient acheté sur Internet un pesticide non homologué). Nous avons présidé le groupe d'experts de l'OCDE sur la conformité, qui a rédigé la version définitive du Document d'orientation sur les pratiques exemplaires en matière de conformité des pesticides et d'application de la loi, qui sera présenté au Groupe directeur sur la réduction des risques de l'OCDE. Le document comprend des lignes directrices sur la conduite d'activités de conformité relativement à la distribution, à l'entreposage, à l'utilisation des pesticides et à l'élimination et au recyclage des contenants de pesticides. |
Santé Canada | Aliments et nutrition | Prévention active | 29,6 $ | 6,7 M$ | 6,5 M$ | Détermination de l'outil ou de l'ensemble d'outils appropriés, y compris les mesures réglementaires et non réglementaires (normes, politiques, etc.) nécessaires pour s'attaquer aux problèmes immédiats |
Réglementation
Lignes directrices et politiques
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Compréhension accrue du public à l'égard des risques associés à la salubrité des aliments, de systèmes d'alerte et de systèmes de sécurité | Nous avons participé à l'évaluation des divers outils offerts pour établir le profil des risques et échangé de l'information avec nos homologues internationaux (USDA/USFDA), quant à l'utilisation de tels outils. | ||||||
Engagement accru de la population canadienne dans le système réglementaire Connaissance accrue de l'industrie à l'égard de l'étiquetage alimentaire |
Nous avons terminé, en ce qui concerne le règlement sur les allergènes, les consultations tenues sur les domaines clés recensés dans la Gazette du Canada, Partie I, et affiché le résumé sur le site Web de Santé Canada. Nous avons mené des consultations publiques sur le projet de politique proposé pour la modification des exigences d'étiquetage des produits sans
gluten au Canada. Nous avons mené des consultations sur l'utilisation des mises en garde relatives aux allergènes alimentaires sur les aliments préemballés. Nous avons terminé les consultations publiques sur la définition proposée pour les fibres alimentaires.
Nous avons évalué, au niveau du langage clair et du format, plus de 200 pages Web de Santé Canada destinées aux consommateurs, notamment les pages Web de la Direction générale des produits de santé et des aliments. Nous avons amélioré les données de suivi grâce au Centre de renseignements. Nous avons créé un centre de contacts à l'intention des consommateurs qui demandent des renseignements par téléphone et courriel sur les questions reliées à l'innocuité des aliments et des produits. Nous avons créé le Comité consultatif sur la réglementation des aliments (CCRA), dont les membres proviennent de secteurs divers, notamment des groupes de patients et de consommateurs, des associations de professionnels de la santé et des organismes de réglementation, du milieu de la recherche, du monde universitaire et de l'industrie. Nous avons consulté le CCRA sur plusieurs sujets. |
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Compréhension et participation accrues, de la part de l'industrie, relativement à l'élaboration et à la mise en œuvre des processus d'atténuation du risque associé à la salubrité des aliments Amélioration de la collaboration internationale dans l'étude des risques communs associés à l'importation |
Nous avons présenté le rapport sommaire du Canada issu de la 42e session du Comité du Codex sur les additifs alimentaires, lors de la réunion du Comité interministériel du Codex Alimentarius (CIM/Codex). En tant que responsable du Groupe de travail électronique, le Canada a préparé et présenté le document sur la teneur maximale en mélanine permise, à
la 4e session du Comité du Codex sur les contaminants dans les aliments (CCCA).
