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Ministère responsable : Affaires indiennes et du Nord Canada
Date de mise en œuvre : mai 2003 (annonce officielle)
Date de clôture : 2008 (fin du financement)
Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral : 1,6 milliard de dollars sur cinq ans
Description
Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC) et Santé Canada ont travaillé à l’élaboration d’une stratégie de gestion de l’eau des Premières nations à sept
volets, qui sera échelonnée sur une période de cinq ans à compter de 2003-2004. Cette stratégie prévoit l’élaboration et la mise en œuvre des aspects suivants : 1) un plan d’amélioration des réseaux d’aqueduc et d’égouts établi conformément aux règles de conception et de construction et aux normes de qualité de l’eau, la priorité étant accordée
aux installations considérées comme à haut risque; 2) un programme de surveillance de la qualité de l’eau, assorti d’un processus coordonné de déclaration et d’attestation de la conformité qui permettra de détecter le plus tôt possible les problèmes liés à l’eau potable et de réduire ainsi les risques pour la santé; 3) un programme de fonctionnement et
d’entretien qui permettra d’assurer à long terme la sécurité des résidants et la protection des biens, la priorité étant accordée aux installations considérées comme à haut risque; 4) un plan d’expansion et d’amélioration continues des programmes de formation afin de s’assurer que tous les opérateurs obtiennent leur reconnaissance professionnelle et
possèdent les compétences, les connaissances et l’expérience requises pour assumer les responsabilités associées à leurs tâches; 5) un ensemble cohérent de protocoles sur la gestion de l’eau qui définit de façon claire les rôles et les responsabilités des différents intervenants selon les normes de rendement nationales et qui propose des améliorations aux procédures
d’intervention d’urgence; 6) une campagne de sensibilisation du public visant, d’une part, à renseigner les dirigeants des Premières nations sur les rôles et les responsabilités qu’ils ont à assumer afin de fournir à leurs collectivités une eau salubre et sécuritaire et, d’autre part, à conscientiser les membres des Premières nations à l’importance
de préserver la qualité de l’eau dans leurs foyers et leurs collectivités; 7) une série exhaustive de normes, de politiques et de protocoles clairement définis, fondée sur une approche à volets multiples.
Cette stratégie exigera une collaboration plus étroite entre les principaux intervenants des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux et du secteur public. En plus de favoriser les progrès scientifiques et technologiques, une telle collaboration sera particulièrement utile dans des domaines tels que la gestion des bassins hydrographiques et la protection de l’eau à la source. Par-dessus tout, la participation des Premières nations sera requise pour mettre en œuvre la Stratégie et pour élaborer un plan d’action détaillé. La Stratégie de gestion de l’eau des Premières nations s’harmonise avec l’approche nationale et s’inspire des processus de gestion améliorée déjà en place ou en voie de l’être dans la plupart des provinces et des territoires. Des fonds supplémentaires de 600 millions de dollars, étalés sur cinq ans (de 2003-2004 à 2007–2008), y ont également été affectés. De cette somme, 115,9 millions de dollars sont remis à Santé Canada pour sa contribution aux activités de mise en œuvre et les 484,1 millions de dollars restants sont versés à AINC. Ces fonds viennent s’ajouter à ceux alloués chaque année par AINC pour appuyer la gestion de l’eau des Premières nations ainsi qu’à ceux versés à l’intention des Premières nations dans le cadre du Programme sur la qualité de l’eau potable de Santé Canada. En conjuguant les fonds affectés à la Stratégie de gestion de l’eau des Premières nations et les fonds annuels que les deux ministères consacrent aux problèmes liés à l’eau potable, on obtient un financement total de 1,6 milliard de dollars sur cinq ans.
Résultats partagés
Structure de gouvernance
Partenaire fédéral | Nom du programme | Total des fonds alloués | Dépenses prévues en 2007–2008 | Dépenses réelles en 2007–2008 | Résultats attendus en 2007–2008 | Résultats accomplis en 2007–2008 |
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Affaires indiennes et du Nord Canada | Stratégie de gestion de l’eau des Premières nations | 1,471 G$ | 305,8 M$ | 305,8 M$ | Maintenir ou accroître, par rapport à l’année précédente, le nombre d’opérateurs formés ou reconnus | Entre mars 2007 et mars 2008, le pourcentage d’opérateurs ayant obtenu au moins le premier niveau d’agrément a grimpé de 37 % (418 sur 1 117) à 59 % (719 sur 1 213). Les Premières nations ont maintenant accès aux services d’un opérateur reconnu grâce à la ligne téléphonique d’urgence 24 heures sur 24 et au Programme de formation itinérante. |
Maintenir ou réduire, par rapport à l’année précédente, le nombre d’installations présentant des risques élevés | Entre mars 2007 et mars 2008, le pourcentage d’installations communautaires présentant des risques élevés a diminué, passant de 13 % (97 sur 746) à 10 % (77 sur 766). | |||||
Santé Canada | Programme sur la qualité de l’eau potable (y compris la Stratégie de gestion de l’eau des Premières nations) | 140,9 M$ (115,9 M$ pour la Stratégie de gestion de l’eau des Premières nations et 25 M$ provenant du budget des services votés) | 31,7 M$ (26,7 M$ pour la Stratégie de gestion de l’eau des Premières nations et 5 M$ provenant du budget des services votés) | 22,8 M$ (Les dépenses réelles sont sous-estimées, étant donné que les ressources fournies par certaines régions n’étaient pas inscrites correctement.) | Améliorer la capacité des Premières nations à surveiller la qualité de l’eau potable | Les collectivités des Premières nations ont amélioré leur capacité à surveiller la qualité de l’eau potable et à détecter les problèmes éventuels grâce au programme de surveillance mis en place dans les communautés. En 2007–2008, 541 collectivités sur 6871 avaient accès aux services d’un contrôleur de la qualité de l’eau. |
Faire l’acquisition de trousses de laboratoire | En 2007-2008, 540 collectivités sur 6871 avaient accès à des trousses de laboratoire portatives leur permettant de procéder à des analyses bactériologiques. | |||||
Accroître le nombre d’opérateurs experts engagés pour surveiller la qualité de l’eau potable | En 2007–2008, le Ministère a doté 100 postes d’opérateurs experts sur un total de 109. En 2002, les analyses bactériologiques se faisaient en moyenne à 29 % de la fréquence prescrite dans les Recommandations pour la qualité de l’eau potable au Canada. En mars 2008, 87 % des réseaux d’alimentation en eau potable comptant cinq connexions ou plus étaient surveillés chaque semaine. On a prélevé et analysé 149 296 échantillons d’eau dans les collectivités des Premières nations. Dans l’ensemble : – 30 446 échantillons bactériologiques ont été analysés dans un laboratoire agréé, ce qui représente une baisse de 14 % par rapport au dernier exercice financier; – 142 558 échantillons bactériologiques ont été analysés à l’aide d’une trousse de laboratoire portative (Colilert), ce qui représente une augmentation de 23 % par rapport au dernier exercice financier; – 12 378 échantillons ont été analysés afin d’évaluer leurs paramètres chimiques; – 384 échantillons ont été analysés afin d’évaluer leurs paramètres radiologiques. |
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Implanter une base de données permettant de détecter rapidement les problèmes liés à la qualité de l’eau | Six régions sur sept ont accès à la base de données et peuvent ainsi examiner les résultats de l’analyse d’échantillons. | |||||
Faire enquête sur les maladies d’origine hydrique et sur les éclosions de telles maladies | Il n’y a eu aucun cas de maladie gastro-intestinale susceptible d’avoir causé une poussée d’origine hydrique. | |||||
Total | 1,6 G$ | 337,5 M$ | 328,6 M$ | |||
[1] Les données sur le nombre de collectivités sont tirées du rapport de 2006–2007 sur les indicateurs de rendement du Système de gestion de l’eau des Premières nations (le 14 février 2008). |
Personne-ressource
Erin Ovenden
Directrice par intérim, Infrastructure-Opérations
Direction générale du développement communautaire
Affaires indiennes et du Nord Canada
Téléphone : 819-997-0594
ovendene@inac-ainc.gc.ca
Dominique Poulin
Gestionnaire par intérim, Programme de l’eau potable
Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits
Santé Canada
613-954-6655
dominique_poulin@hc-sc.gc.ca
Ministère responsable : Affaires indiennes et du Nord Canada (Programme des affaires du Nord)
Date de lancement : le 1er avril 2007
Date de clôture : le 31 mars 2012
Description
Le gouvernement du Canada a investi 150 millions de dollars sur une période de cinq ans afin d’appuyer la participation du Canada à l’Année polaire internationale. Ces fonds sont utilisés pour mettre en œuvre un programme de recherche novateur et multidisciplinaire sur l’Arctique. Affaires indiennes et du Nord
Canada (AINC) dirige le Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale en collaboration avec cinq autres ministères et organismes : Santé Canada, Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (au nom
d’Industrie Canada) et Ressources naturelles Canada. L’Année polaire internationale fournira maintes occasions d’accueillir au pays d’éminents scientifiques de renommée internationale et d’autres visiteurs. En participant activement à l’Année polaire internationale de 2007-2009 et en y investissant des sommes appréciables, le gouvernement fédéral
veillera à s’acquitter du mandat de gestion dont il est investi dans l’Arctique canadien. Le Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale fait participer les collectivités du Nord à l’élaboration et à l’exécution d’activités diversifiées, comme la recherche, la formation et le perfectionnement des compétences.
En termes plus précis, le Programme propose les activités suivantes :
Les ministères et organismes fédéraux reçoivent des fonds en fonction de leur participation aux divers aspects du programme, que ce soit la réalisation de projets en science et en recherche, le soutien logistique, les communications, la sensibilisation du public, la formation ou le perfectionnement des compétences. Les fonds servent à appuyer les bureaux de coordination dans le Nord, qui assurent la liaison avec les chercheurs et les collectivités nordiques pour tout ce qui touche à l’Année polaire internationale. Ces bureaux s’associent aux organismes de délivrance des permis pour fournir de l’information et des conseils sur les permis ou autres documents à obtenir avant d’entreprendre une activité sous le mandat de l’Année polaire internationale.
Les bureaux de coordination dans le Nord forment un réseau régional qui travaille à divers aspects du Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale. Ils jouent un rôle important dans le programme de recherche, notamment en cernant les principaux défis qui se posent aux collectivités et aux organisations dans le Nord, en assurant la liaison entre les groupes communautaires et les chercheurs et en favorisant la participation des résidants du Nord à l’élaboration des activités de l’Année polaire internationale.
Résultats partagés
Structure de gouvernance
Le Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale travaille de concert avec le Comité national canadien et le Secrétariat canadien de l’Année polaire internationale; ces deux organismes assurent la liaison avec le Comité mixte international et les comités des autres pays participants.
Partenaires fédéraux | Nom du programme | Total des fonds alloués | Dépenses prévues en 2007–2008 | Dépenses réelles en 2007–2008 | Résultats attendus en 2007–2008 | Résultats accomplis en 2007–2008 |
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Affaires indiennes et du Nord Canada | Programme du gouvernement du Canada pour l’Année polaire internationale | 56 617 380 $ | 18 243 505 $ | 7 397 207 $ | Instaurer un programme de recherche scientifique ciblé afin d’aborder les grandes questions que soulèvent la santé et le bien-être des collectivités du Nord, les effets du changement climatique et les mesures à prendre pour s’y adapter | Au total, 44 projets scientifiques ont été mis en branle. Le Ministère a commencé à compiler les résultats préliminaires et à les communiquer à la communauté des chercheurs. Les chercheurs ont participé à un atelier dans le but d’améliorer la synergie entre les projets de recherche. Les appels d’offres lancés par le Ministère ont suscité un vif intérêt, notamment ceux portant sur la communication et la formation. D’ailleurs, la demande pour ces projets a excédé les fonds pouvant être attribués. |
Santé Canada | 158 234 $ | 46 656 $ | 46 656 $ | |||
Environnement Canada | 11 169 875 $ | 4 396 989 $ | 3 838 341 $ | Dans le cadre de deux projets sur la pollution atmosphérique, intitulés Transport atmosphérique intercontinental de polluants anthropiques vers l’Arctique et Comprendre la présence d’ozone et de mercure dans l’air au-dessus de l’Arctique, on a réussi à prélever des échantillons de
polluants organiques persistants, d’ozone et de mercure dans la région arctique. On travaille actuellement à aménager des postes d’échantillonnage en Asie. Dans le cadre du projet d’étude sur l’état de la cryosphère, le Ministère recueille des données par satellite et prend des mesures sur le terrain (traversée de la toundra en motoneige). Il a mené une campagne d’information et a aussi montré aux collectivités inuites à utiliser les cartes glaciaires, conçues à partir de données satellites. Selon les résultats préliminaires de l’étude du réseau d’eau douce en Arctique, le débit des eaux augmente dans le réseau fluvial du Mackenzie et la fonte du permafrost risque de bouleverser l’écosystème des lacs de la toundra. Le Ministère a entrepris une étude sur les projections météorologiques et environnementales dans le but de valider un modèle numérique de prévision météorologique dans l’Arctique. Les résultats qui ont été dévoilés jusqu’ici sont fort prometteurs. |
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Pêches et Océans Canada | 31 542 477 $ | 16 528 862 $ | 16 035 549 $ | Le Ministère a produit la toute première carte saisonnière des océans entourant le Canada; cette carte servira de base à un programme de surveillance à long terme de l’Arctique. La recherche sur la faune a permis de faire des découvertes fort intéressantes, que l’on a partagées avec la communauté internationale. La population du Nord a apporté un soutien actif aux travaux. |
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Ressources naturelles Canada | 3 063 000 $ | 1 024 660 $ | 866 387 $ | Le Ministère a amorcé tous les projets scientifiques auxquels il souscrit dans le cadre de l’Année polaire internationale. Il a entrepris, entre autres, la planification des projets, la négociation des partenariats, la sélection des sites, la collecte des données et les analyses préliminaires. | ||
Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada | 31 290 669 $ | 12 040 668 $ | 12 087 323 $ | Le Conseil a financé 24 projets mettant à partie 40 chercheurs universitaires. Ces projets ont permis d’enrichir les données sur l’environnement dans les régions polaires. Les résultats indiquent que le climat est un important agent de changement dans ces régions et pourrait avoir un effet domino sur la flore, la faune, l’eau et les collectivités nordiques. |
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Instituts de recherche en santé du Canada | 9 747 988 $ | 3 838 211 $ | 3 838 210 $ | Les projets proposés par les Instituts de recherche en santé du Canada sous le mandat de l’Année polaire internationale se déclinent en quatre sous-thèmes : – Réduire les disparités sur le plan de la santé et améliorer les soins de santé et le bien-être – Établir et soutenir des collectivités saines et résilientes; – Examiner les liens entre le changement climatique, la santé humaine et le bien-être; – Évaluer la vulnérabilité et les capacités de résilience et d’adaptation des écosystèmes et des collectivités. |
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Agence canadienne d’inspection des aliments | 414 500 $ | 182 300 $ | 182 400 $ | On trouve maintenant sur le marché des trousses d’analyse contenant des bandelettes réactives pour le dépistage de l’E. coli O157. De même, on a découvert un moyen de détecter dans les cultures d’enrichissement les Salmonella sur milieu modifié semi-solide de rappaport-vassiliadis. L’Agence a offert aux employés du Centre de recherche du Nunavik des séances de formation sur les méthodes de culture d’enrichissement, sur l’utilisation des tests de dépistage ainsi que sur les règles régissant le transport des matières dangereuses de sorte qu’ils puissent envoyer des spécimens à Ottawa. L’Agence a également évalué des trousses d’analyse vendues sur le marché afin de mesurer leur efficacité à détecter, dans des conditions optimales, la présence de la toxoplasmose sur des échantillons de liquide tissulaire et de sérum en se servant de porcs infectés à des fins expérimentales. Elle a aussi effectué des tests de dépistage de la trichinose sur 363 échantillons d’espèces sauvages en utilisant des méthodes de digestion. Elle procède maintenant au génotypage des isolats de Trichinella. Enfin, l’Agence a fourni de l’aide et des conseils techniques aux chercheurs dans le Nord afin qu’ils puissent aménager et équiper leurs laboratoires de façon à pouvoir exécuter, sur place, des tests de dépistage de la trichinose. |
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Agence Parcs Canada | 1 350 000 $ | 578 863 $ | 33 322 $ | L’Agence a réalisé divers travaux dans les monts Torngat, dont la cartographie préliminaire des écosystèmes de la région. Ces travaux sur le terrain se poursuivront en 2008. On a mené des consultations auprès de divers intervenants pour solliciter leur participation aux travaux. |
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Agence de la santé publique du Canada | 617 000 $ | 350 000 $ | 254 315 $ | L’Agence est sur le point de terminer la collecte d’échantillons et l’analyse de la première série de données repères; elle procède actuellement à l’embauche d’étudiants pour effectuer l’analyse finale (2007–2010). On a amélioré l’efficacité du test de génotypage du virus du papillome humain et travaillé en association avec le laboratoire DynaLife à un projet expérimental pour le transfert des spécimens et la communication des résultats. De plus, l’Agence a analysé 300 prélèvements endocervicaux et a publié un rapport des résultats. |
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Agriculture et Agroalimentaire Canada | 156 400 $ | 40 500 $ | 40 500 $ | Des travaux de carottage ont été réalisés à trois sites de recherche dans la vallée du Mackenzie. On a analysé tous les échantillons prélevés pour mesurer la teneur en carbone, le niveau de pH, le poids volumétrique et le contenu en fibre et en macrofossiles. La moitié des échantillons ont également été utilisés pour la datation au carbone-14. Les résultats ont été présentés à Edmonton, en mars 2008, lors de l’atelier sur le projet de recherche de la vallée du Mackenzie, mené dans le cadre de l’Année polaire internationale. | ||
Musée canadien des civilisations | 795 200 $ | 263 400 $ | 194 615 $ | À partir des levés effectués par hélicoptère, on a dressé un inventaire de tous les sites archéologiques qui longent la côte méridionale de l’île de Baffin, sur une distance de 200 kilomètres. Des fouilles ont également été entreprises dans la région du cap Tanfield, près de Kimmirut. Les renseignements recueillis ont
contribué à enrichir les connaissances sur les relations que les Autochtones entretenaient avec les Scandinaves et d’autres anciens peuples européens. Des fouilles archéologiques ont été effectuées près de Resolute Bay, dans deux maisons ancestrales habitées à l’époque par des Inuit. Les fouilles ont permis de retracer l’histoire des lieux et de découvrir que l’une des maisons existait au XIIIe ou au XIVe siècle. Les deux projets ont été réalisés de concert avec les collectivités locales et incluaient des séances de formation pour les élèves de Kimmirut et de Resolute Bay. |
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Fonds réservés | 3 077 277 $ | non déterminée | non déterminée | Préparer une présentation au Conseil du Trésor afin que ces fonds puissent être utilisés pour financer le soutien logistique, les travaux scientifiques et les projets sur la santé et la sécurité des collectivités | ||
Total | 150 000 000 $ | 57 534 614 $ | 44 814 825 $ |
Personne-ressource
Kathleen Fischer
Directrice exécutive
Bureau du Programme canadien de l’Année polaire internationale
Affaires indiennes et du Nord Canada
Téléphone : 819-934-6085
fischerk@ainc-inac.gc.ca
Ministères responsables : Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC), Santé Canada et la Société canadienne d’hypothèques et de logement
Date de lancement : juin 2001
Date de clôture : mars 2010
Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral
En juin 2001, le Cabinet a approuvé la Stratégie globale de guérison des Innus du Labrador et y a affecté 81 millions de dollars sur une période de trois ans. Ces fonds ont été répartis entre AINC (59 millions de dollars), Santé Canada (20 millions de dollars) et le Solliciteur général (2 millions de dollars). Au départ,
la Stratégie était censée prendre fin en mars 2004, mais elle a été prolongée d’une année. En conséquence, AINC a reçu un supplément de 15 millions de dollars pour continuer à offrir les programmes et les services de base, tandis que Santé Canada a obtenu 5,5 millions de dollars afin de poursuivre le travail amorcé.
Puis, en décembre 2004, le Cabinet a approuvé une nouvelle stratégie quinquennale mettant à partie les partenaires d’AINC et de Santé Canada. Dans son budget de 2005, le gouvernement octroyait 102,5 millions de dollars de 2005–2006 à 2009–2010 afin de donner un second souffle à la Stratégie.
Description
La Stratégie globale de guérison des Innus du Labrador a été élaborée par AINC, Santé Canada et l’ancien Solliciteur général en vue de répondre au problème d’inhalation de vapeurs d’essence auquel ont fait face les Innus du Labrador en 2000. La Stratégie avait donc pour but de régler les graves problèmes
de santé, de sécurité et de société qui sévissaient au sein des collectivités de Davis Inlet et de Sheshatshiu. Des progrès importants ont été réalisés depuis, mais la situation demeure inquiétante. Pour y remédier, AINC et Santé Canada ont demandé au Cabinet l’autorisation de poursuivre la Stratégie et
d’obtenir le financement requis. L’approche qu’ils ont proposée pour répondre aux besoins des Autochtones au Canada reflétait les priorités énoncées dans le discours du Trône d’octobre 2004.
Résultats partagés
En collaboration avec les Innus, les partenaires se sont entendus sur une approche qu’ils poursuivront pendant les cinq années du renouvellement de la Stratégie. Le gouvernement fédéral, les provinces et les Innus travailleront à favoriser la guérison de la communauté innue; à parfaire la capacité des Innus à gérer et à offrir certains programmes gouvernementaux; à conclure une
entente de principe sur le règlement des revendications territoriales; à aborder les questions de violence physique, sexuelle et psychologique; à améliorer la santé, l’éducation, le bien-être social et familial, le développement économique et communautaire, la sécurité publique et la gouvernance des Premières nations; à assurer une gestion efficace et cohérente de la
Stratégie.
Structure de gouvernance
Partenaires fédéraux | Nom du programme | Total des fonds alloués à la plus récente Stratégie | Dépenses prévues en 2007–2008 | Dépenses réelles en 2007–2008 | Résultats attendus en 2007–2008 | Résultats accomplis en 2007–2008 |
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Affaires indiennes et du Nord Canada | Plans de l’école de Sheshatshiu | 0,1 M$ | 0 | 0 | Terminer les plans de l’école Entamer les travaux de construction d’ici le printemps 2007 et former une équipe de gestion du projet |
Le contrat a été attribué, et la construction a débuté au printemps 2007. Les travaux ont repris au printemps 2008. |
Éducation | 14,8 M$ | 3,075 M$ | 6,6 M$ | Produire un plan de mise en œuvre des recommandations de la Memorial University of Newfoundland Mener des consultations auprès des collectivités Négocier avec la Province de Terre-Neuve–et–Labrador les ententes sur la prestation des services d’éducation aux collectivités innues |
AINC a préparé un plan de mise en œuvre et a terminé les consultations auprès des collectivités. Un conseil mixte de transition a été mis sur pied. On a retenu les services d’un modérateur pour aider à la transition. Les ententes sur l’éducation sont en vigueur. |
|
Aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille | 27,9 M$ | 5,6 M$ | 9,1 M$ | Négocier avec la Province de Terre-Neuve–et–Labrador une entente sur la prestation des services d’aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille Former un comité des services d’aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille pour siéger à la table de discussion principale |
L’entente est en vigueur. Le comité des services d’aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille a été mis sur pied. |
|
Aide au revenu | 6,1 M$ | 1,3 M$ | 1 M$ | Négocier avec la Province de Terre-Neuve–et–Labrador une entente sur la prestation des services d’aide au revenu | L’entente sur la prestation des services d’aide au revenu est en vigueur. | |
Électrification à Natuashish | 6 M$ | 1 M$ | 3,3 M$ | Fournir les services d’électricité à Natuashish | On a terminé les travaux d’électrification à Natuashish. Les fonds de un million de dollars alloués par le Conseil du Trésor n’ont pas suffi à couvrir le coût des travaux. |
|
Entente sur la construction d’un aéroport à Natuashish | 0,5 M$ | 0,1 M$ | 0,106 M$ | Négocier une entente de partage des coûts d’exploitation de l’aéroport de Natuashish | Les coûts d’exploitation de l’aéroport de Natuashish sont assumés en partie par la Province de Terre-Neuve–et–Labrador. Les fonds de un million de dollars alloués par le Conseil du Trésor n’ont pas suffi à couvrir le coût des travaux. | |
Édification de la capacité à exploiter et à entretenir les installations | 3,6 M$ | 0,75 M$ | 0,75 M$ | Confier à un chef du service des immeubles la gestion de l’équipement et des installations communautaires | Un chef du service des immeubles assure la gestion de l’équipement et des installations communautaires pour la Première nation des Innus Mushuau (bouteur, chariot élévateur à fourche, formation, etc.). | |
Édification de la capacité à gérer les logements | 0,6 M$ | 0,06 M$ | 0,06 M$ | Parfaire les compétences des responsables du logement à Natuashish | Les fonds ont été versés directement à la bande, et le Ministère a contribué au perfectionnement des compétences. | |
Édification de la capacité à offrir des services fonciers et fiduciaires | 1,4 M$ | 0,12 M$ | 0 | Utiliser les fonds alloués aux Services fonciers et fiduciaires pour financer la formation et le perfectionnement des compétences | Les fonds alloués à la Stratégie ont servi à d’autres priorités. Ce sont les Services fonciers et fiduciaires du Bureau régional de l’Atlantique qui ont assumé les coûts liés à la formation. | |
Création d’une réserve | 0,2 M$ | 0 | 0 | Créer une réserve | La réserve a été créée. | |
Planification du transfert des responsabilités et transition | 0,8 M$ | 0,15 M$ | 0,15 M$ | Améliorer la capacité des Innus grâce au comité tripartite d’aide au revenu, au groupe de travail sur l’éducation et au comité tripartite des services à l’enfance, à la jeunesse et à la famille | Les comités tripartites sur le transfert des responsabilités liées à l’éducation et aux services d’aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille ont tenu une série de rencontres. Le comité des services d’aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille a assisté aux séances d’information portant sur la directive 20 et sur les nouveaux cadres axés sur la prévention. Les Innus discutent actuellement de l’approche qui semble la plus appropriée à leur situation. Pour la période transitoire, le groupe de travail sur l’éducation a retenu les services d’un modérateur, qui travaillera au cours de la prochaine année à produire un plan de travail et à superviser le transfert des responsabilités. Pour progresser dans l’atteinte de ce résultat, on a déterminé que les prochaines étapes à franchir étaient de former des comités communautaires et d’examiner les diverses structures de gouvernance. On a créé un poste de coordonnateur de la table de discussion principale, qui veillera à soutenir et à superviser la participation des Innus. |
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Programme Nouveaux sentiers (pour les collectivités éloignées) | 1 M$ | 0,2 M$ | 0,2 M$ | Réaliser des projets dans le cadre du programme Nouveaux sentiers | Quelque 150 Innus ont participé à cette initiative. Ils considèrent les projets du genre comme étant essentiels à la guérison. | |
Stratégies d’apprentissage | 2,2 M$ | 0,4 M$ | 0,4 M$ | Former un conseil mixte de transition et recruter un modérateur Poursuivre la mise en œuvre des recommandations du rapport Philpott |
On a mis en place un conseil mixte de transition. Les services d’un modérateur ont été retenus pour l’exercice 2007–2008. On a continué de donner suite aux recommandations du rapport Philpott (p. ex., le programme de nutrition et la liaison entre les familles et l’école). |
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Planification et consultation | 0,5 M$ | 0,1 M$ | 0,11 M$ | Tenir quatre réunions à la table de discussion principale | Les membres de la table de discussion principale ont tenu quatre assemblées. | |
Refuges | 1,4 M$ | 0,4 M$ | 0,4 M$ | Terminer les travaux de construction, assurer le recrutement et la formation du personnel, élaborer un guide des procédures et régler les derniers détails concernant les programmes | Le refuge pour jeunes de Sheshatshiu et le centre d’hébergement à usage mixte de Natuashish fonctionnent 24 heures par jour, 7 jours par semaine. | |
Santé Canada | Toxicomanie et santé mentale | 13,73 M$ | 2,71 M$ | 2,77 M$ | Construire un pavillon de ressourcement à Natuashish et mettre en place des services de thérapie de jour | La construction du pavillon de ressourcement est terminée, et il est maintenant possible d’y suivre un programme de thérapie. |
Santé de la mère et de l’enfant | 5,3 M$ | 1,1 M$ | 0,7 M$ | Construire un centre de mieux-être à Natuashish et offrir des soins axés sur le mieux-être | Le centre de mieux-être est maintenant sur pied, et on y offre un programme de soins axés sur le mieux-être. | |
Planification en santé communautaire | 2,27 M$ | 0,45 M$ | 0,14 M$ | Obtenir un plus grand engagement communautaire, encourager la planification fondée sur l’expérience et mener des activités d’évaluation dans le but d’accroître l’efficacité du programme | On a commencé la planification des programmes de santé communautaire à Sheshatshiu, et deux évaluations ont été menées, l’une portant sur la toxicomanie, et l’autre, sur la santé de la mère et de l’enfant. | |
Gestion et soutien | 4,32 M$ | 0,84 M$ | 0,73 M$ | Améliorer la coordination des services de santé | Le sous-comité sur la santé et la guérison a élaboré un plan de travail, qui a été approuvé à la table de discussion principale. Un poste de directeur de la gestion intégrée a été créé. |
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Refuges | 1,65 M$ | 0,4 M$ | 0,4 M$ | Terminer les travaux de construction, doter les postes et régler les derniers détails concernant les programmes | Les travaux de construction sont terminés, tous les postes ont été dotés et les programmes sont au point. | |
Société canadienne d’hypothèques et de logement | Refuges | 0,95 M$ | 0,8 M$ | Terminer les travaux de construction | On a terminé les travaux de construction et on a procédé à l’aménagement des locaux. | |
Total | 95,32 M$ | 19,555 M$ | 26,916 M$ |
Explication des écarts
Les Services d’aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille accusent un déficit de 3,1 millions de dollars en 2007-2008. Il faut noter que l’équilibre budgétaire est difficile à atteindre en raison de la nature même des programmes d’aide à l’enfance, à la jeunesse et à la famille. En effet, une augmentation des coûts dans un cas précis peut bien
souvent se répercuter sur l’ensemble du budget.
Par ailleurs, le budget de l’éducation affiche un manque à gagner de 3,525 millions de dollars en raison d’une affectation de crédits insuffisante.
Les fonds alloués au projet d’électrification étaient eux aussi insuffisants, ce qui a entraîné un déficit de 2,3 millions de dollars.
Le programme d’aide au revenu affiche un excédent de 300 000 dollars en raison d’une baisse de la clientèle.
Résultats attendus des partenaires non fédéraux
Les discussions à la table principale, les interventions du comité de gestion intégrée et le soutien offert par le directeur de la gestion intégrée (un poste qui relève à la fois d’AINC et de Santé Canada) ont permis un réel travail de collaboration et de coordination entre les ministères fédéraux, les Innus et le
gouvernement provincial.
Personne-ressource
Stelios Loizides
Analyste principal en politiques
Direction des services sociaux et de la justice
Affaires indiennes et du Nord Canada
819-997-6717
Ministère responsable : Affaires indiennes et du Nord Canada
Activité de programme : Programme des affaires du Nord
Date de mise en œuvre : le 1er avril 2004
Date de clôture : le 31 mars 2009
Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral : 225 000 000 $
Description
La montée en flèche du prix du gaz naturel et la croissance de la demande sur les marchés nord-américains ont incité Pétrolière Impériale Ressources Limitée, ConocoPhillips Canada, Shell Canada Limitée, ExxonMobil Canada et l’Aboriginal Pipeline Group à exploiter les ressources du delta du Mackenzie et à les acheminer vers les marchés du sud grâce à l’aménagement
d’un gazoduc de 1 200 kilomètres et d’un oléoduc de 800 kilomètres, qui traverseront les Territoires du Nord-Ouest. Lancé en 2013, ce projet d’une valeur de 7 milliards de dollars devrait permettre, au départ, de transporter 830 millions de pieds cubes (23 millions de mètres cubes) de gaz naturel par jour en provenance du Nord canadien. Bien que ce gazoduc constitue
un avantage économique en soi, la présence de l’infrastructure de transport sera tout aussi profitable pour le Canada, puisqu’elle favorisera l’exploration et la mise en valeur de 82 billions de pieds cubes (2 billions de mètres cubes) de gaz naturel résiduel récupérable et de 5 milliards de baril de pétrole provenant des Territoires du Nord-Ouest, du nord du Yukon
et de la mer de Beaufort. Ce projet contribuerait donc à faire du Nord une vaste région productrice d’énergie susceptible d’assurer un approvisionnement énergétique important en Amérique du Nord.
Le gouvernement du Canada participe au financement de cette stratégie étant donné que l’exploration et la mise en valeur des ressources pétrolières et gazières permettront de générer des retombées économiques, d’assurer la santé et la prospérité des collectivités autochtones et du Nord et de donner accès à une région à haut potentiel énergétique encore inexplorée. Du même coup, il permet aux organismes fédéraux et régionaux de prendre en main leurs responsabilités environnementales et réglementaires, de parfaire les connaissances scientifiques du pays, de faire participer les résidants du Nord au processus de réglementation et d’évaluation environnementale et de parfaire leur capacité à tirer parti des débouchés économiques.
Résultats partagés
Structure de gouvernance
Partenaires fédéraux | Nom du programme* | Dépenses prévues en 2007–2008 | Dépenses réelles en 2007–2008 | Résultats attendus en 2007–2008 | Résultats accomplis en 2007–2008 |
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Parcs Canada | 162 000 $ | 162 000 $ | Faire un suivi du processus d’évaluation environnementale afin de s’assurer que le projet gazier Mackenzie préserve l’intégrité écologique et commémorative des parcs nationaux, des sites historiques et des rivières dans les Territoires du Nord-Ouest | Parcs Canada a participé aux audiences sur le projet gazier Mackenzie, a présenté deux soumissions, a répondu aux demandes de renseignements de la Commission d’examen conjoint et a pris part aux travaux de divers comités interministériels, comme le Comité des audiences fédérales et le comité conjoint de coordination. | |
Affaires indiennes et du Nord Canada | 25 523 400 $ (soit 20 700 000 $ du budget de 2005, une réaffectation de 2 931 500 $ et le report de 1 891 900 $ de l’exercice 2006–2007) | 22 560 400 $ | Coordonner les interventions du gouvernement fédéral afin d’éviter le chevauchement des activités entreprises par d’autres ministères et organismes fédéraux ou par les conseils du Nord Faire un suivi du processus de réglementation et d’évaluation environnementale S’acquitter des responsabilités liées à la gestion des ressources Faire participer les résidants du Nord au processus de réglementation et d’évaluation environnementale et parfaire leur capacité à tirer parti des débouchés économiques |
Le Ministère a coordonné la participation des organismes fédéraux à l’examen conjoint du projet gazier Mackenzie afin d’assurer un processus efficace, rentable et transparent. Il a fait un suivi des obligations réglementaires associées au projet gazier Mackenzie. Il a aussi coordonné le programme fédéral de recherche scientifique afin d’appuyer la mise en valeur des ressources énergétiques du Nord, notamment par la réalisation, à l’interne, d’importants travaux de recherche et d’évaluation et par la participation du secteur privé et d’autres partenaires au Programme de recherche environnementale. Le Ministère s’est acquitté de ses responsabilités liées à la gestion des ressources (mode d’occupation des terres, plan sur le partage des bénéfices et politique sur les redevances) en prévision de l’augmentation croissante de l’activité industrielle. Il a également conçu et mis en œuvre des programmes de surveillance environnementale et a participé à des processus de planification multipartite, notamment le plan de gestion intégrée des océans et le plan d’action régional sur la mer de Beaufort. La collectivité a été encouragée à participer à l’évaluation environnementale du projet gazier Mackenzie et à tirer parti des débouchés économiques. |
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Pêches et Océans Canada | 6 700 000 $ | 6 700 000 $ | Fournir des avis scientifiques dans des domaines de responsabilités courantes, comme l'état des stocks de poisson, en faisant preuve de suffisamment de souplesse pour pouvoir aborder des situations nouvelles, telles que la prolifération des espèces envahissantes, la situation des espèce en péril et l’intensification
des activités d’exploration et d'exploitation pétrolières et gazières Créer une organisation plus souple et mieux adaptée aux priorités du gouvernement du Canada ainsi qu’aux besoins du Ministère en matière de connaissances scientifiques |
Le Ministère a participé aux audiences et aux consultations tenues avec les Autochtones. Il a aussi fourni des avis scientifiques dans des domaines de responsabilités courantes, comme l’état des stocks de poisson, en faisant preuve de suffisamment de souplesse pour pouvoir aborder des situations nouvelles, comme la prolifération des espèces envahissantes, la situation des espèces en péril et l’intensification des activités d’exploration et d’exploitation pétrolières et gazières. |
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Environnement Canada | 9 238 000 $ (soit 8 838 000 $, plus une réaffectation de 400 000 $ de l’exercice 2006–2007) | 7 114 192 $ | Se consacrer aux responsabilités associées à l’évaluation environnementale conformément à ce qui est prévu dans les lois et les politiques nationales sur le changement climatique, la prévention de la pollution, la conservation de la faune, la gestion des espèces en péril, les mesures d’urgence et bien
d’autres Faire un suivi du processus d’évaluation environnementale et mettre en place les obligations réglementaires qui s’y rapportent |
Le Ministère a participé à la planification réglementaire et aux consultations de la Couronne. Il s’est également consacré à assumer les responsabilités associées à l’évaluation environnementale conformément à ce qui est prévu dans les politiques nationales sur le changement climatique, la prévention de la pollution, la conservation de la faune, la gestion des espèces en péril et les mesures d’urgence. |
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Office national de l’énergie | 1 700 000 $ | 250 000 $ | Satisfaire aux exigences du mandat réglementaire en procédant à l’évaluation du gazoduc Travailler avec différents organismes de réglementation pour s’assurer que les questions liées à la réglementation et à l’évaluation environnementale sont abordées de façon cohérente et opportune |
À la demande d’Affaires indiennes et du Nord Canada, l’Office national de l’énergie a versé 250 000 $ pour amortir le coût d’importants travaux menés par le Secrétariat du projet de gaz du Nord. L’Office a continué à travailler avec différents organismes de réglementation pour s’assurer que les questions de nature réglementaire sont abordées de façon cohérente et opportune. |
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Ressources naturelles Canada | 5 246 000 $ (soit 4 900 000 $, plus une réaffectation de 346 000 $ de l’exercice 2006–2007) | 4 835 300 $ | Valider les évaluations de l’industrie (expertise scientifique) pour s’assurer que des mesures d’atténuation appropriées ont été mises en place afin de réduire au minimum les répercussions sur l’environnement, de protéger l’intérêt public et de mesurer les effets cumulatifs des différents projets sur le Nord et l’ensemble de ses résidants | Le Ministère s’est assuré qu’une équipe fédérale spécialisée en géoscience (formée de 8 à 10 scientifiques du secteur des sciences de la terre) examinait continuellement les résultats des évaluations environnementales du projet gazier Mackenzie en portant une attention toute particulière à l’environnement
physique, comme l’évaluation des risques de séismes, les conditions techniques du sol et du pergélisol, la stabilité des pentes, les processus côtiers, l’affaissement des terres ainsi que la gestion et la surveillance de l’environnement. Les scientifiques de Ressources naturelles Canada ont présenté à la Commission d’examen conjoint et aux autres intervenants des témoignages et des études techniques concernant 16 sujets examinés dans le cadre du processus d’évaluation environnementale : les risques de séismes; l’affaissement causé par l’extraction du gaz à Taglu et à Niglintgak; les ondes de tempête dans le delta du Mackenzie par rapport à l’élévation; l’aménagement d’un puisard à distance pour le stockage des résidus de forage à Niglintgak; le mouvement des glaces et le traitement du gaz naturel sur barge; les levés bathymétriques sur le parcours des barges et dans les zones de dragage; la présence de pergélisol et la conception des plateformes d’exploitation; la glace de fond et le réseau collecteur; les conditions générales du terrain et du pergélisol; le mouvement et la stabilité des pentes; le changement climatique et les conditions météorologiques extrêmes; les effets du changement climatique sur les conditions de base; le changement climatique et l’élévation du niveau de la mer; les interactions entre le sol et les conduites; la proximité du gazoduc de la société Enbridge et celui du projet gazier Mackenzie et les zones de croisement; la surveillance. Le Ministère a fourni une aide financière et juridique au Groupe de consultation de la Couronne. |
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Transports Canada | 4 000 000 $ | 3 056 000 $ | Assurer la surveillance réglementaire du système de transport | Le Ministère a instauré des mesures plus strictes pour s’assurer que les transporteurs régis par le gouvernement fédéral respectaient les règlements de sécurité dans la région du projet (un plus grand nombre d’inspections, de vérifications, d’activités de sensibilisation et de documents pour le transport
aérien, ferroviaire et maritime et pour la manutention des matières dangereuses). Il a présenté à la Commission d’examen conjoint des recommandations et des renseignements précis en matière de transport. Lors des consultations menées par le gouvernement du Canada, il a fourni aux groupes autochtones établis dans la région des renseignements précis sur différents sujets associés aux transports. |
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Total | 52 039 400 $ | 44 677 892 $ |
*Voici la liste des programmes et des processus communs aux huit ministères engagés dans le projet gazier Mackenzie :
Explication des écarts
Étant donné que la Commission d’examen conjoint a mis plus de temps que prévu à entreprendre l’évaluation environnementale, le projet gazier Mackenzie a pris du retard par rapport au calendrier établi. Par conséquent, les dépenses engagées par les ministères fédéraux sont inférieures à celles qui étaient prévues au début de l’exercice financier. Les fonds pour
l’exploitation des ressources énergétiques du Nord qui n’ont pas été dépensés au cours de l’année ont été réaffectés ou reportés à l’exercice 2008-2009, sont devenus périmés à la fin de l’exercice 2007-2008 ou ont servi à d’autres priorités ministérielles, comme l’autorise le Système de gestion des dépenses du gouvernement du Canada.
Personne-ressource
Sheila Riordon
Directrice générale par intérim
Direction générale du pétrole et du gaz du Nord
Affaires indiennes et du Nord Canada
819-953-9393
Ministère responsable : Affaires indiennes et du Nord Canada (Bureau de l’interlocuteur fédéral auprès des Métis et des Indiens non inscrits)
Activité de programme : Relations de coopération
Date de lancement : 2007
Date de clôture : 2012
Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral : 68,5 millions de dollars
Description
Élaborée en 1997, la Stratégie pour les Autochtones vivant en milieu urbain a pour objectif de répondre aux besoins des Autochtones vivant dans les grands centres urbains. Dans cette optique, le gouvernement du Canada s’efforce d’établir des partenariats avec les autres ordres de gouvernement, les organisations communautaires et les Autochtones afin d’appuyer les
projets qui reflètent les priorités locales.
En 2003 et 2004, la Stratégie s’est vu attribuer 50 millions de dollars, étalés sur quatre ans. Ces fonds avaient pour but de resserrer les partenariats et de contribuer davantage aux projets pilotes entrepris dans différentes villes du pays de façon à pouvoir déterminer ce qui fonctionne bien et ce qui doit être amélioré.
En 2007, le gouvernement du Canada a pris un engagement à long terme, investissant 68,5 millions de dollars sur une période de cinq ans afin de combler les besoins des Autochtones vivant dans les principaux centres urbains. La Stratégie a été implantée dans 13 villes réunissant plus de 25 % de la population autochtone du Canada : Vancouver, Prince George, Lethbridge, Calgary, Edmonton, Prince Albert, Regina, Saskatoon, Winnipeg, Thompson, Ottawa, Toronto et Thunder Bay.
Résultats partagés
Le Bureau de l’interlocuteur fédéral s’est fixé les objectifs suivants :
La Stratégie contribuera à l’atteinte de ces objectifs au moyen d’investissements stratégiques dans trois domaines prioritaires : améliorer les habiletés fondamentales; encourager la formation professionnelle, l’acquisition de nouvelles compétences et l’entrepreneuriat; venir en aide aux femmes, aux enfants et aux familles autochtones.
Structure de gouvernance
Dans les 13 collectivités visées par la Stratégie, on a établi un comité directeur qui joue un rôle de catalyseur dans la planification, la coordination, la prise de décisions financières et la réalisation d’activités communautaires, le tout dans le but de résoudre les problèmes qui se posent aux Autochtones en milieu urbain. Chaque comité directeur est formé de représentants
autochtones œuvrant dans différents secteurs d’activité de façon à s’assurer que les décisions sont prises en fonction des préoccupations et des priorités locales. Le gouvernement fédéral, les autres ordres de gouvernement et le secteur privé y sont également représentés. Cette ouverture à la diversité prouve que la Stratégie repose effectivement sur le principe de
la collaboration et qu’elle souscrit à la volonté d’établir des partenariats solides et actifs entre le gouvernement et la collectivité.