Nous avons maintenu la participation de l'industrie dans le cadre des stratégies proposées pour la gestion du risque afin de réduire l'exposition à la toxine naturelle ochratoxine A (OTA) dans les aliments. Nous avons rédigé et présenté le document de travail du Codex sur la gestion de la toxine naturelle deoxymivalénol (DON) dans la chaîne alimentaire, à la 5e session du Comité du Codex sur les contaminants dans les aliments. Nous avons eu recours aux groupes internationaux de liaison en matière de sécurité chimique des aliments pour échanger de l'information et déterminer les enjeux. Nous avons organisé des tribunes régulières avec les organismes de réglementation aux vues similaires sur les problèmes émergents. |
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Aliments et nutrition | Intervention rapide | 1,3 $ | 0,3 $ | 0,2 $ | Compréhension accrue du public à l'égard des risques associés à la salubrité des aliments, de systèmes d'alerte et de systèmes de sécurité | Campagne Soyez prudents avec les aliments : Voici comment - Nous avons fourni une expertise, de l'aide financière; avons élaboré de nouveaux matériels didactiques (p. ex., Roue de la salubrité des aliments, vidéo bilingue Soyez prudents avec les aliments/Be Food
Safe; brochure pour la famille sur la sécurité alimentaire). Nous avons lancé et maintenu des initiatives de marketing telles que : Santé et sécurité des enfants; Consommateurs en sécurité et bien informés; Halte-o-risques et d'autres de ce genre. Nous avons amélioré les données d'intégration et de suivi grâce au Centre de renseignements. Nous avons établi un centre de contact à l'intention des consommateurs qui présentent des demandes d'information par téléphone et courriel sur les questions de salubrité des aliments et des produits. Nous avons lancé des plate-formes de médias sociaux, notamment une nouvelle application mobile sur les rappels et les avis de sécurité et un widget interministériel pour les consommateurs. Nous avons mis au point une section sur les « maladies d'origine alimentaire » pour le site Web Canadiens en santé et révisé des pages Web ainsi que des articles sur la sécurité alimentaire affichés dans Votre santé et vous. |
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Agence canadienne de l'inspection des aliments (ACIA) | Salubrité des aliments et risques liés à la nutrition | Prévention active | 114,2 $ | 25,8 $ | 23,09 $ | Compréhension accrue des risques associés à la salubrité des aliments de la part de Santé Canada, de la l'ASPC et de l'ACIA |
Nous avons amélioré le processus de priorisation des risques liés à la salubrité des aliments de l'ACIA grâce à deux outils : le iRisk Tool (outil de risque) et le Cadre de travail sur le classement des priorités des risques multifactoriels. Le iRisk Tool est un outil de priorisation des
risques axé sur des données scientifiques, concernant les combinaisons aliments-danger (CAD); grâce à cet outil, nous avons réalisé un projet pilote avec 70 combinaisons aliment-danger (CAD). De la recherche menée en collaboration avec l'ASPC, Santé Canada, l'Université de l'Alberta et l'Université Massachusetts Amherst sur l'élaboration
d'un cadre de travail sur le classement des priorités des risques multifactoriels, outil qui tient compte d'autres facteurs tels que l'impact sur le marché, la sensibilité sociale et la perception des consommateurs.
Cinq (5) profils de risque ont été établis - présence de la bactérie Salmonella dans les tomates fraîches; présence de la toxine ochratoxine A dans les céréales et produits céréaliers; présence de la bactérie salmonella dans les épices; présence de mélamine dans les ingrédients laitiers importés; présence de la bactérie Escherichia coli 0157:H7 dans les jeunes épinards. Les rapports préliminaires, qui sont une compilation de l'information scientifique sur certaines combinaisons aliment-danger, ne sont pas tous au même stade de leur rédaction. Élaboration de nouvelles plates-formes pour tester et dépister des agents pathogènes tels que Listeria, Shigella et Campylobacter. Réalisation de sondages ciblés sur les risques microbiologiques et chimiques pour lesquels plus de 25 395 échantillons ont été recueillis, ce qui a donné lieu à 59 254 tests microbiologiques et chimiques différents. L'analyse des résultats de dix sondages ciblés sur les dangers chimiques est terminée : spéciation de l'arsenic dans le riz et les produits de la poire; présence d'aflatoxine dans les figues et les dattes séchées; présence non déclarée d'allergènes dans les aliments pour bébé; présence de bisphénol A dans des aliments et préparations pour nourrisson; présence de mélanine ainsi que de pesticides et de métaux dans des produits à base de lait ou à base de soya; présence de colorant alimentaire dans les aliments transformés; présence des toxines OTA/DON dans certaines denrées; présence de pesticides et de métaux dans les fruits séchés et les légumes frais; présence de pesticides et de métaux dans le thé séché; présence d'agents de collage dans le vin. L'analyse des résultats de cinq sondages ciblés sur les dangers microbiologiques est terminée : présence de bactéries pathogènes et d'organismes indicateurs de contamination fécale dans les légumes-feuilles sur le marché canadien (il s'agit de légumes importés ou cultivés au pays, traditionnels ou biologiques, préemballés ou frais coupés); présence de bactéries pathogènes et d'organismes indicateurs de contamination fécale dans les herbes feuilles fraîches sur le marché canadien (il s'agit d'herbes importées ou cultivées au pays); présence de bactéries pathogènes dans les cantaloups vendus sur le marché canadien (il s'agit de cantaloups entiers importés ou cultivés au pays, ou de cantaloups frais coupés importés); présence de bactéries pathogènes et d'organismes indicateurs de contamination fécale dans les tomates vendues sur le marché canadien (il s'agit de tomates importées ou cultivées au pays, de tomates traditionnelles ou biologiques); présence de la bactérie Salmonella dans les arachides et les produits dérivés des arachides vendus sur le marché canadien (il s'agit d'arachides importées ou cultivées au pays). |
Détermination de l'outil ou de l'ensemble d'outils appropriés, y compris les mesures réglementaires et non réglementaires (normes, politiques, etc.) nécessaires pour s'attaquer aux problèmes immédiats | Nous continuons d'élaborer des documents de présentation du projet de règlement pour le secteur des aliments importés en vertu de la Loi sur les produits agricoles au Canada. Nous continuons de travailler avec Santé Canada sur l'élaboration de modifications à apporter à la Loi sur les aliments et drogues. | ||||||
Compréhension et participation accrues, de la part de l'industrie, relativement à l'élaboration et à la mise en œuvre des processus d'atténuation du risque associé à la salubrité des aliments Amélioration de la collaboration internationale dans l'étude des risques communs associés à l'importation |
L'ACIA a publié le Guide de salubrité des aliments (GSA) afin d'offrir à l'industrie de l'alimentation des lignes directrices sur la conception, l'élaboration et la mise en œuvre de systèmes préventifs efficaces de contrôle de la salubrité des aliments.
En ce qui concerne le secteur des fruits et légumes frais (FLF), l'ACIA a mis en œuvre les changements apportés à ses programmes de surveillance de la salubrité des aliments en concentrant ses activités d'inspection sur le secteur à risque élevé de l'industrie, par exemple, les emballeurs et réemballeurs de légumes-feuilles frais, de fines herbes et d'oignons verts. Amélioration de l'engagement pris auprès des homologues travaillant dans la réglementation internationale afin de promouvoir l'échange de l'information sur la salubrité des aliments et de renseigner le public sur les approches adoptées en matière de gestion du risque. Signature d'un protocole d'entente visant à faciliter l'étude des approches à adopter pour accélérer l'échange de l'information et le traitement des situations d'urgence en matière de salubrité des aliments, avec l'Administration générale de la supervision de la qualité, de l'inspection et de la quarantaine de la République populaire de Chine (AQSIQ). |
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Engagement accru de la population canadienne dans le système réglementaire Connaissance accrue de l'industrie à l'égard de l'étiquetage alimentaire |
ACIA
Tenue de consultations publiques afin d'obtenir des rétroactions sur les exigences proposées afin d'améliorer la salubrité des aliments importés. Les rétroactions, reçues tant par des présentations en ligne qu'au cours de séances en personne tenues dans cinq villes du pays, se sont révélées constructives. Elles serviront à éclairer les projets de règlement. Vingt-sept enquêtes sur l'étiquetage relativement à l'allégation Produit du Canada ont été menées. Le gouvernement du Canada s'est engagé à examiner les lignes directrices relatives à l'allégation « Produit du Canada » afin de s'assurer qu'elles continuent de répondre aux besoins tant des consommateurs que des entreprises canadiennes. Nous avons terminé en septembre 2010 les consultations visant à déterminer s'il est nécessaire d'exempter le sucre, le sel et le vinaigre importés lorsque l'allégation « Produit du Canada » est attribuée à des aliments qui contiennent ces ingrédients et aussi s'il y a lieu d'enlever les énoncés descriptifs accompagnés de l'allégation « Fabriqué au Canada ». L'Agence analyse l'information recueillie et affichera les résultats sur son site Web. |
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Agence canadienne d'inspection des aliments | Salubrité des aliments et risques liés à la nutrition | Surveillance ciblée | 77,0 $ | 19,2 $ | 13,19 $ | Vérification accrue des mesures prises par l'industrie en matière de salubrité des aliments |
Mise en œuvre du Projet pilote d'inspection des établissements de fruits et légumes frais - pour les emballeurs et réemballeurs de légumes-feuilles frais, d'oignons verts et/ou de fines herbes au cours duquel neuf inspections ont été réalisées.