Dans certaines villes pilotes, les fonds versés par le gouvernement fédéral sont administrés par une entité communautaire (une organisation incorporée qui est autorisée, par délégation, à financer les projets au nom des différents partenaires). Cependant, que les fonds soient gérés par une entité communautaire, par des représentants fédéraux (selon le modèle de la responsabilité partagée) ou par une combinaison des deux, ils servent à promouvoir la coopération entre les principaux partenaires et intervenants (y compris les autres ministères fédéraux), et ce, dans l’intérêt de la collectivité.
Partenaires fédéraux | Nom du programme | Total des fonds alloués | Dépenses prévues en 2007–2008 | Dépenses réelles en 2007–2008 | Résultats attendus en 2007–2008 | Résultats accomplis en 2007–2008 |
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Bureau de l’interlocuteur fédéral auprès des Métis et des Indiens non inscrits | Stratégie pour les Autochtones vivant en milieu urbain | 68 500 000 $ | 8 233 781 $ | Les dépenses réelles seront connues à l’automne 2008. | Investir de façon stratégique dans trois domaines prioritaires : améliorer les habiletés fondamentales; encourager la formation professionnelle, l’acquisition de nouvelles compétences et l’entrepreneuriat; venir en aide aux femmes, aux enfants et aux familles autochtones | Au cours de l’exercice financier 2007-2008, le Ministère a conclu neuf ententes de partenariat avec cinq ministères et organismes fédéraux, qui ont alloué au total 664 754 $ à la Stratégie. |
Ressources humaines et Développement social Canada | Stratégie des partenariats de lutte contre l’itinérance | 104 700 $ | 57 00 $ | 57 700 $ | Centres d’hébergement : Fournir 12 logements meublés où les jeunes pris en charge seront hébergés avant d’être envoyés dans une maison de transition Réduction du risque : Fournir à 12 ou 15 jeunes un endroit sécuritaire où ils seront davantage à l’abri du risque, où ils acquerront les savoir-faire essentiels et où ils seront préparés à la vie autonome |
Le rapport des résultats est attendu en juillet 2008. |
171 634 $ | 114 259 $ | 114 259 $ | Permettre à 660 personnes d’acquérir les savoir-faire essentiels et d’améliorer leur état de santé grâce au Community Linkages Soup Bus Program | Le rapport des résultats est attendu en juillet 2008. | ||
1 344 000 $ | 200 000 $ | 200 000 $ | Mesures de transition : Créer 58 nouvelles places en soins de jour | Le rapport des résultats est attendu en juillet 2008. | ||
184 123 $ | 12 919 $ | 12 919 $ | Offrir de l’encadrement aux femmes qui ont choisi de quitter le Centre et de vivre sans la sécurité et le soutien qu’il leur offrait. Les mentors sont d’anciennes bénéficiaires qui ont amorcé un processus de guérison. Le programme prévoit une formation approfondie et un soutien constant. | Le rapport des résultats est attendu en juillet 2008. | ||
Service Canada | Connexion compétences | 200 000 $ | 50 376 $ | 50 376 $ | Appuyer la participation de 300 Autochtones à un programme préparatoire à l’emploi, conçu expressément pour les adultes autochtones n’ayant jamais été sur le marché du travail | Le rapport des résultats est attendu en juillet 2008. |
Patrimoine canadien | Initiative des centres urbains polyvalents pour les jeunes Autochtones | 302 113 $ | 55 000 $ | 55 000 $ | Entreprendre un vaste programme horizontal ayant pour but de mettre en valeur le potentiel des jeunes autochtones vivant à Calgary. Dans le cadre de ce programme, on offrira 560 possibilités d’acquérir de nouvelles compétences, on permettra à 2 500 personnes d’assister à des ateliers de sensibilisation culturelle, on effectuera de la prévention auprès de 360 élèves autochtones pour lutter contre le décrochage scolaire, on fera participer 1 300 Autochtones à un programme de promotion de la santé et on initiera 5 Autochtones à des mesures de réduction du risque. | Dans le cadre du programme, 808 jeunes ont eu l’occasion d’acquérir de nouvelles compétences, 4 445 personnes ont participé à des ateliers de sensibilisation culturelle, 1 162 élèves ont assisté à 99 ateliers sur la prévention du décrochage scolaire, 2 900 jeunes ont participé au programme de promotion de la santé et 32 ateliers ont été organisés dans le but de réduire le risque de mauvaise conduite chez les Autochtones. |
271 975 $ | 120 000 $ | 120 000 $ | Faire participer les jeunes délinquants au programme En quête du guerrier en vous d’ici le 31 mars 2008. Ce programme vise à favoriser l’épanouissement personnel, à encourager l’acquisition des savoir-faire essentiels, à développer des aptitudes à l’emploi, à cultiver l’estime de soi et à assurer une réinsertion réussie dans la collectivité. À compter du 31 mars 2008, le financement de ce type de programme relèvera d’une entente quinquennale conclue avec Service correctionnel Canada. | Le rapport des résultats est attendu en juillet 2008. | ||
Condition féminine Canada | Fonds communautaire pour les femmes | 265 750 $ | 48 500 $ | 48 500 $ | Par l’intermédiaire du Projet d’accès aux services mobiles, fournir un meilleur accès à des services de prévention de la violence, à des renseignements sur la santé et à des services de traitement de la toxicomanie dans le but de réduire le nombre de décès susceptibles d’être évités. Le Projet d’accès aux services mobiles offre des possibilités d’emploi aux femmes qui ont quitté le milieu de la prostitution et qui désirent acquérir de nouvelles compétences pour se trouver un autre emploi. | Grâce au Projet d’accès aux services mobiles, on a offert chaque mois à 1 114 travailleuses du sexe un endroit sûr à Vancouver où elles ont trouvé refuge. |
Office national du film | Contribution en nature | 71 300 $ | 6 000 $ | 6 000 $ | Permettre à 12 ou 14 jeunes autochtones de suivre une formation dans le domaine cinématographique dans le cadre du festival du film Dreamspeaker | Le rapport des résultats est attendu en juillet 2008. |
Total | 2 915 585 $ | 664 754 $ | 664 754 $ |
Résultats attendus des partenaires non fédéraux
La Stratégie favorise une meilleure coordination des programmes fédéraux, garantissant ainsi un investissement optimal et une harmonisation plus étroite avec les programmes provinciaux et municipaux.
La Stratégie s’est révélée un moyen efficace pour obtenir de nouvelles contributions financières et non financières, qui ont permis cette année de réaliser plus de 168 projets. Outre l’apport financier des différents ministères, les partenaires non gouvernementaux ont alloué près de 5 039 368 dollars à l’appui de la Stratégie. Dans certaines collectivités, des partenariats ont été établis entre les ministères fédéraux et provinciaux, les administrations municipales, les organisations autochtones, les organismes à but non lucratif et les associations patronales dans le but d’appuyer les projets entrepris dans les 13 villes pilotes. Bien que le tableau ci-dessus présente surtout les projets soutenus financièrement par le gouvernement fédéral, divers ministères fédéraux ont également fourni une contribution non financière pour la réalisation d’autres activités.
Personne-ressource
Allan MacDonald
Directeur général
Bureau de l’interlocuteur fédéral auprès des Métis et des Indiens non inscrits
Téléphone : 613-992-8186
L’Agence de la santé publique du Canada participe aux initiatives horizontales suivantes :
Initiative horizontale du RMR | |||||||
Nom de l’initiative horizontale : Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada | |||||||
Nom du ministère responsable : Agence de la santé publique du Canada | Activité de programme du ministère responsable : Prévention et contrôle des maladies | ||||||
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : 13 janvier 2005 | Date de clôture de l’initiative horizontale : Continu | ||||||
Total des fonds fédéraux affectés : 2005-2006 – 55,2 millions de dollars; 2006-2007 – 63,2 millions de dollars; 2007-2008 – 71,2 millions de dollars; 2008-2009 – 84,4 millions de dollars (en permanence) | |||||||
Description de l’initiative horizontale : L’Agence est chargée de la coordination générale de l’Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada (« Initiative fédérale »). Cette dernière représente la contribution du gouvernement fédéral à un plan d’action national de lutte contre le VIH/sida au Canada qui repose sur une démarche multisectorielle élargie, axée sur les intervenants. Pour contrer l’épidémie de VIH/sida, l’Initiative fédérale cible les populations les plus vulnérables, soit les personnes vivant avec le VIH/sida, les hommes homosexuels, les Autochtones, les utilisateurs de drogues injectables, les détenus, les jeunes à risque, les femmes de même que les ressortissants de pays où le VIH est endémique. L’élaboration des programmes relève d’une stratégie intégrée qui englobe les questions liées aux déterminants de la santé ainsi qu’à la santé sexuelle des personnes infectées par le VIH ou atteintes du sida, de l’hépatite C, d’infections transmises sexuellement (ITS) et/ou de tuberculose. L’Initiative fédérale cible les enjeux prioritaires auxquels sont confrontées les personnes vivant avec le VIH/sida ou les personnes à risque. À cette fin, elle octroie des subventions et contributions à des partenaires externes chargés de la prestation des services, auxquelles s’ajoutent des investissements consacrés aux activités de fonctionnement et d’entretien exercées par le gouvernement fédéral.
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Résultats partagés : Résultats immédiats (à court terme, un à trois ans) :
Résultats intermédiaires :
Résultats à long terme : L’Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada contribue à :
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Structures de gouvernance : L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) est le maître d’œuvre du gouvernement fédéral dans les dossiers liés au VIH/sida au Canada. Outre la coordination générale, elle est responsable des communications, des programmes nationaux et régionaux, de l’élaboration de politiques, de la surveillance et des sciences de laboratoire. Sous la direction de l’Agence, le Comité des centres de responsabilité favorise la cohérence des politiques et des programmes des ministères et organismes participants tout en veillant au respect des engagements en matière d’évaluation et de rapports. Santé Canada (SC) appuie l’éducation communautaire sur le VIH/sida, le renforcement des capacités et la prévention dans les collectivités inuites et les collectivités des Premières nations vivant dans les réserves. Le ministère exerce un leadership à l’égard des politiques et programmes de santé à l’échelle internationale et fournit une aide et des conseils en matière d’évaluation. À titre d’organisme du gouvernement du Canada responsable de la recherche en santé, les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) définissent les priorités du programme de recherches menées à l’externe et en assurent la gestion. Le Service correctionnel du Canada (SCC), organisme de Sécurité publique Canada, offre des services de santé, notamment des services de prévention, de diagnostic, de soins et de traitement à l’égard du VIH/sida, aux détenus qui purgent une peine d’emprisonnement de deux ans ou plus. La Direction des affaires internationales de SC coordonne les activités internationales auxquelles participe le Canada et offre des services de secrétariat au Groupe consultatif sur les questions mondiales sur le VIH/sida. Ce dernier constitue une tribune pour l’établissement d’un dialogue entre le gouvernement et la société civile en ce qui concerne les interventions du Canada visant à contrer la pandémie mondiale. Il offre des conseils, des recommandations et des suggestions en ce qui concerne la collaboration et la cohérence des politiques en vue d’accroître l’efficacité des mesures prises. Le Forum interministériel sur les questions mondiales sur le VIH/sida garantit la coordination et la cohérence générales de l’approche du gouvernement fédéral à l’égard de la pandémie mondiale. Parmi les ministères et organismes participants figurent l’ASPC, SC, l’Agence canadienne de développement international, Affaires étrangères et Commerce international Canada ainsi que les IRSC. D’autres ministères sont invités à assister aux réunions au besoin. Le Conseil ministériel sur le VIH/sida fournit des conseils indépendants au ministre de la Santé à propos de certains aspects de l’infection à VIH/sida qui sont d’intérêt pancanadien. Le Comité consultatif fédéral-provincial-territorial sur le sida sert de forum pour promouvoir une intervention gouvernementale coordonnée de lutte contre l’épidémie d’infection à VIH/sida. Le Conseil national autochtone sur le VIH/sida fournit des conseils à l’ASPC et à SC dans les dossiers liés au VIH/sida et aux populations autochtones. Le Groupe de travail fédéral-provincial-territorial des responsables des services correctionnels sur la santé est un sous-comité des responsables fédéraux, provinciaux et territoriaux (FPT) des services correctionnels. Le groupe de travail favorise l’élaboration de politiques et de programmes éclairés et adaptés aux questions complexes entourant la santé des détenus et offre des conseils aux responsables FPT des services correctionnels sur les tendances et les pratiques exemplaires en ce qui a trait à la santé dans les établissements correctionnels. D’autres ministères fédéraux ont pour mandat de s’attaquer à des déterminants sociaux plus vastes qui ont une incidence sur les personnes vivant avec le VIH/sida et sur la vulnérabilité à l’infection, d’une part, et de lutter contre l’épidémie mondiale, d’autre part. Le Comité des sous-ministres adjoints sur le VIH/sida du gouvernement du Canada établit des liens adéquats et facilite l’élaboration d’une approche plus vaste à l’égard du VIH/sida pour le gouvernement du Canada. |
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Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles pour 2007-2008 | Résultats prévus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. Agence de la santé publique du Canada |
Prévention et contrôle des maladies infectieuses |
VIH/sida |
En cours |
30,6 millions de dollars |
24,2 millions de dollars |
Sensibilisation accrue à l’épidémie d’infection à VIH/sida au Canada et aux facteurs qui contribuent à sa progression : Meilleure assurance de la qualité des tests de dépistage du VIH : Renforcement des mesures pancanadiennes de lutte contre le VIH/sida : Renforcement et amélioration de la collaboration et du réseautage : Meilleur accès à des services de qualité (prévention, diagnostic, soins, traitement et soutien) : Renforcement des capacités (connaissances et compétences) individuelles et organisationnelles : |
Les résultats devraient être atteints à long terme. Par conséquent, le bilan suivant ne porte que sur des résultats provisoires. La discrimination et les stigmates empêchent certaines personnes d’avoir accès au dépistage, aux soins, au traitement et au soutien relatifs au VIH. L’élaboration de la campagne visant à modifier les stigmates et les comportements discriminatoires chez les hommes de 18 à 25 ans est presque terminée. Cette démarche s’appuie sur des données probantes qui laissent croire qu’une campagne judicieusement ciblée saurait inciter ces jeunes hommes à modifier leurs attitudes et leurs comportements. Les titres suivants, publiés en 2007, ont servi à la diffusion de nouveaux renseignements tirés des activités de surveillance : Le VIH et le sida au Canada: Rapport de surveillance (publié en juin et en décembre); Répertoire des études portant sur l’incidence et la prévalence du VIH au Canada; et Actualités en épidémiologie sur le VIH/sida. La mise au point d’un système national de surveillance sentinelle des comportements est bien amorcée. Ce système s’intéresse au VIH et aux comportements à risque connexes parmi certaines populations. À cette fin, il procède à des enquêtes transversales cycliques en différents endroits un peu partout au Canada. Déjà en fonction, et avec le soutien de groupes consultatifs, les programmes M‑TRACK (ciblant les hommes qui ont des rapports sexuels avec d’autres hommes) et I-TRACK (ciblant les utilisateurs de drogues injectables) réalisent des études dans les zones à risque de villes clés. Ciblant respectivement les Autochtones, les ressortissants de pays où le VIH/sida est endémique et les personnes vivant avec le VIH/sida, les programmes A‑TRACK, E‑TRACK et P-TRACK sont à l’étape des travaux exploratoires. La faisabilité et la portée de ces projets font l’objet de discussions avec des groupes d’experts propres à chaque population. En 2007-2008, les laboratoires de l’Agence qui s’intéressent au VIH ont réalisé les activités suivantes :
L’élaboration d’un cadre propre aux populations s’est poursuivie. Cet outil orientera la mise au point des programmes et guidera l’ensemble des rapports visant des populations précises. La publication de tels rapports devrait débuter en 2008. La mise en œuvre du plan de vaccination est en cours — une activité qui relève maintenant de l’Initiative canadienne de vaccin contre le VIH, lancée en 2007. En 2007-2008, des consultations ont été menées à propos de la mise sur pied d’une unité de fabrication à l’échelle préindustrielle, d’un programme de recherche sociale et de recherche devant mener à des découvertes, d’un programme de création de réseaux et de renforcement des capacités en matière d’essais cliniques ainsi que d’un programme d’élaboration de politiques et de mobilisation des collectivités. L’examen des comités associés à l’Initiative fédérale a été reporté à 2009. Des progrès ont été faits en ce qui touche l’enrichissement et la mise en œuvre du cadre de gestion du rendement. Une évaluation de la mise en œuvre de l’Initiative fédérale sera terminée d’ici décembre 2008. Par ailleurs, une évaluation des processus est en cours, laquelle vise à mettre à l’essai les indicateurs de rendement. Un projet pilote horizontal, réalisé avec le concours du Secrétariat des partenariats de lutte contre l’itinérance, déterminera s’il est possible de recourir à une méthode de gestion de cas appropriée à la culture afin d’améliorer, sur le plan du logement et de la santé, les résultats obtenus par les Autochtones itinérants ou menacés par l’itinérance qui vivent avec le VIH/sida. Des fiches de renseignements et un forum de discussion Web ont été mis à la disposition des jeunes de la rue afin qu’ils puissent se renseigner sur les ITS, sur le VIH et sur les risques de contracter ou de transmettre ces infections. En 2007-2008, avec le soutien des provinces et des territoires, on a jeté les bases d’une mise à jour des politiques et des lignes directrices nationales concernant le dépistage du VIH et des ITS. Ce travail s’est appuyé sur la publication de Test de dépistage du VIH et la consultation : Politiques en transition ?, un ouvrage qui propose une synthèse d’études réalisées au Canada et ailleurs dans le monde. En ce qui touche le dépistage du VIH, de nouvelles lignes directrices nationales ont été publiées. Dépistage du VIH dans les points de service à l’aide de trousses de dépistage rapide : Guide à l’intention des professionnels de la santé est un ouvrage que les provinces et territoires peuvent adapter et mettre en pratique dans leur territoire de compétence. On a procédé à la mise à jour et à la diffusion pancanadienne des Lignes directrices canadiennes sur les infections transmissibles sexuellement. Des séances de formation ont été offertes aux éducateurs et aux professionnels de la santé afin de les aider à appliquer ces lignes directrices. Des ressources nationales de lutte contre l’homophobie ont été mises au point afin d’atténuer les répercussions de ce phénomène dans les milieux de santé et de soins médicaux. Il existe des preuves convaincantes de l’effet dissuasif qu’exerce l’homophobie sur les personnes qui cherchent à avoir accès au dépistage, aux soins, au traitement et au soutien relatifs au VIH et aux ITS. Explication des écarts (6,4 millions de dollars) : L’écart est le fruit d’une réaffectation de crédits de 2,3 millions de dollars au profit de l’Initiative canadienne de vaccin contre le VIH ainsi que de compressions imposées par le Comité d’examen des dépenses. |
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Programme régional pour le VIH/sida |
En cours |
13,5 millions de dollars |
12,4 millions de dollars |
Renforcement et amélioration de la collaboration et du réseautage : Sensibilisation accrue au VIH/sida : Renforcement des capacités (connaissances et compétences) individuelles et organisationnelles : Attitudes et comportements améliorés envers les personnes vivant avec le VIH/sida : Meilleur accès à des services de qualité (prévention, diagnostic, soins, traitement et soutien) liés au VIH/sida : |
Les bureaux régionaux de l’Agence sont chargés d’administrer le Programme d’action communautaire sur le sida (PACS). En 2007-2008, le PACS a octroyé 10,4 millions de dollars à l’appui de 52 projets assortis de délais et de 74 projets communautaires en activité dans tout le Canada. Ces 126 projets ont pour but d’établir des milieux favorables pour les personnes vivant avec le VIH/sida, de soutenir la prévention du VIH/sida parmi les populations clés (hommes homosexuels, utilisateurs de drogues injectables, Autochtones, détenus, jeunes à risque, femmes et ressortissants de pays où le VIH est endémique), de favoriser la promotion de la santé auprès des personnes vivant avec le VIH/sida ainsi que de renforcer les organismes communautaires qui interviennent auprès des populations clés. Sept des projets du PACS tirent parti du financement octroyé pour la lutte contre l’hépatite C et ciblent les utilisateurs de drogues injectables, dans le but de prévenir la propagation des agents pathogènes à diffusion hématogène. Explication des écarts (1,1 million de dollars) : |
2. Santé Canada (SC) |
Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits (DGSPNI) |
Santé des membres des Premières Nations dans les réserves et des Inuits dans les collectivités |
En cours |
3,3 millions de dollars |
3,1 millions de dollars |
Sensibilisation accrue à l’épidémie d’infection à VIH/sida au Canada et aux facteurs qui contribuent à sa progression : Renforcement des capacités (connaissances et compétences) individuelles et organisationnelles : |
La DGSPNI a octroyé 3,1 millions de dollars à des organisations communautaires des Premières nations et des peuples inuits, réparties dans sept régions, afin d’élaborer et d’exécuter des programmes ciblés de prévention, d’éducation et de sensibilisation au profit des professionnels de la santé ainsi que des chefs et membres des collectivités, d’une part, et afin de renforcer les capacités (connaissances et compétences) individuelles et organisationnelles, d’autre part. Dans la Région de l’Atlantique, les projets ont surtout ciblé les jeunes et les femmes. Par exemple, en vue de favoriser le dépistage du VIH/sida, on a proposé aux femmes subissant un test de PAP courant de subir aussi un test de dépistage des ITS. Des ateliers en milieu scolaire ont permis aux étudiants des collectivités inuites, de la 7e à la 12 e année, d’en apprendre plus sur la santé sexuelle axée sur la prévention des ITS, du sida et du VIH. Des ateliers sur la prévention de la violence ont été organisés dans les collectivités, à l’intention des femmes, mais aussi au profit des jeunes. Par ailleurs, les programmes de Healing Our Nations ont fait l’objet d’une évaluation. De nouveaux liens de collaboration ont été établis avec les collectivités des Tu’kn, avec Cancer Care Nova Scotia (à des fins de collecte de données) et avec l’unité de recherche sur la santé de la population de la Dalhousie University. Pareille collaboration avec le gouvernement provincial et les autorités sanitaires du district contribuera à améliorer la santé des jeunes des Premières nations ainsi qu’à enrichir les connaissances des chefs des collectivités en matière de VIH/sida. Il s’agit du premier centre canadien de santé pour jeunes dans les réserves à respecter les normes provinciales. En ce qui touche le renforcement des capacités, par le biais de séances de formation de jeunes formateurs (21 séances pour Inuits et deux séances pour Micmacs), les jeunes dans les réserves ont été formés à renseigner leurs semblables sur les questions relatives à la sexualité, à l’hépatite C, aux ITS et au VIH/sida. On a également exercé des activités d’information en milieu scolaire portant sur la santé sexuelle. Le Labrador Friendship Centre a été l’hôte d’une conférence sur la santé sexuelle réunissant des membres des collectivités de Sheshatshui et Natuashish. Un soutien a été offert aux Autochtones vivant avec le VIH/sida dans des collectivités des Premières nations, par le biais d’ateliers traitant de la mort et de la façon dont on meurt. Au Québec, les projets ont surtout porté sur la prestation d’une formation sur le VIH/sida et sur l’hépatite C, à l’intention des professionnels de la santé et du personnel infirmier travaillant dans les réserves. Ainsi, le personnel infirmier et les infirmiers et infirmières en santé communautaire ont reçu une formation abordant la santé sexuelle des jeunes et la déclaration des infections aux partenaires sexuels. On a produit un dépliant d’information sur le VIH/sida et les femmes enceintes, avec le concours de femmes issues de différents groupes qui participent à la lutte contre le VIH/sida. Le bulletin Le cercle de l’espoir a été diffusé auprès des Premières nations et des travailleurs de la santé qui desservent ces dernières. En Ontario, les activités ont porté sur le renforcement des partenariats et sur le resserrement des liens avec les principaux intervenants (services locaux de santé et cercle d’éducation des Premières nations sur le VIH/sida). Trente-sept collectivités ont reçu une aide au titre des programmes, notamment par la diffusion de matériel pédagogique sur le VIH/sida. Les organismes politiques tribaux, les conseils tribaux et les conseils des chefs ont obtenu des crédits en vue de réaliser des initiatives de lutte contre le VIH/sida. Au Manitoba, deux conférences sur l’éducation et la collaboration ont eu lieu : la première réunissant plus de 150 représentants des collectivités et infirmiers ou infirmières en santé communautaire, la deuxième réunissant 120 infirmiers et infirmières en santé communautaire. À en juger par les évaluations reçues, les participants ont grandement enrichi leur connaissance de l’hépatite C et du VIH/sida. Ils ont d’ailleurs demandé que d’autres conférences et ateliers soient organisés à l’avenir. En Saskatchewan, les 84 collectivités de la province ont pu recevoir des crédits et dispenser des programmes de prévention, d’information et de sensibilisation à l’égard du VIH/sida, assortis d’activités et d’objectifs propres à chaque collectivité. Ainsi, dans le cadre de trois ateliers sur le VIH, 70 participants ont exploré leurs valeurs personnelles et les valeurs de leur collectivité, établissant par le fait même les assises de la planification et de la mise en œuvre d’efforts de lutte contre le virus. Les infirmiers et infirmières en santé communautaire, les directeurs de la santé, le personnel du Programme national de lutte contre l’abus de l’alcool et des drogues chez les Autochtones (PNLAADA), les travailleurs en santé mentale, les travailleurs auprès des jeunes et les conseillers en santé ont tous pris part à cette démarche de formation structurée. Au moyen de l’outil d’analyse des réseaux sociaux, on a renforcé la surveillance du VIH auprès de clients ayant récemment reçu un diagnostic de séropositivité pour le VIH. L’outil en question a contribué à améliorer la cueillette de renseignements et de données à caractère social, ce qui a favorisé l’enrichissement des connaissances sur le VIH. Des programmes de réduction des préjudices et d’échange de seringues ont été intégrés à la culture et aux enseignements autochtones. Dix Premières nations disposent maintenant de programmes d’échange de seringues fonctionnels. Des objectifs globaux, axés sur le savoir-faire culturel, ont été fixés afin de cibler les Premières nations à risque et les personnes marginalisées. La Saskatchewan diffère des autres provinces, et les stratégies qu’on y adopte doivent satisfaire aux besoins des membres des collectivités. En Alberta, 36 collectivités ont reçu des crédits provenant de l’enveloppe consacrée aux ITS et aux agents pathogènes à diffusion hématogène, en vue de la conduite de projets communautaires axés sur les collectivités. Ainsi, on a organisé des ateliers portant sur la prévention des ITS et des infections à agents transmissibles par le sang. Dans trois collectivités, les élèves du primaire et du secondaire ont participé à un concours de production d’affiches de sensibilisation et de promotion au regard des pratiques sexuelles sans risques. Des jeunes et des membres des collectivités ont assisté à des exposés sur les saines pratiques sexuelles, offerts par deux aînées surnommées les « reines du condom ». Des digues et des préservatifs pour hommes et femmes ont été distribués dans des centres de santé et des installations de loisirs de même qu’à l’occasion de pow-wow. Des séances de formation de formateurs, axées sur la prévention et l’initiation aux ITS et aux agents pathogènes à diffusion hématogène, ont eu lieu à l’intention de tout le personnel infirmier des zones de traité, des infirmiers et infirmières en santé communautaire ainsi que des membres du personnel du PNLAADA en poste dans les collectivités du Nord. En Colombie-Britannique, conformément à un accord tripartite officiel, la DGSPNI (Région de la Colombie-Britannique) a collaboré avec le First Nations Leadership Council et le gouvernement de la Colombie-Britannique pour mettre au point un plan sanitaire tripartite à l’intention des Premières nations. Des séances d’information et de formation ont eu lieu dans les collectivités, et les participants se sont dits satisfaits de ces activités. Par exemple, à Prince George, l’organisme de services aux familles de Carrier-Sekania été l’hôte d’une conférence de jeunes ayant pour thème la mobilisation en faveur de la lutte contre le VIH/sida et les ITS dans les collectivités autochtones. Le groupe de travail sur les Autochtones du Nord et Healing Our Spirit ont été les hôtes de la 12e conférence provinciale annuelle sur le VIH/sida, à Prince George — événement auquel ont participé plus de 300 personnes. Pour sa part, le projet Around the Kitchen Table a favorisé l’autonomisation des femmes autochtones, plus particulièrement celles vivant dans des collectivités éloignées. En aidant les participantes à réintégrer leurs fonctions traditionnelles et en réunissant ces femmes au sein d’un réseau communautaire d’information et de soutien, le projet a contribué au ralentissement de la propagation du VIH/sida. En plus d’élaborer et de diffuser des documents et des films-vidéo à vocation pédagogique, Healing Our Spirit s’est joint à un projet visant à offrir des soins, un traitement et un appui à des membres de bande vivant dans les réserves, lors de leur séjour à Vancouver pour y suivre une thérapie contre le VIH/sida. Le bureau de l’Administration centrale a terminé la mise au point et la traduction française de l’outil de référence sur le VIH/sida et l’hépatite C à l’intention du personnel infirmier travaillant dans les réserves. Au delà des résultats prévus, la DGSPNI a facilité l’accès aux données probantes en déployant des efforts qui visaient, d’une part, à formuler une stratégie de mesure du rendement (mise en œuvre d’outils et de mécanismes d’évaluation à l’échelon régional) et, d’autre part, à entreprendre la conception d’un système pilote de surveillance sentinelle du VIH chez les Premières nations vivant dans les réserves et les Inuits (A-TRACK). Explication des écarts (0,2 million de dollars) : Lettre d’accord entre la DGSPNI et l’ASPC – Faute d’avoir pu être retirés par l’Agence, les crédits n’ont pas été exploités. Cette situation découle des nouvelles règles concernant les transferts de fonds entre SC et l’ASPC. La DGSPNI a également versé des crédits supplémentaires de 2,6 millions de dollars, provenant de son budget central, en vue d’appuyer ses programmes axés sur le VIH/sida. |
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Direction des affaires internationales |
Engagement international |
En cours |
1,2 million de dollars |
0,6 million de dollars |
Cohérence accrue des interventions fédérales : Renforcement des mesures pancanadiennes de lutte contre le VIH/sida : |
La Direction des affaires internationales a convoqué le secrétariat fédéral pour SIDA 2008 et a exercé un rôle de premier plan au sein de ce comité interministériel de coordination, qui encadre la participation du gouvernement du Canada au 17e Congrès international sur le sida (à Mexico du 1er au 8 août 2008). Une forte présence canadienne, dûment coordonnée, permettra au gouvernement du Canada d’exposer et de faire valoir ses priorités lors de cet important forum où se réunissent des dirigeants politiques, des professionnels de la santé, des scientifiques, des décideurs et des membres de collectivités du monde entier afin d’aborder les grandes questions qui se posent dans la lutte mondiale contre le VIH/sida. Le soutien de la participation canadienne aux travaux d’organismes et de forums internationaux pertinents a permis de multiplier les possibilités de partage de renseignements et de réalisation d’activités portant sur le VIH/sida dans l’arène mondiale. À la suite d’un concours externe, cinq subventions ont été octroyées à des organismes qualifiés en vue de renforcer l’engagement du Canada à l’égard de la lutte mondiale contre le VIH/sida. Les organismes récipiendaires sont aptes à mieux servir leurs membres et leurs collectivités, grâce à la transmission des connaissances, des compétences et des leçons acquises dans le cadre de leurs activités internationales. Des progrès ont été faits en ce qui touche la connaissance des répercussions, des défis et des possibilités que comporterait la reconnaissance de l’infection à VIH en tant que handicap, d’une part, et la recherche d’une interprétation équivalente conformément à la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées, d’autre part. Explication des écarts (0,6 million de dollars) : |
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Direction chargée de la surveillance et de l’évaluation des programmes ministériels |
Évaluation de programmes |
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0,1 million de dollars |
0,0 million de dollars |
Cohérence accrue des interventions fédérales : Renforcement des capacités (connaissances et compétences) individuelles et organisationnelles : |
Une évaluation ministérielle a formulé des constats favorables à l’égard des partenaires de SC qui participent à l’Initiative fédérale. L’évaluation a également fourni des conseils en vue de l’évaluation de la mise en œuvre de l’Initiative fédérale. Explication des écarts (0,1 million de dollars) : |
3. Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) |
Institut des maladies infectieuses et immunitaires |
Projets de recherche sur le VIH/sida et soutien du personnel |
En cours |
19,4 millions de dollars |
18,8 millions de dollars |
Renforcement et amélioration de la collaboration et du réseautage : Disponibilité et utilisation accrues des données probantes : Amélioration des capacités (connaissances et compétences) individuelles et organisationnelles : Renforcement des mesures pancanadiennes de lutte contre le VIH/sida : |
Le groupe d’experts (systèmes, politiques et services de santé, résilience, vulnérabilité et déterminants de la santé) a mis au point un appel de demandes visant les Centres de développement de la recherche sur la santé des populations et les services de santé en matière de VIH/sida. Ce financement servira à l’élaboration d’un réseau intégré de centres qui, au Canada, se spécialisent dans les services de santé et les recherches stratégiques concernant le VIH/sida ainsi que les déterminants sociaux, culturels et environnementaux qui influencent le cours de l’épidémie de VIH/sida. En 2007-2008, en ajoutant leurs crédits à ceux octroyés dans le cadre de l’Initiative fédérale, les IRSC ont financé l’octroi de 182 subventions, de 139 bourses et de dix-sept chaires de recherche du Canada en lien avec le VIH/sida, ce qui représente un investissement total de 37,1 millions au titre de la recherche sur le VIH/sida au cours de l’exercice. Les sommes ont été directement versées, soit aux chercheurs universitaires qui travaillent dans le secteur, soit aux établissements de recherche concernés de tout le Canada. En 2007-2008, par le truchement du Programme de recherche communautaire, on a approuvé onze nouvelles subventions (trois pour le volet de recherche autochtone et huit pour le volet de recherche générale) de même que huit subventions et bourses de renforcement des capacités (cinq pour le volet de recherche autochtone et trois pour le volet de recherche générale). Par ailleurs, à la suite d’un concours externe jugé par les pairs, les IRSC ont renouvelé le financement octroyé au Réseau canadien pour les essais VIH. Avec le soutien des IRSC, les chercheurs qui se penchent sur le VIH/sida ont réalisé d’importantes percées, à l’appui de la lutte contre l’épidémie au Canada et dans le monde. En cette matière, les IRSC ont contribué aux résultats suivants :
En 2007-2008, les IRSC se sont attaqués à la formulation d’un plan stratégique portant sur leur participation à l’Initiative de recherche sur le VIH/sida. Le document définitif abordera les priorités en matière de recherche sur le VIH/sida, dans l’optique d’un plan stratégique d’ensemble devant servir de repère utile pour encadrer les futurs investissements des IRSC au profit de l’Initiative de recherche sur le VIH/sida. Dans le cadre de cette démarche, les IRSC ont invité les intervenants du milieu du VIH/sida à jouer un rôle de premier plan dans l’articulation du plan stratégique. Des consultations ont révélé que l’immense majorité des intervenants du milieu appuyaient les orientations proposées ainsi que les instruments de financement choisis par les IRSC. Par le biais du Programme de recherche communautaire des IRSC, les collectivités et organisations autochtones participent à la conception et à la mise en œuvre des projets de recherche. Cette méthode a permis aux populations à l’étude de contrôler les recherches auxquelles elles prennent part. En outre, elle assure une meilleure diffusion des nouvelles connaissances vers les collectivités dont elles sont issues. Explication des écarts (0,6 million de dollars) : Prélèvements internes et réaffectation de crédits au profit de l’Initiative canadienne de vaccin contre le VIH |
4. Service correctionnel du Canada (SCC) |
Services de santé |
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En cours |
3,1 millions de dollars |
1,9 million de dollars |
Renforcement et amélioration de la collaboration et du réseautage : Sensibilisation accrue au VIH/sida : Amélioration des capacités (connaissances et compétences) individuelles et organisationnelles : Meilleur accès à des services de qualité (prévention, diagnostic, soins, traitement et soutien) : Disponibilité et utilisation accrues des données probantes : |
Le Groupe de travail FPT des responsables des services correctionnels a procédé à l’échange de renseignements sur des thèmes d’intérêt réciproque, y compris : la formulation de lignes directrices nationales relatives au dépistage du VIH dans les points de service et à la prestation de conseils à propos du virus; l’étude portant sur le VIH et le virus de l’hépatite C chez les jeunes de Colombie-Britannique; ainsi que les lignes directrices sur la planification de la mise en liberté produites par le SCC. Des consultations permanentes avec l’ASPC ont mené à des activités de recherche et à des initiatives concertées telles que l’étude des comportements à risque chez les détenus, réalisée au début de l’été 2007. Les résultats de cette étude sont en voie d’être dépouillés et analysés. Le personnel infirmier du SCC en poste au bureau national, dans les bureaux régionaux et dans les établissements a pris part à la conférence annuelle de l’Association canadienne des infirmières et infirmiers en sidologie (ACIIS). Tout au long de l’exercice, des médecins spécialistes de l’hépatite C et du VIH ont animé des séances de sensibilisation sur place, à l’intention du personnel et des détenus. En ce qui touche les maladies infectieuses, on a procédé à la revue des besoins de formation du personnel infirmier chargé de ces maladies au sein du SCC. Un plan est en voie d’être rédigé. Ce plan s’intégrera à une stratégie générale de formation annuelle destinée au personnel infirmier du SCC. Les nouvelles lignes directrices sur la planification de la mise en liberté ont été mises en œuvre dans toutes les régions, en février 2008. Ces lignes directrices communiquent au personnel des instructions concernant la mise en liberté ou le transfert de détenus aux prises avec des maladies infectieuses de longue durée. En matière de maladies infectieuses, des consultations sont menées afin d’améliorer les services offerts aux délinquantes. Une stratégie relative aux maladies infectieuses sera arrêtée définitivement et mise en œuvre en 2008-2009. Aux détenus des Premières nations et des peuples inuits ou métis, le Programme d’éducation et d’entraide par les pairs autochtones (PEEPA) dispense une formation qui fait d’eux des pairs aidants au regard des mesures de contrôle des maladies infectieuses et de réduction des préjudices. La mise en œuvre du programme dans les cinq régions du CSS est assurée par un coordonnateur sanitaire national et deux coordonnateurs sanitaires régionaux autochtones, aidés d’organismes de services autochtones. En mars 2008, des consultations ont été menées en vue de la mise au point d’une stratégie nationale relative à la santé des Autochtones. Le Programme d’initiatives spéciales a financé la réalisation de sept projets dirigés par des détenus, en vue d’informer les délinquants des risques associés à certains comportements. Le Programme national d’éducation et de counselling par les pairs sur le VIH/sida (PNECP) dispense une formation à des détenus choisis, afin qu’ils exercent la fonction d’éducateurs auprès des autres détenus tout en leur fournissant un soutien et des renseignements en ce qui touche les maladies infectieuses. Quarante-trois établissements du SCC sont tenus de dispenser le PNECP. En 2007, on comptait des détenus éducateurs dans 37 des 43 établissements (86 %). On a procédé à la diffusion d’un bulletin sur les maladies infectieuses renfermant des données tirées de la surveillance du VIH et du sida. La coordination et la gestion des activités de collecte de données ont été resserrées, ce qui a permis d’améliorer l’analyse des données tirées de la surveillance. L’enquête auprès des détenus a été réalisée à la fin du printemps et à l’été 2007. La revue et l’analyse des résultats préliminaires sont en cours. Les répercussions sur les politiques et programmes seront déterminées en 2008-2009. Explication des écarts (1,2 million de dollars) : Les défis relatifs aux activités de recrutement ont pesé sur la capacité générale d’exploitation des ressources. La création d’une direction de la santé publique dotera le SCC de solides assises en vue du renforcement des activités axées sur le VIH/sida, menées dans le cadre de l’Initiative fédérale. |
Total | En cours | 71,2 millions de dollars | 61,0 millions de dollars | ||||
Commentaires sur les écarts : Consulter les explications fournies par chacun des programmes. | |||||||
Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Les intervenants non gouvernementaux majeurs sont considérés comme partenaires à part entière de l’Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada. Leur rôle consiste à s’engager et à collaborer avec tous les ordres de gouvernement ainsi qu’avec les collectivités, les autres organisations non gouvernementales, les groupes professionnels, les établissements et le secteur privé afin de faire progresser tous les résultats susmentionnés de l’Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada. | |||||||
Personne-ressource : Dr Howard Njoo, (613) 948-6799, howard_njoo@phac-aspc.gc.ca |
Initiative horizontale du RMR | |||||||
Nom de l’initiative horizontale : Initiative canadienne de vaccin contre le VIH | |||||||
Nom du ministère responsable : Agence de la santé publique du Canada | Activité de programme du ministère responsable : Prévention et contrôle des maladies | ||||||
Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : Février 2007 | Date de clôture de l’initiative horizontale : Mars 2013 | ||||||
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 111 millions de dollars | |||||||
Description de l’initiative horizontale : L’Initiative canadienne de vaccin contre le VIH (ICVV), qui est la contribution du Canada à la Global HIV Vaccine Enterprise, est le fruit de la collaboration entre le gouvernement du Canada et la Fondation Bill et Melinda Gates. Elle vise à contribuer à l’effort mondial pour la mise au point d’un vaccin sûr, efficace, à prix abordable et universellement accessible contre le VIH. Cette collaboration repose sur l’engagement du gouvernement du Canada d’adopter une approche globale et à long terme à l’égard des techniques de prévention. Les ministères et organismes fédéraux participants sont l’Agence de la santé publique du Canada, Industrie Canada, Santé Canada, les Instituts de recherche en santé du Canada et l’Agence canadienne de développement international. Les objectifs généraux de l’ICVV sont les suivants : renforcer la capacité de découverte de vaccins contre le VIH et la capacité de recherche sociale; renforcer la capacité et les réseaux d’essais cliniques, surtout dans les pays à revenu faible et moyen (PRFM); accroître la capacité de fabrication à l’échelle préindustrielle de vaccins contre le VIH en vue d’essais cliniques; renforcer les approches stratégiques et réglementaires sur les vaccins contre le VIH et promouvoir les aspects communautaires et sociaux de la recherche sur un vaccin contre le VIH et la fourniture de ce vaccin; et veiller à maintenir une collaboration horizontale au sein de l’ICVV ainsi qu’avec les intervenants canadiens et internationaux. | |||||||
Résultats partagés : Résultats immédiats (court terme, un à trois ans) : Accroissement et amélioration de la collaboration et du réseautage; enrichissement du corpus de connaissances; accroissement de la préparation et des capacités au Canada et dans les PRFM. Résultats intermédiaires : Unités de fabrication à l’échelle préindustrielle de lots de vaccins pour les essais cliniques qui sont entièrement opérationnelles et universellement accessibles; contribution accrue aux efforts mondiaux en vue d’accélérer la mise au point de vaccins sûrs, efficaces, à bon marché et universellement accessibles contre le VIH. Résultats à long terme : L’ICVV contribue aux efforts mondiaux en vue de réduire la propagation du VIH/sida, en particulier dans les PRFM. |
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Structures de gouvernance : Le ministre de la Santé, en consultation avec le ministre de l’Industrie et le ministre de la Coopération internationale, sera le ministre responsable de la coordination générale de l’ICVV. Les communications pour l’ICVV seront une responsabilité commune. Le Comité directeur interministériel, qui est formé de représentants des ministères et organismes fédéraux participants, coordonnera les activités pour le gouvernement du Canada afin d’appuyer les ministres. Le Comité sera chargé de fixer les orientations et priorités stratégiques et d’examiner les progrès réalisés. Des comités consultatifs multipartites et des groupes de travail, auxquels participeront les gouvernements, le secteur privé, les intervenants internationaux, les personnes vivant avec le VIH/sida, les chercheurs, les organisations non gouvernementales et d’autres intervenants concernés, seront créés pour fournir de l’information à l’appui de l’ICVV. Les rôles des ministères et organismes qui participent à l’ICVV sont les suivants :
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Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles pour 2007-2008 | Résultats prévus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. ASPC | Prévention et contrôle des maladies | Programme de contributions à la santé publique | 27 millions de dollars | 0,9 million de dollars | 0,7 million de dollars | • Stratégie et outils de planification, de coordination et de communication. • Consultations conjointes au sujet d’une unité de fabrication à l’échelle préindustrielle de lots de vaccins contre le VIH en vue d’essais cliniques (avec l’ACDI, IC et la Fondation Gates) et au sujet de l’élaboration de politiques et d’un programme de financement communautaire (avec SC). |
• Le Comité directeur interministériel de l’ICVV est en fonction. • Le site Web de l’ICVV a été mis au point et lancé. • Les consultations auprès des intervenants ont été menées à bien. Les consultations relatives à l’unité de fabrication ont eu lieu via le Web; celles portant sur l’élaboration de politiques et sur le fonds de mobilisation des collectivités se sont faites en tête-à-tête. |
2. SC | Activité de programme 1.3 Affaires internationales de santé | Subventions versées aux organisations internationales sans but lucratif admissibles pour appuyer leurs projets ou programmes sur la santé | 1 million de dollars | 0,2 million de dollars | 0,2 million de dollars | • Octroi de subventions à des organisations canadiennes et étrangères prenant part à l’élaboration de politiques concernant les vaccins contre le VIH. • Consultations conjointes au sujet de l’élaboration de politiques et d’un programme de financement communautaire (avec l’ASPC). |
• On a procédé à la mise en œuvre de deux projets axés sur les cadres régissant les questions juridiques et déontologiques et les questions de respect des droits de la personne de même que sur les bonnes pratiques de participation, à l’appui de la mobilisation des collectivités en faveur de la recherche d’un vaccin contre le VIH. • Les consultations auprès des intervenants ont été menées à bien à propos de l’élaboration de politiques et du fonds de mobilisation des collectivités. |
3. IC | Résultat stratégique : Une économie innovatriceActivité de programme : Secteur de l’industrie – science et technologie et innovation | Sans objet | 13 millions de dollars | 0 million de dollars | 0 million de dollars | • Consultations conjointes au sujet d’une unité de fabrication à l’échelle préindustrielle de lots de vaccins contre le VIH en vue d’essais cliniques (avec l’ACDI, l’ASPC et la Fondation Gates). | • Les consultations auprès des intervenants ont été menées à bien à propos de l’unité de fabrication. |
4. ACDI | Activité de programme 1.4 : Institutions – capacité et efficacité accrues des institutions multilatérales et des organisations internationales et canadiennes d’atteindre les objectifs de développement | Programme d’aide au développement international | 60 millions de dollars | 0 million de dollars | 0 million de dollars | • Consultations conjointes au sujet d’une unité de fabrication à l’échelle préindustrielle de lots de vaccins contre le VIH en vue d’essais cliniques (avec l’ASPC, IC et la Fondation Gates), au sujet des activités de recherche sociale et de recherche devant mener à des découvertes (avec les IRSC) ainsi qu’au sujet des essais cliniques. • Programme de financement des réseaux et du renforcement des capacités. |
• Les consultations auprès des intervenants ont été menées à bien à propos de l’unité de fabrication, des activités de recherche sociale et de recherche devant mener à des découvertes, des essais cliniques ainsi que du programme de financement des réseaux et du renforcement des capacités. |
5. IRSC | Initiative de recherche sur le VIH/sida – Code 12300 de l’architecture des activités de programme | Initiative de recherche sur le VIH/sida | 10 millions de dollars | 0,5 million de dollars | 0,1 million de dollars | • Consultations conjointes au sujet des activités de recherche sociale et de recherche devant mener à des découvertes (avec l’ACDI). | • Les consultations auprès des intervenants ont été menées à bien à propos des activités de recherche sociale et de recherche devant mener à des découvertes. |
Total | 111 millions de dollars | 1,6 million de dollars | 1,0 million de dollars | ||||
Commentaires sur les écarts : Sans objet | |||||||
Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux : Les intervenants non gouvernementaux (y compris les établissements de recherche et les organisations communautaires sans but lucratif) contribuent de façon essentielle au succès de l’ICVV. Leur rôle consiste à dialoguer et à collaborer avec les ministères et organismes participants, la Fondation Gates et d’autres organismes de financement en vue de faire avancer les objectifs de l’ICVV et d’apporter une contribution canadienne importante à la Global HIV Vaccine Enterprise. | |||||||
Personne-ressource : Steven Sternthal Téléphone : (613) 952-5120 |
Partenariat du tourisme du Canada atlantique (PTCA)
Programme de promotion du commerce extérieur (PPCE)
Équipe Canada Atlantique (ECA)
1. Nom de l’initiative horizontale |
2. Nom du ministère responsable |
||
---|---|---|---|
Partenariat du tourisme du Canada atlantique (PTCA) |
APECA |
||
3. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale |
4. Date de clôture de l’initiative horizontale |
5. Total des fonds fédéraux affectés |
|
Le 1er avril 2006 |
Le 31 mars 2009 |
9,95 millions de dollars |
|
6. Description de l’initiative horizontale |
|||
Le tourisme offre à la région de l’Atlantique d’importantes possibilités de croissance économique et de développement social. Ce secteur contribue beaucoup plus à la prospérité économique des provinces de l’Atlantique qu’à celle des autres régions du pays. Les dépenses des visiteurs s’élèvent à 3,24 milliards de dollars. Dans la région de l’Atlantique, le secteur du tourisme procure de l’emploi à plus de 110 000 travailleurs et représente 5,5 % du produit intérieur brut (comparativement à 2,5 % du produit intérieur brut national). Depuis 15 ans, l’APECA travaille de concert avec les gouvernements provinciaux et ses partenaires de l’industrie pour maximiser les retombées économiques du tourisme. Créé en 1991, le Partenariat du tourisme du Canada atlantique (PTCA) vise à promouvoir la région de l’Atlantique comme destination touristique sur des marchés ciblés. Le PTCA réunit neuf membres, à savoir l’APECA, les quatre associations provinciales de l’industrie touristique et les ministères du Tourisme des quatre provinces. Pour continuer de percer sur les marchés clés et de stimuler l’industrie touristique de la région, le PTCA a lancé sa quatrième initiative consécutive de marketing touristique à l’étranger. Ce projet triennal (de 2006-2007 à 2008-2009), dont le budget est évalué à 19,95 millions de dollars, vise à financer des campagnes intégrées de recherche sur le consommateur, le commerce et les relations avec les médias, afin d’attirer dans la région un plus grand nombre de visiteurs venant de marchés clés des États-Unis, de l’Europe et du Japon. Voici les initiatives découlant du PTCA : Les partenaires se partagent les coûts comme suit : l’APECA en absorbe 50 % (9,975 millions de dollars), les gouvernements provinciaux, 30 % (5,985 millions de dollars), et les associations provinciales de l’industrie touristique, 20 % (3,99 millions de dollars). Les contributions de l’APECA et des gouvernements provinciaux sont en espèces; celles des associations de l’industrie comprennent des contributions en espèces et en nature ainsi que des investissements dans des activités connexes (p. ex. des enregistrements et partenariats commerciaux). Voir le site Web du PTCA à http://www.actp-ptca.ca. |
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7. Résultats partagés |
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L’objectif du PTCA s’assimile aux résultats stratégiques recherchés par l’APECA pour l’une de ses priorités, à savoir l’accroissement des revenus, des profits, des investissements et des salaires. Voici les résultats attendus par le PTCA : |
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8. Structure de gouvernance |
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Les activités du PTCA sont gérées par un comité de gestion composé des présidents des quatre associations provinciales de l’industrie touristique, des quatre sous-ministres provinciaux du Tourisme et de deux représentants de l’APECA. Ce comité administre et gère l’entente de partenariat, approuve les plans de travail et les budgets, évalue les programmes et supervise le travail de son comité de marketing. Ce dernier comité entreprend des activités coordonnées par les représentants du gouvernement fédéral, des provinces et de l’industrie, et il est chargé de la mise en œuvre des initiatives du PTCA. Les opérations quotidiennes du PTCA sont supervisées par un secrétariat (budget annuel de 300 000 $) qui s’occupe aussi de la mise en œuvre d’une stratégie de communication, ainsi que des évaluations annuelles et des évaluations finales du partenariat. |
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9. Partenaires participant à chaque programme |
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L’APECA est le seul ministère fédéral qui participe au financement des activités. Le PTCA s’associe occasionnellement à la Commission canadienne du tourisme pour des initiatives ponctuelles de recherche de marketing à l’étranger. Ministères et organismes fédéraux : Gouvernements provinciaux (30 % du budget) : • Hospitality Newfoundland and Labrador; • Tourism Industry Association of Nova Scotia; • Association de l’industrie touristique du Nouveau-Brunswick; • Tourism Industry Association of Prince Edward Island. |
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10. Nom du programme |
11. Total des fonds affectés |
12. Dépenses prévues 2007-2008 |
13. Dépenses réelles 2007-2008 |
Initiative de marketing aux États-Unis |
8,30 millions de dollars |
2,77 millions de dollars |
2,76 millions de dollars |
Résultats pour 2007‑2008 |
14. Résultats prévus 2007‑2008 |
15. Résultats réels 2007‑2008 |
|
Rendement du capital investi : recettes touristiques mesurables engendrées pour chaque dollar investi par les partenaires dans les initiatives de marketing et les campagnes médiatiques. |
14 $:1 $ |
19,45 $:1 $ |
|
Nombre de groupes de visiteurs liés au programme de marketing |
30 000 |
55 385 |
|
Dépenses touristiques pour les produits et les services liées au programme de marketing |
38,78 millions de dollars |
82,9 millions de dollars |
|
16. Commentaires sur les écarts |
|||
Le PTCA a mis au point un modèle de conversion pour évaluer l’impact des voyageurs qui téléchargent de l’information touristique directement d’Internet, plutôt que de demander de la documentation par les moyens classiques. En intégrant ces demandes de renseignements à sa recherche, le PTCA a pu mesurer l’impact différentiel d’Internet sur les demandes de renseignements générées par les médias, l’affluence touristique ainsi que les recettes et dépenses connexes. Les campagnes médiatiques auprès des consommateurs ont engendré 82,1 millions de dollars en revenus différentiels pour les PME de la région de l’Atlantique œuvrant dans le secteur du tourisme, et un rendement de 26,52 $ pour chaque dollar investi. Les partenariats créés avec des grossistes en voyage aux États-Unis ont généré 900 000 $ de revenus supplémentaires, et un rendement du capital investi de 10,17 $. L’intégration de plusieurs activités n’engendrant aucun rendement du capital investi (salons de l’industrie du voyage, programme de relations avec les médias, recherche sur le développement de sites Web pour les consommateurs, etc.) ont eu un rendement global de 19,45 $. |
|||
10. Nom du programme |
11. Total des fonds affectés |
12. Dépenses prévues 2007-2008 |
13. Dépenses réelles 2007-2008 |
Initiative de marketing outre-mer |
1,2 million de dollars |
0,4 million de dollars |
0,4 million de dollars |
Résultats pour 2007-2008 |
14. Résultats prévus 2007‑2008 |
15. Résultats réels 2007‑2008 |
|
Rendement du capital investi : recettes touristiques mesurables générées pour chaque dollar investi par les partenaires dans les initiatives de marketing et les campagnes médiatiques. |
6 $:1 $ |
4,74 $:1 |
|
Partenariats créés avec des grossistes en voyages à l’étranger |
20 |
14 |
|
Dépenses touristiques pour des biens et services découlant des partenariats avec les grossistes en voyages à l’étranger. |
2,4 millions de dollars |
3,7 millions de dollars |
|
16. Commentaires sur les écarts |
|||
Le PTCA a recentré son programme de partenariat avec les grossistes en voyages européens sur les partenariats qui présentaient le plus grand potentiel de rendement. Le nombre de partenariats de ce genre est passé de 20 (prévu) à 14 (réel). Ils ont généré des revenus différentiels de 3,7 millions de dollars pour les PME de la région de l’Atlantique œuvrant dans le secteur du tourisme, ce qui représente un rendement de 15,58 $ pour chaque dollar investi. Le PTCA a également investi dans plusieurs activités n’engendrant aucun rendement du capital investi (par exemple salons de l’industrie du voyage, programme de relations avec les médias, recherche sur le développement de sites Web pour les consommateurs). Ces investissements ont eu un rendement global de 4,74 $ au lieu des 6 $ prévus. |
|||
17. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) |
|||
S.O. |
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18. Personne-ressource |
|||
Rob McCloskey, directeur général |
1. Nom de l’initiative horizontale |
2. Nom du ministère responsable |
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---|---|---|---|
Programme de promotion du commerce extérieur (autrefois appelé Entente sur la promotion du commerce extérieur) |
APECA |
||
3. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale |
4. Date de clôture de l’initiative horizontale |
5. Total des fonds fédéraux affectés |
|
Le 11 avril 2005 |
Le 31 mars 2010 |
7 millions de dollars |
|
6. Description de l’initiative horizontale |
|||
Le Programme de promotion du commerce extérieur (PPCE) réunit les quatre gouvernements provinciaux de la région de l’Atlantique et trois ministères fédéraux, soit l’APECA, le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI) et Industrie Canada. Signée pour la première fois en mai 1994, l’ancienne Entente sur la promotion du commerce extérieur visait une période de trois ans et était assortie d’un budget de trois millions de dollars. Elle a été prolongée en mars 1997 pour trois autres années et s’est vu accorder un budget de deux millions de dollars. Une deuxième prorogation a été effectuée en 2000 pour une période de quatre ans jusqu’en 2004; le budget a été augmenté à huit millions de dollars et sept partenaires de la promotion du commerce extérieur y participaient. L’actuel PPCE, dont le budget s’élève à dix millions de dollars, poursuivra jusqu’en 2010 le travail amorcé par les partenaires. Le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux s’en partagent le financement à raison de 70 % et de 30 % respectivement. Le mandat du PPCE est de prendre des mesures précises pour optimaliser la coordination à l’échelle panatlantique et mettre en commun les ressources limitées des partenaires afin de coordonner des activités liées au commerce. L’engagement des partenaires à l’égard de ce programme, notamment l’augmentation des fonds qui y sont affectés, témoigne bien des résultats positifs de l’Entente et de son importance pour l’avenir de la promotion du commerce extérieur dans la région (voir http://www.acoa-apeca.gc.ca/f/ibda/index.shtml). |
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7. Résultats partagés |
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Voici les résultats partagés entre les partenaires du PPCE, à l’appui de la priorité de l’APECA en matière de commerce : Depuis la création du premier PPCE en 1994, l’Agence et ses partenaires ont administré plus de 200 projets auxquels ont participé quelque 3 500 entreprises du Canada atlantique. Le PPCE a permis à 182 entreprises de commencer à exporter, à 380 exportateurs d’accroître leurs ventes à l’étranger et à 259 exportateurs d’étendre leurs activités à de nouveaux marchés. |
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8. Structure de gouvernance |
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À titre d’organisme responsable de cette initiative, l’APECA héberge le secrétariat chargé d’administrer le programme. Un comité de gestion composé d’un représentant de chacun des partenaires s’occupe de la planification et de la gestion des programmes ainsi que de l’évaluation des projets. |
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9. Partenaires fédéraux participant à chaque programme |
|||
Ministères et organismes fédéraux (70 % du budget) : Gouvernements provinciaux (30 % du budget) :
|
|||
10. Nom du programme |
11. Total des fonds affectés |
12. Dépenses prévues 2007-2008 |
13. Dépenses réelles 2007-2008 |
Programme de promotion du commerce extérieur (PPCE) |
7,0 millions de dollars |
1,8 million de dollars |
2,1 millions de dollars |
Résultats pour 2007-2008 |
14. Résultats pour la durée de l’entente (de 2005-2006 à 2009-2010) |
15. Résultats réels (2007-2008) |
|
40 entreprises |
5 |
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Accroître le nombre d’exportateurs actuels qui réalisent des ventes sur de nouveaux marchés |
75 entreprises |
17 |
|
Accroître le nombre d’exportateurs actuels qui augmentent leur chiffre d’affaires sur des marchés existants |
150 entreprises |
33 |
|
16. Commentaires sur les écarts |
|||
Les résultats attendus valent pour toute la durée de vie de l’entente, et la collecte de données se poursuit pendant deux ans après son expiration. La date cible pour l’obtention des résultats attendus est en 2012. |
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17. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) |
|||
S.O. |
|||
18. Personne-ressource |
|||
Michel Têtu, directeur général |
1. Nom de l’initiative horizontale |
2. Nom du ministère responsable |
||
---|---|---|---|
Équipe Canada Atlantique |
APECA |
||
3. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale |
4. Date de clôture de l’initiative horizontale |
5. Total des fonds fédéraux affectés |
|
Avril 1999 |
Le 31 mars 2010 |
11,14 millions de dollars |
|
6. Description de l’initiative horizontale |
|||
Fruit d’un partenariat entre l’APECA et les quatre gouvernements provinciaux de la région de l’Atlantique, Équipe Canada Atlantique bénéficie de l’appui d’Agriculture et Agroalimentaire Canada, d’Industrie Canada et d’Affaires étrangères et Commerce international Canada. Elle s’est donné pour mission de renforcer les relations entre la région de l’Atlantique et les États-Unis pour tout ce qui touche au commerce et aux investissements. De 1999 à 2008, quelque 6,5 millions de dollars ont été investis dans les missions commerciales d’ECA. En juin 2008, les participants ont déclaré des ventes de près de 45 millions de dollars. La démarche d’ECA est axée essentiellement sur la mission commerciale, qui permet aux PME des quatre coins de l’Atlantique de rencontrer des acheteurs éventuels, des agents, des distributeurs et des partenaires stratégiques aux États-Unis. La mission est assortie d’un programme d’appui complet qui aide les entreprises participantes à obtenir les connaissances, les contacts et les conseils dont elles ont besoin pour tirer le meilleur parti possible de leurs débouchés avant, pendant et après leurs incursions à l’étranger. Pour le gouvernement du Canada et les gouvernements provinciaux de la région l’Atlantique, les missions représentent aussi une occasion exceptionnelle de promouvoir la région comme marché de choix pour les investissements étrangers. Voir le site Web d’ECA à http://www.equipecanadaatlantique.ca. |
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7. Résultats partagés |
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Les missions commerciales d’ECA s’adressent aux PME de la région de l’Atlantique. Elles les aident à accroître leurs exportations et à attirer des investissements sur des marchés clés. En voici les objectifs : En juin 2008, Équipe Canada Atlantique avait mené à bien quatorze missions aux États‑Unis, auxquelles 531 entreprises ont participé, et plus de 3 665 réunions d’affaires se sont tenues; le chiffre d’affaires réel dépassait 44 millions de dollars. |
|||
8. Structure de gouvernance |
|||
Un comité de gestion composé de hauts fonctionnaires de l’APECA, du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international et des gouvernements provinciaux joue le rôle d’organe décisionnel en dirigeant et en surveillant la coordination et la mise en œuvre des missions d’ECA. Le comité organisateur d’ECA, qui se charge d’organiser les missions, est composé de représentants des quatre ministères provinciaux du Commerce de la région de l’Atlantique, du ministère des Affaires étrangères et du Commerce international, d’Agriculture et Agroalimentaire Canada et du secrétariat d’Équipe Canada Atlantique. Ce secrétariat, qui se trouve dans les locaux de l’APECA, est chargé de la coordination globale et de la mise en œuvre des missions d’ECA. |
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9. Partenaires fédéraux participant à chaque programme |
|||
• APECA |
|||
10. Nom du programme |
11. Total des fonds affectés |
12. Dépenses prévues 2007‑2008 |
13. Dépenses réelles 2007‑2008 |
Équipe Canada Atlantique |
11,14 millions de dollars : APECA |
356 000 $ (S et C) : APECA |
337 829 $ (S et C) : APECA |
Résultats pour 2007-2008 |
14. Résultats prévus 2007‑2008 |
15. Résultats réels 2007‑2008 |
|
PME mieux préparées à l’exportation |
40 |
41 |
|
Nouveaux exportateurs |
5 |
8 |
|
Exportateurs perçant de nouveaux marchés |
5 |
16 |
|
Ventes à l’exportation prévues des PME |
30 millions de dollars |
15 millions de dollars |
|
16. Commentaires sur les écarts |
|||
|
|||
17. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) |
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S.O. |
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18. Personne-ressource |
|||
Michel Têtu, directeur général |
On trouvera des renseignements supplémentaires sur la participation de l'ASFC aux initiatives horizontales sur le site Web du SCT.
« Initiative horizontale » s'entend d'une initiative où les partenaires venant d'un organisme ou plus ont convenu, en vertu d'un accord de financement officiel (p. ex., un mémoire au Cabinet, une présentation au Conseil du Trésor, un accord fédéral-provincial) de collaborer pour atteindre des résultats communs.
L'objectif des rapports sur les initiatives horizontales est de renseigner de manière générale le Parlement, le public canadien et le gouvernement sur les dépenses publiques et les résultats obtenus par les ministères qui travaillent en concertation.
AAC a dirigé les initiatives horizontales indiquées ci après, qui ont reçu des fonds fédéraux de plus de 100 millions de dollars (si l'on compte tous les partenaires fédéraux) pour la durée du programme ou moins de 100 millions de dollars en fonds fédéraux, mais qui sont toujours considérés comme cruciales pour la réalisation des priorités gouvernementales ou encore qui sont très médiatisées.
La liste sommaire des initiatives horizontales pour 2007 2008 suit. Pour obtenir un complément d'information sur chaque initiative, y compris les dépenses et les résultats, veuillez consulter la Base de données sur les résultats horizontaux du Secrétariat du Conseil du Trésor.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Programme canadien de stabilisation du revenu agricole (PCSRA) (transition vers Agri-stabilité/Agri-investissement)
2. Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
3. Activité de programme du ministère responsable :
Gestion des risques de l'entreprise
4. Date de début de l'initiative horizontale :
1er avril 2003
Dans le cas du Cadre stratégique pour l'agriculture (CSA) - financement de la gestion des risques de l'entreprise, qui englobe le PCSRA.
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
31 mars 2008
Dans le cas du CSA - financement de la gestion des risques de l'entreprise, qui englobe le PCSRA.
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
2,4 milliards de dollars sur cinq ans.
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Le PCSRA était l'un des deux principaux programmes de gestion des risques de l'entreprise (GRE) prévus dans le Cadre stratégique pour l'agriculture (CSA) pour la période allant de 2003-2004 à 2007-2008; l'autre était le programme d'assurance-production. Le PCSRA était un programme fondé sur les marges offrant une stabilisation des revenus et une protection en cas de catastrophe, de
façon à aider les producteurs à protéger leur exploitation agricole contre les baisses de revenu. Il s'agissait là d'un programme visant l'ensemble de l'exploitation agricole et offert à tous les agriculteurs, quel que soit leur domaine d'activité.
En raison des préoccupations soulevées par les producteurs et par l'industrie en ce qui a trait à l'utilité et à la prévisibilité de ce programme, ainsi qu'au moment choisi pour verser les paiements, le gouvernement s'est engagé, dans son discours du Trône et son budget de 2006, à remplacer le PCSRA par une série de programmes plus prévisibles et plus utiles se prêtant à un concours bancaire. Après avoir consulté l'industrie, les provinces et les territoires, le gouvernement fédéral s'est entendu avec les provinces et territoires pour remplacer le PCSRA par une nouvelle série de programmes de GRE incluant les programmes Agri-stabilité, Agri-investissement, Agri-protection et Agri-relance. La transition a débuté en 2007-2008 et les agriculteurs ont jusqu'à l'automne 2008 pour présenter une demande de participation pour l'année de programme 2007.
Le programme Agri-stabilité est un programme amélioré fondé sur les marges, qui vient en aide aux agriculteurs en cas de fortes baisses de revenu, en leur versant une indemnité lorsque leur marge pour une année de programme diminue de plus de 15 p. 100 par rapport à leur marge de référence pour les années précédentes (les deuxième et troisième niveaux prévus dans le cas du PCSRA). Le programme Agri-stabilité ressemble au PCSRA, mais il prévoit un certain nombre d'améliorations réclamées depuis longtemps par les dirigeants de l'industrie, notamment une méthode plus appropriée pour l'évaluation des stocks, l'élargissement des critères de protection contre les marges négatives de façon à permettre une aide accrue en cas de catastrophes consécutives et une avance ciblée versée automatiquement en cas de catastrophe. Outre ces modifications, les différents ordres de gouvernement ont également essayé d'améliorer la prestation du programme en apportant des améliorations comme l'adhésion automatique des producteurs ayant déjà participé au programme, l'établissement d'une date limite plus souple, l'élaboration de formulaires simplifiés et la transmission électronique, des calculateurs en ligne, des normes nationales en matière de service, ainsi que des énoncés de programme plus clairs.
Le nouveau programme Agri-investissement permettra aux producteurs d'assurer eux mêmes la gestion des pertes inférieures à 15 p. 100 (le premier niveau dans le cadre du PCSRA), grâce à des comptes d'épargne établis conjointement par les producteurs et par l'État. Les dépôts annuels effectués par les producteurs donneront lieu à un dépôt de contrepartie de la part du gouvernement (partage des coûts selon la formule 60:40 par les gouvernements fédéral et provinciaux). Les producteurs pourront utiliser leurs comptes d'épargne pour éponger leurs pertes de revenus agricoles ou pour effectuer des investissements permettant d'atténuer les risques à la ferme ou d'améliorer par ailleurs leur rentabilité. En outre, pour assurer l'utilité immédiate des comptes Agri-investissement, avant même que les producteurs aient eu la chance d'y contribuer, le gouvernement fédéral y a versé une contribution de « démarrage » unique (qui n'exige pas un dépôt correspondant de la part des producteurs).
Les coûts du programme, y compris les paiements de programme et les frais d'administration, sont partagés par le gouvernement fédéral et les provinces selon la formule 60:40 respectivement, conformément aux autorisations suivantes :
Le programme établit un lien avec l'objectif stratégique « sécurité du système alimentaire ».
8. Résultat(s) partagé(s) :
Aider les producteurs à protéger leurs exploitations agricoles en cas de pertes de revenu attribuables à des circonstances indépendantes de leur volonté.
Les critères de mesure du rendement sont les suivants :
9. Structure de gouvernance :
Le PCSRA faisait partie du CSA élaboré par les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux de l'Agriculture et respectait la priorité de la gestion des risques de l'entreprise. Le financement était assuré à raison de 60 p. 100 par le gouvernement fédéral et de 40 p. 100 par les provinces et territoires.
La mise en oeuvre du PCSRA relevait du gouvernement fédéral en Colombie-Britannique, en Saskatchewan, au Manitoba, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve et-Labrador et au Yukon et de la province en Alberta, en Ontario, au Québec et à l'Île-du-Prince-Édouard.
La structure de gouvernance comporte les éléments suivants :
La structure utilisée pour les nouveaux programmes de GRE Agri-stabilité et Agri-investissement est la même.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007-2008 | 15. Dépenses réelles en 2007-2008 | 16. Résultats prévus en 2007-2008 | 17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1. AAC (responsable) | Gestion des risques de l'entreprise | PCSRA/Agri-stabilité | 2,4 milliards de dollars (pour les exercices 2003-2004 à 2007-2008) | 610,5 millions de dollars | 433,6 millions de dollars |
Les producteurs reçoivent une aide plus appropriée et sont en mesure de gérer les risques de leur entreprise
Viabilité et rentabilité accrues du secteur |
Un certain nombre d'améliorations ont été apportées au programme afin de mieux servir les producteurs : méthode améliorée d'évaluation des stocks, élargissement des critères de protection contre les marges négatives de façon à assurer une protection accrue en cas de catastrophes consécutives et avance ciblée versée automatiquement en cas de catastrophe. Par ailleurs, la prestation a été améliorée en prévoyant l'adhésion automatique des producteurs ayant déjà participé au programme, l'établissement de dates limites plus souples, l'élaboration de formulaires simplifiés et la transmission électronique, des calculateurs en ligne, des normes nationales en matière de service, ainsi qu'un énoncé de programme plus clair. |
Agri-investissement | 172,5 millions de dollars pour l'exercice 2007-2008 (ce montant provient du montant de 2,4 milliards de dollars affecté au PCSRA étant donné que le programme à 15 p. 100 couvertes antérieurement par le PCSRA) | 168,3 millions de dollars |
Les producteurs reçoivent une aide plus appropriée et sont en mesure de gérer les risques de leur entreprise
Viabilité et rentabilité accrues du secteur |
L'exercice 2007-2008 était une année de transition pour le programme Agri-investissement. On s'est donc attardé à l'élaboration du programme et il n'y a pas eu de paiement de programme. Cependant, les subventions et contributions liées au programme se rapportent à l'année durant laquelle l'événement se produit (c.-à -d. l'année de programme ou l'année d'imposition
2007). Les paiements seront versés aux producteurs durant l'année suivant l'année de programme ou l'année d'imposition (2008-2009).
Afin d'aider les producteurs à bâtir leurs comptes Agri-investissement, le gouvernement fédéral leur a versé une contribution unique de démarrage en 2007-2008, soit un montant total de 600 millions de dollars (non inclus dans les chiffres sur les dépenses). |
|||
Total | 2,4 milliards de dollars | 610,5 millions de dollars | 601,9 millions de dollars |
18. Remarques sur les écarts :
Les frais d'administration sont demeurés relativement stables, mais ce n'est pas le cas des subventions et contributions, dont la variation annuelle est directement tributaire des besoins du secteur de l'agriculture. Le PCSRA Agri-stabilité est un programme axé sur la demande et non pas un programme financé à partir d'un montant fixe chaque année. Ainsi, le programme coûtera moins
cher au gouvernement au cours des bonnes années mais plus cher au cours des moins bonnes années (c.-à -d. les années de diminution du prix des produits, de catastrophes, etc.). Cependant, le programme prévoit un plafond de 3 millions de dollars par participant par année de programme afin de contrôler les coûts pour l'État et d'éviter que les grosses exploitations agricoles obtiennent
une part plus élevée des paiements.
L'écart entre les dépenses réelles et les dépenses prévues dans le cas du programme Agri-investissement est attribuable à la date d'approbation du programme, qui est survenue après l'élaboration du RPP pour 2007-2008.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Planification et exécution conjointes (par le gouvernement fédéral et les provinces), ce qui fait que les résultats provinciaux ne sont pas différents.
Le Groupe de travail sur les politiques liées à la GRE essaie d'élaborer des indicateurs nationaux en matière de rendement pour la mise en oeuvre du programme. Il a été convenu d'une norme nationale en matière de service pour l'année de programme 2006 du PCSRA. Il s'agissait là d'une réalisation majeure tenant compte de la politique du Conseil du Trésor obligeant les ministères à établir des normes de service et à surveiller l'application de celles ci. Il y aura des discussions continues au sujet des attentes des administrations en matière de normes de service.
20. Personne ressource :
Michele Taylor
Directrice générale, Direction des programmes du revenu agricole
Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
204-984-5647
Remarque : Les chiffres pour les dépenses prévues et les affectations totales représentent les montants inclus dans le Budget des dépenses.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Service canadien de développement des compétences en agriculture (SCDCA)
2. Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
3. Activité de programme du ministère responsable :
Innovation et renouveau
4. Date de début de l'initiative horizontale :
1er avril 2003
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
74,58 millions de dollars sur six ans.
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Les agriculteurs et/ou leurs conjoints reçoivent une aide leur permettant d'acquérir des compétences et de recevoir une formation en vue de l'augmentation éventuelle de leurs revenus (agricoles et autres). La formation visée porte sur l'amélioration des pratiques agricoles et la gestion d'une entreprise agricole (comptabilité, finances et gestion des ressources humaines), la formation
relative à un autre type d'emploi, ainsi que la formation requise pour lancer une nouvelle entreprise. À cet égard, les agriculteurs reçoivent une aide financière leur permettant de payer les frais de scolarité pour les cours et les fournitures, ainsi que les déplacements et le logement. En offrant une aide pour le développement des compétences et la formation, cette initiative
horizontale contribue à l'objectif stratégique « innovations propices à la croissance ». Pour plus de détails, on peut cliquer sur le lien suivant : http://www4.agr.gc.ca/AAC-AAC/display-afficher.do?id=1176222540186&lang=f
8. Résultat(s) partagé(s) :
a) Amélioration de la rentabilité des agriculteurs;
b) Plus grand choix de sources de revenus;
c) Une production agricole qui est fonction de ce qu'exigent le marché et le consommateur en matière de salubrité et de qualité des aliments et de respect de l'environnement, et mise à profit des débouchés découlant d'activités scientifiques et de l'innovation.
9. Structure de gouvernance :
Élaboration de programmes de concert avec le Groupe de travail fédéral-provincial-territorial sur le renouveau. Mise en oeuvre des programmes par Service Canada (Ressources humaines et développement social Canada (RHDSC)), par les gouvernements provinciaux et par des agents de programme indépendants.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007 2008 | 15. Dépenses réelles en 2007 2008 | 16. Résultats prévus en 2007 2008 | 17. Résultats obtenus en 2007 2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Il convient de signaler que les résultats prévus sont différents des résultats prévus dans le Rapport sur les plans et les priorités pour 2007-2008. Les résultats indiqués dans la présente colonne correspondent à ceux des programmes de renouveau selon le Cadre de mesure du rendement récemment approuvé en ce qui a trait à la Structure de gestion des ressources et des résultats. Par ailleurs, ils reflètent mieux les résultats du programme. | |||||||
1. AAC, Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) | Innovation et renouveau | a. Service canadien de développement des compétences en agriculture | 74,58 millions de dollars (pour les exercices 2003-2004 à 2008-2009) | 29,4 millions de dollars | 40,8 millions de dollars | Les agriculteurs et les familles agricoles atteignent leurs objectifs financiers. | En 2007-2008, 4 638 producteurs ont participé au programme (2 951 d'entre eux dans le cadre du Programme canadien d'options pour les familles agricoles), pour un total cumulatif de 13 807 participants; 80 p. 100 des répondants au sondage sur l'évaluation des répercussions estiment que les compétences ou les connaissances acquises grâce à la participation au programme SCDCA les ont aidé à atteindre leur principal objectif professionnel (dans 60 p. 100 des cas, les principaux objectifs poursuivis par les répondants étaient des objectifs financiers). |
Total | 74.58 millions de dollars | 29,4 millions de dollars | 40,8 millions de dollars | Les agriculteurs et les familles agricoles atteignent leurs objectifs financiers. | 30 p. 100 des répondants au sondage de 2007 sur l'évaluation des répercussions ont indiqué que leur principal objectif professionnel consistait à maximiser le rendement, comparativement à 26 p. 100 en 2004; 96 p. 100 des répondants estiment avoir atteint cet objectif dans une certaine mesure en 2007. |
18. Remarques sur les écarts :
Le SCDCA en était à sa troisième année en 2007-2008. La connaissance accrue du programme, ainsi que l'exigence d'observance intégrale associée au programme Options, ont entraîné un taux de participation plus élevé que prévu en 2007-2008.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Le SCDCA est offert en vertu d'accords conclus avec cinq provinces (l'Ontario, le Manitoba, la Saskatchewan, l'Alberta et l'Île-du-Prince-Édouard) et par l'intermédiaire de Service Canada dans les quatre autres provinces et au Yukon (le SCDCA n'est pas offert au Québec et il est offert sur demande seulement au Nunavut et dans les Territoires du Nord-Ouest). Au total, 4 449 des
4 638 producteurs ayant participé au programme en 2007-2008 provenaient de provinces ayant conclu un accord de mise en oeuvre et 189 producteurs provenaient de provinces et territoires desservis par Service Canada. Dans le premier cas, le taux de participation était le suivant : Ontario (841), Manitoba (739), Saskatchewan (2 070), Alberta (764) et
Î. P. É. (35). Dans le deuxième cas, il était le suivant : Colombie-Britannique (125), Nouveau-Brunswick (25), Nouvelle-Écosse (37) et Yukon (2). De façon générale, 79 p. 100 des participants au SCDCA provenant des provinces responsables de la mise en oeuvre étaient satisfaits ou très satisfaits des services offerts en vue de l'élaboration de leur plan
d'apprentissage individuel.
20. Personne ressource :
Johanne Métayer, directrice
Division du renouveau, Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
Agriculture et Agroalimentaire Canada
613-759-6689
Remarque : Les chiffres pour les dépenses prévues et les affectations totales représentent les montants inclus dans le Budget des dépenses.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Secrétariat aux coopératives
2. Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
3. Activité de programme du ministère responsable :
Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives
4. Date de début de l'initiative horizontale :
1er avril 2003
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
22 millions de dollars sur six ans.
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Le Secrétariat aux coopératives a été créé en 1987, afin d'aider le gouvernement du Canada à apaiser les préoccupations des coopératives canadiennes et à répondre plus efficacement aux besoins de ces dernières. Il conseille le gouvernement en ce qui a trait aux politiques touchant les coopératives, coordonne la mise en œuvre de ces politiques, fait la promotion des coopératives
au sein du gouvernement fédéral et assure la liaison entre les coopératives et les nombreux ministères et organismes fédéraux avec lesquels elles ont des contacts.
8. Résultat(s) partagé(s) :
Le résultat ultime visé par le gouvernement du Canada en ce qui a trait aux coopératives est l'utilisation accrue du modèle coopératif pour améliorer la croissance économique et le développement social dans les régions rurales et urbaines du Canada. Les objectifs poursuivis sont les suivants :
9. Structure de gouvernance :
Le Secrétariat aux coopératives a été créé en vue d'améliorer les relations entre les coopératives canadiennes et les 17 ministères et organismes fédéraux ayant adopté des lois, des politiques ou des programmes touchant les coopératives. Les mécanismes officiels de collaboration prévoient notamment le dialogue entre le Comité interministériel des coopératives, ses collaborateurs
provinciaux et les groupes de travail du sectoriels. Le Secrétariat aux coopératives collabore étroitement avec le ministre responsable des coopératives et coordonne la liaison entre l'État et le secteur coopératif. Le Secrétariat est dirigé par une directrice exécutive et le soutien administratif est assuré par AAC. Pour plus de détails à propos des fonctions du Secrétariat, voir le
site Web: http://www.coop.gc.ca.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007-2008 | 15. Dépenses réelles en 2007-2008 | 16. Résultats prévus en 2007-2008 | 17. Résultats obtenus en 2007 2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Secrétariat aux coopératives/AAC
Pour obtenir une liste des 17 ministères et organismes fédéraux ayant adopté des lois, des politiques et des programmes touchant les coopératives, voir le site Web: http://www.agr.gc.ca/rcs-src/coop/index_f.php?s1=leg&page=intro#CIC. |
Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives |
Initiative de développe-ment coopératif (IDC) :
- services conseils |
22,0 millions de dollars
(pour les exercices 2003-2004 Ã 2008-2009) |
4,1 millions de dollars | 9,3 millions de dollars | Capacité accrue de développement coopératif. | Réseau de 20 partenaires provinciaux, régionaux et sectoriels participant à la mise en œuvre du volet IDC - Services conseils. |
Amélioration des possibilités, atténuation des obstacles et amélioration de la capacité de développement coopératif grâce aux politiques, programmes et services gouvernementaux. | En 2007 2008, l'initiative IDC Agriculture a été prolongée de deux ans, ce qui permettra d'établir un partenariat avec le secteur coopératif afin d'aider les agriculteurs qui envisagent la création d'une coopérative pour tirer profit des nouvelles possibilités à valeur ajoutée dans le secteur de l'agriculture, notamment en ce qui a trait aux biocarburants. | ||||||
Total | 22,0 millions de dollars | 4,1 millions de dollars | 9,3 millions de dollars |
18. Remarques sur les écart :
Le renouvellement du financement de l'initiative IDC Agriculture durant l'année a entraîné une augmentation du financement de l'ordre de 1 million de dollars et ce financement a presque entièrement été utilisé.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
S.O.
20. Personne-ressource :
Donna Mitchell
Directrice exécutive
Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives
613-759-7113
Remarque : Les chiffres pour les dépenses prévues et les affectations totales représentent les montants inclus dans le Budget des dépenses.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Protocole d'entente (PE) au sujet de postes de spécialistes à l'étranger en matière d'agroalimentaire entre AAC et le ministère des Affaires étrangères et du commerce international (MAECI).
2. Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
3. Activité de programme du ministère responsable :
Marchés et international
4. Date de début de l'initiative horizontale :
Exercice financier 2003-2004
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
Exercice financier 2007-2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
$44,4 millions de dollars sur six ans.
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Ce PE a été conclu en vertu du Cadre stratégique pour l'agriculture (CSA) quinquennal, en vigueur jusqu'en 2007-2008. La durée du CSA a été prolongée d'un an afin de faciliter la transition en vue de l'adoption de l'initiative Cultivons l'avenir, le nouveau cadre stratégique d'AAC. Le PE établit les principes opérationnels, les pratiques de gestion et les critères de mesure du
rendement qui régissent les 34 postes de spécialistes de l'agriculture et de l'agroalimentaire à l'étranger. Il vise à améliorer la prestation de services aux exportateurs canadiens dans des domaines comme la mise en valeur des entreprises agricoles et agroalimentaires, la promotion des investissements, ainsi que la protection des marchés et de l'accès à ceux ci, grâce aux ambassades
et aux hauts commissariats canadiens dans les pays où se trouvent des marchés d'exportation clés.
8. Résultat(s) partagé(s) :
a) Améliorer la capacité du Service des délégués commerciaux (SDC) du MAECI d'assurer un soutien sur place aux exportateurs canadiens de produits du secteur de l'agriculture et de l'agroalimentaire.
b) Faire reconnaître davantage, sur les marchés ciblés, la capacité du Canada de fournir des produits agricoles et alimentaires de première qualité, sains, innovateurs et écologiques.
c) Améliorer l'accès des produits agricoles et alimentaires canadiens aux marchés clés.
9. Structure de gouvernance :
Le modèle de gouvernance du PE comporte trois niveaux :
1) le Comité de gestion mixte (CGM), qui approuve les plans de travail dont les coûts ont été établis, ainsi que leurs étapes clés, leurs objectifs et leurs indicateurs, examine les dépenses et rend compte deux fois par année de ses résultats au Comité des sous ministres;
2) le Comité des sous ministres, qui examine et recommande le versement annuel des fonds qui sont conservés dans une affectation bloquée par le Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) et qui recommande aux ministres d'approuver les changements lorsque les objectifs du PE changent considérablement;
3) les ministres, qui approuvent les changements lorsque les objectifs du PE changent considérablement et qui constituent le dernier recours pour la résolution des conflits.
Un représentant du SCT siège au CGM à titre de membre d'office.
La structure de gouvernance de ce PE était appuyée, en 2007-2008, par la Section de la coordination des marchés internationaux d'AAC, qui deviendra en 2008-2009 le Service des délégués commerciaux du secteur agroalimentaire, qui relève des directeurs généraux compétents d'AAC et du MAECI et d'un directeur principal du SCT et qui consulte les représentants concernés d'AAC et du MAECI
faisant partie des diverses équipes : secteurs géographiques concernés, politique commerciale, investissements, mesure du rendement et ressources humaines.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007-2008 | 15. Dépenses réelles en 2007-2008 | 16. Résultats prévus en 2007-2008 | 17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1. AAC | Marchés et international | a. Équipe des questions internationales – prestation des programmes | 13,8 millions de dollars | 2,5 millions de dollars | 1,7 million de dollars | 1. Reconnaissance et accès à des marchés grâce à la mise en œuvre de la stratégie de promotion de l'image de marque du Canada. | Les spécialistes du secteur de l'agroalimentaire contribuent à la promotion de l'image de marque du Canada à l'étranger en offrant des renseignements opportuns à des clients potentiels, en participant à des foires commerciales, des missions à l'étranger, à l'accueil de missions d'acheteurs, etc. Exemples : participation à cinq salons internationaux de l'alimentation en Russie, notamment la International VIV Show à Moscow; Foodex au Japon; le Salon européen des produits de la mer à Bruxelles; HoFex à Hong Kong; la mission des acheteurs mexicains au Boston Seafood Show. |
2. Amélioration de l'accès aux marchés | Amélioration de l'accès aux marchés grâce à plusieurs postes à l'étranger. Principales réalisations : accès partiel au marché du bœuf en Indonésie; rétablissement de l'accès total au marché du bœuf aux Philippines; maintien de l'accès au marché du bœuf dans le cas de la viande désossée provenant d'animaux âgés de moins de 30 mois à Hong Kong et ce, malgré d'autres cas d'ESB au Canada; réouverture, en juin 2007, du marché du bœuf canadien à Taipei, sous réserve de certaines conditions (viande désossée provenant d'animaux de plus de 30 mois). | ||||||
3. Les obstacles techniques ont été surmontés | On a réussi à surmonter des obstacles techniques pour certains des principaux produits agroalimentaires. Exemples de réalisations : la Korean Food and Drug Administration a ajouté des spécifications pour les produits oxygénés dans sa réglementation. Cette mesure a eu pour effet de permettre l'accès à l'eau oxygénée provenant du Canada; dans le cas du caviar de saumon, Taipei n'exige plus de certificats d'exportation prouvant que le poisson sauvage qui en découle est exempt d'un certain nombre de maladies endémiques propres à l'espèce; l'UE a réduit la restriction concernant l'utilisation ultime pour ce qui est des crevettes cuites et décortiquées, faisant passer le quota à 20 000 tonnes. Cette modification a eu pour effet d'ouvrir considérablement le marché à un plus grand volume de crevettes canadiennes | ||||||
b. Cadre stratégique pour l'agriculture (ajout de 10 postes supplémentaires et régularisation des 6,5 postes existants qui ont été tranférés) | 15,8 millions de dollars (Ce montant inclut les fonds transférés d'AAC au MAECI pour les activités qui appuient les objectifs stratégiques d'AAC et du MAECI) | 3,2 millions de dollars (Ce montant inclut les fonds transférés d'AAC au MAECI pour les activités qui appuient les objectifs stratégiques d'AAC et du MAECI) | 3,2 millions de dollars | 1. Élaboration de plans de travail pour tous les postes de spécialistes de l'agroalimentaire à l'étranger et harmonisation, dans la mesure du possible, en fonction des exigences du MAECI en matière de planification et d'établissement de rapports. |
Élaboration de plans de travail et de rapports. Ces documents continueront d'être révisés et mis à jour au fur et à mesure que les travaux avanceront.