Le personnel chargé de l'inspection a bénéficié des programmes de formation suivants : échantillonnage microbiologique; introduction à la salubrité des fruits et légumes frais; comprendre les allergènes alimentaires; enquête sur la salubrité des aliments. Poursuite de la mise à jour des matériels didactiques existants et création de nouveaux en appui à la mise en œuvre des activités du PASPAC. Dans le secteur non enregistré au fédéral, 803 inspections au total ont été menées dans les quatre secteurs prioritaires jugés à risque très élevé (fruits et légumes frais, mycotoxines dans les céréales, ingrédients importés, présence non déclarée d'allergènes); 68 inspections relativement à la présence d'agents pathogènes microbiens dans les épices; 15 relativement à des agents pathogènes microbiens et à la patuline dans le jus de pomme et le cidre pasteurisés; 37 relativement à des agents pathogènes dans les légumes frais coupés prêts à manger; 39 relativement à des agents pathogènes dans les pousses; 90 relativement à des allergènes et à la Salmonella dans le chocolat fabriqué au pays et importé; 46 relativement à des agents pathogènes microbiens et à la patuline dans le jus de pomme et le cidre non pasteurisés; 36 relativement à l'alfatoxine et à la Salmonella dans les noix, les arachides et le beurre d'arachides importés; 472 relativement à des contrôles d'allergènes chez des importateurs d'aliments non enregistrés au fédéral. |
Amélioration de la capacité à surveiller et à contrôler l'importation d'aliments |
Identification accrue des produits importés entrant au Canada grâce à l'amélioration de la base de données du Système automatisé de référence à l'importation afin de contrôler les produits importés entrant au Canada par l'augmentation du nombre des codes du Système harmonisé disponibles pour classifier les produits commercialisés.
Fin de la phase I des améliorations apportées à la GI/TI, en améliorant les éléments essentiels qui appuieront des applications visant à améliorer l'identification des importateurs et le contrôle des produits importés. Cinquante-quatre inspections éclair aux frontières; 61 vérifications de produits importés après leur entrée et 367 activités de surveillance des produits importés ont été menées. |
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Agence canadienne d'inspection des aliments | Salubrité des aliments et risques liés à la nutrition | Intervention rapide | 32,2 $ | 7,4 $ | 5,73 $ | Capacité de procéder à des rappels rapides et efficaces |
Augmentation de la capacité du laboratoire de microbiologie concernant les rappels, par l'adoption d'une semaine de travail de 7 jours.
Augmentation de 10 % des employés qui travaillent au PASPAC; parmi ces renforts, 36 % sont de nouveaux venus à l'Agence. À la fin de 2010-2011, l'ACIA avait répondu, pour l'année, à plus de 200 incidents liés aux rappels d'aliments et mené 4 668 enquêtes liées à la salubrité des aliments. En 2010-2011, l'ACIA a géré efficacement 131 avertissements au public concernant des rappels de classe 1. Tous les avertissements ont été émis dans les 24 heures après la déclaration d'un problème. Elle a accru la sensibilisation à l'égard du processus de rappel en envoyant directement aux abonnés des avis par courriel concernant les rappels de classe 2 liés aux allergènes non déclarés. |
Compréhension accrue du public à l'égard des risques associés à la salubrité des aliments, de systèmes d'alerte et de systèmes de sécurité |
La publication en série Les 10 agents pathogènes alimentaires les plus recherchés au Canada est terminée. Cette série offre un cahier d'information qui comprenait une brochure, une fiche d'activité et des cartes de collection dans le but de mieux informer les consommateurs sur la nature des microorganismes qui peuvent causer des maladies d'origine alimentaire.
Un livret convivial destiné aux consommateurs « Allergies alimentaires courantes - Guide du consommateur - Comment gérer les risques » a été publié. Il contient de l'information essentielle sur les allergènes alimentaires les plus courants. Les anciens problèmes liés à la salubrité des aliments ont fait ressortir l'importance de recueillir régulièrement la rétroaction des Canadiens sur la salubrité des aliments, les rappels d'aliments et la confiance du grand public dans le système canadien de salubrité des aliments. Les résultats ont aidé à éclairer les politiques et initiatives de sensibilisation liées à la salubrité des aliments. Ces résultats permettent également à l'Agence de mieux comprendre la prise de conscience, les attitudes et les comportements des consommateurs en ce qui concerne la salubrité des aliments et lui permettent aussi de s'assurer que les documents de communication sont conformes aux besoins des Canadiens. Selon une recherche ciblée sur l'opinion publique menée en février 2011, la confiance des Canadiens dans le système de salubrité des aliments du Canada a augmenté de façon remarquable depuis 2007-2008. L'ACIA a également lancé la Table ronde des groupes de consommateurs qui permet de s'assurer que les consommateurs (population cible) ont leur mot à dire sur la question de la salubrité des aliments. Selon les conclusions de la dernière recherche sur l'opinion publique, les consommateurs consultent divers médias pour obtenir leurs renseignements. Parmi ceux qu'ils privilégient, il y a lieu de citer : les médias sociaux, la télévision et les journaux. En 2010-2011, l'ACIA a commencé à rendre l'information facilement accessible au public par des envois additionnels d'alertes électroniques (c.-à-d. des rappels de classe II et III) ainsi que par des comptes Twitter et Facebook. En ayant recours aux médias sociaux, l'ACIA a réduit le besoin de recherche ce genre d'information sur son site Web. Toutefois, les consultations du site Web de l'ACIA demeurent constantes, avec des sommets évidents dans les périodes d'éclosion (p. ex., la listériose). À la fin de l'exercice 2010-2011, l'ACIA comptait 47 500 abonnés au Service d'envoi de messages électroniques « Rappels d'aliments et alertes à l'allergie », et plus de 1 800 adeptes Twitter. Sept rapports d'enquête ciblée ont été affichés sur le site Web de l'ACIA. Ces rapports fournissent de l'information sur les conclusions des enquêtes ciblées de l'ACIA concernant la présence de contaminants dans la chaîne alimentaire. Quatre d'entre eux concernaient la microbiologie : (bactéries pathogènes et organismes indicateurs de contamination fécale dans le cidre et le jus de pomme non pasteurisés produits au Canada; bactéries pathogènes et organismes indicateurs de contamination fécale dans les légumes-feuilles verts; bactéries pathogènes et organismes indicateurs de contamination fécale dans les tomates et les cantaloups; virus de l'hépatite A dans les oignons verts et les fraises.) Trois d'entre eux concernaient la chimie : (présence d'aflatoxine dans les figues et les dattes séchées; présence de bisphénol-A dans les aliments et préparations pour bébé; présence de l'ochratoxine A et du deoxyivalénol dans certaines denrées). |
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Agence de la santé publique du Canada | Surveillance et évaluation de la santé de la population / Prévention et réduction des maladies et des blessures | Prévention active | 18,3 $ | 4,1 $ | 3,5 M$ |
Compréhension accrue des risques associés à la salubrité des aliments de la part de Santé Canada, de l'ASPC et de l'ACIA
Les maladies infectieuses émergentes et réémergentes d'origine alimentaire, environnementale et zoonotique sont prises en charge et contrôlées Les intervenants sont au courant de la recherche et des outils en ce qui concerne les maladies infectieuses d'origine alimentaire, environnementale et zoonotique |
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Agence de la santé publique du Canada | Promotion de la santé /Prévention et contrôle de maladies chroniques | Surveillance ciblée | 8,0 $ | 2,0 $ | 1,10 $ | Données de meilleure qualité et en plus grand nombre sur les accidents, les blessures, les maladies et les décès attribuables aux produits de consommation Participation des intervenants en matière d'évaluation des risques |
Création et amélioration de bases de données en fonction du plan d'action :
La base de données du Système canadien hospitalier d'information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT) a été améliorée à chaque étape de la surveillance, de la collecte de données à l'analyse et à la diffusion. Un nouvel élément de données a été créé dans le SCHIRPT pour assurer le suivi de la proportion des blessures liées aux produits de consommation. Selon les données les plus récentes du SCHIRPT disponibles (pour tous les groupes d'âge), 48 % des cas du SCHIRPT sont des blessures liées aux produits de consommation (comparativement à 45 % pour l'exercice précédent). Pour les groupes d'âge cibles de 0 à 4 ans, de 0 à 9 ans et de 0 à 18 ans, les pourcentages sont 55 % c. 53 %, 55 % c. 52 % et 50 % c. 48 %, respectivement. La Base canadienne de données des coroners et des médecins légistes (BCDCML) a été élaborée dans le but d'obtenir plus de détails sur les décès faisant l'objet d'une enquête afin de constituer une base de données probantes à des fins de prévention. Nous avons amélioré la précision méthodologique de la BCDCML afin d'optimiser l'identification des décès liés aux produits de consommation. Évaluation de la surveillance améliorée concernant l'utilisation et la