Des progrès ont été réalisés en vue de l'intégration des processus des deux ministères. |
||
2. Dotation des postes vacants. | Choix de candidats pour combler des postes à New Delhi, Dubai et Singapour. Affectation temporaire à Moscou, New York et Miami. | ||||||
3. Formation et visite préparatoire des nouveaux spécialistes de l'agroalimentaire | Organisation de séances de sensibilisation et de formation à l'intention des délégués commerciaux de l'Inde et de Moscou. | ||||||
4. Examen des postes de spécialistes de l'agriculture et de l'agroalimentaire à l'étranger, dans le cas des marchés prioritaires. | Examen terminé. | ||||||
5. Élaboration d'une stratégie de réintégration dans le cas des spécialistes agroalimentaires qui reviennent. | Les agents qui reviennent ont été réintégrés avec succès, conformément au nouveau processus. Cependant, il faudra élaborer une stratégie officielle. | ||||||
c. Mise à jour annuelle des niveaux de référence (MJANR) (dans le cas des postes initiaux) | 9,5 millions de dollars (Ce montant inclut les fonds transférés d'AAC au MAECI pour les activités qui appuient les objectifs stratégiques d'AAC et du MAECI) | 1,9 million de dollars | 1,9 million de dollars | ||||
2. MAECI | Investissements, innovation et secteurs | a. Fonds pour services aux clients (pour les dépenses générales relatives aux postes) | 5,3 millions de dollars | 1,1 million de dollars | 1,1 million de dollars | ||
Total | 44,4 millions de dollars (pour les exercices 2003-2004 Ã 2008-2009) | 8,7 millions de dollars | 7,9 millions de dollars |
18. Remarques sur les écarts :
S.O.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : S.O.
20. Personne ressource :
Bruce Howard, Directeur – Service des délégués commerciaux du secteur agroalimentaire
935, avenue Carling, bureau 1059A
Ottawa (Ontario) K1A 0C5
Tél. : 613 759 6284
howardb@agr.gc.ca
Rermarque : Les chiffres pour les dépenses prévues et les affectations totales représentent les montants inclus dans le Budget des dépenses.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Services conseils aux exploitations agricoles canadiennes
2. Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
3. Activité de programme du ministère responsable :
Innovation et renouveau
4. Date de début de l'initiative horizontale :
1er avril 2003
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
109,0 millions de dollars sur six ans
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Les agriculteurs admissibles ont accès aux services de conseillers financiers capables de les aider à évaluer leur situation financière et à élaborer des plans de relève, des plans d'action et des plans d'activités (finances, commercialisation, valeur ajoutée). En offrant de tels services, cette initiative horizontale contribue au résultat stratégique « innovations propices à la
croissance ». Pour plus de détails, on peut cliquer sur le lien suivant : http://www4.agr.gc.ca/AAFC-AAC/display-afficher.do?id=1177623682220&lang=f
8. Résultat(s) partagé(s) :
a) Amélioration de la rentabilité des agriculteurs
b) Augmentation des sources de revenu possibles
c) Production agricole en fonction des exigences du marché et des consommateurs, tout en assurant la salubrité et la qualité des aliments, ainsi que la protection de l'environnement, et en tirant profit des possibilités en matière de science et d'innovation.
9. Structure de gouvernance :
Élaboration du programme et mesure du rendement par le Groupe de travail fédéral-provincial-territorial sur le renouveau.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007-2008 | 15. Dépenses réelles en 2007-2008 | 16. Résultats prévus en 2007-2008 | 17. Résultats obtenus en 2007 2008 |
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Il convient de signaler que les résultats prévus sont différents des résultats prévus dans le Rapport sur les plans et priorités pour 2007 2008. Les résultats indiqués dans la présente colonne correspondent à ceux des programmes de renouveau selon le Cadre de mesure du rendement récemment approuvé en ce qui a trait à la Structure de gestion des ressources et des résultats. Par ailleurs, ils reflètent mieux les résultats du programme. | |||||||
1. AAC | Innovation et Renouveau | a. Évaluation de l'exploitation agricole (EEA). Cette activité incluait, pour la période initiale du programme, le Programme de consultation agricole (PCA) (un programme semblable au programme EEA) dans les provinces n'ayant pas encore signé leurs propres accords de mise en œuvre du CSA. Le coût de la mise en œuvre du PCA était inclus dans les affectations liées au programme EEA. | 55,8 millions de dollars | 15,3 millions de dollars | 14,3 millions de dollars | Les agriculteurs et les familles agricoles atteignent leurs objectifs financiers. |
En 2007-2008, 8 086 producteurs ont participé au programme EEA et 5 759 d'entre eux l'ont fait par l'intermédiaire du programme Options.
55 p. 100 des répondants au sondage sur l'évaluation des répercussions estiment que le programme EEA les a aidé à atteindre leur principal objectif. Environ 77 p. 100 des répondants ont indiqué que leurs principaux objectifs étaient des objectifs financiers. |
b. Services spécialisés de planification d'entreprise (SSPE) | 26,5 millions de dollars | 5,5 millions de dollars | 7,2 millions de dollars | Les agriculteurs et les familles agricoles atteignent leurs objectifs financiers. | 643 producteurs ont participé au programme SSPE en 2007 2008, pour un total cumulatif de 1 817. Au total, 71 p. 100 des répondants au sondage sur l'évaluation des répercussions estiment que le programme SSPE les a aidé à atteindre leur principal objectif et 49 p. 100 des répondants ont indiqué que leurs principaux objectifs étaient des objectifs financiers. | ||
c. Programme de planification et d'évaluation pour les entreprises de produits à valeur ajoutée (PEEPVA) | 26,7 millions de dollars | 1,5 million de dollars | 0,6 million de dollars | Les agriculteurs et les familles agricoles atteignent leurs objectifs financiers. | 28 producteurs ont participé au PEEPVA en 2007 2008, pour un total cumulatif de 161. | ||
Total | 109,0 millions de dollars (exercices 2003 2004 Ã 2007 2008) | 22,3 millions de dollars | 22,1 millions de dollars | Les agriculteurs et les familles agricoles atteignent leurs objectifs financiers. |
D'après l'Enquête nationale sur le renouveau réalisée en 2007, 41 p. 100 des agriculteurs et des familles agricoles atteignent leurs objectifs personnels et professionnels, comparativement à 37 p. 100 en 2004.
Par ailleurs, 30 p. 100 des répondants ont indiqué que leur principal objectif professionnel consiste à maximiser le rendement, comparativement à 26 p. 100 en 2004. Entre 2003 et 2008, 21 144 producteurs ont participé aux programmes EEA, SSPE et PEEPVA. |
18. Remarques sur les écart :
La connaissance accrue du programme EEA, ainsi que l’exigence d’observance intégrale associée au programme Options, ont entraîné un taux de participation plus élevé que prévu en 2007-2008. Par ailleurs, le taux de participation au programme SSPE était à peu près identique à celui de 2006-2007 et le taux de participation au programme PEEPVA a légèrement diminué en
2007-2008.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Planification et exécution conjointes (par le gouvernement fédéral et les provinces), ce qui fait que les résultats provinciaux ne sont pas différents.
20. Personne-ressource :
Johanne Métayer, directrice
Division du renouveau, Direction générale des programmes financiers pour l’agriculture
Agriculture et Agroalimentaire Canada
613-759 6689
Remarque : Les chiffres pour les dépenses prévues et les affectations totales représentent les montants inclus dans le budget des dépenses.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Protocole d'entente (PE) avec l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) au sujet de la salubrité et de la qualité des aliments
2. Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
3. Activité de programme du ministère responsable :
Salubrité et qualité des aliments
4. Date de début de l'initiative horizontale :
1er avril 2003 pour les deux initiatives
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
31 mars 2008 pour l'initiative des aliments médicamenteux
31 mars 2009 pour le Programme de reconnaissance de la salubrité des aliments à la ferme
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
29,4 millions de dollars sur six ans.
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Établissement de normes minimales, ainsi que de stratégies d'inspection et d'application de la loi à l'intention des fabricants d'aliments médicamenteux pour les animaux destinés à la consommation. Mise en oeuvre du Programme de reconnaissance de la salubrité des aliments à la ferme (PRSAF), qui assure la reconnaissance, par l'État, de systèmes de salubrité des aliments fondés sur les
principes HACCP élaborés et mis en oeuvre par des associations nationales de producteurs.
Exemples d'activités particulières prévues dans le cadre de l'initiative des aliments médicamenteux :
- adoption et application des règlements sur les aliments médicamenteux afin d'établir des normes minimales à l'intention des fabricants d'aliments médicamenteux dans le cas des animaux destinés à la consommation;
- établissement de normes et élaboration de politiques à l'appui de la conception et de la mise en oeuvre d'un système d'inspection et d'homologation dans le cas des usines d'aliments et des fermes visées, grâce à l'évaluation des procédures de fabrication et de leurs dossiers.
Activité particulière prévue dans le cadre du Programme de reconnaissance de la salubrité des aliments à la ferme :
- Mise sur pied d'un système de reconnaissance des programmes de salubrité des aliments à la ferme, afin de veiller à ce qu'il y ait des mécanismes de surveillance gouvernementaux appropriés pour garder la confiance des partenaires commerciaux du Canada et pour faciliter le libre accès aux marchés.
8. Résultat(s) partagé(s) : (PE, article 1.2)
a) protéger la santé humaine en réduisant l'exposition aux risques;
b) accroître la confiance des consommateurs à l'égard de la salubrité et de la qualité des aliments produits au Canada.
9. Structure de gouvernance :
Le modèle de gouvernance du PE comporte trois niveaux :
1) le Comité de gestion mixte (CGM), qui approuve les plans de travail dont les coûts ont été établis, ainsi que leurs étapes-clés, leurs objectifs et leurs indicateurs, examine les dépenses et rend compte deux fois par année de ses résultats au Comité des sous-ministres;
2) le Comité des sous-ministres, qui examine et recommande le versement annuel des fonds qui sont conservés dans une affectation bloquée par le Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) et qui recommande aux ministres d'approuver les changements lorsque les objectifs du PE changent considérablement;
3) les ministres, qui approuvent les changements lorsque les objectifs du PE changent considérablement et qui constituent le dernier recours pour la résolution de conflits.
Un représentant du SCT siège au CGM à titre de membre d'office.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007-2008 | 15. Dépenses réelles en 2007-2008 | 16. Résultats prévus en 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1. AAC (travaux réalisés par l'ACIA) |
Salubrité et qualité des aliments (AAC)
2007-2008 Salubrité des aliments et santé publique (ACIA) |
Programme de reconnaissance de la salubrité des aliments à la ferme (PRSAF) | 10 millions de dollars pour la période allant de 2003-2004 à 2007-2008, plus 2,4 millions de dollars pour 2008-2009, pour un total de 12,4 millions de dollars sur six ans (CSA plus la première année de l'initiative Cultivons l'avenir) | 1,98 million de dollars | 1,5 million de dollars | Élaboration du PRSAF - Élaboration et mise au point des exigences, critères et procédures applicables pour la vérification par une tierce partie dans le cadre du processus d'accréditation |
- Mise au point de la procédure de vérification par une tierce partie dans le cadre du processus d'accréditation. |
- Mise en oeuvre du processus d'évaluation (système de gestion industrielle) - Processus de surveillance continue - Réalisation de projets pilotes sur l'accréditation et évaluation de la mise en oeuvre - Formation des partenaires de l'industrie et des représentants de l'État en ce qui a trait aux détails liés aux processus ci dessus |
- Mise au point des dernières étapes du PRSAF, de concert avec l'industrie et les gouvernements FPT | ||||||
Mise en oeuvre du PRSAF - Examen technique continu des modèles génériques fondés sur les normes HACCP et des manuels des producteurs - Mise à l'essai du système de gestion |
- Réalisation d'examens techniques en ce qui a trait à deux autres modèles génériques de l'industrie et manuels des producteurs fondés sur les principes HACCP et début de l'examen de quatre autres - Mise à l'essai du système de gestion industrielle |
||||||
- Examen technique continu du manuel des procédures de l'industrie, ainsi que des documents et manuels du système de gestion
Activités élargies (grâce au financement ayant fait l'objet d'un nouveau ciblage) |
- Aucun autre système de gestion industrielle n'a été proposé
- Examen et mise à jour des renseignements existants et des renseignements supplémentaires se rapportant à la BDR. |
||||||
- Conception et mise en oeuvre de l'application en ligne pour la prestation de renseignements techniques se rapportant à la BDR à l'intention des intervenants | - Élaboration et mise en oeuvre de l'application en ligne | ||||||
Modèles génériques - Élaboration de modèles génériques fondés sur les normes HACCP (à la ferme et en aval) pour les produits visés Lignes directrices |
- Élaboration de modèles génériques fondés sur les principes HACCP et de documents d'orientation sur la salubrité des aliments pour les pousses, les légumes frais prêts à manger, ainsi que les épices, et distribution aux intervenants | ||||||
- Élaboration et mise en oeuvre d'un module de formation associé au document de référence
Amélioration des connaissances - La collaboration avec les provinces et les intervenants se poursuit en vue de la détermination des lacunes en matière de connaissances et d'information et de l'intégration à des plans génériques et à une base de données sur les risques, le cas échéant. Programme de reconnaissance en aval de la production agricole primaire - Prise en compte des besoins des intervenants et intégration des outils et de la méthodologie du PRSAF aux fins du Programme de reconnaissance en aval de la production agricole primaire (PRAPAP). |
- Réalisation de ces travaux dans le cadre d'autres activités - Réalisation de ces travaux dans le cadre d'autres activités
- Analyse des besoins des intervenants et du PRSAF. Activités préliminaires liées à la conversion des manuels du PRSAF en vue de l'utilisation avec le PRAPAP |
||||||
- Élaboration d'une stratégie de mise en oeuvre | - Élaboration du programme et d'un plan de mise en oeuvre | ||||||
- Mise à l'essai du processus d'examen technique des plans fondés sur les principes HACCP et des manuels des participants | - Le projet pilote sera réalisé après la sélection des représentants de l'industrie et de l'État | ||||||
- Élaboration du processus d'examen technique associé au système de gestion | - Réalisation d'activités préliminaires liées à la conversion des manuels du PRSAF en vue de l'utilisation pour le PRAPAP proposé | ||||||
Conseils techniques - Prestation de conseils scientifiques et techniques en temps opportun à l'intention d'AAC et de ses intervenants |
- Prestation de conseils scientifiques et techniques en temps opportun à l'intention d'AAC et de ses intervenants | ||||||
Collecte et échange de renseignements - Organisation d'un atelier avec des partenaires provinciaux afin de déterminer les besoins en matière de renseignements, les objectifs et les options en matière de gestion de l'information |
- Réalisation de ces travaux dans le cadre d'autres activités | ||||||
Surveillance - Connaissances actuelles en ce qui a trait à la prévalence du virus E. coli 0157 :H7, de la salmonellose et de la campylobactérie chez les animaux destinés à la consommation humaine et dans les produits de la viande commercialisés au Canada. - Détermination des lacunes critiques devant être comblées en ce qui a trait aux plans de salubrité des aliments. Renforcement des programmes de salubrité des aliments - Élaboration des principales stratégies de salubrité des aliments, de traçabilité et de qualité, en collaboration avec des collègues d'autres ministères et des représentants des gouvernements PT et des intervenants externes - Élaboration d'un outil d'établissement de modèles de risques pour évaluer les profils de risque |
Conception d'un sondage pour l'étude de surveillance.
- Participation et contribution de l'ACIA aux délibérations de différents comités et groupes de travail intraministériels et interministériels – p. ex., le Comité FPT sur la salubrité des aliments et le sous comité de reconnaissance de l'analyse des risques de la maîtrise des points critiques (HACCP). Élaboration de l'initiative Cultivons l'avenir et proposition de programmes en matière d'agriculture et de santé. |
||||||
ACIA | Protection des ressources animales et végétales | Règlement sur les aliments médicamenteux | 17 millions de dollars pour la période allant de 2003-2004 à 2007-2008. | 3,36 millions de dollars | 2,6 millions de dollars |
Élaboration des règlements proposés
- Élaboration et mise au point de la réglementation, y compris le résumé de l'étude d'impact de la réglementation et d'autres documents; publication de la réglementation proposée dans les parties I et II de la Gazette |
Élaboration des règlements proposés
Élaboration de la réglementation après consultation des intervenants. Le ministère de la Justice est en train de l'examiner. On s'attend à ce que la réglementation soit publiée dans la partie 1 de la Gazette à la fin de 2008. Examen et révision du résumé de l'étude d'impact de la réglementation. |
-Poursuite de la participation à des réunions bilatérales et multilatérales avec les intervenants et à des conférences afin de discuter de la réglementation proposée |
Organisation de réunions avec les intervenants afin de déterminer les mesures de contrôle nécessaires pour obtenir des résultats et élaboration du manuel de procédures pour indiquer de quelle façon on doit procéder pour mettre en oeuvre et évaluer les contrôles proposés.
Organisation de douze séances d'information à l'échelle nationale afin d'informer les intervenants quant à la réglementation proposée. |
||||||
- Analyse de la conjoncture en ce qui a trait aux options en matière d'homologation
- Ouverture d'un bureau fonctionnel responsable de l'homologation |
Élaboration d'un modèle de classement des risques afin de déterminer le risque que présentent les résidus de médicaments pour la santé des humains et des animaux. Présentation de l'ébauche du modèle aux intervenants, à la USFDA et au gFARAD. Les travaux se poursuivent.
On a décidé de ne pas consacrer trop d'argent à l'évaluation des options et à l'ouverture d'un bureau tant que la réglementation n'aura pas été approuvée |
||||||
Accréditation d'un laboratoire
- Les travaux se poursuivent en vue de l'élaboration d'un système d'accréditation d'un laboratoire pour les garanties et les résidus de médicaments |
Accréditation d'un laboratoire
Les travaux se poursuivent en vue de l'accréditation ISO 97025 par l'intermédiaire du CSC. Élaboration de nouvelles méthodes pour déceler les traces d'ingrédients médicamenteux. |
||||||
Élaboration d'un programme de formation/d'accréditation des inspecteurs
- Élaboration d'un programme national de formation et d'évaluation à l'intention des employés affectés à l'inspection des aliments |
Élaboration d'un programme de formation/d'accréditation des inspecteurs
Élaboration d'une série de manuels de formation, de cours en ligne et de modèles d'ateliers. Le lancement du programme de formation est prévu pour juillet 2008. Mise au point et mise à l'essai de protocoles en matière d'installations d'inspection en fonction de la réglementation. |
||||||
Applications informatisées
- Amélioration du système de la TI pour assurer la disponibilité de renseignements exacts et exhaustifs sur la conformité |
Élaboration d'un système de vérification de la conformité dans le cas d'installations d'inspection.
Applications informatisées Les membres de l'équipe des aliments médicamenteux ont coordonné la présentation du programme en vue de l'amélioration du programme d'activités multi sectorielles (PAM), notamment en vue de l'établissement de rapports. |
||||||
Total | 29,4 millions de dollars (pour la période allant de 2003-2004 à 2008-2009; fonds transférés d'AAC à l'ACIA) |
5,34 millions de dollars | 4,1 millions de dollars |
18. Remarques sur les écarts :
L'élaboration du PRSAF se poursuit étant donné que d'autres discussions avec l'industrie et les gouvernements FPT s'imposent quant à la nécessité et à l'ampleur des dernières étapes du processus de reconnaissance. Dans le cadre du processus de l'assurance de la qualité, l'application en ligne et la mise à l'essai par les utilisateurs visent la base de données sur les risques.
L'élaboration du PRSAF se poursuivra en 2008-2009 en vertu d'un protocole d'entente. Conformément aux règlements sur les aliments médicamenteux, on a décidé de ne pas consacrer beaucoup d'argent à l'évaluation des options en matière d'octroi de permis et à l'ouverture d'un bureau tant que la version définitive du règlement n'aura pas été approuvée.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Sans objet
20. Contact Information
Anita Stanger
Director
Food Safety and Quality Programs Division
613-759-6054
Remarque : Les chiffres pour les dépenses prévues et les affectations totales représentent les montants inclus dans le Budget des dépenses.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Protocole d'entente (PE) avec Santé Canada (SC) sur la salubrité et à la qualité des aliments et sur l'environnement
2.Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
3. Activité de programme du ministère responsable :
Salubrité et qualité des aliments
4. Date de début de l'initiative horizontale :
1er avril 2003
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
56,5 millions de dollars sur six ans.
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Effectuer des travaux de recherche à l'appui de projets de normalisation, de l'établissement de normes, de normes en matière de salubrité des aliments à la ferme, de la surveillance nationale intégrée des agents pathogènes entériques et de la détermination de l'impact des antimicrobiens utilisés à la ferme sur la santé humaine.
Exemples d'activités particulières :
8. Résultat(s) partagé(s) :
a) Protéger la santé humaine en réduisant l'exposition aux risques.
b) Accroître la confiance des consommateurs à l'égard de la salubrité et de la qualité des aliments produits au Canada.
c) Réduire les risques que présente l'agriculture pour l'environnement et prendre des mesures bénéfiques pour la qualité de l'eau et son approvisionnement, les grandes priorités étant les nutriments, les agents pathogènes chez l'humain, les pesticides et la conservation de l'eau. [PE, article 1.2]
9. Structure de gouvernance :
Le modèle de gouvernance du PE comporte trois niveaux :
1) le Comité de gestion mixte (CGM), qui approuve les plans de travail dont les coûts ont été établis, ainsi que leurs étapes-clés, leurs objectifs et leurs indicateurs, examine les dépenses et rend compte deux fois par année de ses résultats au Comité des sous-ministres;
2) le Comité des sous-ministres, qui examine et recommande le versement annuel des fonds qui sont conservés dans une affectation bloquée par le Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) et qui recommande aux ministres d'approuver les changements lorsque les objectifs du PE changent considérablement;
3) les ministres, qui approuvent les changements lorsque les objectifs du PE changent considérablement et qui constituent le dernier recours pour la résolution de conflits. Un représentant du SCT siège au CGM à titre de membre d'office. Cette structure de gouvernance du PE est appuyée par le Groupe de travail interministériel des directeurs généraux, qui est formé des directeurs
généraux appropriés d'AAC, de SC et de l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC), ainsi que d'un directeur principal du SCT.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007-2008 | 15. Dépenses réelles en 2007-2008 | 16. Résultats prévus en 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1. | Salubrité et qualité des aliments | a. SC - Normes de salubrité des aliments à la ferme | 11,9 millions de dollars | 2,5 millions de dollars | 2,5 millions de dollars | Amélioration de la qualité, de la quantité et de la disponibilité des renseignements pertinents en ce qui a trait à la salubrité des aliments à la ferme. Politiques et stratégies en matière de gestion des risques applicables à la ferme. |
- Élaboration du Réseau canadien d'information entre laboratoires (RCIL), une base de données centrale consultable renfermant des renseignements sur les différents niveaux de contaminants chimiques contenus dans les aliments : les données produites par SC et par le CNRC seront facilement accessibles en vue de l'évaluation des risques pour la santé et des activités d'élaboration de politiques du Ministère. |
L'industrie a élaboré des programmes de salubrité des aliments à la ferme reconnus par les programmes de salubrité des aliments à la ferme.
Collaboration entre les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux en ce qui a trait à la définition des enjeux, à l'analyse des écarts et à la collecte de données à l'appui de la recherche et de l'élaboration de politiques. (Travaux devant être exécutés par SC en vue d'obtenir les résultats stratégiques d'AAC, de SC et de l'ASPC) |
- Élaboration d'une stratégie en matière de salubrité des aliments et obtention d'un accord de principe de la part du Comité FPT sur la salubrité des aliments en vue de l'utilisation de cette stratégie pour déterminer les principales activités et priorités devant être examinées par les SMA FPT de l'Agriculture et de la Santé. | ||||||
b. SC - Recherche à l'appui de l'établisse-ment de normes | 9,2 millions de dollars | 2,0 millions de dollars | 2,0 millions de dollars |
Capacité accrue de déceler et de contrôler les principaux pathogènes d'origine alimentaire et contaminants chimiques contenus dans les aliments et les intrants alimentaires à la ferme.
Connaissance scientifique accrue des principaux pathogènes et contaminants chimiques contenus dans les aliments et les intrants alimentaires à la ferme. Contribution scientifique accrue à l'élaboration de stratégies d'intervention fondées sur les résultats en ce qui a trait à la salubrité des aliments à la ferme. Établissement ou renforcement de partenariats entre les décideurs et les chercheurs de l'État, les universitaires et les associations industrielles, afin d'optimiser la recherche coordonnée sur la salubrité des aliments à la ferme. (Travaux devant être exécutés par SC en vue d'obtenir les résultats stratégiques d'AAC et de SC) |
- Surveillance de produits agricoles à l'état brut, d'aliments pour animaux et de fumier de compost des fermes, afin de mieux comprendre la transmission des virus Shigella et Salmonella, de virus tels que les norovirus et d'autres pathogènes clés du système alimentaire. Ces mesures permettront de déterminer les principaux secteurs d'intervention pour
gérer les risques microbiologiques et pour établir des codes de déontologie et des documents d'information. - On a découvert notamment une souche humaine de norovirus chez les animaux pouvant être transmise à des humains par le biais de la chaîne alimentaire. Cette découverte pourrait avoir de vastes répercussions sur les politiques. - Découverte d'un taux de prévalence élevé de Giardia et de Cryptospridium (parasites de souche humaine) sur les fermes et de la transmission zoonotique de ces pathogènes par voie de contact direct, dans l'eau ou dans les aliments. Cette découverte pourrait avoir de vastes répercussions sur les politiques. - Détermination des niveaux de résidus contenus dans les portions individuelles de produits à la ferme, afin d'établir l'incidence du compostage. Ces données permettent de déterminer les traces de contamination chimique et de résidus dans une exploitation en pleine expansion, ainsi que l'exposition à ces contaminants en milieu de travail. - Vaste examen des allergènes et élaboration d'un document de mise à jour sur les risques associés à l'inclusion de quantités restreintes d'avoine pur dans l'alimentation des patients atteints de la maladie caeliaque. - Examen de l'évaluation des risques associés aux dioxines, aux furans et aux BPC. La dose journalière admissible (DJA) selon SC dans le cas des dioxines (et des BPC) a été révisée et elle est maintenant presque cinq fois moins élevée qu'auparavant. |
||
c. ASPC - Surveillance nationale intégrée des maladies entériques | 3,3 millions de dollars | 0,7 million de dollars | 0,7 million de dollars |
Un programme de surveillance nationale intégrée des maladies entériques est opérationnel dans une unité sentinelle (humains, aliments, aliments pour animaux, eau) Synthèse et analyse des données en ce qui a trait aux tendances/nouveaux enjeux.
(Travaux devant être exécutés par l'ASPC en vue d'obtenir les résultats stratégiques d'AAC, de SC et de l'ASPC) |
- Établissement d'un cadre pour la surveillance nationale intégrée des unités sentinelles - Consultation des intervenants à l'échelle nationale et internationale - Élaboration et signature de PE et d'accords - Mise en oeuvre et mise à l'essai d'une unité sentinelle dans la région de Kitchener-Waterloo. - Rapports, publications, exposés |
||
d. ASPC - Réper-cussions humaines de l'utilisation d'agents antimicro-biens dans les exploitations agricoles | 3,3 millions de dollars | 0,7 million de dollars | 0,7 million de dollars |
Études à la ferme sur l'utilisation d'agents antimicrobiens et la mise au point de pathogènes résistants. Synthèse et analyse des données en ce qui a trait aux tendances/nouveaux enjeux. (Travaux devant être exécutés par l'ASPC en vue d'obtenir les résultats stratégiques d'AAC, de SC et de l'ASPC) |
- Le consensus entre les intervenants a contribué à l'établissement d'un cadre axé sur les unités sentinelles (vétérinaires/exploitants agricoles) permettant d'assurer la biosécurité des troupeaux et la confidentialité des données. - Ce programme national est opérationnel dans les cinq grandes provinces productrices de porc et il vise 28 vétérinaires et 108 unités sentinelles. - L'aide supplémentaire offerte par la Colombie Britannique, l'Alberta et la Saskatchewan, sous forme de contributions en espèces et de contributions en nature, a permis d'améliorer les données dans ces provinces. - La surveillance à la ferme permet d'obtenir les seules données utiles sur l'utilisation d'agents antimicrobiens chez les animaux au Canada. - Les organismes de financement des provinces, du gouvernement fédéral et de l'industrie ont financé la recherche à la ferme en vue de l'élargissement de la portée de ce programme de surveillance de façon à inclure d'autres produits. - Cette infrastructure offre une plate forme permettant de régler les problèmes au fur et à mesure qu'ils surviennent (p. ex., le staphylocoque doré résistant à la méthicilline (SARM) chez les agriculteurs). |
||
e. SC - surveillance de la qualité de l'eau | 4,8 millions de dollars (4,0 millions de dollars pour SC et 0,8 million de dollars pour AAC) | 0,7 million de dollars | 0,7 million de dollars |
Déterminer si l'agriculture contribue à la contamination microbiologique (coliformes fécaux) de l'eau potable dans le cas de trois bassins hydrographiques distincts, ce qui permettra de contribuer à l'élaboration de politiques et stratégies permettant de réduire l'exposition des humains aux coliformes fécaux (voir le modèle logique et l'AAP de SC).
(Travaux devant être exécutés par SC et par AAC en vue d'obtenir les résultats stratégiques d'AAC et de SC) |
- Réunions annuelles de planification stratégique; mise au point des activités liées à l'étude pour chacune des cinq premières années. - Prélèvement d'un échantillon à l'aide des méthodes optimisées de détermination de l'origine des agents antimicrobiens (eau et coliformes fécaux) dans le cas du bassin hydrographique de la rivière South Nation, entre 2004 et novembre 2007. - Rédaction de rapports scientifiques exhaustifs annuels. - Présentation des résultats dans le cadre de tribunes nationales et internationales, contribuant ainsi à la promotion des méthodes de détermination de l'origine des agents antimicrobiens. - L'exploration des données se poursuit. |
||
AAC - Recherche à l'appui des priorités du CSA | 24,0 millions de dollars | 4,0 millions de dollars | 4,0 millions de dollars | Connaissances scientifiques et données sur la salubrité des aliments. | Réalisations de recherches en vue de déterminer l'incidence de l'utilisation d'agents antimicrobiens dans le cadre des stratégies de rechange de production alimentaire, afin de réduire l'utilisation d'antibiotiques chez les animaux, d'améliorer la détection et le contrôle des virus contenus dans les aliments, ainsi que les bactéries et les produits chimiques, notamment les mycotoxines, d'améliorer les connaissances en ce qui a trait aux mécanismes biochimiques et aux processus et à leur incidence sur la sensibilité aux allergènes et de mieux comprendre les interactions d'agents microbiens dans le contexte de la production alimentaire, de la ferme à l'assiette, et l'incidence de ces interactions sur la salubrité des aliments. | ||
Élaboration de méthodes permettant de déceler et de quantifier les virus contenus dans les aliments, les pathogènes d'origine alimentaire, ainsi que les allergènes et les mycotoxines contenus dans les aliments. | - Il semble que les réactions allergiques soient à la hausse au Canada. Voici des exemples de répercussions des recherches d'AAC dans ce domaine : Les scientifiques d'AAC ont produit du matériel de référence en ce qui a trait au contrôle - des allergènes, en vue de l'élaboration d'une méthode, de l'évaluation et de la validation à l'appui de la politique de Santé Canada en matière d'allergènes pour la détection des allergènes associés aux arachides contenues dans le chocolat. Détermination des sources possibles d'allergènes et de contaminants durant la transformation des aliments afin d'offrir des produits hypoallergéniques aux consommateurs à risque. - On a fourni des échantillons d'allergènes à des scientifiques européens en vue d'une épreuve à double insu portant sur les allergies alimentaires réalisée par Europrevall. - Réalisation d'une étude nord américaine (26 Canadiens et Américains) et identification de 13 allergènes (dont cinq nouveaux) et établissement de la prévalence de l'allergie aux fèves de soya chez la population en général. Par ailleurs, on a examiné plus de 2 500 types de soya pour déterminer s'ils renferment des aliments hypoallergéniques et des anticorps ont été développés dans un cas. Le classement détaillé des protéines allergéniques se poursuit alors que les fèves de soya sont considérées comme l'une des dix principales sources d'allergies alimentaires. |
||||||
Poursuite de la conception et de l'évaluation des stratégies en vue du contrôle des agents pathogènes contenus dans les aliments, aux étapes de production, de transformation, de distribution, etc. | - Grâce à des partenariats établis avec l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), Santé Canada et des organismes provinciaux, le groupe responsable de la virologie alimentaire a effectué des percées en ce qui a trait à la méthode permettant de déceler et de quantifier les virus pathogènes d'origine alimentaire dans le cas de produits
alimentaires complexes. - AAC, SC, l'ACIA et l'ASPC ont entrepris conjointement la réalisation d'un projet de surveillance nationale intégrée d'une durée de quatre ans afin de trouver des solutions aux problèmes récurrents de contamination de produits horticoles frais, notamment la détection et le contrôle de la bactérie E. coli (ECPV; y compris E. coli O157 :H7 et les souches semblables). Il convient de signaler que les recherches portant sur l'incidence de bactéries bénéfiques - les probiotiques - sur la virulence de la bactérie E. coli O157 :H7 (bactérie responsable de la « maladie du hamburger ») a permis de constater que les probiotiques pourraient jouer un rôle dans le traitement des infections attribuables à la bactérie E. coli O157 :H7. - Une étude intégrée de l'incidence des agents pathogènes et de l'utilisation des antibiotiques chez le boeuf et le porc sur la salubrité des aliments se poursuit. Les résultats permettront de déterminer s'il est possible de diminuer l'utilisation d'antibiotiques chez les animaux, diminuant ainsi le taux de résistance aux antibiotiques. |
||||||
Total | 56,5 millions de dollars (les activités pour lesquelles AAC est considéré comme un partenaire, mais les travaux sont effectués par SC et par l'ASPC donnent lieu au transfert de fonds d'AAC à SC) - voir le remarque | 10,6 millions de dollars (les activités pour lesquelles AAC est considéré comme un partenaire, mais les travaux sont effectués par SC et par l'ASPC donnent lieu au transfert de fonds d'AAC à SC) | 10,6 millions de dollars |
18. Remarques sur les écarts :
Le PE n'est plus en vigueur depuis le 31 mars 2008. Tous les fonds ont été utilisés. SC et l'ASPC aimeraient bien collaborer à nouveau.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
S.O.
20. Personne ressource :
Maria Nazarowec White, Ph.D
Coordonnatrice du programme
Direction générale de la recherche
Salubrité et qualité des aliments
613-759-6378
Remarque : Les chiffres pour les dépenses prévues et les affectations totales représentent les montants inclus dans le Budget des dépenses.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Protocole d'entente (PE) avec Environnement Canada (EC) concernant l'Initiative sur les normes agroenvironnementales nationales (INAN)
2. Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
Environnement Canada
3. Activité de programme du ministère responsable :
AAC : Environnement
EC : Programme des paysages durables sur le plan agricole
4. Date de début de l'initiative horizontale :
1er avril 2004
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
31 mars 2008
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
25 millions de dollars sur quatre ans.
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Cette initiative vise l'élaboration de « normes de rendement » agroenvironnementales non réglementaires (c.-à -d. des normes fondées sur les résultats) pour obtenir les niveaux souhaités de qualité environnementale et les niveaux jugés atteignables grâce aux technologies et pratiques connues. Ces normes serviront de points de repère et d'objectifs pour évaluer la performance
environnementale. Elles pourront également contribuer à orienter l'élaboration de pratiques adoptées par les producteurs et par l'industrie pour contribuer à réduire les risques pour l'environnement et assurer la santé et l'approvisionnement en eau, ainsi que la qualité de l'eau, des sols, de l'air et de l'atmosphère, assurant ainsi la compatibilité entre la biodiversité et
l'agriculture. Les normes seront élaborées en fonction de quatre thèmes, soit : l'air, l'eau, la biodiversité et les pesticides.
Le financement de l'INAN a été attribué à EC en vertu du CSA et les affectations sont attribuées à EC une fois par année par suite de la décision du Comité des sous ministres, en fonction de la recommandation du Comité de gestion mixte.
8. Résultat(s) partagé(s) :
a) On a établi des normes agroenvironnementales nationales uniformes qui concourent à l'objectif d'une agriculture respectueuse de l'environnement au Canada, et qui permettent d'évaluer les progrès accomplis en ce sens et de prouver que ces progrès sont réels.
b) Le Canada se fait de plus en plus reconnaître comme chef de file mondial en production agricole respectueuse de l'environnement.
c) On soutient la planification environnementale à la ferme, de même que le cheminement vers la certification agroenvironnementale.
d) L'adhésion aux normes nationales permet de renforcer la qualité de l'eau et l'alimentation en eau, ainsi que la santé des sols, de l'air et de l'atmosphère.
e) On assure la compatibilité entre l'agriculture et la biodiversité.
9. Structure de gouvernance :
Le modèle de gouvernance du PE comporte trois niveaux :
1) le Comité de gestion mixte (CGM), qui approuve les plans de travail dont les coûts ont été établis, ainsi que leurs étapes-clés, leurs objectifs et leurs indicateurs; il examine les dépenses et rend compte deux fois par année de ses résultats au Comité des sous-ministres;
2) le Comité des sous-ministres, qui examine et recommande le versement annuel des fonds qui sont conservés dans une affectation bloquée par le Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) et qui recommande aux ministres d'approuver les changements lorsque les objectifs du PE changent considérablement;
3) les ministres, qui approuvent les changements lorsque les objectifs du PE changent considérablement et qui constituent le dernier recours pour la résolution de conflits.
Un représentant du SCT siège au CGM à titre de membre d'office.
Cette structure de gouvernance du PE est appuyée par le Groupe de travail interministériel des directeurs généraux, qui est formé des directeurs généraux appropriés d'AAC, de SC et de l'Agence de santé publique du Canada (ASPC), ainsi que d'un directeur principal du SCT.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007-2008 | 15. Dépenses réelles en 2007-2008 | 16. Résultats prévus en 2007-2008 | 17. Résultats obtenus en 2007 2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
AAC | Environnement | PE avec EC concernant l'INAN | 25,0 millions de dollars (pour les exercices 2004-2005 à 2007-2008) | 4,3 millions de dollars | 4,3 millions de dollars | - Établissement de protocoles et de normes pour l'eau, la biodiversité, l'air et les pesticides - Évaluation scientifique de la qualité de l'air - Recommandation de normes et élaboration d'une ébauche de plan de mise en oeuvre - Élaboration de matériel de communication et organisation d'un atelier à l'intention des intervenants |
- EC a établi environ 90 normes en matière de performance environnementale en ce qui a trait à l'eau (éléments nutritifs, pathogènes, sédiments, débit d'entrée, alimentation), à la biodiversité (habitat), aux pesticides (normes idéales et atteignables pour les pesticides présentant des risques élevés, normes fondées sur les risques, normes
météorologiques pour la vaporisation, normes en matière de mélange fondées sur les denrées) et de l'air (émission d'ammoniac dans le secteur de l'agriculture et rôle pour ce qui est de la formation de particules) - Évaluation scientifique de la teneur en ammoniac. - L'analyse de la maturité des normes applicables aura lieu au cours du présent exercice. - Publication de deux bulletins d'information et de rapports techniques pour 2007. |
EC | Programme des paysages durables sur le plan agricole | PE avec AAC concernant l'INAN | Les mêmes que ci dessus | Les mêmes que ci dessus | |||
Total | 25,0 millions de dollars (travaux à être effectués par EC pour contribuer à l'obtention des résultats stratégiques conjoints d'EC et d'AAC) | 4,3 millions de dollars | 4,3 millions de dollars |
18. Remarques sur les écarts :
19. Résultats atteints par les partenaires non fédéraux :
Il n'y a pas de partenaires non fédéraux.
20. Personne-ressource :
Sarah Kalff
Gestionnaire, Service de l'analyse et de l'information
Bureau des politiques agroenvironnementales
613-715-5195
Remarque : Les chiffres pour les dépenses prevues et les affectations totales représentent les montants inclus dans le Budget des dépenses.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Assurance-production (AP)
2. Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
3. Activité de programme du ministère responsable :
Gestion des risques de l'entreprise (GRE)
4. Date de début de l'initiative horizontale :
1er avril 2003
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
31 mars 2008
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
2 milliards de dollars sur cinq ans (estimation).
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
L'AP est l'un des deux principaux programmes fédéraux-provinciaux-territoriaux de GRE offerts aux producteurs canadiens sous le régime du Cadre stratégique pour l'agriculture (CSA). Le programme d'AP est conçu de façon à assurer la stabilisation du revenu des producteurs en minimisant les répercussions économiques des pertes de production découlant de catastrophes naturelles comme la
sécheresse, la grêle, le gel et l'humidité excessive, ainsi que les ravageurs et les maladies incontrôlables. Les producteurs et l'État se partagent les coûts du programme. La mise en oeuvre du programme relève des provinces et le gouvernement fédéral contribue à une partie des primes totales et des frais d'administration. En assurant la stabilisation du revenu des producteurs, cette
initiative horizontale contribue à l'objectif stratégique « sécurité du système alimentaire » d'AAC.
8. Résultat(s) partagé(s) :
Élargir la protection contre les pertes de production de façon à inclure une plus vaste gamme de produits agricoles et réduire ainsi la nécessité d'indemnités spéciales.
9. Structure de gouvernance :
Le programme d'AP est un programme provincial-territorial auquel le gouvernement fédéral contribue financièrement en vertu des accords fédéraux provinciaux-territoriaux de mise en oeuvre du CSA. La structure de gouvernance inclut diverses normes nationales prévues dans la réglementation fédérale sur l'assurance-production, ainsi que des comités fédéraux-provinciaux (Groupe de travail
sur l'assurance-production et Groupe de travail de la GRE et des sous ministres adjoints responsables des politiques).
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007-2008 | 15. Dépenses réelles en 2007-2008 | 16. Résultats prévus en 2007-2008 | 17. Résultats obtenus en 2007 2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1. AAC | Gestion des risques de l'entreprise | Assurance-production | 2 milliards de dollars (pour les exercices 2003-2004 à 2007-2008) | 407,2 millions de dollars | 422,1 millions de dollars | 1. Augmentation des nouveaux programmes et options offerts aux agriculteurs, y compris de nouveaux plans pour les secteurs de l'horticulture, des cultures fourragères et du bétail. | 12 nouveaux plans, programmes et options. |
Participation accrue des provinces et des territoires à l'application des nouvelles options de programme | 2. Participation accrue des producteurs dans les provinces et territoires qui ont modifié les plans existants et qui sont en train de mettre en oeuvre de nouveaux plans et de nouvelles options. | 2 047 nouveaux contrats | |||||
Total | 2 milliards de dollars (voir remarque) | 407,2 millions de dollars (voir remarque) | 422,1 millions de dollars |
18. Remarques sur les écarts :
En 2007-2008, les dépenses totales étaient supérieures aux dépenses prévues en raison de l'augmentation du prix des céréales et des oléagineux, qui a entraîné une augmentation du prix total des primes.
19. Résultats atteints par les partenaires non fédéraux :
S.O.
20. Personne-ressource :
Michel Massé
Directeur intérimaire
Division de l'assurance-production et de la gestion des risques
Direction générale des programmes financiers pour l'agriculture
613-759-6179
Remarque : les chiffres relatifs aux dépenses planifiées et aux allocations totales correspondent aux montants inclus dans le Budget. Les dépenses planifiées comprennent les primes de l'assurance-production, les frais d'administration de l'assurance-production, l'indemnisation pour les dommages causés par la faune et les frais d'administration de ladite indemnisation.
Consulter aussi l'initiative horizontale connexe : programme canadien de stabilisation du revenu agricole.
1. Titre de l'initiative horizontale :
Développement rural
2. Ministère responsable :
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
3. Activité de programme du ministère responsable :
Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives
4. Date de début de l'initiative horizontale :
1er avril 2003
5. Date de fin de l'initiative horizontale :
31 mars 2008 (prolongation jusqu'au 31 mars 2009)
6. Total des fonds fédéraux répartis (du début à la fin) :
69,4 millions de dollars sur six ans.
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Le gouvernement du Canada a confié au Secrétariat rural le mandat d'élaborer, de coordonner et d'adopter une approche nationale coordonnée d'envergure gouvernementale pour mieux comprendre les préoccupations et les enjeux dans les régions rurales du Canada et pour encourager les ministères et organismes fédéraux à modifier leurs politiques, programmes et services en fonction des
besoins uniques des collectivités rurales. Le partenariat rural canadien a été établi en collaboration avec 34 ministères et organismes fédéraux et il devrait permettre au gouvernement du Canada d'intégrer ses politiques économiques, sociales, environnementales et culturelles pour améliorer la qualité de vie des Canadiens en milieu rural.
8. Résultat(s) partagé(s) :
Le résultat visé est l'amélioration de l'accès des Canadiens ruraux aux possibilités qui leur permettront à la fois de contribuer à la prospérité et à la réussite du Canada et d'en bénéficier.
Cet objectif se fonde sur les six principes directeurs suivants :
9. Structure de gouvernance :
Le partenariat fédéral, appelé le Partenariat rural canadien, est administré par le Secrétariat rural d'AAC en collaboration avec le Comité directeur des sous-ministres adjoints et un groupe de travail interministériel composé de représentants des 34 ministères et organismes fédéraux qui participent au plan d'action dans le domaine rural. Le Secrétariat rural, sous la direction du
ministre, assure la coordination, et le leadership horizontal. Ce travail de collaboration est renforcé par des équipes rurales dans chaque province et chaque territoire, équipes formées de représentants du gouvernement fédéral en poste dans la région; la plupart des équipes englobent également des membres du gouvernement provincial ou territorial et/ou des intervenants du secteur. À
l'échelle fédérale-provinciale-territoriale (FPT), on retrouve un comité de sous-ministres adjoints ainsi qu'un groupe de travail qui rendent des comptes aux ministres FPT responsables du dossier rural.
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme des partenaires fédéraux | 12. Titre des programmes des partenaires fédéraux | 13. Total des affectations (du début à la fin) | 14. Dépenses prévues en 2007 2008 | 15. Dépenses réelles en 2007 2008 | 16. Résultats prévus en 2007 2008 | 17. Résultats obtenus en 2007 2008 |
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Secrétariat rural
On peut obtenir une liste des 34 ministères et organismes membres du Partenariat rural canadien à l'adresse: http://www.rural.gc.ca/part_f.phtml |
Secrétariat rural et Secrétariat aux Coopératives | 1. Dialogue rural 2. Lentille rurale 3. Recherche et analyse rurales 4. Sensibilisation 5. Programmes ruraux |
69,4 millions de dollars (pour les exercices 2003-2004 à 2008-2009) | 11,3 millions de dollars (pour tous les éléments de programme) | 18,2 millions de dollars (pour tous les éléments de programme) | Renforcement de la voix rurale | Réalisation de plus de 300 initiatives régionales (notamment des activités d'apprentissage, des ateliers, des dialogues et des projets de recherche). |
Capacité accrue de développement des communautés rurales | La base de données sur les collectivités (BDC) est utilisée sur une vaste échelle (entre 800 et 1 000 consultations par mois – taux comparable à l'année dernière) | ||||||
Amélioration des possibilités, atténuation des obstacles et amélioration de la capacité de développement rural grâce aux politiques, programmes et services gouvernementaux. | Le Réseau de développement rural (RDR) est formé de membres provenant de 29 ministères – et il a organisé 18 activités interministérielles. Consolidation des membres (24 ministères l'année dernière) | ||||||
Total | 69,4 millions de dollars | 11,3 millions de dollars | 18,2 millions de dollars |
18. Remarques sur les écarts :
Les modèles du programme de développement rural n'ont pas utilisé tout le financement disponible en 2006 2007 et celui ci a donc été reporté à l'exercice 2007 2008.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Sans objet
20. Personne ressource :
Donna Mitchell
Directrice exécutive
Secrétariat rural et Secrétariat aux coopératives
613-759-7113
Remarque : Les chiffres pour les dépenses prévues et les affectations totales représentents les montants inclus dans le Budget des dépenses.
CANAFE participe aux initiatives horizontales suivantes à titre de partenaire :
Il est possible d'obtenir des renseignements supplémentaires sur les initiatives horizontales en consultant le site suivant : http://www.tbs-sct.gc.ca/rma/eppi-ibdrp/hr-rh_f.asp
1. Nom de l’initiative horizontale : Initiative de R-D en génomique |
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2. Nom du ministère responsable : Conseil national de recherches du Canada |
3. Activité de programme du ministère responsable : Recherche et développement |
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4. Date de début de l’initiative horizontale : Avril 1999 |
5. Date de fin de l’initiative horizontale : Mars 2011 |
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6. Allocation fédérale totale (du début à la date de fin) : 234,1 M$ |
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7. Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : L’Initiative de R-D en génomique a été lancée afin d’établir et de maintenir à l’intérieur des ministères fédéraux une capacité de recherche en génomique. Véritable technologie habilitante, la génomique met à la disposition des scientifiques de puissants outils et une information précise à l’appui des mandats opérationnels et sur laquelle les décisions en matière de politique et de réglementation peuvent être fondées. Les ministères et organismes fédéraux à vocation scientifique interagissent avec des partenaires, des parties intéressées et des clients afin que ces technologies et ces outils de base servent au développement d’applications à valeur ajoutée qui permettront au Canada de poursuivre sa priorité nationale et à l’administration fédérale de s’acquitter de son mandat, et qui appuient la création de richesse pour les Canadiens. Les applications de cette technologie sont multiples : capacité de répondre à l’obligation internationale de procéder à des essais génomiques pour garantir l’accès à des produits canadiens aux marchés internationaux; capacité d’interpréter et d’analyser l’information génomique incluse dans l’information sur les produits fournie aux organismes de réglementation; développement d’essais et de produits s’appuyant sur les méthodes de la génomique pour améliorer la qualité de vie des Canadiens, assainir l’environnement et assurer la pérennité de l’activité humaine; certaines considérations socioéconomiques et éthiques liées à l’utilisation et à l’intégration de la génomique dans les soins de santé; activités visant à promouvoir un environnement durable; produits et applications industriels ou destinés aux consommateurs ainsi que la stimulation de l’accès des Canadiens à une information précise et compréhensible relative aux sciences génomiques. |
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8. Résultats partagés : Amélioration de la qualité de vie des Canadiens grâce à une amélioration de leur santé et de leur sécurité, à l’assainissement de l’environnement et au développement social et économique grâce à la construction et au maintien d’installations de recherche en génomique à l’appui des objectifs clés de la politique publique fédérale et plus particulièrement a) de renforcer l’innovation et d’assurer la pérennité des avantages qu’en tirent tous les Canadiens en centrant la recherche dans des domaines stratégiques d’intérêt national sur un plan économique et social (notamment la santé, l’environnement, les ressources naturelles et l’énergie, la sécurité); b) de promouvoir la compétitivité mondiale du Canada et d’étendre son influence internationale en facilitant la commercialisation du fruit des activités de recherche et en augmentation l’efficacité de la réglementation; c) de multiplier les débouchés économiques grâce à la R-D en établissant des collaborations entre entreprises, universités et organismes publics au Canada et à l’étranger. |
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9. Structure de gouvernance : Pour s’assurer que l’État canadien en obtient pour son argent, l’Initiative de R-D en génomique a établi un cadre de gouvernance permettant de consolider la responsabilisation et de s’assurer que les investissements font une différence véritable dans la vie des Canadiens. Un comité de coordination interministériel de la R-D en génomique de SMA a été créé pour superviser la gestion de l’Initiative fédérale de R-D en génomique et pour la coordonner. Ce comité s’assurer que des mécanismes efficaces d’établissement des priorités sont en place au sein des différents ministères et que les investissements sont bien orientés sur le plan stratégique, ciblant davantage de recherches fondamentales et de recherches appliquées dans les domaines où le Canada possède des atouts et où des possibilités sont présentes. Le Comité s’assure également que les principes courants de gestion sont mis en œuvre et qu’il y a bien une collaboration horizontale entre les différents organismes partout où cela est pertinent et possible. Le Comité comprend des membres de chacune des organisations recevant des crédits ainsi qu’un représentant d’Industrie Canada. Un groupe de travail interministériel (GTI) appuie les travaux du Comité. Il a pour mandat de formuler des recommandations et de prodiguer au Comité de coordination de SMA au sujet des priorités stratégiques et de la gestion globale de l’Initiative de R-D en génomique. Le GTI appuie également les efforts déployés pour répondre aux exigences liées à l’évaluation et à la production de rapports dans le cadre de l’Initiative. Le CNRC est l’organisme responsable de l’Initiative et son représentant occupe donc le poste de président du Comité de coordination et du groupe de travail. |
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10. Partenaires fédéraux |
11. Activité de programme du partenaire fédéral |
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux |
13. Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) (en millions de dollars) |
14. Dépenses prévues en 2007-2008 (en millions de dollars) |
15. Dépenses réelles en 2007-2008 (en millions de dollars) |
16. Résultats prévus en 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
|
Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) |
Innovation et renouvellement |
Projet canadien de génomique des plantes cultivées |
71 |
6 |
6 |
voir ci-dessous |
voir ci-dessous |
|
Pêches et Océans Canada (POC) |
Aquaculture |
Programme de R-D en biotechnologie et génomique aquatiques |
10,6 |
0,9 |
0,9 |
voir ci-dessous |
voir ci-dessous |
|
Environnement Canada (EC) |
Les Canadiens adoptent des habitudes de consommation et de production durables. |
Applications stratégiques de la génomique à l’environnement |
12 |
1 |
1 |
voir ci-dessous |
voir ci-dessous |
|
Santé Canada (SC) |
Produits de santé |
Initiative de génomique de SC/ASPC |
46 |
4 |
4 |
voir ci-dessous |
voir ci-dessous |
|
Conseil national de recherches du Canada (CNRC) |
Recherche et développement |
nitiative en génomique et en santé |
71 |
6 |
6 |
voir ci-dessous |
voir ci-dessous |
|
Ressources naturelles Canada (RNCan) |
Connaissance pour les Canadiens sur les ressources naturelles et la masse continentale |
Initiative de R-D en génomique de RNCan‑SCF |
23 |
2 |
2 |
voir ci-dessous |
voir ci-dessous |
|
Instituts canadiens de recherche en santé (ICRS) |
S. o. – Allocation ponctuelle versée en 1999-2000 pour faciliter la création du Secrétariat de Génome Canada |
S. o. |
0,5 |
S. o. |
S. o. |
S. o. |
S. o. |
|
|
Total |
Total |
Total |
|
|
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18. Commentaires sur les écarts : S. o. |
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19. Résultats à être obtenus par des partenaires autres que fédéraux (le cas échéant) : S. o. |
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20. Personne-ressource : |
16. Résultats attendus pour 2007-2008 |
17. Résultats obtenus pour 2007-2008 |
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1. Des progrès commerciaux pertinents dans le domaine de la R‑D en génomique liée à la santé humaine (par exemple, tests génétiques, diagnostics, applications microbiennes de la génomique, traitement et prévention des maladies humaines comme le cancer et les maladies cardiovasculaires, et détection des pathogènes) |
1.1 Les chercheurs ont découvert une nouvelle famille d’anticorps capables de jouer un rôle dans la prévention des invasions tumorales en bloquant la fonction de la clustérine sécrétée, une glycoprotéine associée au cancer humain et qui joue un rôle dans la survie ou la mort des cellules. En inhibant la fonction du gène dans les cellules cancéreuses, il est possible d’accroître l’efficacité de la réaction des cellules et leur sensibilité à la chimiothérapie et à d’autres thérapies médicamenteuses. Une société canadienne de biotechnologie, Alethia Biotherapeutics, a obtenu une licence du CNRC en 2007-2008 et a ainsi obtenu l’exclusivité des droits thérapeutiques et diagnostiques sur les anticorps spécifiques de la clustérine. 1.2 Le CNRC travaille actuellement au développement de dispositifs diagnostiques « tout-en-un », portatifs et efficaces, afin de détecter les pathogènes humains. L’objectif est de créer des outils diagnostiques peu coûteux qui pourront être produits industriellement pour des applications commerciales et qui permettront d’identifier rapidement les pathogènes humains et d’obtenir des lectures instantanées, éliminant les procédures de laboratoire conventionnelles souvent trop longues. Dans une première étape vers cet objectif, les chercheurs ont développé en 2007-2008 une « micropuce personnelle de détection », un dispositif miniature très puissant utilisé pour détecter et analyser simultanément de nombreux échantillons de protéines. Lorsque leur développement sera terminé, les micropuces personnelles de détection pourraient révolutionner la recherche en génomique et en protéomique en laboratoire et influer de manière encore plus importante sur la manière dont les chercheurs et cliniciens comprennent, diagnostiquent et traitent un large éventail de maladies ou de pathogènes, des substances allergènes gênantes aux pathogènes comme la salmonellose et E-Coli. |
2. Augmentation de la valeur des cultures de céréales, de fèves de soya et de canola grâce à des améliorations de la qualité dans des domaines liés à l’adaptation des plantes, au stress biotique et abiotique (par exemple, résistance aux maladies, tolérance à la sécheresse et au froid) ainsi que du développement des semences et des métabolismes (liés notamment au contenu oléagineux pour les biocarburants et les applications nutraceutiques) |
2.1 Une analyse fonctionnelle des processus de métabolisation et de développement des graines de Brassica (par exemple, le canola) a été entreprise afin d’améliorer la qualité de ces graines. Les chercheurs du CNRC ont ainsi découvert un gène capable de stimuler la productivité et la résistance du canola. Les séquences d’ADN suggèrent que ce gène, qui produit une hydroxystéroïde déshydrogénase (HSD), participe au métabolisme des stéroïdes et a un effet profond sur la croissance des plantes. Les chercheurs ont « surexprimé » le gène afin de créer des plantes « transgéniques » qui produisent des niveaux plus élevés que d’habitude de la protéine HSD. Les plantes obtenues étaient plus grandes, plus fortes et plus résistantes et produisaient davantage de graines. Leur rendement oléagineux moyen était supérieur de près de 23 % à celui des plantes de contrôle ordinaires. Cette découverte pourrait aider les cultivateurs canadiens de canola à accroître leur production d’huile pour des applications alimentaires et pour répondre à la demande croissante de biodiesel. 2.2 Le blé est la plus importante culture au Canada, recouvrant environ 9 millions d’hectares. La rouille brune, causée par Puccinia triticina, entraîne des pertes de rendement annuelles de l’ordre de 5 à 20 % et est la maladie la plus courante du blé partout dans le monde. AAC jouit d’une réputation exceptionnelle en ce qui concerne le contrôle génétique de la rouille brune, car en sa qualité de chef de file mondial de la recherche sur cette maladie, il a été à l’origine de la découverte de 30 des 59 gènes résistants à la rouille brune. Pour analyser génétiquement l’avirulence d’un échantillon de P. triticina, des groupes de liaison contenant des gènes avirulents et des marqueurs moléculaires ont été développés par les chercheurs du PCGPC d’AAC.En 2007, des marqueurs de répétition de séquence simple (SSR) ont été intégrés à ces liaisons. Le processus de fusion somatique du P. triticina a également fait l’objet de recherche pour la première fois au moyen d’une combinaison d’études au microscope par fluorescence et par éclairage à fond clair. Ces travaux d’avant‑garde aideront à expliquer comment l’important processus de recombinaison génétique asexuée prend place physiquement. La population de P. triticina au Canada en 2007 et au cours des années précédentes a été répertoriée afin d’en établir la virulence et des marqueurs SSR ont été récemment développés afin de déterminer le lien entre les phénotypes de virulence et afin de suivre le développement et de retracer l’origine des nouvelles races ou des races émergentes. Ces données contribueront à expliquer la structure de la population de cet important pathogène du blé et donneront des indices sur l’évolution des différents phénotypes de virulence nord-américains. 2.3 En 2007-2008, les chercheurs d’AAC ont identifié un gène clé, le Lhk1, qui permet aux légumes d’absorber des bactéries permettant de fixer l’azote. Grâce à cette découverte, les chercheurs d’AAC pensent pouvoir développer un moyen pour transférer la capacité de fixer l’azote à des cultures autres que maraîchères. Cette percée pourrait permettre de remplacer certains engrais industriels par des solutions à la fois écologiques et rentables, ce qui pourrait engendrer d’énormes retombées environnementales et économiques au Canada. L’azote constitue plus de 80 % de l’atmosphère terrestre et est essentiel à la croissance de tous les organismes vivants. Toutefois, la plupart des plantes et des animaux ne peuvent absorber directement l’azote présent dans l’atmosphère. Celui-ci doit être auparavant intégré dans des composés organiques par un processus de fixation biologique ou un autre processus naturel. En conséquence, les pratiques agricoles actuelles exigent l’épandage annuel d’environ 90 millions de tonnes d’engrais à base d’azote sur les terres agricoles. Même si ces engrais inorganiques donnent aux cultures les éléments nutritifs essentiels, certaines de ces pratiques entraînent des coûts énormes, surtout en raison de la quantité énorme d’énergie requise pour produire les engrais et de leur propension à ruisseler, ce qui contribue à la pollution de l’environnement. La fixation biologique de l’azote offre plus du double de la quantité d’azote produite industriellement aux écosystèmes naturels et agricoles d’une manière qui soit à la fois fiable et écologique. Si la capacité d’accueillir des bactéries fixant l’azote pouvait être étendue ne serait-ce qu’à une seule culture lucrative, comme le maïs ou le riz, il s’ensuivrait une deuxième « révolution verte » dont tous les producteurs et l’environnement bénéficieraient. 2.4 Le champignon du sol Sclerotinia sclerotiorum cause la moisissure blanche sur un large éventail de plantes de culture dont la fève de soya et le canola. Afin d’identifier les gènes qui sont essentiels à la pathogénicité et à la survie du champignon, les chercheurs d’AAC ont développé une méthode efficace de disruption génique du S. sclerotiorum au moyen du vecteur Agrobacterium tumefaciens. On prévoit que l’application de cet outil aux études génétiques moléculaires du S. sclerotiorum contribuera à une compréhension accrue des facteurs moléculaires qui contrôlent le développement de sa pathogenèse et de sa survie et qui pourraient être simulées pour mieux contrôler la maladie. 2.5 Le pathogène du sol Phytophthora sojae est la cause de la pourriture des racines et de la fonte des semis de la fève de soya. La compatibilité interraciale des cultivars entre le pathogène et son hôte est contrôlée par des gènes distincts. Ainsi, les gènes d’avirulence (Avr) de P. sojae peuvent restreindre le pathogène et déterminer quels cultivars de la fève de soya sont résistants ou vulnérables à la maladie. En 2007-2008, les chercheurs d’AAC ont identifié au moins trois gènes Avr différents du P. sojae,soit Avr1a, Avr3a et Avr3c. La découverte des gènes Avr mènera à une méthode plus rationnelle d’amélioration génétique, de diagnostic et de déploiement des cultivars et contribuera au contrôle de P. sojae dans les champs. Cette découverte mènera aussi à une meilleure compréhension des mécanismes de la maladie et de la manière dont elle peut être contrôlée. 2.6 Les semences constituent probablement le produit final le plus important de la culture des plantes. L’amélioration de la qualité des semences exige une compréhension totale de la manière dont les graines se développent, particulièrement au cours de leur phase de maturation. Les protéines de réserve des semences sont les marqueurs de leur maturation. Les efforts d’AAC se sont concentrés sur l’identification de répresseurs des gènes des protéines de réserve. Les chercheurs d’AAC ont ainsi identifié six gènes jouant le rôle de répresseurs dans les protéines de réserve des semences d’organes végétaux. Ces travaux ont permis d’en venir à une nouvelle perception du rôle des gènes qui contrôlent la maturation des graines. Les connaissances issues de ces travaux contribueront à la manipulation des traits de nature à rehausser la qualité des semences, ce qui sera utile dans le développement de graines en tant que système d’élevage moléculaire pour la production de protéines de grande valeur. 2.7 Le Fusarium graminearum, un champignon pathogène qui cause la brûlure de l’épi du blé et de l’orge et la fusariose de l’épi de maïs, non seulement réduit les rendements et la qualité des récoltes, mais il contamine également le grain en favorisant le développement de métabolites toxiques dangereux pour la santé humaine et animale. Les efforts déployés en 2007-2008 par les chercheurs d’AAC ont résulté dans le développement d’une importante collection de gènes exprimés par le Fusarium graminearum dans un large éventail de conditions de croissance et particulièrement pendant l’invasion de la plante hôte. Une des conclusions les plus inattendues et les plus frappantes de ces travaux est la présence dans le génome de régions très variables et riches en gènes capables d’accueillir des gènes potentiellement associés à la pathogénicité. |
3. Gestion durable des ressources aquatiques par le recours à des outils en génomique afin : de gérer les dates d’ouverture de la saison des pêches; de générer une meilleure compréhension de la génétique et de la structure des populations; d’approfondir la compréhension des réactions comportementales, physiologiques et immunologiques à l’environnement et par la gestion des maladies des animaux aquatiques |
3.1 De façon à mieux gérer l’ouverture des pêches et mieux comprendre les modifications du comportement des stocks de poisson attribuables aux changements climatiques et à la pollution, on a recours à des outils de génomique, dont le profilage de l’expression des gènes, pour déterminer les changements physiologiques au cours de la migration précoce vers le cours d’eau d’origine, changement de comportement qui a été observé chez le saumon rouge de montaison tardive du Fraser. À ce jour, les résultats indiquent que la fonction d’osmorégulation ne joue aucun rôle dans le choix du moment d’entrée en eau douce, mais pourrait être importante pour une migration réussie dans le fleuve. Il a été démontré qu’il y a une forte association physiologique entre l’expression des branchies et le sort des poissons dans la rivière. De plus, on a identifié des biomarqueurs qui sont associés aux réserves brutes d’énergie somatique, aux processus de maturation, aux stratégies de navigation et aux systèmes de déclenchement, à l’état de préparation à l’osmorégulation et la réaction à la température. On a ainsi acquis une quantité incalculable de nouvelles connaissances sur la physiologie de la migration des saumons. Des biomarqueurs prédictifs sont actuellement mis au point pour surveiller les gènes pertinents, ce qui permettra aux gestionnaires des pêches de prévoir, avant le début de la saison, le comportement migratoire ainsi que le taux de survie du poisson. 3.2 Le MPO entreprend actuellement des recherches pour identifier plus efficacement les différences génétiques entre deux espèces de moules similaires sur le plan morphologique, Mytilus edulis et M. trossulus, et déterminer la distribution relative de ces espèces en Nouvelle-Écosse. Ces travaux seront menés en collaboration avec l’industrie et la province de Nouvelle-Écosse. Des marqueurs génétiques ont été mis à l’essai et optimisés en vue d’obtenir un rendement supérieur en identifiant des espèces de moules dont les coûts de culture sont inférieurs. Selon les résultats obtenus en 2007-2008, Les résultats montrent une répartition très différente des espèces à des endroits adjacents. De plus, on a identifié des sites qui pourraient servir à recueillir de la semence de moule pour la mytiliculture en Nouvelle-Écosse, ce qui pourrait aider à atténuer l’impact de la limitation de déplacement des espèces dans les zones infestées par des espèces aquatiques envahissantes. 3.3 Les maladies infectieuses représentent un lourd fardeau économique pour l’aquaculture de poissons à nageoires, et l’on craint que ces maladies n’aient également des répercussions négatives sur les populations de poissons sauvages. On a recours à des méthodes génomiques pour mieux comprendre la variabilité du virus de la septicémie hémorragique virale (VSHV) et pour établir un lien entre cette variabilité et les réponses de l’hôte à l’infection, le développement de la maladie, le rétablissement par suite de la maladie clinique ou la résistance à la maladie. De nombreux isolats du VSHV provenant des eaux marines au large des côtes du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse et de la Colombie-Britannique ont fait l’objet d’une analyse génétique, et les données obtenues ont servi à mettre en place une base de données pour l’identification et l’analyse rapides des isolats. Récemment, le VSHV a été détecté dans la région des Grands Lacs. Comme la souche en cause s’apparente le plus à des isolats du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle Écosse, on pense qu’elle provient de l’Est. La caractérisation des types de VSHV a généré des données qui sont nécessaires à l’élaboration d’une politique publique et à la formulation d’une réglementation qui contribuera à empêcher la propagation de nouveaux genres de virus dans les régions. Les travaux de recherche se poursuivent pour mieux comprendre la base génétique de la virulence parmi les souches identifiées en eaux canadiennes. 3.4 En 2007-2008, de nouveaux genres de vaccins ont continué d’être analysés par le MPO. Trois méthodes différentes sont actuellement ciblées. Elles sont fondées sur la stimulation indirecte, mais plus forte, du système immunitaire par l’activation de cellules présentant l’antigène (APC) au moyen de complexes protéines de choc thermique (HSP)-antigènes. Le modèle utilisé s’appuie sur la morue et le nodavirus pathogène pour plusieurs raisons. La culture de la morue sera bientôt possible sur le plan commercial dans l’Est du Canada et elle est un substitut prometteur face à la quasi-disparition des pêches de ce poisson. Le nodavirus est un pathogène de nature à nuire à la culture de la morue, plusieurs éruptions du virus ayant été signalées dans les stocks de poissons jeunes au cours des quatre dernières années. Le système immunitaire de la morue semble posséder des caractéristiques uniques. En effet, même si la morue peut être immunisée, une réaction particulière de l’immunoglobuline est indétectable et on estime donc que des réactions immunitaires non spécifiques et cellulaires seraient vraisemblablement plus importantes pour ces espèces. Les vaccins à base de peptides-HSP sont considérés comme d’excellents candidats depuis que l’on a découvert que les complexes HSP-peptides sont de puissants stimulateurs de tout un éventail de réactions immunitaires. Toutefois, à notre connaissance, aucun essai n’a encore été effectué pour des vaccins à administrer aux poissons. |
4. Positionnement du système de réglementation canadien en santé de manière à permettre l’innovation tout en minimisant les risques pour les Canadiens grâce à un programme de R-D en génomique ciblée visant à accroître la capacité du Canada dans des domaines prioritaires comme l’information génétique, les produits biotechnologiques, la génomique humaine et microbienne ainsi que la santé humaine, animale et environnementale |
4.1 En 2007-2008, les recherches en génomique du Portefeuille de la Santé (SC et ASPC) ont continué de se concentrer sur le développement et l’application d’outils propres aux disciplines en « omique » pour réduire l’exposition aux pathogènes alimentaires. Les recherches en cours permettent de mieux comprendre les changements cellulaires associés à l’exposition alimentaire à différentes classes de produits cancérigènes naturels qui contaminent les aliments. Les résultats de ces recherches permettront d’approfondir notre compréhension des événements qui entourent l’induction d’une tumeur et généreront un cadre pour la prise des décisions réglementaires. 4.2 Les projets du Portefeuille de la Santé ont continué de miser sur une initiative de recherche existante se concentrant sur l’évaluation de la toxicogénomique environnementale. La toxicogénomique est l’application des méthodes génétiques à l’étude de la toxicologie. Les résultats d’un projet mené en 2007-2008 ont permis de jeter un regard particulier sur les changements d’expression génétique amenés par l’exposition à des substances toxiques. Ces changements d’expression génétique sont des connaissances dont l’acquisition est cruciale et qu’il faut ensuite appliquer aux études de profilage de l’expression génétique afin éventuellement de s’en servir dans les processus décisionnels en matière de réglementation. Dans le cadre d’un autre projet de recherche, on a réussi à caractériser les réactions cardio‑pulmonaires à la fumée de cigarette en laboratoire, ce qui a entraîné l’identification de biomarqueurs possibles permettant de prédire le résultat sur la santé du tabagisme. 4.3 En 2007-2008, les recherches se sont poursuivies dans la production de données pharmacogénomiques et biothérapeutiques, afin plus particulièrement de faciliter l’acquisition de nouvelles connaissances sur les risques potentiels pour la santé liés à la toxicogénomique et à la protéomique des biothérapeutiques. Santé Canada reconnaît de plus en plus le rôle significatif que ces données joueront dans les demandes d’approbation de médicaments dans l’avenir et ces données pourraient influer dans l’avenir sur l’approbation des médicaments destinés aux humains au Canada. Les résultats ont révélé différents modèles de réactions de l’organisme hôte suivant différents régimes de biothérapies, ce qui pourrait amener des études exploratoires futures visant à identifier des biomarqueurs spécifiques capables de prédire les effets indésirables des biothérapies. Cette compréhension approfondie facilite la tâche de Santé Canada consistant à relever les difficultés réglementaires d’analyser ces données afin de prendre des décisions scientifiques saines. 4.4 Les chercheurs des laboratoires fédéraux, de concert avec des collaborateurs à l’échelle locale, nationale et internationale, ont continué de mettre l’accent sur la génomique, et notamment sur un large éventail de projets de recherche en génomique axés sur la santé publique. Les recherches effectuées en 2007‑2008 à l’Agence de santé publique du Canada ont mené au développement d’une importante bibliothèque des interférences ARN ciblant la plus grande partie du génome humain. Cette bibliothèque a été mise sur pied parce qu’elle permet d’identifier les gènes cellulaires hôtes qui jouent un rôle dans la perpétuation des virus et dans la pathogenèse de l’encéphalopathie spongiforme transmissible (prions). Les maladies à prions chez les humains englobent la classique maladie de Creutzfeldt-Jakob. On a obtenu des fonds additionnels de partenaires nationaux et internationaux et de partenaires commerciaux afin de poursuivre le développement d’un test préclinique commercial. Ces résultats devraient s’avérer efficaces dans la détection précoce, la surveillance et l’évaluation des risques d’une contamination des prions et d’autres sous-catégories d’organismes dans l’ensemble de la population. |
5. Connaissance accrue du phénomène de régénération des forêts et des méthodes de protection de la forêt ainsi que sur les méthodes d’atténuation des retombées environnementales grâce à un effort ciblé de R-D en génomique sur certaines espèces et sur les caractéristiques qui sont d’une importance économique pour le Canada |
5.1 Un relevé du génome effectué par des scientifiques de RNCan en 2007-2008 a révélé que certaines « îlots de gènes » sous-jacents à la croissance et à l’adaptation de l’épinette avaient permis la sélection rapide de gènes candidats pour appuyer des expériences d’établissement de liens et de cartographie par association. Les gènes responsables de l’apparition des bourgeons ont été la cible de nouvelles bibliothèques synthétisées et d’expériences continues de profilage de l’expression génétique. Le Service canadien des forêts de RNCan (SCF) a développé un système et une base de données pour gérer l’information de laboratoire sur l’identification de polymorphismes mononucléotiques qui permettent d’assurer un suivi sur les membres d’une famille, les données d’expression génétique, les déclencheurs du PCR, les succès du processus d’amplification et les efforts de séquençage. Une carte génétique consensuelle de l’épinette a été établie et des locus quantitatifs ont été identifiés pour le contrôle du bourgeonnement et la croissance annuelle. En collaboration avec Arborea II, un projet de génomique forestière à grande échelle financé par Génome Canada (et dirigé par l’Université Laval); plusieurs centaines de gènes candidats ont été identifiés en ce qui concerne la formation de bois dans l’épinette blanche. En collaboration avec Treenomix, l’autre projet de génomique forestière à grande échelle financé par Génome Canada (et dirigé par l’UBC), le SCF a été en mesure de localiser l’expression et le profil d’induction des gènes liés à la défense des systèmes, ce qui a mené à une meilleure compréhension des mécanismes de résistance aux insectes de l’épinette et du peuplier. Des progrès accomplis récemment, en 2007-2008, ont également démontré qu’un gène candidat précédemment répertorié pour le pin blanc joue un rôle important dans la réaction de défense des plantes contre les invasions de pathogènes ainsi que dans le développement de la plante. Le SCF a identifié certains des gènes qui permettent au pin Douglas de résister aux maladies. 5.2 En 2007-2008, le SCF a réalisé des progrès significatifs dans le développement d’outils de diagnostic et de surveillance de l’ADN permettant de repérer précocement les pathogènes et de suivre leur évolution. L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et le Département américain de l’agriculture animale ainsi que le Service américain de l’inspection sanitaire des plantes (USDA‑APHIS) ont adopté les essais diagnostiques fondés sur l’ADN développés dans l’étude de la maladie soudaine du chêne par le SCF dans leurs activités de relevé, de certification et de mise en quarantaine. Le SCF génère actuellement d’importantes bases de données permettant d’identifier les gènes qui sont en cause dans le développement de maladies importantes (pathogénicité, infection, production de toxines, détoxification et reconnaissance de l’organisme hôte) pour les utiliser dans des outils diagnostiques. 5.3 L’interaction entre les virus et l’hôte naturel constitue le point culminant d’événements co‑évolutionnaires qui mènent à l’infection virale et à la survie de l’hôte. Les travaux du SCF en ce domaine en 2007-2008 ont démontré la relation dynamique qui existe entre toute population donnée de virus d’insectes et de leur hôte. Des études sur des biopuces ont permis de faire la démonstration de profils d’expression génétique précis à la suite d’une infection. Le SCF a également découvert au moyen de ces études que certains virus produisent des protéines qui ont pour effet d’insensibiliser la cellule au facteur sur les gènes hôtes en cause dans l’immunisation des larves aux parasites. Il s’agit d’une voie prometteuse pour générer des agents de contrôle biologique efficaces contre les lépidoptères et les coléoptères nuisibles comme le dendroctone du pin ponderosa. Le SCF a établi et annoté la séquence complète du génome du nucléopolyhédrovirus de la chenille à houppe blanche. Le séquençage des génomes viraux a permis de proposer une nouvelle classification de la famille des Baculoviridae et les travaux du SCF ont contribué de manière importante à la compréhension actuelle de l’évolution des baculovirus et de leur adaptation à l’insecte hôte. Le SCF a développé des outils moléculaires pour la détection des microsporides, un groupe de pathogènes unicellulaires des insectes caractéristiques dans l’éruption de populations d’insectes phyllophages dans les forêts. Ces outils ont été utilisés pour exercer un suivi sur la prévalence des microsporides pendant le cycle d’irruption de la tordeuse du pin gris et de la tordeuse de l’épinette de l’Est afin d’élucider leur rôle dans la dynamique menant à l’éruption et afin d’étudier leur transmission dans les populations d’insectes. |
6. Développement d’applications en génomique afin d’appuyer les activités de réglementation et d’application de la loi dans des domaines clés comme les évaluations de risques environnementaux et la gestion de ces risques; l’application et la conformité à la réglementation; la détection, la surveillance et la prévention de la pollution; la conservation et la génétique de la faune; les prévisions technologiques et les évaluations et le développement responsable et durable ainsi que l’utilisation des produits biologiques et de processus industriels |
6.1 Des méthodes environnementales axées sur la génomique ont été utilisées en 2007-2008 par EC afin :
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1. Nom de l’initiative horizontale : Ententes de partenariat pour le développement économique de l’Ouest | 2. Nom du ministère responsable : Diversification de l’économie de l’Ouest Canada | ||||||||
3. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : août 2003 | 4. Date de clôture de l’initiative horizontale : mars 2008 | 5. Total des fonds fédéraux versés (de la date de la mise en œuvre à la date de clôture) : 100 millions de dollars | |||||||
6. Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : Les EPDEO sont des ententes de partage des coûts, de 50 millions de dollars sur quatre ans, entre le gouvernement fédéral et chacune des quatre provinces de l’Ouest en vue de promouvoir les priorités communes de développement économique. | |||||||||
7. Résultats partagés : Une plus grande collaboration entre les administrations fédérale et provinciales pour réaliser le potentiel de développement économique et régional des provinces de l’Ouest qui a donné lieu : à une amélioration du système d’innovation; à l’avancement des priorités économiques; à un secteur privé élargi et plus compétitif; à une augmentation des possibilités d’investissement du secteur privé; à une plus grande activité et diversité économiques et à une plus grande compétitivité sur les marchés internationaux; à des collectivités plus durables. | |||||||||
8. Structure de gouvernance : Des comités de gestion conjoints fédéraux-provinciaux | |||||||||
9. Partenaires fédéraux
(en milliers de dollars) |
10. Noms des programmes des partenaires fédéraux | 11. Affectation totale de la mise en œuvre à la clôture | 12. Dépenses prévues 2007–2008 |
13. Dépenses réelles 2007–2008 |
14. Résultats prévus 2007–2008 |
15. Résultats obtenus 2007–2008 |
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1. Diversification de l’économie de l’Ouest Canada | (a) Programme de diversification de l’économie de l’Ouest | 100 000 | 21 000 | 18 946 | Voir les commentaires ci-dessous. | ||||
16. Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux : Comparables à ceux obtenus par DEO. | |||||||||
17. Personne-ressource : Jim Monzer, conseiller principal en politiques, au 780-495-6881 ou par courriel à jim.monzer@deo.gc.ca. |
Le rapport final d’évaluation du PDEO indique que pour chaque dollar qu’a investi le Ministère, un montant supplémentaire de 1,65 $ a été mobilisé d’autres sources. Le rapport final mentionne aussi que les informateurs-clés ont parlé en bien de la capacité qu’ont les ententes à frais partagés de promouvoir la collaboration, de renforcer les partenariats et de cibler encore mieux les priorités communes.