conformité des casques dans les sports d'hiver (en collaboration avec la DGSESC). L'Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ELCV) a été étendue et améliorée en fonction du plan d'action. BCDCML : L'élaboration de la Base de données des médecins légistes est terminée et l'analyse préliminaire des données est en cours. Constitution d'un groupe de travail sur la BCDCML. Autres progrès Les phases initiales de la modernisation du système de surveillance sont en cours pour faciliter la collecte de données sur les blessures liées aux produits. Étude pilote sur l'utilisation des casques dans les sports d'hiver - la phase 1 de la collecte des données est terminée et l'analyse des données est en cours. Cette étude est effectuée en collaboration avec la DGSESC. Fin de l'étude pilote sur la surveillance des chutes réalisée en Colombie-Britannique. Tenue d'une réunion des intervenants en collaboration avec la DGSESC et SécuriJeunes Canada pour instaurer : un Dialogue sur la prévention des empoisonnements au Canada. Application des connaissances par des présentations faites dans des conférences nationales et régionales sur la prévention des blessures et la santé des enfants. Cinq nouveaux rapports, notes d'information et affiches sur les blessures liées aux produits. Données et rapports présentés aux principaux intervenants. Rapport de l'étude de faisabilité de l'Hôpital général Carbonear sur l'évaluation des risques de blessures liées aux produits de consommation. Examen concernant les blessures liées aux chutes. Évaluation des risques de blessures limitant les activités dans l'Enquête longitudinale sur la santé de la population réalisée au cours de la période 1994-2006. Évaluation des risques de l'incidence de blessures associées avec le statut d'immigrant et la durée de l'établissement en tant qu'immigrant au Canada. Évaluation des risques des facteurs de risque concernant les blessures non intentionnelles au Canada. Évaluation des risques de blessures liées aux véhicules tout-terrain (VTT). Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ELCV) Terminé : Protocole visant à étudier les blessures liées aux produits de consommation et aux chutes dans l'Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement. Terminée : Étude documentaire concernant les blessures liées aux chutes (étude narrative, recension des recensions et analyse systématique du contexte). Terminé : Module des blessures et des chutes liées aux produits de consommation élaboré et approuvé à des fins de mise en œuvre. Rencontre du Centre Sentinelle en vue de l'évaluation des risques de blessures liées à des produits de consommation, tenue dans le but d'obtenir un consensus sur l'adaptation d'un programme courant de surveillance dans les salles d'urgence de manière à inclure la collecte de données sur les blessures liées aux produits. Protocole d'entente conclu avec le Kingston General Hospital. Liaison de données entre le Registre national des traumatismes, le Système national d'information sur les soins ambulatoires et la Base de données sur les congés des patients, amorcée en vue d'une analyse évaluative des risques de blessures. Achèvement de l'initiative de pratiques exemplaires dans la prévention des blessures chez les personnes âgées dans des centres résidentiels, incluant les principes de pratiques efficaces. Achèvement de l'initiative des meilleures pratiques dans les interventions pour la prévention des blessures (neige, glace et autres sujets). |
Instituts de recherche en santé du Canada | Recherche sur les priorités stratégiques | Surveillance ciblée | 27,1 $ | 6,93 $ | 2,13 $ | Connaissance accrue de l'innocuité et de l'efficacité des médicaments après leur mise en marché afin de prendre des décisions éclairées Capacité accrue, Au Canada, à entreprendre des recherches correspondant aux priorités sur l'innocuité et l'efficacité des médicaments après leur mise en marché |
Voir aussi : RIEM, Santé Canada, Produits de santé, Surveillance ciblée
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18. Commentaires sur les écarts
Le déblocage tardif des allocations bloquées pour cause de « rapports obligatoires » n'a pas laissé suffisamment de temps pour effectuer d'importantes dépenses. En outre, nous avons tenu moins de réunions préalables aux présentations et doté moins de postes que prévu en 2010-2011.
Afin de se concentrer stratégiquement sur la création du réseau de chercheurs collaborateurs du RIEM, les IRSC et le RIEM ont canalisé leurs efforts sur l'établissement de l'important réseau pancanadien de centres de recherche qui fournit la capacité de recherche essentielle de l'initiative RIEM. Le temps et les efforts nécessaires pour atteindre les résultats souhaités ont donné à penser que, pour être prudent, le RIEM devrait gérer le financement entre les années de mise en œuvre afin de mieux orienter le budget des subventions du RIEM vers de la recherche qui harmonise le long terme avec le mandat et les objectifs du RIEM. Ainsi donc, le montant de 4,37 millions de dollars de l'exercice 2010-2011 et celui de 1,2 million de dollars prévu pour 2011-2012 ont été réaffectés dans le budget du RIEM en montants égaux sur la période allant de 2012 à 2016.
La Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation n'a pas reçu la sanction royale avant décembre 2010, soit après sa troisième présentation au Parlement. Une partie du financement du Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation (PASPAC) a été bloquée en attendant la sanction royale et, par conséquent, de nombreuses initiatives ont été retardées jusqu'au dernier trimestre de 2010-2011.