Initiative horizontale : | Groupe canadien pour l'observation de la Terre (GCOT) |
Ministère responsable : | Environnement Canada |
Activité de programme du ministère responsable : | Les Canadiens sont informés et répondent de façon appropriée aux conditions environnementales actuelles et prévues. |
Date de début : Juillet 2003 | Date de fin : Continu |
Financement total : Aucun nouveau fonds - contributions multi-ministérielles annuelles | |
Description : Le Secrétariat interministériel coordonnera la participation du Canada au Groupe intergouvernemental spécial des observations de la Terre (GOT) et fera progresser les observations coordonnées, détaillées et soutenues de la Terre au Canada. Financé par un transfert annuel interministériel et par des contributions non financières. | |
Résultats intégrés
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Structure de gouvernance
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Initiative horizontale : | Plan d'action accéléré pour les lieux fédéraux contaminés (PAASCF). (Remplacé par le Plan d'action des sites contaminés fédéraux (PASCF), approuvé en mars 2005) | ||||||
Ministères responsables : | Environnement Canada et Secrétariat du Conseil du Trésor | ||||||
Activité de programme des ministères responsables : | Réduction des risques dûs aux substances toxiques et aux autres substances nocives pour la santé et l'environnement des canadiens (EC); Supervision et élaboration de politiques de gestion (SCT) | ||||||
Date de mise en œuvre : Le 1 er avril 2003 (le PASCF est entré en vigueur en avril 2005) | Date de clôture : Financement du PAASCF jusqu'au 31 mars 2008. Remplacé par le PASCF en avril 2005 pour les 12 à 15 prochaines années. Présentement, le financement est approuvé jusqu'au 31 mars 2010. | ||||||
Financement total pour le PAASCF et le PASCF : 1 629,1 million $ | |||||||
Description : Le Plan d'action accéléré pour les lieux fédéraux contaminés (PAASCF) et le programme qui lui a succédé, le Plan d'action des sites contaminés fédéraux (PASCF), sont des mécanismes à long terme visant à résoudre les problèmes relatifs aux sites contaminés fédéraux constituant un risque élevé pour la santé humaine et l'environnement. À la fin de mars 2004, les sites contaminés fédéraux représentaient une responsabilité financière de l'ordre de 3,5 milliards de dollars. Bien que la responsabilité de la gestion et de la remise en état des sites incombe aux ministères gardiens, l'ensemble du programme est administré conjointement par Environnement Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor. | |||||||
Résultats intégrés : Réduire la responsabilité fédérale et les risques pour la santé humaine et l'environnement, y compris l'habitat des poissons. Accroître la confiance du public dans la gestion globale des biens immobiliers fédéraux en assurant une gestion efficace des risques et en remettant en état les sites contaminés fédéraux. | |||||||
Structure de gouvernance pour le PAASCF et le PASCF : Le Comité directeur des SMA pour les lieux contaminés fédéraux est secondé par le groupe de travail sur la gestion des lieux contaminés (GTGLC) et le Secrétariat du PASCF (EC) qui assure la coordination générale des programmes. | |||||||
Partenaires fédéraux impliqués dans chacun des programmes | Activité de programme des partenaires fédéraux |
Nom des programmes des partenaires fédéraux |
Total approuvé (2003-2010)* | Financement total disponible pour 2007-2008** |
Dépenses
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Résultats prévus pour 2007-2008 |
Résultats atteints en 2007-2008***
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Agriculture et Agroalimentaire Canada | Activités d'entreprise | Gestion des actifs | 3 446 249 $ | 1 476 000 $ | 1 128 400 $ |
Remise en état et gestion des risques (GR) de 1 projet (1 site). Évaluation d'environ 37 sites. |
Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (1 site) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (13 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (3 sites) Évalué partiellement (20 sites) |
Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) | Gestion et orientation ministérielles | Infrastructure et environnement | 1 363 040 $ | 341 360 $ | 327 098 $ | Remise en état et gestion des risques de 2 projets (2 sites). |
Remise en état et GR terminée (1 site) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (1 site) |
Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) | S.O. | S.O. | 183 783 $ | 0 $ | 0 $ | S.O. | S.O. |
Service correctionnel du Canada (SCC) | Services internes |
Services de gestion des installations et des actifs |
2 165 850 $ | 1 157 677 $ | 70 070 $ | Remise en état et gestion des risques de 2 projets (2 sites). | Plans de remise en état et GR terminés et en attente de mise en œuvre (2 sites) |
Environnement Canada (inclut les projets, le soutien des experts et le Secrétariat du PASCF) |
Réduction des risques dûs aux substances toxiques et aux autres substances nocives pour la santé et l'environnement des Canadiens |
Évaluation des risques dûs aux substances toxiques et aux autres substances nocives pour la santé et l'environnement des Canadiens Gestion des risques dûs aux substances toxiques et aux autres substances nocives pour la santé et l'environnement des Canadiens |
83 133 187 $ | 16 448 793 $ | 7 614 818 $ |
Projets Remise en état et GR de 8 projets (174 sites) Évaluation d'environ 216 sites Soutien des experts Prestation de conseils scientifiques et techniques aux gardiens, en ce qui a trait à l'évaluation des risques écologiques causés par les sites contaminés. Prestation de formation et d'orientation relatives à l'évaluation des risques écologiques. Secrétariat Seconde le Comité directeur des SMA et le GTGLC, administre les aspects non financiers du programme, y compris la gestion du processus de sélection des projets, la conception et le maintien d'un site Internet sécurisé et l'établissement de rapports. |
Projets Remise en état et GR terminée (75 sites) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (279 sites) Plans de remise en état et GR terminés et en attente de mise en œuvre (5 sites) Plans de remise en état et GR en cours d'élaboration (6 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (114 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (56 sites) Évalué partiellement (30 sites) Soutien des experts Poursuite de la rédaction et de la révision des documents d'orientation préparés pour les gardiens, les praticiens et les autres organismes réglementation. Visites des sites et revue par les pairs des rapports des projets de remise en état et de gestion des risques à la demande des gardiens et durant la période de soumission du projet du PASCF. Élaborer et fournir de nouveaux cours de formation. Participation aux comités, aux ateliers et aux symposiums de revue technologique relatifs à la gestion des sites contaminés au Canada. Secrétariat Prestation de conseils et de directives continus aux gardiens relativement au programme du PASCF, selon les besoins. Poursuite de l'élaboration de l'algorithme IDEA et de la formation connexe pour faciliter le processus de soumission de projets et la rédactiont du rapport annuel du programme. L'infrastructure sous-jacente à cette application essentielle a également été grandement améliorée. Coordination et gestion de l'exercice de production d'un rapport annuel relatif au PASCF et du processus de sélection des projets de 2008. Version finale de la présentation 2007 du PASCF au Conseil du Trésor et élaboration de la présentation 2008. Planification et coprésidence de six réunions du GTGLC et coordination d'une réunion du Comité directeur des SMA. Participation aux processus d'élaboration, d'examen et d'approbation concernant le portail Internet des sites contaminés fédéraux. Examen des documents d'orientation pour les programmes existants et rédaction de nouveaux documents, notamment le guide relatif au PASCF. |
Pêches et Océans Canada (inclut les projets et le soutien des experts) |
Garde côtière canadienne |
Services d'aide et des voies navigables Services marins de communications et de circulation |
61 633 865 $ | 17 168 801 $ | 11 007 766 $ |
Projets Remise en état et GR de 91 projets (130 sites) Évaluation d'environ 335 sites Soutien des experts Prestation de conseils scientifiques et techniques aux gardiens en ce qui a trait à la gestion des risques causés par les sites contaminés. Participation au processus de présentation des projets, y compris l'examen des renseignements fournis par les ministères et la prestation de la partie de l'évaluation des risques écologiques concernant l'habitat du poisson. Remise en état et GR de 91 projets (130 sites). Évaluation d'environ 335 sites.* |
Projets Remise en état et GR terminées (45 sites) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (72 sites) Plans de remise en état et GR terminés et en attente de mise en œuvre (22 sites) Plans de remise en état et GR en cours d'élaboration (90 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (178 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (140 sites) Évalué partiellement (298 sites) Soutien des experts Conseils et soutien aux gardiens concernant les habitats de poissons des sites contaminés. Visites des sites et revue par les pairs des rapports des projets de remise en état et de gestion des risques à la demande des gardiens et durant la période de soumission du projet du PASCF. Participation aux comités, aux ateliers et aux symposiums de revue technologique relatifs à la gestion des sites contaminés au Canada. |
Port pour petites embarcations | Maintenance | ||||||
Facilitateurs de programme | Services ministériels | ||||||
Santé Canada (SCan) (inclut les projets et le soutien des experts) |
Santé des premières nations, des Inuits et des Autochtones | Protection de la santé des premières nations, des Inuits et des Autochtones | 44 539 133 $ | 8 154 451 $ | 7 342 885 $ |
Projets Remise en état et GR de 10 projets (10 sites) Évaluation de 5 sites Soutien des experts Prestation de conseils scientifiques et techniques aux gardiens, en ce qui a trait à l'évaluation des risques pour la santé humaine dûs aux sites contaminés. Prestation de formation et d'orientation relatives à l'évaluation des risques pour la santé humaine. Participation au processus de présentation des projets, y compris l'examen des renseignements sur la santé humaine fournis par les ministères et la prestation de la note concernant les risques pour la santé humaine. |
Projets Remise en état et GR terminées (1 site) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (5 sites) Plans de remise en état et GR terminés et en attente de mise en œuvre (4 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (1 site) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (10 sites) Soutien des experts Poursuite de la rédaction et de la mise à jour des documents d'orientation préparés pour les gardiens, les praticiens et les autres organismes de réglementation. Financement d'atelier et de symposiums et participation à ceux-ci afin de faire progresser la science de la gestion des risques au Canada. |
Ministère des Affaires indiennes et du Nord canadien (MAINC) |
Administration fédérale responsable Terres et ressources du Nord |
Assainissement des lieux contaminés Lieux contaminés |
581 440 542 $ | 117 487 455 $ | 89 497 481 $ |
Affaires du Nord Remise en état et GR de 28 projets (28 sites). Évaluation d'environ 39 sites. Affaires indiennes et inuit Remise en état et GR de 33 projets (47 sites). Évaluation d'environ 1 042 sites. |
Affaires du Nord Remise en état et GR terminées (3 sites) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (9 sites) Plans de remise en état et GR terminés et en attente de mise en œuvre (5 sites) Plans de remise en état et GR en cours d'élaboration (17 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (4 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (2 sites) Évalué partiellement (116 sites) Affaires indiennes et inuit Remise en état et GR terminées (12 sites) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (28 sites) Plans de remise en état et GR terminés et en attente de mise en œuvre (8 sites) Plans de remise en état et GR en cours d'élaboration (25 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (270 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (49 sites) Évalué partiellement (273 sites) |
Les ponts Jacques-Cartier et Champlain Incorporée |
Gestion d'infrastructures telles que des ponts, des autoroutes et des tunnels ainsi que des propriétés de la région de Montréal |
S.O. | 382 000 $ | 92 000 $ | 0 $ | Remise en état et GR de 1 projet (1 site). | Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (1 site) |
Défense nationale | Apporter une contribution au Canada et à la communauté internationale | Contribuer à la communauté internationale conformément aux intérêts et aux valeurs du Canada | 342 801 458 $ | 57 514 473 $ | 48 795 469 $ |
Remise en état et GR de 48 projets (66 sites). Évaluation d'environ 164 sites.* |
Remise en état et GR terminées (6 sites) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (44 sites) Plans de remise en état et GR terminés et en attente de mise en œuvre (7 sites) Plans de remise en état et GR en cours d'élaboration (56 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (36 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (45 sites) Évalué partiellement (86 sites) |
Ressources naturelles Canada (RNCan) | Gestion ministérielle | Des analyses et des conseils pertinents et opportuns sont fournis pour la prise de décision sur les priorités gouvernementales et les responsabilités ministérielles | 1 257 000 $ | 325 810 $ | 35 428 $ | Évaluation de 6 sites. |
Évaluation terminée : Aucune autre action requise (4 sites) Évalué partiellement (2 sites) |
Commission de la capitale nationale (CCN) | Gestion des biens immobiliers | Gestion des terres et des biens immobiliers | 1 551 452 $ | 801 670 $ | 758 633 $ |
Remise en état et gestion des risques de 2 projets (2 sites). Évaluation de 69 sites. |
Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (2 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (5 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (2 sites) Évalué partiellement (60 sites) |
Parcs Canada | Préserver les ressources patrimoniales | La gestion active et la restauration | 8 929 060 $ | 3 937 491 $ | 2 827 811 $ |
Remise en état et gestion des risques de 10 projets (12 sites). Évaluation d'environ 34 sites. |
Remise en état et GR terminées (6 sites) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (4 sites) Plans de remise en état et GR terminés et en attente de mise en œuvre (1 site) Plans de remise en état et GR en cours d'élaboration (3 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (2 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (19 sites) Évalué partiellement (38 sites) |
Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) (inclut les projets et le soutien des experts) |
Locaux et avoirs fédéraux | PASCF (projets) ou PASCF (services experts) | 19 002 194 $ | 5 196 225 $ | 3 951 461 $ |
Projets Remise en état et GR de 16 projets (18 sites). Évaluation d'environ 23 sites. Soutien des experts Conception d'outils de gestion des projets, diffusion de renseignements sur les technologies novatrices et les technologies utilisées pour les projets. |
Projets Remise en état et GR terminées (8 sites) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (13 sites) Plans de remise en état et GR en cours d'élaboration (1 site) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (2 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (16 sites) Évalué partiellement (9 sites) Soutien des experts Conception d'outils de gestion des projets. Diffusion de renseignements sur les technologies novatrices et les technologies utilisées pour les projets. Participation aux ateliers sur les sites contaminés. |
Gendarmerie royale du Canada (GRC) | Infrastructure ministérielle | 12 334 580 $ | 5 429 100 $ | 3 273 168 $ |
Remise en état et gestion des risques de 12 projets (13 sites). Évaluation d'environ 371 sites. |
Remise en état et GR terminées (2 sites) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (7 sites) Plans de remise en état et GR en cours d'élaboration (4 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (327 sites) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (3 sites) Évalué partiellement (67 sites) |
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Transports Canada (TC) | Politiques, programmes et infrastructure appuyant le développement durable | Programmes environnementaux | 69 023 004 $ | 12 519 948 $ | 9 306 411 $ |
Remise en état et gestion des risques de 15 projets (18 sites). Évaluation de 1 site. |
Remise en état et GR terminées (7 sites) Activités de remise en état et GR entreprises / en cours (9 sites) Plans de remise en état et GR terminés et en attente de mise en œuvre (1 site) Plans de remise en état et GR en cours d'élaboration (2 sites) Évaluation terminée : Aucune autre action requise (1 site) Évaluation terminée : Nécessite une remise en état et GR (4 sites) Évalué partiellement (1 site) |
Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) | Élaboration de la politique sur la gestion et la surveillance | Immobilisations et services acquis | 2 266 971 $ | 481 363 $ | 429 184 $ | Assurance de la conformité aux politiques du Conseil du Trésor sur la gestion des sites contaminés fédéraux, examen des aspects financiers des propositions, administration des fonds et prestation de conseils à EC sur la surveillance des progrès accomplis dans l'ensemble du gouvernement. |
Prestation de conseils sur la gestion des sites contaminés fédéraux aux ministères gardiens et au Secrétariat du Plan d'action pour les sites contaminés fédéraux d'Environnement Canada Tenue de l'inventaire des sites contaminés fédéraux |
Ressources de gestion des programmes non allouées | 1 000 000 $ (500 000 $ en 2008-2009 et en 2009-2010) | 0 $ | 0 $ | Non applicable | |||
Coûts d'aménagement | 7 117 071 $ | 1 367 467 $ | 1 367 467 $ | ||||
TOTAUX | 1 243 570 438 $ | 249 900 084 $ | 187 776 587 $ | ||||
Commentaires sur les écarts : 45,9 M$ seront reportés en 2008-2009 ou en 2009-2010, 13,3 M$ étaient périmés et 3,0 M$ ont été réaffectés à l'interne. | |||||||
Résultats que doivent obtenir les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : |
* Total approuvé par le Conseil du Trésor en date du 13 juin 2007.
** Comprend le financement approuvé pour 2007-2008 par le Conseil du Trésor, les montants reportés des années précédentes et les réaffectations interministérielles.
*** D'après l'analyse préliminaire des données du rapport annuel relatif au PASCF. Il est à remarquer que les gardiens ont de la souplesse relativement aux activités entreprises et que le nombre de sites sur lesquels ils travaillent réellement variera souvent par rapport à ce qui a été prévu en raison de retards imprévus (la météo, l'accès difficile à des endroits éloignés, etc.) ou de changements dans leurs priorités.
Initiative horizontale : | Initiative de l'écosystème du bassin des Grands Lacs |
Ministère responsable : | Environnement Canada |
Activité de programme du Ministère responsable : | Mise en œuvre de l'ACO |
Date de début : 1 er avril 2005 (ressources PAGL IV) | Date de fin : 31 mars 2010 (échéance de l'ACO et des ressources PAGL IV) |
Financement total accordé : 40 millions de dollars sur cinq ans (ressources PAGL IV), plus services votés du Ministère | |
Description : L'Initiative de l'écosystème du bassin des Grands Lacs est le mécanisme d'Environnement Canada pour la coordination et la mise en œuvre des engagements du gouvernement fédéral concernant la restauration et le maintien de l'intégrité chimique, physique et biologique de l'écosystème du bassin des Grands Lacs tel que décrit dans l'accord Canada-États-Unis sur la qualité de l'eau des Grands Lacs. Environnement Canada a recours à l'Accord Canada-Ontario (ACO) sur l'écosystème du bassin des Grands Lacs pour inciter d'autres ministères fédéraux et l'Ontario à mettre en œuvre les engagements du Canada pris dans le cadre de l'Accord sur la qualité de l'eau des Grands Lacs. L'Initiative de l'écosystème du bassin des Grands Lacs (IEBGL) d'Environnement Canada est le résultat des investissements faits dans le cadre du budget de 2005 dans le but de poursuivre les travaux du plan d'action pour les Grands Lacs visant l'amélioration de l'intégrité écologique de l'écosystème du bassin des Grands Lacs. Au total, ce sont 40 millions de dollars qui ont été alloués sur cinq ans au PAGL IV afin de poursuivre la restauration des secteurs préoccupants clés des Grands Lacs. Les ministères fédéraux ont également recours aux ressources des services votés pour financer leurs efforts vers l'atteinte des résultats de l'ACO. |
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Résultats communs : L'Accord sur la qualité de l'eau des Grands Lacs établit des objectifs généraux à long terme entre le Canada et les États-Unis pour la restauration et à la protection des Grands Lacs. L'Accord Canada-Ontario (ACO) sur l'écosystème du bassin des Grands Lacs propose un plan à court terme pour la mise en œuvre de l'Accord sur la qualité de l'eau des Grands Lacs. L'ACO propose aux organismes fédéraux et provinciaux une vision commune capable de les guider dans leurs actions : offrir un écosystème du bassin des Grands Lacs sain, prospère et durable aux générations présentes et futures. L'ACO fixe également des objectifs, des résultats et des engagements communs dans quatre secteurs prioritaires : la restauration des secteurs préoccupants, la réduction des polluants dangereux, la durabilité des lacs et du bassin et la coordination de la surveillance, de la recherche et de l'information. |
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Structure de gouvernance : Huit ministères fédéraux se sont engagés à atteindre les objectifs de l'IEBGL en vertu de l'ACO : Environnement Canada, Pêches et Océans Canada, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ressources naturelles Canada, Parcs Canada, Transport Canada, Infrastructure Canada et Santé Canada. Le comité de gestion de l'ACO est le principal organisme de gestion fédéral-provincial responsable de l'établissement de priorités, du déploiement de stratégies de mise en œuvre de l'ACO et du développement de positions communes et de plans d'action conjoints pour représenter les intérêts du Canada et participer à des initiatives coopératives avec des organismes américains et la Commission mixte internationale. La planification, l'établissement de priorités et l'affectation des sommes du PAGL IV sont des activités gérées par le Comité exécutif des Grands Lacs, auquel prennent part les huit signataires fédéraux de l'ACO. Son rôle est d'approuver les directives et les priorités stratégiques pour les travaux du PAGL IV, et de coordonner les positions, les stratégies et les initiatives fédérales qui servent de base aux activités et aux discussions binationales. |
Partenaires fédéraux participant à chaque programme |
Activité de programme du partenaire fédéral
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Nom des programmes du partenaire fédéral |
Total approuvé |
Dépenses prévues pour 2007-2008 |
Dépenses réelles pour 2007-2008 (Voir les notes sur les écarts ci-dessous) |
Résultats escomptés pour 2007-2008 (Voir l'annexe à la fin du présent document pour les énoncés de résultats de l'ACO) |
Environnement Canada | Utilisation et gestion durable du capital naturel et des paysages exploités | ACO | 37,5 millions de dollars du PAGL IV, plus services votés du Ministère |
7 216 000 $ (PAGL IV) |
4 210 000 $ (PAGL IV) |
Tous les résultats de l'ACO, sauf ann. 2-3.2. |
Pêches et Océans Canada | Écosystèmes sains et productifs | ACO | 2,5 millions de dollars du PAGL IV, plus services votés du Ministère |
608 000 $ (PAGL IV) |
571 500 $ (PAGL IV) Plus 5 484 750 $ (Services votés) |
Ann. 1-2.4; ann. 1-2.6; ann. 3-1.2; ann. 3-1.3; ann. 3-1.4; ann. 3-3.1; ann. 3-3.2; ann. 3-4.1; ann. 3-4.2; ann.-3-5.1; ann. 4-1.1; ann. 4-2.2. |
Agriculture et Agroalimentaire Canada | Santé de l'environnement | ACO | services votés du Ministère | Non disponible | Non disponible | Ann. 1-1.2; ann. 1-2.2; ann. 2-2.3; ann. 3-1.2; ann. 3-1.4; ann. 3-2.2; ann. 4-1.1; ann. 4-2.2. |
Ressources naturelles Canada |
Le Canada est un chef de file mondial en matière de responsabilité environnementale sur le plan de la mise en valeur et de l'utilisation des ressources naturelles Gestion des risques liés aux écosystèmes : le Canada comprend et atténue les risques liés aux écosystèmes des ressources naturelles et à la santé humaine. |
ACO | Services votés du Ministère et budgets temporaires |
1 599 857 $ (Services votés et budgets temporaires) |
1 623 489 $ (Services votés et budgets temporaires) |
Ann. 1-2.3; ann. 2--3.1; ann. 3-1.4; ann. 3-2.4; ann. 3--5.1; ann. 4-2.2. |
Parcs Canada | Préserver les ressources patrimoniales | ACO | Services votés du Ministère | Non disponible | Non disponible | Ann. 3-1.1; ann. 3-1.2; ann. 3-1.3; ann. 3-2.2; ann. 3-3.2; ann. 3-3.3; ann. 4-1.1; ann. 4-2.2. |
Transports Canada | Protection et restauration de l'environnement; programme canadien d'eau de ballast. | ACO | Services votés du Ministère |
600 000 $ (Services votés) |
600 000 $ (Services votés) |
Ann. 3-1.3; ann. 3-2.1; ann. 3-4.1; ann. 3-4.2. |
Infrastructure Canada | Programmes de financement des infrastructures | FCIS, FIMR, PIC et plan Chantiers Canada. | Fonds approuvés en vertu du plan Chantiers Canada | Non disponible | Non disponible | Ann. 1-2.1; ann. 3-6.1. |
Santé Canada | Santé environnementale et sécurité des consommateurs | ACO | Services votés du Ministère | Non disponible | Non disponible | Ann. 2-3.2. |
TOTAL PAGL IV
(plus financement du Ministère) |
7 824 000 $ (PAGL IV) (plus financement du Ministère) |
4 781 500 $ (PAGL IV) (plus financement du Ministère) |
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Résultats obtenus en 2007-2008 : En 2007-2008, des progrès ont encore été réalisés vers la santé et la durabilité de l'écosystème du bassin des Grands Lacs
Résultats spécifiques par ministère : Environnement Canada Les travaux se poursuivent pour la restauration de secteurs préoccupants du bassin des Grands Lacs. Environnement Canada a fourni 3,44 millions de dollars à 34 projets, dont ceux-ci :
Travaux vers une meilleure compréhension de l'état et des tendances de l'écosystème du bassin des Grands Lacs. Environnement Canada travaille avec des universités et d'autres organismes gouvernementaux à de nombreux projets de recherche portant sur l'eau et la faune, dont ceux-ci :
Travaux continus pour réduire les émissions de substances dangereuses. Environnement Canada a travaillé à de nombreux projets avec la communauté des Grands Lacs, dont ceux-ci :
Pêches et Océans Les travaux se poursuivent en vue de réaliser des études scientifiques, d'améliorer les habitats du poisson et de limiter les effets négatifs des espèces exotiques envahissantes établies. Quelques-uns des projets mis de l'avant :
Agriculture et Agroalimentaire Canada Les travaux se sont poursuivis en vue d'améliorer les pratiques profitables de gestion agricole, avec la participation de la communauté agricole des Grands Lacs dans plus de 13 700 projets, dont ceux-ci :
Ressources naturelles Canada Les travaux se sont poursuivis vers le développement durable des ressources énergétiques, forestières et minérales du bassin des Grands Lacs. Quelques-uns des projets mis de l'avant :
Parcs Canada Les travaux se sont poursuivis pour la gestion des parcs du bassin des Grands Lacs et la constitution d'un réseau viable d'aires protégées. Quelques-uns des projets mis de l'avant :
Transports Canada Les travaux se sont poursuivis en vue d'assurer la conformité à la Loi sur la marine marchande du Canada en ce qui a trait à la santé de l'écosystème des Grands Lacs. Transport Canada a mis de l'avant de nombreux programmes d'inspection, de surveillance et de formation, dont ceux-ci :
Infrastructure Canada Les travaux se sont poursuivis en vue de fournir du financement aux projets d'infrastructure qui visent à assainir l'environnement par un meilleur traitement des eaux usées des collectivités situées le long des Grands Lacs. En 2007-2008, en plus du financement fourni à des projets déjà approuvés, des subventions fédérales ont été annoncées pour les projets suivants de traitement des eaux usées dans des collectivités situées le long des Grands Lacs :
En novembre 2007 était annoncé le plan de 33 milliards de dollars de Chantiers Canada. Le financement sera fourni pour une période de six ans, soit jusqu'en 2014. Les projets visant l'eau potable et les eaux usées sont des priorités nationales pour le fonds de 8,8 milliards de dollars de Chantiers Canada. Entre février et juin 2008, le gouvernement du Canada a annoncé que les projets visant les eaux usées dans les municipalités longeant les Grands Lacs suivantes étaient prioritaires pour le FIMR : Parry Sound, Bluewater, Port Rowan et Brockville.
Santé Canada Les travaux se sont poursuivis dans le bassin des Grands Lacs en vue de faciliter la recherche et l'échange d'informations pouvant être intégrées dans des politiques en matière de santé par tous les niveaux de gouvernement. Quelques-uns des projets mis de l'avant :
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Commentaires sur les écarts : Le financement dédié aux Grands Lacs (PAGL IV) n'est attribué qu'à EC et au MPO, lesquels contribuent également par des services votés ministériels pour atteindre les résultats de l'ACO. Tous les autres partenaires de l'ACO (fédéraux et provinciaux) atteignent les résultats de l'ACO grâce à du financement ministériel. Les dépenses réelles des ressources du PAGL IV faites par Environnement Canada ont été inférieures à ce qui avait été prévu en raison de changements apportés dans l'attribution des ressources ministérielles à la suite d'un exercice de restructuration. Tel que mentionné plus haut, Environnement Canada a également dépensé des fonds des services votés afin d'atteindre les résultats de l'ACO, mais les chiffres exacts ne sont pas disponibles. Pour Ressources naturelles Canada, les dépenses réelles dépassent les dépenses planifiées de 23 632,00 $ parce que 30 000,00 $ additionnels ont été dépensés par le programme d'exploitation forestière dans les zones riveraines du SCF afin de réparer les dommages subis par les routes à la suite d'inondations et le budget de F et E du programme de renforcement de la résilience face aux changements climatiques du SST a été amputé de 6 368,00 $. Pour Parcs Canada, les chiffres exacts ne sont pas disponibles pour le financement total approuvé et planifié, et les dépenses réelles pour 2007-2008. Les contributions de Parcs Canada vers l'atteinte des objectifs de l'ACO sont complémentaires aux activités et aux programmes autorisés de l'agence, et sont divulguées dans ses rapports sur le rendement. Pour Infrastructure Canada, les chiffres exacts ne sont pas disponibles pour le financement total approuvé et planifié, et les dépenses réelles pour 2007-2008. Toutefois, plus de 100 millions de dollars du Fonds canadien sur l'infrastructure stratégique (FCIS) ont été fournis pour améliorer le traitement des eaux usées à Sarnia, Brockville, Thunder Bay et Hamilton. Des sommes du Fonds sur l'infrastructure municipale rurale (FIMR) et du programme Infrastructure Canada (PIC) ont également été fournies pour l'eau potable et les eaux usées de collectivités plus petites situées sur les berges des Grands Lacs. Pour Santé Canada, les chiffres exacts ne sont pas disponibles pour le financement total approuvé et planifié, et les dépenses réelles pour 2007-2008. Les projets en soutien aux travaux de l'ACO pour la période de 2007 à 2010 sont le résultat d'efforts concertés avec d'autres initiatives sur la santé et l'environnement du Ministère. |
Annexe - Énoncés de résultats de l'ACO
ANNEXE 1 - SECTEURS PRÉOCCUPANTS
Résultat 1.1 - Réduction des apports d'agents microbiens, d'autres contaminants et de quantités excessives de nutriments des eaux usées industrielles ou municipales pour l'atteinte des objectifs de radiation, dans les SP de Nipigon Bay et du fleuve Saint-Laurent (Cornwall).
Résultat 1.2 - Réduction des apports d'agents microbiens, d'autres contaminants et de quantités excessives de nutriments de sources rurales diffuses, conformément aux critères de radiation, dans le SP du fleuve Sain-Laurent (Cornwall).
Résultat 1.3 - Stratégies de gestion des sédiments contaminés élaborées pour le SP de Wheatley Harbour et mises en œuvre dans le SP du fleuve Saint-Laurent (Cornwall).
Résultat 1.4 - Élaboration et mise en œuvre de plans de rétablissement des habitats et des populations de poissons et d'espèces sauvages, pour l'atteinte des objectifs de radiation dans les SP de Wheatley Harbour et du fleuve Saint-Laurent (Cornwall).
Résultat 1.5 - Mesures efficaces et bien informées devant favoriser la collaboration entre les gouvernements, les collectivités et le public, destinées à attribuer les priorités nécessaires afin de mener à terme les mesures requises pour la radiation et de pouvoir confirmer le rétablissement de l'environnement, dans les SP de Nipigon Bay, de Jackfish Bay, de Wheatley Harbour et du fleuve Saint-Laurent (Cornwall).
Résultat 1.6 - Surveillance environnementale et production de rapports pour documenter les améliorations et évaluer le rétablissement de l'environnement.
Résultat 2.1 - Réduction des apports d'agents microbiens, d'autres contaminants et de quantités excessives de nutriments des usines de traitement des eaux usées municipales, des trop pleins d'égouts unitaires, des eaux pluviales urbaines et des eaux usées industrielles pour l'atteinte des objectifs de radiation, dans les SP des rivières St. Marys, Sainte-Claire, Détroit et Niagara, du port de Hamilton, de Toronto et sa région, et de la baie de Quinte.
Résultat 2.2 - Réduction des apports d'agents microbiens, d'autres contaminants et de quantités excessives de nutriments de sources rurales diffuses, conformément aux critères de radiation, dans les SP des rivières Sainte-Claire, Détroit et Niagara, du port de Hamilton et de Toronto et sa région.
Résultat 2.3 - Réalisation de progrès dans l'élaboration de stratégies de gestion des sédiments destinées à réduire les risques pour l'environnement et la santé humaine dus aux sédiments contaminés, dans les SP de Thunder Bay, de Peninsula Harbour, des rivières St. Marys, Sainte-Claire, Détroit et Niagara, du port de Hamilton, de Port Hope et de la baie de Quinte.
Résultat 2.4 - Élaboration de plans de gestion à long terme et mise en œuvre de mesures prioritaires pour la radiation, afin de promouvoir la remise en état et la protection des habitats et des populations de poissons et d'espèces sauvages, dans les SP des rivières St. Marys, Sainte-Claire, Détroit et Niagara, du port de Hamilton, de Toronto et sa région, et de la baie de Quinte.
Résultat 2.5 - Établissement d'une collaboration bien fondée et efficace au niveau du gouvernement, des collectivités et du public, afin de mener à terme, avec les priorités nécessaires, les mesures requises pour la radiation dans les SP, et de confirmer le rétablissement de l'environnement dans ceux-ci.
Résultat 2.6 - Détermination des besoins de surveillance, mise en œuvre des études requises et examen des résultats obtenus afin d'évaluer le rétablissement de l'environnement et de soutenir les stratégies d'assainissement dans les SP.
ANNEXE 2 - LES POLLUANTS DANGEREUX
Résultat 1.1 - Réduction des rejets de substances du groupe 1 au-delà des objectifs atteints en 2005, en visant leur quasi-élimination.
Résultat 2.1 - Réduction des rejets des principaux contaminants atmosphériques.
Résultat 2.2 - Activités coordonnées pour la réduction des rejets d'eaux usées municipales.
Résultat 2.3 - Élaboration et mise en œuvre d'un programme pour une saine gestion des substances chimiques dans le bassin des Grands Lacs.
Résultat 3.1 - Compréhension améliorée des sources, du devenir et des répercussions des polluants dangereux dans le bassin des Grands Lacs.
Résultat 3.2 - Compréhension et prise en compte des risques pour la santé humaine dus aux polluants dangereux dans le bassin des Grands Lacs.
ANNEXE 3 - DURABILITÉ DES LACS ET DU BASSIN
Résultat 1.1 - Meilleure connaissance et une plus grande appréciation des Grands Lacs et de leurs contributions au bien-être social, économique et environnemental.
Résultat 1.2 - Intensification des mesures d'intendance, favorisant un équilibre entre le bien-être et la prospérité de la population humaine et la santé des écosystèmes aquatiques.
Résultat 1.3 - Utilisation durable des terres, des eaux et des autres ressources naturelles des Grands Lacs, qui engendrera des avantages maintenant et dans l'avenir.
Résultat 1.4 - Meilleure connaissance des effets bénéfiques et néfastes des activités humaines sur les écosystèmes et les ressources aquatiques des Grands Lacs.
Résultat 2.1 - Réduction des apports d'agents microbiens, d'autres contaminants et de quantités excessives de nutriments provenant des eaux usées industrielles et municipales, des trop-pleins d'égouts unitaires et des sources d'eaux pluviales urbaines, dans la foulée des mesures prescrites dans les plans d'aménagement panlacustre binationaux et les plans d'action binationaux pour un lac particulier.
Résultat 2.2 - Réduction des apports d'agents microbiens, d'autres contaminants et de quantités excessives de nutriments provenant des sources rurales, par l'adoption des mesures prescrites dans les plans d'aménagement panlacustre binationaux et les plans d'action binationaux visant un lac particulier.
Résultat 2.3 - Repérage des sédiments contaminés et élaboration de plans de gestion des sédiments pour réduire le rejet et l'impact des contaminants mélangés aux sédiments dans l'écosystème du bassin des Grands Lacs.
Résultat 2.4 - Meilleure connaissance des effets bénéfiques et néfastes des activités humaines sur la qualité de l'eau des Grands Lacs.
Résultat 3.1 - Les écosystèmes et les habitats aquatiques des Grands Lacs sont protégés, restaurés et pérennisés d'une manière compatible avec les processus binationaux de planification des Grands Lacs.
Résultat 3.2 - Progresser vers le rétablissement des espèces indigènes des Grands Lacs en vue de restaurer la santé des écosystèmes aquatiques, d'une manière compatible avec les processus binationaux de planification des Grands Lacs.
Résultat 3.3 - Meilleure connaissance des effets bénéfiques et nocifs des activités humaines sur les écosystèmes aquatiques, les habitats et les espèces des Grands Lacs.
Résultat 4.1 - Mise en œuvre du Plan d'action national pour contrer la menace des espèces aquatiques envahissantes dans les Grands Lacs.
Résultat 4.2 - Enrichissement des connaissances concernant les effets nocifs des espèces aquatiques envahissantes sur les écosystèmes aquatiques, les réseaux alimentaires et les espèces des Grands Lacs.
Résultat 5.1 - Compréhension des effets exercés par les changements climatiques sur la composition, la structure et la fonction de l'écosystème du bassin des Grands Lacs, y compris la biodiversité (les organismes et leur habitat), la qualité et l'abondance des ressources en eau, la santé et la sécurité du public (notamment l'accès à de l'eau potable salubre), le bien-être social et la prospérité économique, par les gouvernements et la collectivité des Grands Lacs.
Résultat 6.1 - Les risques potentiels pour les sources d'eau potable du bassin des Grands Lacs sont connus et évalués, et des mesures précoces sont prises pour les éviter.
Résultat 6.2 - Mieux connaître et comprendre les enjeux préoccupants de nature qualitative et quantitative en ce qui touche les Grands Lacs comme sources d'eau potable.
ANNEXE 4 - COORDINATION DE LA SURVEILLANCE, DE LA RECHERCHE ET DE L'INFORMATION
Résultat 1.1 - Mettre sur pied des programmes de surveillance et de recherche adaptés et exhaustifs.
Résultat 2.1 - Améliorer les rapports sur les conditions environnementales, les changements et les progrès.
Résultat 2.2 - Accroître le partage des données et des informations entre les gouvernements, les organisations et les habitants du bassin.
Initiative horizontale : | Mise en œuvre de la Loi sur les espèces en péril |
Ministère responsable : | Environnement Canada |
Activité de programme du ministère responsable : | Programmes de la biodiversité et des espèces sauvages |
Date de début : 2000 | Date de clôture : En cours (l'approbation actuelle de la part des ressources prévues pour élimination progressive prend fin en 2011-2012) |
Financement total alloué : (de 2000-2001 à 2011-2012) 863 millions de dollars | |
Description : Cette initiative horizontale appuie l'élaboration et la mise en œuvre de l'Accord national pour la protection des espèces en péril et la Loi sur les espèces en péril (LEP), qui ont entièrement pris effet en juin 2004. Environnement Canada, Pêches et Océans Canada et Parcs Canada sont les ministères et l'agence responsables de la protection des espèces en péril qui relèvent de la compétence du gouvernement fédéral. En 2000, l es trois organismes ont reçu des fonds du Conseil du Trésor pour la « Mise en œuvre de la Stratégie nationale pour la protection des espèces en péril et de leur habitat essentiel »; en 2003, pour la « Mise en œuvre de la Loi portant sur la protection des espèces sauvages en péril au Canada »; et, en 2007, pour « l'obtention de résultats dans le cadre de la Loi sur les espèces en péril ». | |
Résultats partagés :
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Structure de gouvernance : Structure de gouvernance officielle
Structures consultatives et d'appui
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Partenaires fédéraux participant à chacun des programmes | Activité de programme des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Total approuvé | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles pour 2007-2008 | Résultats prévus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Environnement Canada | Programmes de la biodiversité et des espèces sauvages | Programme sur les espèces en péril d'Environnement Canada | 535,8 millions de $ |
59,9 millions de $ |
47,8 millions de $ |
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Pêches et Océans Canada | Gestion des espèces en péril | Programme sur les espèces en péril de Pêches et Océans Canada | 216,2 millions de $ | 26 millions de $ | 17,6 millions de $ | ||
Pacs Canada | Conservation des ressources patrimoniales | Programme sur les espèces en péril de Parcs Canada | 111 millions de $ | 14,1 millions de $ | 11,6 millions de $ | ||
TOTAL | 863 millions de $ | 100 millions de $ |
77 millions de $ |
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Commentaires sur les écarts : Environnement Canada
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Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux :
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Personne-ressource : Virginia Poter |
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Pour renseignements : http://www.sararegistry.gc.ca/default_f.cfm |
Programme sur la qualité de l'air
Initiative horizontale : Programme sur la qualité de l'air | Ministère responsable : Environnement Canada |
Activité de programme du ministère responsable : 3.3 - Réduction des risques liés aux polluants atmosphériques et aux émissions de gaz à effet de serre pour les Canadiens, leur santé et l'environnement | Total du financement affecté : 1,9 milliard de dollars |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Description | |
Le Programme sur la qualité de l'air du gouvernement du Canada représente une partie des efforts plus étendus du gouvernement pour aborder les défis des changements climatiques et de la pollution atmosphérique dans le but de créer un environnement propre et salubre pour tous les citoyens canadiens. En avril 2007, le gouvernement a annoncé les détails de la composante réglementaire du Programme sur la qualité de l'air dans : « Prendre le virage : Un plan d'action pour réduire les gaz à effet de serre et la pollution atmosphérique ». Ce plan a établi l'approche de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de pollution atmosphérique de l'industrie. Il a également décrit les mesures réglementaires prévues pour réduire les émissions du secteur des transports, les mesures ciblant les produits de consommation et commerciaux ainsi que les mesures pour améliorer la qualité de l'air intérieur. Les budgets de 2006 et de 2007 ont fourni 1,9 milliard de dollars 1 en financement sur quatre ans (2007-2008 à 2010-2011) pour le Programme sur la qualité de l'air qui intègre l'élaboration, tant de règlements que de programmation, pour obtenir des réductions mesurables de gaz à effet de serre et de pollution atmosphérique. Le Programme sur la qualité de l'air représente seulement une partie de l'ensemble de la stratégie du gouvernement sur l'environnement. Le gouvernement reconnaît le besoin d'une approche holistique pour offrir des résultats mesurables au profit de tous les citoyens canadiens. Pour cette raison, pour mesurer les investissements en fonction des résultats, un cadre horizontal connu sous le nom de Cadre horizontal de gestion, de responsabilisation et de rapport (CHGRR) du Programme sur la qualité de l'air a été élaboré. Le CHGRR du Programme sur la qualité de l'air consolide quarante-quatre programmes répartis parmi neuf ministères et organismes participants en huit thèmes, chacun étant soutenu par un ministère responsable. Les huit thèmes et responsables ministériels du CHGRR du Programme sur la qualité de l'air sont les suivants : La réglementation sur la qualité de l'air - Environnement Canada; le transport écologique - Transports Canada; l'énergie propre - Ressources naturelles Canada; l'adaptation - Environnement Canada; les partenariats - Environnement Canada; les mesures internationales - Environnement Canada; la gestion et la responsabilisation - Environnement Canada; la qualité de l'air intérieur - Santé Canada. Au moyen de la structure de gouvernance du CHGRR du Programme sur la qualité de l'air, les ministères participants sont conjointement responsables de la gestion du Programme sur la qualité de l'air. La structure de gouvernance encourage la coordination, la gestion conjointe et les responsabilisations claires. Il y a trois niveaux distincts à l'intérieur de la structure de gouvernance du CHGRR du Programme sur la qualité de l'air :
-- 1 Le financement a augmenté de 1,7 milliard de dollars à 1,9 milliard de dollars en raison de l'inclusion de 200 millions de dollars en financement supplémentaire pour des initiatives de transport écologique |
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RÉSULTATS PARTAGÉS Le gouvernement du Canada s'est engagé à apporter des améliorations concrètes à l'environnement canadien ainsi qu'à la santé des Canadiens en :
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Rapports concernant le programme
Programme sur la qualité de l'air | |
Total approuvé | 1 891 956 953 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 294 388 611 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 236 675 588 $ |
Pourcentage des fonds dépensés en 2007-2008 : | 80,40 % |
Réductions préliminaires attendues des GES en 2010-2011 | |
Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Les réductions préliminaires attendues des GES pour l'exercice 2010-2011 dans le cadre du Programme sur la qualité de l'air comprennent 56,5 Mt provenant du Règlement sur la qualité de l'air , 11,0 Mt
provenant de l'énergie propre, 9,6 Mt provenant du transport écologique et moins de 1 Mt provenant des thèmes habilitants : la qualité de l'air intérieur, l'adaptation, les partenariats, les mesures internationales et la gestion et la responsabilisation. Les réductions des émissions estimées sont fondées sur les estimations pour les mesures des programmes individuels . Étant donné que les règlements industriels forment une grande partie des réductions estimées générales, les niveaux réels des émissions dépendront des options de conformité choisies par les entreprises réglementées. Les estimations des réductions des mesures de programmes individuels ont été calculées au cas par cas et résumées en fonction des thèmes. Vu les interactions et les synergies au sein des programmes et des règlements et entre eux, les répercussions des émissions totales pour un thème donné peuvent être inférieures à la somme des mesures des programmes individuels. |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
RÉSULTATS Au cours de ce premier exercice du Programme sur la qualité de l'air, on a obtenu des résultats attribuables aux résultats immédiats et intermédiaires tout en établissant le fondement des résultats à venir. |
Un élément déterminant du Programme sur la qualité de l'air est la réduction des émissions de gaz à effet de serre par l'élaboration de technologies écologiques, l'utilisation de sources d'énergie propres et renouvelables et du transport écologique, l'amélioration de l'efficacité énergétique dans le secteur industriel et l'amélioration de l'utilisation de
pratiques et de produits efficients et écologiques. Une série d'initiatives ont été conçues afin de compléter les aspects réglementaires du Programme sur la qualité de l'air et sont en voie d'élaboration. |
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En 2007-2008, un nouveau laboratoire a été construit afin d'appuyer la recherche et le développement et améliorer la qualité de l'air intérieur, en plus des consultations initiales auprès des intervenants sur toutes les questions relatives à l'air intérieur. L'achèvement d'un nouveau laboratoire est un élément intégral de la réduction des polluants de
l'air intérieur et de l'exposition au radon. Grâce à la hausse de diffusion d'information sur la qualité de l'air en plus d'une stratégie nationale sur le radon, les Canadiens seront mieux placés pour gérer et mitiger les risques liés à la qualité de l'air intérieur. On a aussi réalisé des gains relativement à la stratégie nationale de gestion du radon, y compris l'adoption de nouvelles Lignes directrices canadiennes sur le radon, avec un niveau d'action réduit de 200 Bq/m3 par rapport à la valeur antérieure de 800 Bq/m3 ; une stratégie d'éducation et de sensibilisation du public sur le radon a été élaborée et une document d'information public a été produit et distribué; une procédure normalisée a été mise au point pour la détection du radon; 1 000 édifices fédéraux ont été testés; et des mesures du radon dans le sol ont été prises à 262 sites partout au Canada afin d'évaluer les secteurs à niveaux élevés. Un laboratoire national de radon a été établi au Bureau de la radioprotection, à Ottawa. Le laboratoire a achevé l'élaboration de deux procédures normalisées pour la mesure du radon dans les immeubles résidentiels et les grands édifices (y compris les écoles et les hôpitaux). Des consultations ont été effectuées auprès des intervenants et de l'industrie sur la liste provisoire des substances qui établissent une liste prioritaire des contaminants de l'air intérieur, laquelle servir de fondement à l'élaboration de lignes directrices et de règlements. Des évaluations des risques et des lignes directrices sur la qualité de l'air intérieur ont été élaborées pour l'ozone et le monoxyde de carbone. |
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On constate une participation accrue des intervenants industriels dans la mise en œuvre de mesures et de pratiques efficaces sur le plan énergétique. Par exemple, 156 nouvelles compagnies canadiennes ont enregistré leur engagement organisationnel envers l'amélioration de l'efficacité énergétique et sont devenues des chefs de file du Programme
d'économie d'énergie dans l'industrie canadienne. Des consultations approfondies ont eu lieu relativement à l'étiquetage d'énergie pour les immeubles, menant à l'élaboration d'un nouveau système pilote d'étiquetage des immeubles. Plus de 110 systèmes héliothermiques ont été installés dans les secteurs industriel, commercial et institutionnel du Canada. En outre, 13 projets pilotes résidentiels ont été sélectionnés, lesquels devraient entraîner l'installation de 8 000 chauffe-eau résidentiel solaires d'ici 2010. Une fois ces chauffe-eau solaires installés, on estime que chaque année, par l'utilisation de cette technologie d'énergie propre, on réduira 8 kilotonnes d'émissions de gaz à effet de serre. Une modification appelée « modification 10 » (du Règlement sur l'efficacité énergétique ) est en voie de développement, lequel représentera environ le tiers des contributions du Règlement sur l'efficacité énergétique du Programme sur la qualité de l'air (- 7,29 pétajoules et 0,5 mégatonnes en réduction de gaz à effet de serre par rapport au statu quo en 2010, s'élevant à 9,7 mégatonnes en 2020). |
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En ce qui concerne les évaluations préalables à la rénovation, plus de 102 000 foyers canadiens ont été évalués, et 12 000 subventions ont été versées afin de compenser le coût des améliorations à l'efficacité énergétique. De plus, 10 % des bénéficiaires de subventions ont inclus l'utilisation de technologies et de produits renouvelables dans leurs projets
de rénovation, et 96 autres projets de rénovation ont été financés dans de petites et moyennes entreprises. Un règlement est également en cours d'élaboration visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre des sources industrielles. |
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En vertu du Programme de remise écoAUTO, plus de 71 millions de dollars ont été distribués aux acheteurs de voitures à haute efficacité et à carburant de remplacement, et un accord de contribution a été signé avec la Fondation Air pur afin d'exécuter le Programme de mise à la ferraille des véhicules. Le programme écoÉNERGIE pour les parcs de véhicules a financé six (6) projets axés sur l'établissement de pratiques exemplaires chez les gestionnaires de parcs de véhicules et les conducteurs. En vertu du programme écoMARCHANDISES, plus de 6 millions de dollars ont été attribués à vingt-trois projets technologiques liés au transport des marchandises. En 2007-2008, il y a eu plus de 39 millions de cas de transfert du savoir aux Canadiens, les sensibilisant à la façon d'accroître l'efficacité énergétique dans l'utilisation de leurs véhicules personnels. Le transfert du savoir s'est produit au moyen d'événements comme la formation des conducteurs et la réception d'information sur les pratiques exemplaires pour les conducteurs à la suite du Programme écoÉNERGIE pour les véhicules personnels. De plus, 39 000 professionnels des transports canadiens ont été informés ou formés en vertu du programme écoÉNERGIE pour les parcs de véhicules : 66 000 demandes postales ont été traitées, 60 000 appels ont été reçus et 414 000 visites au site Web ont été effectuées en vertu du Programme de remise écoAUTO; et 23 000 personnes ont été informées au sujet des véhicules à technologie avancée dans le cadre de 22 événements en vertu du programme écoTECHNOLOGIE pour véhicules. Un règlement est aussi en cours d'élaboration afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre provenant des véhicules automobiles. |
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Un règlement a été élaboré afin de réduire les composés organiques volatiles (COV) dans les produits de consommation et commerciaux comme la peinture, le vernis, les adhésifs et les nettoyeurs de réparation de véhicules. |
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En 2007-2008, plus de 60 partenariats et d'accord de collaboration ont été établis avec plusieurs intervenants afin de promouvoir les activités d'énergie propre. Par exemple, un accord de collaboration fédéral, provincial et industriel est en place en vue d'un projet de conception technique pour une usine de gazéification du charbon propre proposée. En
outre, deux projets ont été lancés dans le cadre d'une collaboration fédérale-provinciale sur les normes de gestion énergétique et les systèmes d'information. Le lancement susmentionné de nouvelles mesures qui traitent immédiatement des sources d'émissions et l'élaboration et la mise en œuvre de technologies d'énergie propre appuient la transition vers une réduction importante des émissions qui sera prescrit par règlement à long terme. Dix projets ont également été établis pour une nouvelle capacité électrique de 757 mégawatts provenance de sources renouvelables, produisant 2,4 térawatt-heures par année. |
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Les outils et l'information ont été élaborés afin d'aider les Canadiens à évaluer les risques des changements climatiques et prendre des mesures de protection. Par exemple, le Programme canadien de crédit pour des mesures d'action précoce et le Système canadien de crédits compensatoires pour les gaz à effet de serre ont été publiés. L'outil pour évaluer
les avantages d'une meilleure qualité de l'air a été perfectionné davantage afin d'estimer les avantages pour la santé humaine ou les répercussions associées aux changements à la qualité de l'air ambiant au Canada. Le site Web de Santé Canada sur la qualité de l'air intérieur a été mis à jour de façon à tenir compte de nouveaux renseignements et continue d'être un véhicule
importante pour la diffusion de conseils au public en matière de santé. La conception du programme des Partenariats communautaires relatifs à l'air pur a Partenariats en action communautaire pour l'air pur été achevée, y compris la préparation de documents de communications et du programme. On a créé une calculatrice des gaz à effet de serre comme outil d'estimation qui aideront les intervenants et les bénéficiaires du financement du programme des Partenariats communautaires relatifs à l'air pur à calculer les réductions de gaz à effet de serre pour les projets particuliers du programme des Partenariats communautaires relatifs à l'air pur. Ces mesures viennent appuyer les possibilités de promouvoir le Programme sur la qualité de l'air et ses initiatives, entraînant plus de mesures environnementales positives. |
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Les changements climatiques sont un enjeu mondial et le Canada demeure engagé au sein de la communauté internationale. Le Canada a fait ses contributions évaluées, ainsi que des contributions volontaires, à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Le Canada a également participé à des partenariats liés aux technologiques, y compris le Partenariat pour l'énergie renouvelable et l'efficacité énergétique afin de faire la promotion et appuyer l'élaboration et la mise en œuvre de technologies propres. Le Canada est devenu membre du Partenariat Asie-Pacifique (PAP) en octobre 2007. Une structure de gouvernance au PAP a été opérationnalisée. Dans ce contexte, des consultations ont eu lieu avec les principaux secteurs industriels nationaux sur le PAP. Le Canada a donné un soutien à des organisations non membres des Nations Unies dans le but de comprendre et évaluer des options de développement d'une future entente sur les changements climatiques, et il a travaillé à l'échelle nationale afin d'élaborer des options de politique sur un éventail d'enjeux liés aux changements climatiques. Le Canada a participé activement à des négociations et des discussions avec des pays membres et non membres des Nations Unies concernant un accord sur les changements climatiques post-2012. Nous avons veillé à ce que les politiques et les intérêts nationaux en matière de changements politiques étaient pris en compte dans la formulation et la présentation des positions de négociation canadiennes. Nous avons également défendu nos positions dans des processus multilatéraux tels que le processus de Réunion de grandes économies dirigé par les États-Unis, le G8 et la Coopération économique de la zone Asie-Pacifique. Le Canada a participé au Groupe d'experts du transfert de technologies, établi en vertu de la CCNUCC, afin d'analyser et de déterminer des façons de faciliter et de faire avancer le développement de technologies et les activités de transfert. Le Canada a participé au groupe d'experts des pays les moins avancés, établi en vertu du CCNUCC, afin de conseiller les pays les moins avancés sur la préparation de Programmes d'action nationaux aux fins de l'adaptation (PANA). |
Résultats à long terme
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Rapports concernant les thèmes
Programme de réglementation sur la qualité de l'air |
L'énergie propre |
Le transport écologique |
La qualité de l'air intérieur |
L'adaptation |
Les mesures internationales |
Les partenariats |
La gestion et la responsabilisation |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Ministère responsable : Environnement Canada | |
Partenaires fédéraux : Transports Canada, Ressources naturelles Canada, Santé Canada | ||
Total approuvé | 347 300 000 $ | |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 63 800 000 | |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 42 170 653 | |
Pourcentage des fonds de 2007-2008 dépensés | 66,1 % |
Réductions préliminaires attendues des GES en 2010-2011 | Environ 55 MT* |
*Le gouvernement du Canada a établi une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES relativement aux niveaux de 2006 d'ici 2020. La principale réalisation pour la période de 2007 à 2011 est l'élaboration et la mise en œuvre des diverses composantes qui entraîneront ces réductions. Les réductions débuteront progressivement pour
s'accélérer vers 2020 et atteindre la cible susmentionnée. L'estimation préliminaire des réductions attendues de GES des règlements industriels est calculée à partir des niveaux projetés (maintien du statu quo) et découle des intensités d'émissions plus faibles pour l'exercice 2010-2011. Les niveaux réels des émissions dépendront des options de conformité choisies par les entreprises réglementées. |
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Description | |
Le PRQA est une approche intégrée uniforme à l'échelle nationale visant à réduire les émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre, conçu pour protéger la santé et l'environnement des Canadiens et éviter de prendre encore plus de retard par rapport à nos partenaires commerciaux. Le règlement et les cibles à rechercher en
vertu du PRQA sont conçus dans les buts suivants : a) réduire considérablement les polluants atmosphériques et les émissions de GES (réduction de 20 % par rapport aux niveaux de 2006 d'ici 2010) et les polluants atmosphériques (réduction de 20 % à 50 % par rapport aux niveaux de 2006 aussi tôt qu'en 2012 et pas plus tard que 2015) des secteurs de sources principales; b) fournir à l'industrie une certitude à long terme et une égalité des chances nécessaires pour faire des investissements importants, synergétiques et rentables pour réduire les émissions; c) renforcer la capacité du Canada à s'engager efficacement dans des discussions internationales, comme la négociation des réductions supplémentaires dans les mouvements transfrontaliers de polluants atmosphériques des É.-U. et influençant les négociations internationales sur les GES; d) contrôler les émissions de produits qui rejettent des polluants intérieurs. |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats immédiats Les secteurs industriels respectent les niveaux d'émissions de polluants atmosphériques et de GES, afin de se conformer aux règlements, nouveaux ou modifiés, avant la date exigée. La consommation d'essence de la flotte de véhicules et de moteurs automobiles du Canada devient de plus en plus faible et propre en raison de nouveaux règlements sur la consommation d'essence des véhicules et de nouvelles normes sur le contrôle des émissions appliqués aux modes de transport réglementés ainsi qu'aux moteurs utilisés et vendus au Canada. Les citoyens canadiens ont accès à des produits plus écologiques et éconergétiques, étant donné que les produits vendus au Canada sont conçus et fabriqués conformément aux nouveaux règlements sur l'efficacité énergétique et l'environnement. L'amélioration de la qualité de l'air intérieur à mesure que des nouvelles lignes directrices fédérales sur les niveaux de contaminants dans l'air intérieur et une stratégie nationale sur la gestion des risques liés au radon sont déployées et publicisées à grande échelle. Des rapports améliorés pour les personnes réglementées et la conformité facilitée, étant donné que ces processus sont rationalisés à l'échelle nationale, avec un système de rapport à guichet unique et l'établissement de mécanismes de conformité souples. |
Environnement Canada et ses partenaires fédéraux ont établi le fondement de l'infrastructure réglementaire et politique en vue de la réalisation des objectifs du PRQA. Publication de Prendre le virage : Un plan d'action pour réduire les gaz à effet de serre et la pollution atmosphérique et un Cadre réglementation sur les émissions atmosphériques qui établit des cibles de réduction des émissions obligatoires pour les sources d'émissions et de pollution industrielles ou autres. Le cadre réglementaire pour les émissions industrielles d'émissions de gaz à effet de serre a été apprové et est actuellement mis en oeuvre. De longues consultations ont été menées auprès de l'industrie, des provinces et des principaux intervenants afin de valider les cibles de pollution atmosphérique et d'améliorer la méthodologie pour le calcul des plafonds. Un Avis a été publié, dans lequel ont exigeait que les industries déclarent leurs émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques de 2006 et d'autres données afin d'informer l'élaboration du règlement proposé. Au moyen de la structure réglementaire existante relative aux transports existante, un protocole d'entente (PE) a été négocié et des modifications au règlement et aux normes ont été rédigées. La Loi sur les normes de consommation de carburant des véhicules automobiles a été promulguée en novembre 2007. Par la suite, des consultations sur l'élaboration du règlement sur la consommation de carburant ont été menées auprès des intervenants au cours de l'hiver de 2008 (se terminant en mars 2008). Un PE visant à réduire les polluants atmosphériques et les émissions de GES du secteur ferroviaire a été signé en avril 2007. Par la suite, le premier rapport sur la surveillance des émissions des locomotives a été publié en décembre 2007. En mai 2007, un règlement a été rédigé en vertu de l'ancienne Loi sur la marine marchande du Canada afin d'incorporer les dispositions du Règlement de l'annexe IV sur la prévention de la pollution de l'air de la Convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires de l'Organisation maritime internationale (OMI). Transports Canada a également entrepris la reformulation du règlement afin qu'il corresponde à la nouvelle Loi de 2001 sur la marine marchande , qui est entrée en vigueur en juillet 2007. En outre, Transports Canada a participé à la convention de l'OMI relativement aux émissions de GES. Le Canada a appuyé activement l'élaboration continue de normes internationales et de pratiques recommandées avec l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) concernant les émissions de GES et de polluants atmosphériques des sources d'aviation. Le gouvernement a également participé au Groupe sur l'aviation internationale et les changements climatiques (GAICC) de l'OACI afin de recommander un programme dynamique de mesures sur l'aviation internationale et les changements climatiques d'ici l'automne 2009. Des limites de concentration des composés organiques volatiles (COV) pour les produits de remise en état des automobiles, les enduits pour bâtiment et certains produits ont été élaborées et proposées; un règlement suivra sous peu. La modification 10 au Règlement sur l'efficacité énergétique a été pré-publiée le 29 mars 2008. Cette proposition de modification représentera environ un tiers de la contribution du Règlement sur l'efficacité énergétique du Programme de réglementation de la qualité de l'air, soit 7,29 pétajoules et 0,5 Mt en réduction de GES par rapport au statu quo en 2010, passant à 9,7 Mt en 2020. Suivant la nomination de substances à une liste prioritaire de contaminants de l'air intérieur qui servira de fondement à l'élaboration de lignes directrices et de règlements, des consultations ont été menées auprès des intervenants et de l'industrie sur la liste provisoire. Achèvement des évaluations du risque et de l'élaboration de lignes directrices sur la qualité de l'air intérieur pour l'ozone et le monoxyde de carbone. De nouvelles Lignes directrices canadiennes sur le radon ayant un niveau de mesure réduit de 200 Bq/m3 par rapport à la valeur antérieure de 800 Bq/m3 ont été adoptées. Des consultations sur la nécessité d'une cible de 100 Bq/m3 pour les nouvelles constructions résidentielles ont également eu lieu auprès des intervenants et du public. Un laboratoire national de radon a été établi au Bureau de la radioprotection à Ottawa. Le laboratoire a achevé l'élaboration de deux procédures normalisées pour la mesure du radon dans les immeubles résidentiels et les grands édifices (y compris les écoles et les hôpitaux) . Des travaux visant la mise à niveau du Guichet unique pour les déclarations nationales sur l'environnement (Guichet unique) ont été lancés afin d'améliorer la plate-forme. On a proposé la conception préliminaire du Système intérieur de suivi des crédits. Le Programme canadien de crédit pour des mesures d'action précoce et le Système canadien de crédits compensatoires pour les gaz à effet de serre ont été publiés. |
Résultats intermédiaires Les émissions du Canada ont été réduites des niveaux de 2006, tout en maintenant le caractère concurrentiel des secteurs réglementés du Canada.
Amélioration de la santé humaine et de la qualité de l'environnement.
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Énergie propre | Ministère responsable : Ressources naturelles Canada |
Partenaires fédéraux : Affaires indiennes et du Nord Canada | |
Total approuvé | 877 040 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 101 500 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 81 623 693 $ |
Pourcentage des fonds de 2007-2008 dépensés : | 80,42 % |
Réductions préliminaires attendues des GES en 2010-2011 | 11,0 MT* |
* Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Ce qui est indiqué ci-dessus représente les réductions préliminaires attendues des GES pour le thème de l'Énergie propre. Les estimations des réductions des mesures de programmes individuels ont été calculées au cas par cas et résumées en fonction des thèmes. Vu les interactions et les synergies au sein des programmes et des règlements et entre eux, les répercussions des émissions totales pour un thème donné peuvent être inférieures à la somme des mesures des programmes individuels. |
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Description | |
La production et l'utilisation de l'énergie est responsable de la majorité des émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques du Canada. Même si la réglementation nationale obligatoire est la pièce maîtresse du Programme sur la qualité de l'air du gouvernement, il demeure nécessaire d'aborder les sources importantes
d'émissions et de polluants atmosphériques liées à l'énergie qui ne peuvent pas être traitées de façon efficace au moyen d'une réglementation. Dans le cadre du Programme sur la qualité de l'air, Ressources naturelles Canada (RNCan) et Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC) exécutent les initiatives écoÉNERGIE : un ensemble de mesures visant à promouvoir une utilisation plus intelligente de l'énergie, à accroître l'offre d'énergie propre et à appuyer l'élaboration et le déploiement de technologies énergétiques propres. La série d'initiatives de l'Énergie propre ont été conçues pour compléter les aspects réglementaires du Programme sur la qualité de l'air en mettant en vedette les travaux existants du gouvernement et en lançant de nouvelles mesures qui traitent immédiatement d'importantes sources d'émissions et qui faciliteront la transition vers les réductions majeures des émissions qui seront exigées par réglementation à long terme. À titre de ministère responsable du thème de l'Énergie propre, RNCan est chargé de recueillir, de rassembler et de rendre compte des renseignements sur les progrès réalisés par les programmes d'Énergie propre. |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats immédiats Des partenariats et des ententes de collaboration avec les intervenants pour promouvoir les activités liées à l'énergie propre, qui donnent lieu à des émissions plus faibles de GES et de principaux contaminants atmosphériques (PCA). |
Plus de 60 partenariats et d'accord de collaboration ont été établis avec plusieurs intervenants afin de promouvoir les activités d'énergie propre. Par exemple, un accord de collaboration fédéral, provincial et industriel est en place en vue d'un projet de conception technique pour une usine de gazéification du charbon propre proposée. En outre, deux projets ont été lancés dans le cadre d'une collaboration fédérale-provinciale sur les normes de gestion énergétique et les systèmes d'information . |
La participation de l'industrie par l'élaboration et l'utilisation de produits, de services et de procédés éconergétiques, qui donnent lieu à des émissions réduites de GES et de PCA. | En 2007-2008, les intervenants industriels ont participé de plus en plus à la mise en œuvre de mesures et de pratiques efficaces sur le plan énergétique. En particulier, 156 nouvelles compagnies canadiennes ont enregistré leur engagement organisationnel envers l'amélioration de l'efficacité énergétique et sont devenus des chefs de file du Programme d'économies d'énergie dans l'industrie canadienne (PEEIC). De plus, des consultations approfondies auprès de l'industrie ont eu lieu pour l'élaboration d'un nouveau projet pilote d'étiquetage pour les immeubles. |
Le transfert ou l'utilisation de technologies et de pratiques d'énergie propre, menant à des émissions réduites de GES et de PCA. | Plus de 110 systèmes héliothermiques ont été installés dans les secteurs industriel, commercial et institutionnel du Canada. En outre, 13 projets pilotes résidentiels ont été sélectionnés, lesquels devraient entraîner l'installation de 8 000 chauffe-eau résidentiel solaires d'ici 2010. Une fois ces chauffe-eau solaires installés, on estime que chaque année, par l'utilisation de cette technologie d'énergie propre, on réduira 8 kilotonnes d'émissions de gaz à effet de serre. 10 projets ont également été établis pour une nouvelle capacité électrique de 757 mégawatts provenance de sources renouvelables, produisant 2,4 térawatt-heures par année. En ce qui a trait à l'efficacité énergétique, plus de plus de 102 000 foyers canadiens ont été évalués, et 12 000 subventions ont été versées afin de compenser le coût des améliorations à l'efficacité énergétique. De plus, 10 % des bénéficiaires de subventions ont inclus l'utilisation de technologies et de produits renouvelables dans leurs projets de rénovation, et 96 autres projets de rénovation ont été financés dans de petites et moyennes entreprises. |
Une sensibilisation et une compréhension chez les intervenants concernant le potentiel et les méthodes de réduction de GES et de PCA grâce à la production et à l'utilisation d'énergie. | Les activités dans le cadre du thème de l'énergie propre ont sensibilisé et éduqué le public au sujet des programmes d'énergie propre par un certain nombre de mesures axées sur les Canadiens, y compris l'exécution de programmes particuliers dans les collectivités autochtones et du Nord. Un site Web écoÉNERGIE a été élaboré et entretenu afin de donner des renseignements sur le programme et des documents de publicité ou des produits d'information ont aussi été développés. Plusieurs réseaux de l'énergie propre ont été formés afin d'engager des intervenants clés et partager les renseignements et les pratiques exemplaires. Des représentants du thème de l'énergie propre ont participé à diverses conférences afin de sensibiliser les participants à l'efficacité énergétique, l'énergie renouvelable et les technologies d'énergie propre. Plus de 225 ateliers ont eu lieu partout au pays et offre une formation et des outils d'information à l'industrie et à d'autres publics cibles. De plus, un bon nombre d'études de politiques ont été publiées et relatées dans des documents à comité de lecture. |
Des politiques et surveillance qui appuient les réductions de GES et de PCA. | Les dirigeants de RNCan ont fourni des documents de politique et des conseils au ministre des Ressources naturelles et d'autres cadres supérieurs à l'appui de l'élaboration de politiques et de la prise de décisions. Les représentants du thème ont travaillé de près avec Environnement Canada (le ministère responsable) afin de mettre au point le Cadre réglementaire pour les émissions industrielles de GES et dans l'élaboration et la mise en œuvre du Cadre horizontal de gestion, de responsabilisation et de rapport pour le Programme sur la qualité de l'air. De plus, les experts scientifiques et politiques ont participé à plusieurs forums nationaux et internationaux afin de discuter des options de politique pour atteindre les objectifs à moyen et à long terme du Canada en matière de changements climatiques. |
Résultats intermédiaires
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Le transport écologique | Ministère responsable : Transports Canada |
Partenaires fédéraux : Ressources naturelles Canada, Environnement Canada | |
Total approuvé | 461 716 953 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 98 799 611 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 92 606 718 $ |
Pourcentage des fonds de 2007-2008 dépensés : | 93,73 % |
Réductions préliminaires attendues des GES en 2010-2011 | 9,6 MT* |
* Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Ce qui est indiqué ci-dessus représente les réductions préliminaires attendues des GES pour le thème du transport écologique. Les réductions des émissions estimées sont fondées sur les estimations pour les mesures des programmes individuels. Étant donné que les règlements industriels forment une grande partie des réductions estimées générales, les niveaux réels des émissions dépendront des options de conformité choisies par les entreprises réglementées. Les estimations des réductions des mesures de programmes individuels ont été calculées au cas par cas et résumées en fonction des thèmes. Vu les interactions et les synergies au sein des programmes et des règlements et entre eux, les répercussions des émissions totales pour un thème donné peuvent être inférieures à la somme des mesures des programmes individuels. |
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Description | |
Les mesures programme du thème du transport écologique viseront ce qui suit : une meilleure gestion de l'infrastructure des transports durable dans les collectivités, une plus grande efficacité et la réduction des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre (GES) issues du transport de marchandises, et une meilleure efficacité du carburant et la réduction des émissions issues du parc de véhicules personnels. |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats immédiats
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En 2007-2008, les 12 programmes qui relèvent du thème du transport écologique ont connu leur première année d'opération. Les gestionnaires de programmes ont cherché, en premier lieu, à achever la conception et le lancement des programmes, y compris les consultations auprès des intervenants, la préparation de documents et la dotation. Par conséquent, le
rendement en vertu du thème peut être mieux évalué comme des extrants immédiats, plutôt que des résultats. Les principaux secteurs de résultats étaient liés au soutien financier, au soutien à l'information et aux décisions, aux partenariats et aux réseaux, et aux études de recherche. Le soutien financier sous forme de mesures incitatives a été fourni aux acheteurs de véhicules en vertu du Programme de remise écoAUTO, et aux exploitants de transport de marchandises commerciales en vertu du Fonds de démonstration des technologies de transport des marchandises et des Incitatifs pour les technologies de transport des marchandises. En 2007-2008, plus de 71 millions de dollars ont été distribués aux acheteurs de véhicules à grande efficacité et à carburant de remplacement en vertu du Programme de remise écoAUTO. Les premières rondes de sélection de projets ont été achevées en vertu des programmes de marchandises. Un accord de contribution a été conclu avec la Fondation Air pur afin d'offrir des mesures incitatives aux propriétaires de vieux véhicules pour le Programme de mise à la ferraille des véhicules. Le programme écoÉNERGIE pour les véhicules personnels et le programme écoÉNERGIE pour les parcs de véhicules assurent une aide financière aux projets axés sur la réduction des émissions. Le programme écoÉNERGIE pour les véhicules personnels a financé cinq projets engagés à la promotion de pratiques de conduites exemplaires par la sensibilisation. De même, le programme écoÉNERGIE pour les parcs de véhicules a financé 6 projets axés sur l'installation de pratiques exemplaires chez les gestionnaires de parcs de véhicules et les conducteurs. Même pendant une période de prix élevés du carburant, il est important pour les consommateurs et les entreprises d'avoir accès à de bons renseignements sur les technologies et les pratiques d'économie du carburant, ainsi qu'une formation dans l'utilisation de ces technologies et pratiques. En 2007-2008, il y avait plus de 39 millions de cas de transfert du savoir aux Canadiens les sensibilisant sur la façon d'accroître l'efficacité énergétique pour l'utilisation de véhicules personnels. Le transfert du savoir a lieu au moyen d'événements tels que la formation de conducteurs et la réception d'information sur les meilleures pratiques pour les conducteurs découlant du Programme écoÉNERGIE pour les véhicules personnels. De plus, il y avait 39 000 professionnels des transports canadiens informés ou formés en vertu du Programme écoÉNERGIE pour les parcs de véhicules; 66 000 demandes par la poste ont été traitées, 60 000 appels ont été reçus et 414 000 visites au site Web ont été faite en vertu du Programme de remise écoAUTO; et 23 000 personnes ont été informées au sujet des véhicules à technologie avancée lors de 22 événements en vertu du Programme écoTECHNOLOGIE pour véhicules. Au moyen de partenariats et de réseaux, les Programmes du transport écologique cherchent à miser sur les ressources du gouvernement fédéral et à obtenir le soutien du public et l'impulsion pour les programmes existants. En vertu du programme écoMOBILITÉ, qui travaille principalement avec les gouvernements municipaux et les administrations de transport en commun, un plan de mise en œuvre a été élaboré pour appuyer la mise en œuvre du projet de Gestion de la demande en transport (GDT) et une demande de propositions de GDT a été lancée. On est en voie de développer un réseau de spécialistes de la GDT. Le programme écoTECHNOLOGIE pour les véhicules comporte une étroite collaboration avec l'industrie automobile afin de déterminer les obstacles à l'introduction de véhicules à faibles émissions. En vertu du programme écoMARCHANDISES partenariats, une conférence de l'industrie ferroviaire a été organisée afin d'informer les participants des possibilités de réduction des émissions, et deux conférences parrainées pour sensibiliser davantage et promouvoir des transporteurs et des expéditeurs les meilleurs de leur catégorie. En vertu du Programme d'alimentation à quai des navires, le conseil des autorités maritimes et portuaires a été recherché afin de concevoir la première ronde de sélection de projets, qui devait avoir lieu en août 2008. Le programme de Soutien analytique et stratégique a tenu deux ateliers des intervenants sur le transport actif. En vertu du Programme écoÉNERGIE pour les véhicules personnels, cinq organisations ont conclu des accords formels afin d'entreprendre des activités de réduction des émissions. En vertu du Programme écoÉNERGIE pour les parcs de véhicules, trois partenariats ont été signés avec des municipalités. Ces programmes font en sorte que les Canadiens participent entièrement à la tâche de réduction des émissions liées au transport. Les études de recherche sont essentielles pour informer le gouvernement, l'industrie et les choix des consommateurs sur des questions allant de la conception de programmes à la disponibilité et à la rentabilité des technologies de réduction des émissions. En 2007-2008, l'Initiative nationale d'harmonisation pour l'industrie du camionnage a mené six études afin d'examiner les conséquences d'un mandat national de limiteur de vitesse pour les camions lourds. Le programme de Soutien analytique et stratégique a mené des études sur le potentiel de réduction des émissions et les coûts connexes du transport actif, des initiatives de transport de marchandises, l'échange des droits d'émissions du transport, les technologies d'efficacité du carburant dans le secteur des camions de gros tonnage, les estimations d'émissions de GES en fonction des modes de transport. Le programme écoÉNERGIE pour les véhicules personnels a mené des études de recherche sur la connaissance des conducteurs des choix liés à l'efficacité du carburant, la conformité d'étiquetage ÉnerGuide et la formation des conducteurs du Programme le bon sens au volant. Le programme écoÉNERGIE pour les parcs de véhicules a mené quatre documents de recherche sur la façon de réduire les émissions du camionnage de classe 8 (poids lourd conventionnel). Le lancement de ces programmes en 2007-2008 a établi le fondement de résultats plus concrets, tant pour les extrants que pour les résultats, en 2008-2009. |
Résultats intermédiaires
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La qualité de l'air intérieur | Ministère responsable : Santé Canada |
Partenaires fédéraux : Conseil national de recherches du Canada | |
Total approuvé | 23 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 5 500 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 4 606 147 $ |
Pourcentage des fonds de 2007-2008 dépensés : | 83,75 % |
Réductions préliminaires attendues des GES pour 2010-2011 | Moins de 1 Mt* |
*Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Ce qui est indiqué ci-dessus représente les réductions préliminaires attendues des GES pour le thème de la qualité de l'air intérieur. Les réductions des émissions estimées sont fondées sur les estimations pour les mesures des programmes individuels. Étant donné que les règlements industriels forment une grande partie des réductions estimées générales, les niveaux réels des émissions dépendront des options de conformité choisies par les entreprises réglementées. Les estimations des réductions des mesures de programmes individuels ont été calculées au cas par cas et résumées en fonction des thèmes. Vu les interactions et les synergies au sein des programmes et des règlements et entre eux, les répercussions des émissions totales pour un thème donné peuvent être inférieures à la somme des mesures des programmes individuels. |
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Description | |
Santé Canada et le Conseil national de recherches du Canada sont responsables de la mise en œuvre du thème de la qualité de l'air intérieur comme élément intégral du Programme sur la qualité de l'air général du gouvernement. Ce thème du Programme sur la qualité de l'air comprend deux éléments : l'initiative de R-D sur l'air intérieur (Conseil national de recherches du Canada) et les Programme du radon (Santé Canada). Ensemble, ces initiatives contribueront aux résultats du thème en appuyant la recherche, le développement et la diffusion des connaissances sur les risques pour la qualité de l'air intérieur et les manières de gérer ces risques. En générant et en partageant les connaissances sur les polluants de l'air intérieur et la façon de les gérer, les éléments du thème de la qualité de l'air appuieront une prise de décision informée des gouvernements, de l'industrie et des consommateurs sur des moyens rentables de réduire les expositions dangereuses et ainsi de réduire les risques pour la santé. Même si les résultats de ces deux initiatives fondées sur la recherche peuvent fournir des données utiles à des initiatives réglementaires éventuelles en vertu du Programme sur la qualité de l'air, leur utilité dépasse grandement cela, surtout en aidant à cerner et à cibler des mesures non réglementaires qui traitent des préoccupations relatives à l'air intérieur. |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats immédiats La sensibilisation accrue du public, des gestionnaires de propriété et des gouvernements au sujet des risques à la santé et des causes de qualité réduite de l'air intérieur ainsi que des stratégies pour l'améliorer.
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Conseil national de recherches du Canada Équipement acheté et commandé pour le travail sur le terrain et l'évaluation de solutions de QAI sélectionnées. Les services d'enveloppe et d'immeuble pour le nouveau laboratoire de recherche sur l'air intérieur ont été achevés. Les protocoles sur le terrain pour l'étude sur le terrain à Québec - en collaboration avec l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) - ont été achevés et approuvés par le conseil d'éthique et les examinateurs. Trois réunions de consultation ont eu lieu avec des intervenants en vue de la création du Comité national sur la qualité de l'air intérieur. L'examen de solutions technologiques pour la QAI est terminé. Une stratégie de communication a été élaboré afin de former et d'engager le comité consultatif et technique pour l'élaboration de solutions de QAI améliorées. Santé Canada Achèvement d'une analyse au sol des concentrations de radon dans les gaz du sol à 262 sites (au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse, à l'Île-du-Prince-Édouard et dans le sud de l'Ontario). Des endroits aux environs de Sarnia dans le sud de l'Ontario affichent des concentrations de radon supérieures à la moyenne dans les gaz du sol, ce qui laisse entendre qu'ils peuvent être riches en radon. Élaboration d'une stratégie de marketing et de communications sur le radon pour l'automne et l'hiver de 2008 portant principalement sur les propriétaires résidentiels, les propriétaires d'immeubles commerciaux, l'industrie de la construction et les praticiens de la santé publique. Quatorze ateliers des intervenants en radon ont eu lieu partout au Canada dans le cadre d'une stratégie ayant pour but d'encourager la participation des intervenants dans les essais sur le radon et la remise en état. Élaboration et distribution d'un document d'information sur le radon par l'intermédiaire des intervenants et des partenaires de l'industrie. Élaboration d'une procédure normalisée pour les essais sur le radon dans les grands immeubles, en commençant par les immeubles fédéraux. Préparation d'une trousse d'information sur les objectifs du projet, le procédé des essais et les moyens selon lesquels les données et les résultats seront communiqués. Essais dans environ 1 000 immeubles partout au Canada en 2007-2008, ce qui représente 5 % de l'inventaire que l'on estime dans des secteurs à risque élevé. |
Résultats intermédiaires La réduction des risques à la santé liés à l'air intérieur de mauvaise qualité. L'élaboration et l'application efficace de règlements, de lignes directrices et de recommandations liés à la qualité de l'air intérieur (QAI).
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Adaptation | Ministère responsable : Environnement Canada |
Partenaires fédéraux : Santé Canada, Ressources naturelles Canada, Affaires indiennes et du Nord Canada, Agence de la santé publique du Canada | |
Total approuvé | 115 900 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 7 339 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 5 718 905 $ |
Pourcentage des fonds de 2007-2008 dépensés : | 77,93 % |
Réductions préliminaires attendues des GES en 2010-2011 | |
Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Même si ce thème n'entraînera probablement pas de réduction directe des émissions, il joue quand même un rôle complémentaire important en aidant les Canadiens à s'adapter aux effets des changements climatiques, à former des partenariats pour l'exécution de programmes ou le transfert des connaissances et à placer le Canada dans l'importante collectivité environnementale internationale. | |
Description | |
Les six programmes d'adaptation commenceront à aider tous les Canadiens à renforcer leur capacité à s'adapter, en développant les connaissances, l'information, les outils, et/ou des accords de collaborations nécessaires pour prendre de mesures visant à réduire leurs risques avec succès. Ces initiatives diffèrent d'un grand nombre des programmes
du Programme sur la qualité de l'air puisqu'ils ne contribuent pas à des réductions des gaz à effet de serre, mais ils appuient plutôt l'activité complémentaire critique d'adaptation aux répercussions des changements climatiques. Environ la moitié du financement total renforcera la capacité à intervenir aux divers risques partout au pays et demeure pertinent à beaucoup de secteurs économiques et de régions. L'autre moitié visera trois risques urgents : ( le Nord , où les répercussions d'un climat en plein changement sont déjà nettement visibles, la vulnérabilité des collectivités et de l'infrastructure est élevée et le gouvernement fédéral a des obligations constitutionnelles et des réclamations territoriales uniques envers les peuples autochtones et les résidents du Nord; (ii) la santé humaine , qui fait face à des risques particuliers en raison de conditions et de temps extrême liés aux changements climatiques, et de la propagation de maladies infectieuses et (iii) l'infrastructure , dans laquelle les gouvernements et les entreprises investiront des centaines de milliards de dollars au cours de la prochaine décennie, qui doit être conçu de façon à endurer les conditions climatiques qui seront différentes à celles du passé. |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
La Cote air santé et le Programme de prévision de la qualité de l'air du thème de l'Adaptation ont obtenu l'approbation du Conseil du Trésor (CT) en 2007-2008, alors que d'autres programmes n'ont pas été approuvés avant le début d'avril 2008 - certains résultats ont été déclarés en 2007-2008 (voir ci-dessous). Résultats immédiats
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De nombreux programmes du thème, financés au début de l'exercice 2008-2009, n'ont pas été en mesure de rendre compte des résultats. Certains ministères ont toutefois mené des activités au cours de cette période, ce qui explique le niveau de dépenses déclaré :
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Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux Pour les collectivités ciblées, l'ASPC déterminera des vulnérabilités et des stratégies d'atténuation des risques liées aux maladies infectieuses pour les atténuer qui fourniront les modèles pouvant servir à d'autres communauté dans l'ensemble du pays. Les universités concernées élaboreront des recherches et de l'expertise sur les maladies d'origine hydrique et les maladies transmises par des vecteurs concernant les effets des changements climatiques. |
Résultats intermédiaires
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Les mesures internationales | Ministère responsable : Environnement Canada |
Partenaires fédéraux : Ressources naturelles Canada, Ministère des Affaires étrangères et du commerce international, Industrie Canada | |
Total approuvé | 50 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 13 200 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 7 762 978 $ |
Pourcentage des fonds de 2007-2008 dépensés : | 58,81 % |
Réductions préliminaires des GES attendues en 2010-2011 | |
Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Même si ce thème n'atteindra probablement pas de réductions directes des émissions, il agit comme facteur habilité pour les thèmes qui se sont engagés envers des cibles de réduction. | |
Description | |
Ce thème vise l'avancement de mesures internationales du Canada, l'amélioration de la qualité de l'air canadien et la réduction des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Un financement de 50 M$ est nécessaire afin de mettre en œuvre les mesures suivantes :
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats immédiats Le Canada répond à ses obligations conventionnelles liées à la comptabilisation d'émissions nationales de gaz à effet de serre et au financement d'organismes multilatéraux. Les dirigeants et les hauts fonctionnaires canadiens sont bien préparés pour faire progresser les intérêts stratégiques du Canada liés aux changements climatiques et à la pollution atmosphérique dans les forums multilatéraux et bilatéraux. Les politiques et les positions de négociation canadiennes nationales et internationales sur les changements climatiques et la pollution atmosphérique sont harmonisées et reflètent leurs circonstances nationales. Le profil du Canada en tant que fournisseur de technologies respectueuses du climat est amélioré. |
Obligations financières internationales et autres Le Canada a établi son registre national. Les obligations de financement internationales du Canada en vertu de la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) pour 2007-2008 ont été respectées. Le Canada a également fait des contributions volontaires à la CCNUCC. Le Canada a également donné son appui à des organisations non membre des Nations-Unies dans le but d'améliorer la compréhension et évaluer les options en vue de l'élaboration d'un futur accord sur les changements climatiques. Le Canada a participé à des partenariats technologiques extérieurs aux N.-U., y compris le Partenariat pour l'énergie renouvelable et l'efficacité énergétique afin de promouvoir et d'appuyer l'élaboration de technologies propres nécessaires à la réduction des émissions de GES et traiter des changements climatiques. Participation et négociations internationales Tous les ministères pertinents ont travaillé de près afin d'élaborer des options de politique et de développer et présenter des positions sur un éventail de questions liées aux changements climatiques. Des documents de politique et des conseils aux ministres, aux sous-ministres et autres cadres supérieurs à l'appui de l'élaboration de politique et de la prise de décision ont été fournis par tous les ministères pertinents. Dans ce contexte, la pertinence et l'uniformité avec les initiatives intérieures visant à lutter contre les changements climatiques (p. ex. écoÉNERGIE, Prendre le virage) ont été mentionnés dans les documents d'information préparés en vue des réunions internationales sur les changements climatiques. Le Canada a participé activement aux négociations et aux discussions avec des membres de l'ONU et hors de l'ONU menant à l'établissement d'un accord sur les changements climatiques après 2012. Ces discussions ont eu lieu au G8, au processus de Réunion des grandes économies, CEAP, le Commonwealth, d'autres événements de l'ONU. Le réseau des Ambassades du Canada et autres Missions à l'étranger a aussi servi à défendre les positions canadiennes sur les questions liées aux changements climatiques, et recueillir des perspectives sur les positions d'autres parties. Le Canada a également participé au Groupe d'experts du transfert de technologies , établi en vertu de la CCNUCC afin d'analyser et de déterminer des moyens de faciliter et de faire avancer le développement de la technologie et les activités de transfert. Le Canada a participé au groupe d'experts des pays les moins avancés, établi en vertu de la CCNUCC pour conseiller les pays les moins avancés sur la préparation de Programmes d'action nationaux aux fins de l'adaptation (PANA). La participation internationale du Canada a contribué à faire en sorte que l'accord futur sur les changements climatiques sera conforme à notre approche intérieure à l'égard des changements climatiques et qu'il favorisera les intérêts économiques et environnementaux du Canada. Partenariat Asie-Pacifique Le Canada est devenu membre du Partenariat Asie-Pacifique en octobre 2007. Une structure de gouvernance a été opérationnalisée pour la participation du Canada au PAP. Le Canada participe aux efforts de tous sauf un des groupes de travail du PAP, et il facilite la participation du secteur privé canadien aux efforts du PAP. Dans ce contexte, des consultations avec des secteurs industriels intérieurs clés ont eu lieu. Les ministères pertinents ont donné des conseils et des suggestions au Secrétariat du PAP et au groupe de travail interministériel dans l'élaboration de la structure de gouvernance du Canada et des lignes directrices opérationnelles. Des suggestions et des conseils ont aussi été offerts sur des critères de sélection de projet éventuel. Annexe sur les matières particulaires Les négociations d'une Annexe sur les MP ont été lancées et deux groupes de travail intersessions ont été établis afin de préparer la deuxième ronde de négociations. |
Résultats intermédiaires
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Les partenariats | Ministère responsable : Environnement Canada |
Total approuvé | 12 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 000 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 1 000 600 $ |
Pourcentage des fonds dépensés en 2007-2008 : | 33,53 % |
Réductions préliminaires des GES attendues en 2010-2011 | |
Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Même si ce thème n'atteindra probablement pas de réductions directes des émissions, il agit de facteur habilitant pour les thèmes qui se sont engagés à des cibles de réduction. | |
Description | |
Ce programme a été établi par le gouvernement fédéral à l'appui de « Prendre le virage : Un plan d'action pour réduire les gaz à effet de serre et la pollution atmosphérique » . L'objectif principal consiste à accroître la capacité des collectivités et des
particuliers à prendre des mesures à l'égard de l'air pur et des changements climatiques en stimulant l'essai de nouvelles mesures et d'achats qui peuvent avoir des bénéfices durables et entraîner d'importantes réductions à long terme, ce qui fera en sorte que les Canadiens prendront des mesures environnementales positives à la maison, à l'école et au travail. Il a pour but de s'assurer que tous les projets financés ont des résultats mesurables et peuvent être repris par d'autres groupes ou organisations. Les projets financés au moyen des Partenariats communautaires relatifs à l'air pur sont conçus pour engager les Canadiens envers des mesures environnementales positives dans les secteurs suivants : L'efficacité énergétique au foyer et à l'extérieur - Encourager l'efficacité énergétique et l'économie d'eau et le remplacement ou l'achat de produits ou de technologies plus efficaces sur le plan de l'énergie, y compris des appareils électroménagers, de l'éclairage, des tondeuses éconergétiques ainsi que l'achat d'énergie de sources renouvelables; Durabilité à l'école - Améliorer l'efficacité énergétique des opérations scolaires et la gestion des installations en engageant les responsables, les directeurs, les enseignants, les étudiants et les parents. Le programme comprend un élément éducationnel afin d'engager les enseignants et les étudiants à l'apprentissage au sujet de l'efficacité énergétique, l'économie des ressources d'eau et la réduction des déchets; Écologisation du milieu de travail - Inspirer les employés à adopter des comportements écologiques au travail et encourager les propriétaires et les gestionnaires d'entreprises à appliquer des mesures pour réduire la consommation d'énergie et les émissions connexes dans leurs activités quotidiennes. |
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats immédiats
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La conception et le lancement du programme des Partenariats communautaires relatifs à l'air pur sont achevés. Les intervenants ont été consultés, les documents préparés et la dotation effectuée. Les principaux résultats obtenus se rapportaient à la mise en œuvre :
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Résultats intermédiaires
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La gestion et la responsabilisation | Ministère responsable : Environnement Canada |
Total approuvé | 5 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 250 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 1 185 894 $ |
Pourcentage des fonds de 2007-2008 dépensés : | 94,87 % |
Réductions préliminaires des GES attendues en 2010-2011 | |
Le gouvernement du Canada a fixé une cible nationale de réduction absolue de 20 % des GES par rapport aux niveaux de 2006, d'ici 2020. Le thème de la gestion et de la responsabilisation coordonne et appuie la mise en œuvre du Cadre du Programme sur la qualité de l'air, agissant de facteur habilitant pour les thèmes qui se sont engagés à des cibles de réduction. | |
Description | |
Le thème de la gestion et de la responsabilisation trace la voie pour le Cadre horizontal de gestion, de responsabilisation et de rapport (CHGRR) du Programme sur la qualité de l'air, qui facilite la gestion et les rapports des renseignements sur le rendement financier et non financier au niveau du programme dans la limite des huit thèmes de façon consolidée (aux niveaux du thème et du programme) dans l'ensemble des ministères et des organismes participants. Ce thème assure la surveillance soutenu et l'évaluation des progrès vers l'atteinte des objectifs et des résultats attendus par rapport aux investissements financiers; et il facilite l'établissement de priorités et la réaffectation des ressources, le cas échéant, assurant l'engagement de la structure de gouvernance au sein du CHGRR du Programme sur la qualité de l'air. |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats immédiats
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Le CHGRR final du Programme sur la qualité de l'air est achevé et présenté au Conseil du Trésor aux fins d'approbation. Voici les principaux documents de gouvernance achevés et approuvés :
Les documents de gestion et de rapports clés sont achevés et approuvés :
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Résultats intermédiaires
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Information sur le programme par thème
Navigation | |
Programme de réglementation sur la qualité de l'air | |
PRQA 1 | |
PRQA-2a | |
PRQA-2b | |
PRQA-2c | |
PRQA-3a | |
PRQA-3b | |
PRQA-4 | |
PRQA-5a | |
PRQA-5b | |
PRQA-6 | |
PRQA-7 | |
PRQA-8 | |
PRQA-9 | |
L'énergie propre | |
Programme de l'énergie propre 1 | |
Programme de l'énergie propre 2 | |
Programme de l'énergie propre 3 | |
Programme de l'énergie propre 4 | |
Programme de l'énergie propre 5 | |
Programme de l'énergie propre 6 | |
Programme de l'énergie propre 7 | |
Programme de l'énergie propre 8 | |
Le transport écologique | |
Programme de transport écologique 1 | |
Programme de transport écologique 2 | |
Programme de transport écologique 3 | |
Programme de transport écologique 4 | |
Programme de transport écologique 5 | |
Programme de transport écologique 6 | |
Programme de transport écologique 7 | |
Programme de transport écologique 8 | |
Programme de transport écologique 9a | |
Programme de transport écologique 9b | |
Programme de transport écologique 10 | |
Programme de transport écologique 11 | |
Programme de transport écologique 12 | |
La qualité de l'air intérieur | |
Programme de qualité de l'air intérieur 1 | |
Programme de qualité de l'air intérieur 2 | |
L'adaptation | |
Programme d'adaptation 1 | |
Programme d'adaptation 2a | |
Programme d'adaptation 2b | |
Programme d'adaptation 3 | |
Programme d'adaptation 4 | |
Programme d'adaptation 5 | |
Programme d'adaptation 6 | |
Programme d'adaptation 7a | |
Programme d'adaptation 7b | |
Mesures internationales | |
Programme de mesures internationales 1a | |
Programme de mesures internationales 1b | |
Programme de mesures internationales 2a | |
Programme de mesures internationales 2b | |
Programme de mesures internationales 2c | |
Programme de mesures internationales 3a | |
Programme de mesures internationales 3b | |
Programme de mesures internationales 3c | |
Programme de mesures internationales 4 | |
Les partenariats | |
Programme de partenariats 1 | |
La gestion et la responsabilisation | |
Programme de gestion et de responsabilisation 1 |
Information sur le programme par thème
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Environnement Canada | ||||||||
PRQA 1 : Mesures réglementaires du secteur industriel | Activité de programme : 3.3 - Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de GES pour les citoyens canadiens, leur santé et l'environnement | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué : | 60 500 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 11 950 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 |
5 404 154 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Cadre réglementaire L'élaboration d'un cadre réglementaire pour les émissions de polluants atmosphériques et les émissions de GES par tous les secteurs industriels et en partenariat avec toutes les compétences responsables grâce à une approche à polluants multiples. Analyse juridique Les règlements sont conformes aux autorités de la loi habilitante. Mécanismes de conformité souples Offrir aux sociétés différentes options pour se conformer aux règlements, en réduisant l'incidence économique des règlements. Cibles d'émissions atmosphériques Fixer des objectifs d'émission atmosphérique qui sont conformes aux meilleures normes environnementales et au moins aussi rigoureux que ceux des États-Unis. Système de rapport Un système rigoureux pour veiller à ce que les cibles soient atteintes, tout en minimisant le fardeau des industries ciblées en évitant le dédoublement d'efforts, dans la mesure du possible, et en permettant la transparence de l'information. |
Cadre réglementaire Publié en avril 2007, « Prendre le virage : Un plan d'action pour réduire les gaz à effet de serre et les polluants atmosphériques » et un « Cadre réglementaire sur les émissions atmosphériques » qui établit des cibles obligatoires de réduction des émissions pour les sources d'émissions et de pollution industrielles et autres. Publication le 10 mars 2008 de
Examen juridique afin de s'assurer que le cadre réglementaire est conforme aux pouvoirs conférés par la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999). Mécanismes de conformité souples Publication le 10 mars 2008 de :
Les dirigeants ont consulté l'industrie, les provinces et les territoires, et les principaux intervenants afin de valider les niveaux des cibles et ils ont mené une analyse interne approfondie afin d'améliorer la méthodologie utilisée pour dériver les plafonds de polluants atmosphériques. Le Cabinet a décidé, en mai 2008, de prendre plus de temps pour mettre au point le cadre sur les polluants atmosphériques. Système d'établissement de rapports Un Avis a été publié le 8 décembre 2007, obligeant l'industrie à rendre compte de ses émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques et autres données aux fins d'informer l'élaboration du projet de règlement. L'infrastructure pour la base de données des rapports sur les émissions et les systèmes intérieurs de suivi des crédits sont en cours d'élaboration. |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Environnement Canada | ||||||||
PRQA 2a : Mesures réglementaires du secteur des transports | Activités du programme : 3.3 - Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de GES pour les Canadiens, leur santé et l'environnement. | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 24 200 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 4 350 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
1 105 004 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Réductions des émissions atmosphériques proposées (sur route et hors route) Réduire les émissions de polluants atmosphériques (NOx , COV et matières particulaires) rejetées par les véhicules et les moteurs. Les réductions des émissions réalisées varient selon les réglementations et dépendent de nombreux facteurs, tels que les taux d'émissions des produits en place, l'intransigeance par rapport aux niveaux réglementés et les taux d'attrition de certains types de véhicules et de moteurs. |
Élaboration d'un plan de travail conjoint Canada-États-Unis afin d'améliorer la coopération réglementaire avec l'EPA des États-Unis en vertu de l'Accord Canada-États-Unis sur la qualité de l'air afin de réduire le débit de pollution transfrontalier. Négociation d'un Protocole d'entente (PE) avec l'Association des chemins de fer du Canada (ACFC) qui est conforme aux normes sur la pollution atmosphérique de l'EPA des États-Unis et qui fait en sorte que l'industrie continue d'améliorer son rendement relatif aux émissions de gaz à effet de serre au cours de la période de 2006 à 2010. |
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Moteurs nautiques à allumage commandé et véhicules récréatifs hors route Réduire progressivement les émissions totales des parcs en service de moteurs hors bord, de motomarines, de motoneiges, de motocyclettes et de véhicules tout terrain hors route, à mesure que de nouveaux produits écologiques remplacent les anciens véhicules et moteurs dont les émissions sont plus importantes. Il est prévu que des moteurs marins et des véhicules récréatifs hors route plus écologiques entraînent une réduction de 46 % de l'ensemble des émissions d'hydrocarbures et de NOx en 2020, comparativement aux taux d'émissions dans la situation où il n'y a pas de réglementation. De même, les émissions de CO devront être réduites de 30 %. |
Des progrès ont été réalisés dans l'élaboration du règlement définitif du Règlement sur les émissions des moteurs nautiques à allumage commandé et des véhicules récréatifs hors route. Des consultations auprès des intervenants conformément à la Partie I de la Gazette du Canada sont terminées et la publication finale dans la Partie II de la Gazette du Canada est prévue à l'automne 2008. | ||||||||
Moteurs diesel de véhicules hors route Entrée en vigueur progressive des modifications au Règlement sur les émissions des moteurs hors route à allumage par compression aux fins d'harmonisation avec les normes, plus sévères, sur les émissions du groupe 4 de l'EPA (agence américaine de protection de l'environnement), en commençant par l'année modèle 2008, ce qui contribuera à abaisser les niveaux d'émission admissibles concernant les moteurs des véhicules de 50 à 95 % pour les matières particulaires (MP) et de 37 à 85 % pour les hydrocarbures et les NOx , selon la catégorie de puissance du moteur. D'ici 2020, on estime que le lancement des moteurs hors route du groupe 4 qui sont plus écologiques et utilisés dans des activités hors route, telles que les travaux publics, l'agriculture, l'exploitation minière et la foresterie permettra de réduire les émissions contribuant au smog et provenant des parcs en service de moteurs diesel hors route de 54 % pour les MP, de 39 % pour les NOx , de 21 % pour les COV et de 54 % pour le CO. |