Dans la troisième année de mise en œuvre du Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation, l'ACIA a connu du retard dans l'élaboration et l'approbation de la demande d'approbation définitive du projet de GI/TI visant à appuyer les initiatives relevant à la fois de la Prévention active et de la Surveillance ciblée. L'étape de l'élaboration du programme de délivrance de permis aux importateurs a contribué davantage à la non-utilisation des fonds au titre de la Surveillance ciblée. Certains points particuliers méritent d'être peaufinés avant de pouvoir commencer la formation et l'exécution du programme. Les retards enregistrés dans les processus de dotation à l'administration centrale ont donné lieu à une sous-utilisation des fonds dans les activités inscrites au programme d'Intervention rapide. Les fonds non utilisés sont reportés.
En raison des retards liés à la dotation et au roulement du personnel, les affectations complètes des salaires et les frais de F et E connexes n'ont pas été dépensés au complet par l'ASPC.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Sans objet
20. Personne ressource
Hélène Quesnel, directrice générale
Direction des politiques législatives et réglementaires
Direction générale de la politique stratégique
Santé Canada
Téléphone : (613) 952-3484
Courriel électronique : helene.quesnel@hc-sc.gc.ca
Liens Web
Titre de l'initiative horizontale
Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme
Nom des ministères responsables
Santé Canada (SC)
Activité de programme des ministères responsables
Consommation et abus de substances
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale
Le 1 avril 2007
Date d'échéance de l'initiative horizontale
Le 31 mars 2011
Total des fonds fédéraux affectés
$363.3M
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement)
La Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme (SFLT) établit un cadre d'une démarche exhaustive, pleinement intégrée et polyvalente de lutte antitabac. Elle est dictée par l'engagement de longue date du gouvernement du Canada à atténuer les effets graves et indésirables du tabac sur la santé des Canadiens. Elle est fondée sur quatre éléments qui se renforcent mutuellement : la prévention, le renoncement, la protection et la réglementation.
Résultats partagés :
Le but de la SFLT est de réduire la prévalence globale du tabagisme de 19 % (2005) à 12 % d'ici 2011.
Objectifs
Structure de gouvernance
Santé Canada est le ministère responsable de la SFLT et est chargé de sa coordination et de sa mise en œuvre, y compris l'exécution du volet de programmes de contribution et les activités liées à nos composantes et à nos objectifs. Les partenaires fédéraux continueront à surveiller et à examiner les activités de contrebande de produits du tabac. Voici les ministères et organismes partenaires
Points saillants de la planification
Mise en œuvre de la Loi restreignant la commercialisation du tabac auprès des jeunes (2009), y compris des mesures de conformité visant à garantir que les revues et les journaux ne contiennent aucune publicité sur le tabac, et que certains produits du tabac aromatisés (p. ex. cigarillos et feuilles d'enveloppe) ne sont plus utilisés au Canada.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-2011 (en millions de dollars) | |||
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Dépenses prévues 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 |
Résultats prévus 2010-2011 |
Résultats obtenus 2010-2011 |
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Santé Canada | Consommation et abus de substances | SFLT | $287.34 M | $42.7M | $50.4M | Réduire la prévalence globale du tabagisme de 19 % (en 2007) à 12 % d'ici 2011. |
Selon les dernières données disponibles (2010), le taux global de prévalence du tabagisme s'élève à 17 %.
Des inspections fédérales démontrent que 98 % des détaillants de produits du tabac en Alberta et en Saskatchewan respectent la réglementation sur les ventes aux mineurs. (Remarque : En 2009, le taux de conformité des détaillants de 84,3 % était fondé sur l'Évaluation du comportement des détaillants par rapport à certaines restrictions de l'accès des jeunes au tabac, qui couvrait toutes les provinces. On a mis fin à cette enquête.) 99 % des produits du tabac inspectés sont conformes aux exigences d'étiquetage. 95 % des échantillons analysés sont conformes au Règlement sur le potentiel incendiaire des cigarettes. Pour ce qui est des mesures de conformité liées à la mise en œuvre de la Loi restreignant la commercialisation du tabac auprès des jeunes, quatre lettres d'avertissement ont été envoyées à des fabricants pour des paquets de petits cigares qui contenaient moins de 20 unités, soit le minimum exigé. |
CFP | Stratégies d'application de la loi | SFLT | $3.0 M | 0.61M | 0.61M |
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Voir les résultats atteints par les partenaires non fédéraux (p. ex. le Service de police d'Akwesasne) dans la section 17 ci-dessous. À Genève, Sécurité publique dirige la délégation canadienne en ce qui concerne la participation aux négociations concernant un protocole international qui vise à réduire le commerce illicite de produits du tabac, ainsi que les activités pour s'y préparer. Le Canada a participé à deux groupes de travail intersessions en 2010-2011, pour appuyer les négociations sur le protocole. La prochaine séance de négociations est prévue pour mars 2012. |
GRC | Opérations de renseignements criminels et Opérations techniques policières | SFLT | 8,6 M$ | 1,5 M$ | 2,6 M$ |
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BDPP | BDPP | SFLT | 10,0 M$ | 2,1 M$ | 2,1 M$ |
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ARC | SFLT : Direction générale des services de cotisation et des prestations | 4,44 M$ | 0,2 M$ | 0,2 M$ |
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SFLT : Direction générale des affaires législatives et réglementaires | 0,6 M$ | 0,6 M$ | |||||
Formule d'allocation des fonds | 0,09 M$ | 0,09 M$ | |||||
ASFC | 1.1 Évaluation des risques | SFLT | 28,4 | 5,7 | 4,9 M$ |
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2.2 Frontière conventionnelle
Services internes Perte de la concession de ventes hors taxe |
21,5 | 4,3 | 4,3 M$ | ||||
Total global | 363,3 M$ | 57,8 M$ | 65,8 M$ |
16. Commentaires sur les écarts
À l'ASFC, il y a eu moins de travail que prévu lié à l'initiative, ce qui a mené à moins de dépenses que prévu, d'où un écart de 0,8 M$.
L'écart de 8,0 M$ à Santé Canada est causé par deux transferts de la Direction des substances contrôlées et de la lutte au tabagisme (DGSESC) à la Direction générale des régions et des programmes (DGRP) totalisant 4,2 M$. En outre, 3,8 M$ en coûts ministériels ont été omis des dépenses prévues de 42,7 M$ dans le RPP de 2010-2011. Les dépenses réelles totales de 50,4 M$ comprennent les transferts de la Direction des substances contrôlées et de la lutte au tabagisme (DGSESC) à la Direction générale des régions et des programmes (DGRP) et les coûts ministériels.
GRC : Le soutien fourni par les Opérations techniques à la SFLT dépasse le financement et les ressources prévus dans la Stratégie en raison d'une demande accrue pour l'aide aux enquêtes et la surveillance frontalière. Cette demande accrue, et les dépenses connexes, sont survenues à des endroits ayant reçu des ressources dans le cadre de la SFLT ainsi qu'à des endroits qui n'avaient jamais auparavant dû fournir des ressources pour ces activités. L'augmentation des ressources offertes à cette initiative a mené à une réduction de la capacité de réaliser d'autres activités prévues au mandat.
17. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (s'il y a lieu)
Le Service de police Mohawk d'Akwesasne (SPMA) a réussi à mieux surveiller et contrôler la contrebande du tabac. Le SPMA a déclaré avoir participé à des activités policières conjointes qui ont mené à des accusations et à des saisies, y compris celles relatives au tabac. Toutes les saisies de tabac effectuées par le SPMA sont remises à la GRC à des fins de poursuites et sont communiquées par le truchement du détachement de la GRC de Cornwall.
Le Service de police Mohawk d'Akwesasne a renforcé ses capacités en matière de collecte de renseignements et de techniques spécialisées d'enquête criminelle en travaillant avec des partenaires canadiens et américains d'application de la loi au sein d'une équipe intégrée d'application de la loi à la frontière dans la région de Cornwall. De plus, le SPMA a eu l'occasion de diriger des activités policières conjointes liées aux activités criminelles et aux groupes criminels organisés transfrontaliers, et de participer à de telles activités.
Une évaluation a été faite par Conseils et Vérification Canada en vertu avec Sécurité publique Canada. Des rapports annuels sont fournis par la police Mohawk d'Akwesasne. Ces rapports sont spécifiquement liés au travail de l'équipe d'enquête conjointe et exposent en détail les efforts continus de l'équipe pour lutter contre les activités illégales liées au tabac dans la communauté d'Akwesasne, notamment la ventilation des saisies importantes de produits du tabac de contrebande.
20. Coordonnées
Cathy A. Sabiston, directrice générale
Direction des substances contrôlées et de la lutte au tabagisme
Direction générale, santé environnementale et sécurité des consommateurs
Santé Canada
Téléphone : 613-941-1977