Les capacités de mise à l'essai et de vérification des émissions de véhicules hors route pour le règlement ont été initiées. Des moteurs diesel de véhicules hors route ont été achetés à cette fin. Les modifications provisoires du Règlement sur les émissions des moteurs hors route à allumage par compression sont terminées et les consultations auprès des intervenants ont été lancées. La prépublication (Gazette I) est prévue à l'automne de 2008. |
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Gros moteurs à allumage commandé de véhicules hors route Introduire de nouvelles normes sur les émissions contribuant au smog pour les gros moteurs à allumage, tels que ceux des chariots à fourche et des surfaceuses de patinoire. Les premières estimations laissent prévoir que d'ici l'an 2020, le lancement de gros moteurs à allumage plus écologiques permettra de réduire les polluants atmosphériques provenant de ces parcs de moteurs en service de 17 % pour les NOx , de 22 % pour les COV et de 36 % pour les CO. |
L'ébauche du texte de la modification au Règlement sur les émissions des petits moteurs hors route à allumage commandé de façon à inclure les gros moteurs de véhicules hors route est terminée. La prépublication (Gazette I) est prévue pour le milieu de 2009. | ||||||||
Le système de diagnostic intégré pour moteurs routiers lourds Introduire de nouvelles exigences réglementées pour les systèmes de diagnostic intégrés des véhicules routiers lourds qui seront produits à partir de l'année 2010 aux fins d'harmonisation avec les nouvelles exigences américaines. Les systèmes de diagnostic intégrés surveillent les composants liés aux émissions, détectent la détérioration ou les défaillances et les communiquent au conducteur ainsi qu'au technicien en réparations, veillant ainsi à ce que les avantages d'une meilleure qualité de l'air soient réalisés grâce aux meilleures technologies de contrôle des émissions atmosphériques durant tout le cycle de vie des nouveaux véhicules. Les nouvelles exigences permettront de garantir que les réductions des émissions prévues à partir de 2010 concernant les véhicules lourds soient réalisées grâce aux conditions appliquées aux véhicules et aux moteurs en service. |
Les modifications provisoires au Règlement sur les émissions des véhicules routiers et de leurs moteurs pour l'introduction de systèmes diagnostic intégré pour moteurs routiers lourds sont terminées et les consultations auprès des intervenants ont été lancées. La prépublication (Gazette I) est prévue pour l'automne 2008. | ||||||||
Réductions des émissions atmosphériques proposées (navires) Un travail initial permettra de déterminer les réductions d'émissions potentielles. Il sera suivi d'efforts visant à mettre en place des normes internationales. Cela a pour objectif de réduire les émissions des polluants atmosphériques (SO2 , NOx et des matières particulaires) provenant des navires. Étant donné qu'on est en train de travailler à la mise en place d'une réglementation, l'étendue des réductions à réaliser n'a pas encore été déterminée; toutefois, d'importantes réductions des émissions de SO2 , des NOx et des MP devraient être faites grâce à la mise en œuvre de normes internationales plus sévères concernant les moteurs et les carburants marins. |
De nouvelles normes internationales plus rigoureuses ont été rédigées et devraient être approuvées en octobre 2008. |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Transports Canada | ||||||||
PRQA 2b : Mesures réglementaires du secteur des transports | Activité de programme : 3.1 - Politiques et programmes à l'appui du développement durable | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 22 500 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 6 000 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
1 523 491 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Réduction des émissions atmosphériques proposées (chemin de fer) Le résultat prévu est la réduction des émissions de polluants atmosphériques (NOx) et des GES des locomotives de chemin de fer. Des cibles particulières seront élaborées au moyen du processus de réglementation. |
Transports Canada a l'intention d'élaborer et de mettre en œuvre un nouveau règlement qui entrera en vigueur en 2011 sous la Loi de 2001 sur la sécurité ferroviaire afin de réduire les émissions de l'industrie ferroviaire au Canada. En mars 2008, la Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis a annoncé ses dernières normes sur les
polluants atmosphériques pour le secteur ferroviaire et maritime. Celles-ci seront prises en compte dans l'élaboration du cadre réglementaire du Canada pour ces secteurs. Le Protocole d'entente pour réduire les émissions de PCA et de GES des locomotives de chemin de fer opérées au Canada par des compagnies de chemin de fer canadiennes a été signé par Transports Canada, Environnement Canada et L'Association des chemins de fer du Canada (ACFC) en avril 2007. Transports Canada a appuyé la publication du premier rapport annuel sur la surveillance des émissions des locomotives achevé par l'ACFC en décembre 2007. De plus, Transports Canada a entrepris l'organisation de la Conférence ferroviaire de 2008, qui a eu lieu en mai 2008. Cet événement de deux jours a été reconnu à l'unanimité par l'industrie, les dirigeants du gouvernement, les universitaires et les groupes environnementaux non gouvernementaux comme un forum pour échanger et discuter au sujet des dernières technologies, des meilleures pratiques opérationnelles et des politiques visant à réduire les émissions des opérations ferroviaires. |
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Réductions des émissions atmosphériques proposées (navires) Un travail initial permettra de déterminer les réductions d'émissions potentielles. Il sera suivi d'efforts visant à mettre en place des normes internationales. Cela a pour objectif de réduire les émissions des polluants atmosphériques (SO 2 , NO x et des matières particulaires) provenant des navires. Étant donné qu'on est en train de travailler à la mise en place d'une réglementation, l'étendue des réductions à réaliser n'a pas encore été déterminée; toutefois, d'importantes réductions des émissions de SO 2 , des NO x et des MP devraient être faites grâce à la mise en œuvre de normes internationales plus sévères concernant les moteurs et les carburants marins. |
Dans le secteur maritime, le gouvernement adopte les normes internationales actuelles établies par l'Organisation maritime internationale (OMI) pour le contrôle des émissions de polluants atmosphériques de navires. En mai 2007, Transports Canada a conçu un règlement en vertu de l'ancienne Loi sur la marine marchande du Canada afin d'incorporer les
dispositions de l'Annexe VI Réglementation pour la prévention de la pollution de l'air de la Convention internationale pour la prévention de la pollution de l'air des navires (MARPOL). En 2007-2008, Transports Canada a entrepris la reformulation du règlement afin qu'il corresponde à la nouvelle Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada, qui est entrée en
vigueur en juillet 2007. Le Canada travaille aussi avec l'OMI sur un cadre visant à réduire les GES de l'activité mondiale de la marine marchande. En 2007-2008, Transports Canada a continué de travaillé avec Environnement Canada et l'EPA des États-Unis sur une étude de faisabilité d'une zone de contrôle des émissions de soufre (SECA) qui étudierait si les eaux nord-américaines devraient être désignées comme de telles zones. |
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Réductions des émissions atmosphériques proposées (véhicules à moteur) Une réduction mesurable de la consommation de carburant, en litres/100 km, du nouveau parc de véhicules légers au Canada, à compter de 2011. Des cibles de réductions particulières seront établies d'ici la fin de 2008. Le programme réduira les émissions de GES à mesure qu'un plus grand nombre de véhicules à haut rendement énergétique sont ajoutées au parc de véhicules canadiens chaque année. Le règlement axé sur l'amélioration de la consommation de carburant des véhicules a la possibilité de réduire la pollution atmosphérique au tuyau d'échappement aussi. |
Le gouvernement s'est engagé à réglementer le rendement énergétique des automobiles et des camions légers qui seront vendu au Canada à partir de l'année de modèles de véhicules 2011. Le gouvernement a annoncé en octobre 2006, en vertu d'un avis d'intention de réglementer, qu'il réglementerait le rendement énergétique en vertu de la Loi sur les normes
de consommation de carburant des véhicules automobiles . Le gouvernement du Canada a signé un mémoire de coopération avec les États-Unis le 26 avril 2007 afin d'échanger des renseignements sur le rendement énergétique. En novembre 2007, le gouverneur en conseil a promulgué la Loi sur les normes de consommation de carburant des véhicules automobiles. Une
problématique a été publiée en janvier 2008. Des consultations informelles ont été menées tout au long de 2007 et des consultations formelles ont eu lieu du 17 janvier 2008 au 15 mars 2008. |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Ressources naturelles Canada | ||||||||
PRQA 2c : Mesures réglementaires du secteur des transports | Activité de programme : 1.3 - Énergie | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 3 200 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 300 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
447 336 $
Les fonds inutilisés des mesures réglementaires du secteur des transports représentaient 852 664 $, dont 528 783 $ étaient gérées à l'interne. Par conséquent, 528 783 $ seront mis à la disposition des mesures réglementaires du secteur des transports en 2008-2009. |
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Une réduction mesurable de la consommation de carburant, en litres/100 km, du nouveau parc de véhicules légers au Canada, à compter de 2011. Des cibles de réductions particulières seront établies d'ici la fin de 2008. Le programme réduira les émissions de GES à mesure qu'un plus grand nombre de véhicules à haut rendement énergétique sont ajoutées au parc de véhicules canadiens chaque année. Le règlement axé sur l'amélioration de la consommation de carburant des véhicules a la possibilité de réduire la pollution atmosphérique au tuyau d'échappement aussi. |
La prestation opportune de l'analyse et du soutien au processus d'élaboration réglementaire pour établir des cibles de réduction de la consommation de carburant ciblés d'ici la fin de 2008, y compris:
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Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Environnement Canada | ||||||||
PRQA 3a : Mesures réglementaires relatives aux produits commerciaux et de consommation | Activités du programme : Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de GES pour les Canadiens, leur santé et l'environnement | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 12 000 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 2 502 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
1 053 888 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Réduire les émissions de polluants atmosphériques provenant des produits grand public et commerciaux. On procède actuellement à la détermination d'objectifs précis dans le cadre du processus réglementaire. Les polluants qui font l'objet de préoccupations particulières concernent les COV, en plus des émissions provenant du chauffage résidentiel au bois. | Élaboration du Règlement limitant la concentration en composés organiques volatils (COV) de certains produits, qui doit être fait en vertu du paragraphe 93(1) de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (1999) (LCPE 1999), afin de protéger l'environnement et la santé des Canadiens en fixant des limites de concentration des COV dans
98 catégories de certains produits. Trois règlements sur les COV afin de réglementer les limites de concentration pour 1) les revêtements de finition pour automobiles, 2) les revêtements architecturaux, et 3) divers produits, ont été proposés et leur élaboration a été lancée. Lancement des essais de vérification de la norme B415.1-00 de l'Association canadienne de normalisation (CSA) pour les appareils de chauffage au bois intérieur et les chaudières et l'élaboration d'une nouvelle édition de la norme B415.1 de la CSA (qui devrait être achevée en 2010). Participation continue à l'élaboration de la norme de l'American Society for Testing and Materials (ASTM). |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Ressources naturelles Canada | ||||||||
PRQA 3b : Mesures réglementaires relatives aux produits commerciaux et de consommation | Activité de programme : 1.3 - Énergie | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 32 000 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 7 000 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
6 763 321 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Programme d'étiquetage du rendement énergétique Les répercussions annuelles cumulatives estimées en 2010-2011 sont : des économies d'énergie de 13,37 à 14,85 pétajoules par année, ce qui se convertissent actuellement en réductions annuelles des émissions de 1,4 à 1,6 mégatonnes par année pour les GES et, pour les polluants atmosphériques, les plus importants sont : 725-1002 tonnes de NOx, 837-3446 tonnes de SO2 , 204-1155 tonnes de PM10. |
La modification 10 au Règlement sur l'efficacité énergétique a été pré-publiée le 29 mars 2008. Cette proposition de modification représentera environ un tiers de la contribution du Règlement sur l'efficacité énergétique du Programme de réglementation de la qualité de l'air, soit 7,29 pétajoules et 0,5 Mt en réduction de GES par rapport au statu quo en 2010, passant à 9,7 Mt en 2020. Aucune estimation de la réduction d'autres émissions ne sont données pour la modification proposées en raison de certaines incertitudes dans le calcul du nombre limité de produits. Les résultats en 2020 seront considérablement plus élevés que les 2,58 Mt estimées à l'origine vu l'inclusion de la norme de rendement pour les ampoules qui devrait commencer à entraîner des économies en 2012. |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Santé Canada | ||||||||
PRQA 4 : Mesures de gestion de la qualité de l'air intérieur | Activités du programme : 3.1 - Environnements sains et sécurité du consommateur | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 17 500 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 522 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
3 430 486 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Air intérieur Santé Canada appui les mesures de gestion des risques et veille à leur amélioration en vue d'éliminer les risques que représente la qualité de l'air intérieur pour la santé, notamment le radon. À cet effet, Santé Canada élabore des directives concernant l'air intérieur, des programmes de sensibilisation et de prévention ainsi que des règlements concernant les produits sources, en vue de réduire l'exposition aux contaminants intérieurs. Mettre en œuvre les règlements, les directives et d'autres mesures visant à réduire la pollution de l'air intérieur, ce qui engendrera des avantages pour la santé des Canadiens. Durant une période de quatre ans, s'occuper des plus importants contaminants intérieurs de l'environnement résidentiel intérieur au Canada, en étudiant 20 contaminants ou groupes de contaminants et en recourant à des consultations à ce propos, tout en organisant des réunions de suivi et d'information portant sur un maximum de 10 priorités, en plus d'élaborer des directives et, le cas échéant, des règlements concernant les produits sources, afin de réduire l'exposition à ces contaminants. Diffuser des renseignements pertinents sur la santé et adresser des conseils aux Canadiens en vue de mettre en œuvre les règlements concernant la qualité de l'air intérieur et les mesures de réduction de la pollution. |
En 2007-2008, Santé Canada a collaboré avec les provinces et les territoires afin de nommer des substances à une liste prioritaire de contaminants de l'air intérieur qui servira de fondement à l'élaboration de lignes directrices et de règlements. Les consultations avec des intervenants et l'industrie sur la liste provisoire sont terminées, et la mise au
point de la liste de polluants doit avoir lieu en 2008-2009. Santé Canada a achevé des évaluations des risques et l'élaboration de lignes directrices sur la qualité de l'air intérieur pour l'ozone et le monoxyde de carbone. Le ministère a continué d'enquêter sur les répercussions pour la santé de l'exposition aux matières particulaires et au dioxyde d'azote, ce qui informera les travaux sur l'élaboration de lignes directrices pour la qualité de l'air intérieur pour ces substances. Santé Canada a également terminé une étude de l'exposition à la qualité de l'air intérieur à Regina afin de comprendre les sources et les concentrations de produits toxiques de l'air des maisons. En ce qui concerne le partage d'information, le ministère a continué d'engager le groupe de travail fédéral, provincial et territorial sur des questions liées à la qualité de l'air intérieur. Le site Web sur la Qualité de l'air intérieur de Santé Canada a été mis à jour de façon à refléter de nouveaux renseignements, et à continuer d'être un véhicule important pour la diffusion de conseils sur la santé à l'intention du public. Une recherche sur l'opinion publique a également eu lieu auprès des responsables de la santé publique qui utilisent les lignes directrices de Santé Canada pour déterminer leurs préférences relativement à ces outils, afin d'améliorer la capacité du ministère à diffuser de façon efficace les renseignements sur la santé concernant la qualité de l'air intérieur. |
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Réductions de l'exposition au radon proposées Le radon se trouve naturellement dans l'environnement. Le but est de réduire l'exposition à ce gaz, en réduisant son infiltration et son accumulation dans les bâtiments. Les activités entreprises dans le cadre de cette initiative sont complémentaires de celles exécutées dans le cadre du programme distinct sur la qualité de l'air intérieur et visent à mettre en œuvre une stratégie complète de réduction de l'exp osition au radon dans les bâtiments résidentiels. Durant une période de quatre ans, établir des directives concernant l'exposition au radon et rassembler des renseignements sur les populations concernées et les protocoles d'essai. Cela se fera grâce à ce qui suit : amélioration des installations en vue de mettre en place un laboratoire national qui évaluera le matériel d'essai; la mise en place de normes d'essai; et des travaux de recherche sur l'effet du radon sur la santé de sous-ensembles particuliers de la population. Diffuser des renseigne ments pertinents sur la santé et adresser aux Canadiens des conseils pour la mise en œuvre et la mise en place d'une stratégie nationale concernant le radon qui tienne compte des nouvelles directives de réduction de l'exposition au radon fondées sur des critères liés à la santé. Dans les années à venir, lancer de nouvelles techniques d'essai, notamment des programmes de certification des personnes ou des organismes chargés d'effectuer ces essais, et déterminer les aspects qui présentent des problèmes partout dans le pays, par l'entremise d'une base de données nationale. |
De nouvelles lignes directrices canadiennes sur le radon avec un niveau d'action réduit de 200 Bq/m3 par rapport à la valeur antérieure de 800 Bq/m3 ont été adoptées. Des consultations sur le besoin de fixer une cible de 100 Bq/m3 pour les nouvelles constructions résidentielles ont aussi été menées auprès des intervenants
et du public. Au cours de l'exercice 2007-2008, un Laboratoire national du radon a été établi au Bureau de la radioprotection à Ottawa. Le laboratoire a été équipé d'un ensemble complet de détecteurs et de systèmes de détection du radon, ainsi que d'une chambre d'étalonnage du radon pour effectuer à l'interne l'étalonnage de l'équipement de détection du radon. Le laboratoire a terminé l'élaboration de deux procédures normalisées de mesure du radon pour les immeubles résidentiels et les grands immeubles (écoles et hôpitaux). Santé Canada a travaillé vers l'établissement d'un programme d'accréditation pour les fournisseurs de services d'essais du radon, et s'est réuni avec deux organisations basées aux États-Unis afin d'étudier des options pour l'expansion d'une composante canadienne dans leurs programmes de certification actuels. Le Ministère a également négocié avec le Conseil canadien des normes afin de vérifier les organisations et les accréditer comme organes de certification pour les fournisseurs de service d'essai du radon au Canada. Ce programme de certification permettra de s'assurer que les fournisseurs de services d'essai du radon au Canada sont bien qualifiés pour effectuer ce travail. Le Ministère a achevé un projet de recherche pour mesurer les concentrations de radon dans les gaz du sol dans le sud de l'Ontario afin de déterminer le potentiel de niveaux élevés de radon intérieur dans les maisons de ce secteur à forte population du Canada. Santé Canada a achevé l'élaboration d'une base de données pour les données de mesure du radon. Toutes les données des projets nationaux d'essai du radon ainsi que les données partagées avec Santé Canada par les provinces partenaires seront incluses dans cette base de données et constitueront le fondement du mappage des zones à haut potentiel de radon au Canada. |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Environnement Canada | ||||||||
PRQA 5a : Science à l'appui des activités de réglementation et de la responsabilisation | Activités du programme : 3.3 - Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de GES pour les Canadiens, leur santé et l'environnement | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 40 100 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 584 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
3 755 159 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Science à l'appui des activités de réglementation et de la responsabilisation Déterminer et combler les lacunes graves concernant l'environnement et la santé, afin de fournir les renseignements appropriés pour l'accomplissement des fonctions dans le cadre du Programme de réglementation de la qualité de l'air. Mettre en pratique les résultats de la recherche lors de l'élaboration des règlements proposés et d'autres mesures de la réduction de la pollution atmosphérique qui sont en rapport avec l'Avis d'intention publié conjointement avec le Programme de réglementation de la qualité de l'air. Surveillance Fournir des évaluations, des données et des modèles qui décrivent l'impact des sources de pollution atmosphérique, afin d'apporter les renseignements requis aux évaluations scientifiques, à l'élaboration des règlements et à leur mise en œuvre. Effectuer des évaluations et établir des rapports concernant les progrès réalisés pour ce qui est de la qualité de l'air en général, de la qualité de l'air ambiant, des avantages acquis dans le domaine de la santé et de l'environnement ainsi que de la valorisation économique, après la mise en œuvre des mesures entreprises dans le cadre du Programme de réglementation de la qualité de l'air. En outre, fournir les renseignements requis pour assurer un choix et une élaboration de règlements et d'autres mesures de réduction de la pollution fondés. Modélisation Mettre au point des techniques de modélisation de qualité de l'air, les modifier et les appliquer aux fins de participation à l'élaboration et à la mise en œuvre du Programme de réglementation de la qualité de l'air. Évaluations Fournir des renseignements et des conseils fondés sur la science, afin de donner de l'information précise aux Canadiens et aux décideurs : dans le but de déterminer si les réductions des émissions engendrent une meilleure qualité de l'air ambiant ainsi que des avantages pour l'écosystème et la santé des êtres humains; d'aider à déterminer si d'autres mesures pourraient s'avérer nécessaires; et de fournir des évaluations ainsi que des conseils scientifiques en vue de fixer les objectifs concernant la qualité de l'air. |
Mise en œuvre de l'étude sur le terrain dans le sud-ouest de l'Ontario et préparation d'une base de données sur les émissions d'une vaste zone urbaine et de secteurs industriels particuliers dans la région afin d'aboutir à une meilleure connaissance de l'exposition aux matières particulaires, à l'ozone et à leurs précurseurs. Échantillonnage dans le nord de la Saskatchewan afin d'estimer la fragilité chimique et biologique des lacs pouvant être touchés par l'exploitation des sables bitumineux. Une enquête sur les sources et les effets du mercure (p. ex. sur les oiseaux) a été lancée. Le réseau de Surveillance nationale de la pollution atmosphérique a été opéré en collaboration avec les provinces et les territoires (296 sites). La spéciation des matières particulaires a été déterminée à 16 sites. Le rapport Sommaire des données annuelles pour 2005 et 2006 a été publié. La contribution à une meilleure connaissance et caractérisation de la composition atmosphérique changeante à cause des émissions de la production et la consommation d'énergie, des activités industrielles, du transport et des sources naturelles, dans le cadre des contributions transfrontalières. Une connaissance plus approfondie du processus de dépôt sec, surtout pour le produit azoté, via la publication des trois documents scientifiques examinés par les pairs et une amélioration de la méthodologie pour la mesure continue des précurseurs au smog. Les données chimiques et biologiques ont été recueillies afin d'améliorer les évaluations de l'acidification et la récupération des lacs fragiles dans l'est du Canada. Des améliorations ont été apportées aux paramétrages des réactions chimiques des composés organiques, au traitement du transport de poussière et le traitement des nuages d'aérosols. Le modèle évaluera les données sur le terrain et, avec certaines des améliorations incluses, a servi à fournir la science à l'appui de l'élaboration du règlement en vertu du PRQA. Plus de 60 applications différentes du modèle de la qualité de l'air ont fourni une orientation à l'appui de l'élaboration du document du Cadre réglementaire sur les polluants atmosphériques. Adaptation du modèle de qualité de l'air afin de respecter les calendriers à délais de traitement plus rapide. Amélioration de la capacité à lier le modèle de la qualité de l'air aux modèles sur les effets pour la santé humaine et les écosystèmes. Contribution à l'évaluation scientifique du smog en 2008 par la fourniture de données sur la qualité de l'air, les analyses, des produits et des commentaires scientifiques. |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Santé Canada | ||||||||
PRQA 5b : Science à l'appui des activités de réglementation et de la responsabilisation | Activité de programme : 3.1 - Environnements sains et sécurité des consommateurs | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 71 300 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 8 478 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
7 692 600 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Santé Canada appuie et améliore les mesures de gestion des risques afin de traiter les risques pour la santé de la qualité de l'air extérieur et travail à déterminer et à régler les écarts du savoir lié à la santé et à l'environnement critique afin de fournir des renseignements visant à exécuter des responsabilités en vertu du
PRQA. Fournir des mesures, des données et des modèles qui décrivent les répercussions des sources de pollution atmosphérique afin d'informer les évaluations scientifiques et de présenter des suggestions pour l'élaboration et la mise en œuvre du PRQA. Mesurer et rendre compte des progrès réalisés en matière de qualité de l'air, des améliorations à la qualité de l'air ambiant, et les avantages pour la santé et l'environnement et l'évaluation économique obtenue, découlant de mesures entreprises en vertu du PQRA, et informer le choix et l'élaboration de futurs règlements et autres mesures de réduction de la pollution. Fournir des renseignements et des conseils scientifiques afin d'informer avec précision les Canadiens et les décisionnaires : afin de déterminer si les réductions des émissions entraînent une meilleure qualité de l'air ambiant et des avantages pour les écosystèmes et la santé humaine; Pour aider à déterminer si des mesures supplémentaires peuvent s'imposer; et pour fournir des évaluations scientifiques et des conseils pour développer les objectifs de qualité de l'air. |
Santé Canada a continué la recherche sur l'élaboration de la Cote air santé, et a exploré les exigences supplémentaires en matière de données pour plusieurs polluants afin de s'assurer que la cote est rigoureuse et révèle des tendances véritables dans la relation entre les polluants et les points extrêmes de santé. Actuellement, la cote mise sur les
données sur la mortalité mais l'utilisation de points extrêmes comme les admissions dans les hôpitaux et les visites aux salles d'urgence sont également à l'étude. Santé Canada a continué de perfectionner l'Outil pour évaluer les avantages d'une meilleure qualité de l'air, qui est conçu pour estimer les avantages pour la santé humaine ou les répercussions associées aux changements à la qualité de l'air ambiant du Canada. Au moyen de cet outil, Santé Canada a effectué l'analyse initiale de l'économie de la santé et a donné des estimations des avantages (physiques et monétaires) des règlements du PRQA proposés pour les polluants atmosphériques afin d'informer le Cadre réglementaire sur les émissions atmosphériques. Santé Canada a continué de travailler sur l'ébauche des évaluations des matières particulaires et de l'ozone (précurseurs au smog) qui servira de fondement pour établir les objectifs nationaux sur la qualité de l'air à l'appui du PRQA. Les renseignements découlant de l'évaluation des risques et des avantages pour la santé humaine associés à l'utilisation de l'essence au plomb dans les véhicules de compétition ont été publiés dans la Gazette du Canada, Partie I le 22 décembre 2007. Le Ministère a également mis au point une évaluation des risques pour le manganèse inhalable. |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Environnement Canada | ||||||||
PRQA 6 : Déclaration des émissions | Activités du programme : 3.3 - Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de GES pour les Canadiens, leur santé et l'environnement | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 39 000 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 8 825 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
7 227 465 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Le programme de déclaration des émissions permettra ce qui suit :
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Le Canada a continué d'atteindre ses obligations de déclaration internationale sur les systèmes nationaux en vertu de la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques et le Protocole de Kyoto en produisant un inventaire nationale des GES conforme aux Nations-Unies, devenant ainsi admissibles aux mécanismes prévus par Kyoto. Le Canada a également satisfait à ses obligations internationales sur les rapports sur les polluants atmosphériques à la CEE. En plus de la publication et de la collecte d'émissions de GES et de polluants atmosphériques des Avis en vertu de l'article 46 de la LCPE pour le programme des déclarations des GES et la composante des polluants atmosphériques de l'INRP, un autre Avis en vertu de l'art. 71 a été publié le 8 décembre 2007 exigeant des installations qui seraient couvertes par le projet de règlement qu'elles déclarent leurs émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques de 2006 et d'autres données. Un projet pluriannuel a été lancé en 2007-2008 afin de travailler vers un système unique harmonisé pour la déclaration obligatoire de tous les polluants atmosphériques et les émissions de GES aux programmes d'Environnement Canada ainsi qu'à d'autres administrations, et un système de rapports provisoires pour appuyer l'Avis en vertu de l'article 71 a été mis en œuvre avec succès. |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Environnement Canada | ||||||||
PRQA 7 : Échange de droits d'émissions | Activités du programme : 3.3 - Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de GES pour les Canadiens, leur santé et l'environnement | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 10 000 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 2 533 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
1 599 257 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Mettre en place un système national d'échange de droits d'émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphérique (NOx et SO2 ) et un système de compensation national pour les émissions de gaz à effet de serre. Par ailleurs, on réfléchira à la conception d'un système de compensation national pour les polluants
atmosphériques. Fournir une base dans le cas où le Canada décidait de lancer des négociations avec les É.-U. pour adopter leur système d'échange de droits d'émissions des NOx et des SOx . Encourager le développement et le déploiement des technologies de réduction des émissions grâce aux mesures incitatives axées sur le marché, offertes dans le cadre des systèmes d'échange de droits d'émissions. |
Consultations auprès des provinces et des territoires, de l'industrie, des groupes environnementaux, des Premières nations et d'autres intervenants intéressés sur le système d'échange de droits d'émission pour les gaz à effet de serre, y compris le Système de crédits compensatoires pour les gaz à effet de serre, le crédit pour des mesures d'action précoce
et le caractère bancable ou échangeable des crédits. Recommandations de politiques acceptées par le Cabinet sur la conception du système d'échange de droits d'émission pour les gaz à effet de serre, y compris le Système canadien de crédits compensatoires pour les gaz à effet de serre, le Programme canadien de crédit pour des mesures d'action précoce et les types de crédits à accepter pour la conformité intérieure au mécanisme de développement propre des Nations Unies. Conseils aux Services juridiques sur la rédaction de la composante d'échange de droits d'émission du projet de règlement sur les gaz à effet de serre. La conception préliminaire du Système intérieur de suivi des crédits a été lancée (doit s'achever en 2008-2009). Publication du « Programme canadien de crédit pour des mesures d'action précoce et du Système canadien de crédits compensatoires pour les gaz à effet de serre » le 10 mars 2008. La modélisation Canada-États-Unis de l'échange de droits d'émission de polluants atmosphériques dans le secteur de l'électricité au moyen du Modèle de planification intégré a été achevée. |
Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Environnement Canada | ||||||||
PRQA 8 : Conseil d'application de la loi et Rapport d'avancement | Activités du programme : 3.3 - Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de GES pour les Canadiens, leur santé et l'environnement | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 7 000 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 756 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
590 220 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Établir un « Rapport annuel sur la qualité de l'air » qui informera les Canadiens sur l'état actuel et les tendances de la qualité de l'air au Canada ainsi que sur les facteurs qui l'influencent. Établir une référence qui permettra d'évaluer les progrès réalisés à l'échelle nationale et l'efficacité des politiques. Veiller à ce que les premières versions des règlements proposés soient applicables et s'assurer d'être prêt pour la mise en application de leur version finale, en organisant des activités, telles que la formation des agents d'exécution des lois. |
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Programme de réglementation de la qualité de l'air (PRQA) | Environnement Canada | ||||||||
PRQA 9 : Élaboration, analyse et coordination de politiques | Activités du programme : 4.1 - Des conseils stratégiques intégrés, de la communication et des stratégies d'information permettent une prise de décision efficace | ||||||||
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 | ||||||||
Financement total alloué | 8 000 000 $ | ||||||||
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 2 000 000 $ | ||||||||
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
1 578 272 $
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Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||||||||
Maintenir l'aptitude des politiques à appuyer le gouvernement fédéral dans ses prises de décision, en lui offrant une analyse politique fiable et des conseils judicieux pour ce qui est de la poursuite de l'élaboration du volet portant sur la qualité de l'air et les changements climatiques dans le cadre du programme environnemental. |
Étude économique théorique des éléments clés du Cadre réglementaire industriel. L'analyse a étudié les répercussions du règlement industriel sur les principaux paramètres comme les réductions des émissions, les prix de l'énergie et la croissance économique par secteur. Publication le 10 mars 2008 de rapports clés :
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Programmes du thème de l'énergie propre
Énergie propre | Ressources naturelles Canada |
Programme Énergie propre 1 : écoÉNERGIE pour les bâtiments et les habitations | Activités du programme : 1.3 Énergie |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 61 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 13 800 000 $. Dépenses prévues après l'approbation de la MJANR pour 2008-2009 et des Budgets supplémentaires des dépenses pour 2007-2008 (Transfert de 649 515 $ au Conseil national de recherche). |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 10 468 518 $ |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Meilleure efficacité énergétique des bâtiments; amélioration de 25 % de l'efficacité des habitations. Conception et mise en place d'un système d'étiquetage pour les nouveaux et les anciens bâtiments. Étiquetage de 160 000 anciennes habitations, de 30 000 nouvelles habitations et de 400 immeubles. Économie d'énergie : entre 17,1 et 19,0 pétajoules Réductions annuelles des émissions entre 1,3 et 1,4 MT/an pour les gaz à effet de serre; entre 0,8 et 1,1 kilotonne/an pour le SO2 ; entre 3,0 et 4,1 kilotonne/an pour le CO; en plus d'autres principaux contaminants atmosphériques. CNRC : Le résultat final du projet (en mars 2011) sera l'élaboration du Code modèle national de l'énergie pour les bâtiments-Canada . |
Achèvement de la consultation auprès de l'industrie au sujet du projet pilote de système d'étiquetage. Élaboration de l'étiquette pilote pour les immeubles, l'étiquetage devant avoir lieu en 2008-2009. Six provinces ont annoncé des changements au codes de bâtiment afin d'obtenir la cote d'efficacité énergétique de 80 dans le Système de cote ÉnerGuide de RNCan. RNCan a émis 102 834 étiquettes pour les maisons existantes et 6 661 étiquettes pour les nouvelles maisons. RNCan a transféré des fonds au CNRC afin d'embaucher des deux conseillers techniques pour le processus de mise à jour du Code modèle national de l'énergie pour les bâtiments et établir et financer cinq comités de niveau opérationnel et un comité de gestion, le Comité permanent de l'efficacité énergétique dans les bâtiments. Le comité permanent a été établi et a tenu sa première réunion et les groupes de niveau opérationnel ont été créés. La dotation a débuté pour l'embauche des deux conseillers techniques. Réduction estimée de 0,2 MT de GES. |
Énergie propre | Ressources naturelles Canada |
Programme Énergie propre 2 : écoÉNERGIE Rénovation | Activités du programme : 1.3 Énergie |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 220 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 35 350 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 31 208 000 $ |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Prolonger l'Initiative pour les bâtiments existants (IBE) La prolongation devrait engendrer jusqu'à 300 nouveaux projets de rénovation et vérifications énergétiques, ce qui entraînera une réduction de 0,2 MT des émissions de GES. |
230 propositions de mise en œuvre ont été soumises pour des projets de rénovation de bâtiments. 86 accords de contribution avaient été signés en date de juillet 2008. On estime une réduction de 0,07 MT de GES des accords de contribution signés. Réduction estimée de 0,07 MT de GES. |
écoÉNERGIE Rénovation - Maisons Réduire la consommation de l'énergie et réduire les émissions de GES et de PCA. Réaliser une réduction allant jusqu'à 30 % de l'énergie utilisée et jusqu'à 4 tonnes des émissions des GES/an/habitation. Réaliser une économie d'énergie qui devrait se situer entre 6,08 et 6,75 PJ/an en 2011. Réduire l'utilisation des combustibles fossiles et de l'électricité produite à partir des combustibles fossiles, qui se traduit actuellement par des réductions annuelles des émissions se situant entre 0,4 et 0,5 MT/an pour les émissions de gaz à effet de serre, entre 296 et 368 tonnes/an pour les NOx , entre 171 et 625 tonnes/an pour le SO2 , entre 0,8 et 1,1 kilotonne/an pour le CO, et pour les principaux contaminants atmosphériques suivants : MP10, 163-611 kt/an; MP2.5, 149-459kt/an; COV 141-221kt/an. Adoption accrue des technologies, des systèmes et des produits éconergétiques et d'énergie renouvelable. Meilleure sensibilisation vis-à -vis du potentiel qui découle de la réduction de l'utilisation de l'énergie et des émissions dans les habitations et augmentation des méthodes visant cette fin. Réaliser une meilleure qualité de l'air grâce à une consommation de l'énergie moins importante, dont découle une réduction des émissions. |
102 834 maisons ont subi une évaluation de l'énergie avant rénovation et 12 000 subventions ont été versées. La subvention moyenne s'élevait à 1 064 $ avec des économies d'énergie moyennes de 48,4 Gj par maison par année. 10 % des bénéficiaires de subventions ont inclus des technologies et des produits renouvelables dans leur rénovation. 293 630 demandes d'information ont été faites au sujet de l'efficacité énergétique et 244 836 demandes de publication ont été reçues. Réduction estimée de 0,04 MT de GES. |
écoÉNERGIE Rénovation - Petites et moyennes organisations Résultats intermédiaires Intensifier les activités liées aux projets d'économie de l'énergie dans les bâtiments des petites et moyennes organisations ainsi que dans les secteurs de l'industrie concernés. Résultat final Des économies d'énergie entraînant la réduction des émissions de GES et de PCA. |
96 projets de rénovation ont été financés dans les petites et moyennes organisations représentant moins de 500 employés, ou moins de 10 000 mètres carrés (bâtiments). Réductions estimées de 0,03 MT de GES. |
Énergie propre | Ressources naturelles Canada |
Programme Énergie propre 3 : écoÉNERGIE pour l'industrie | Activités du programme : 1.3 Énergie |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 18 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 4 100 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 3 388 000 $ |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultat intermédiaire L'industrie met en œuvre des projets et des pratiques d'efficacité énergétique. Résultat final Des économies d'énergie entraînant la réduction des émissions de GES et de PCA. |
156 nouvelles compagnies ont enregistré leurs engagements organisationnels afin d'améliorer l'efficacité énergétique et sont devenus des chefs de file du PEEIC. 1 200 participants industriels ont participé aux ateliers de formation Le gros bon sens - ajoutant aux près de 14 000 personnes formées depuis 1997. Trois études de référence ont été achevées ou sont en cours ainsi que six évaluations approfondies afin de trouver des occasions pour économiser de l'énergie. Deux projets ont été lancés dans le cadre d'une collaboration fédérale-provinciale sur les normes de gestion de l'énergie et les systèmes d'information. Réduction estimée de 0,3 MT de GES. |
Énergie propre | Ressources naturelles Canada |
Programme Énergie propre 4: écoÉNERGIE pour l'électricité renouvelable | Activités du programme : 1.3 Énergie |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 276 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 21 650 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 17 503 000 $ |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats Produire, d'ici 2011, 14,3 térawatt-heures d'électricité par an, soit environ 4 000 MW de capacité de production, selon le mélange des sources d'énergie utilisées, ce qui représente actuellement des réductions annuelles des émissions se situant entre 6 et 6,7 Mt pour les émissions à effet de serre et, pour les principaux contaminants atmosphériques (PCA), les plus significatives réductions se situent entre 2 et 3 kilotonnes pour les NO x , entre 3 et 12 kilotonnes pour le SO 2 , entre 0,6 et 4 kilotonne pour les PM10, en plus d'autres PCA. Acquérir une plus grande expérience au Canada ainsi qu'une plus importante production d'énergie renouvelable à faible impact réalisée par les services publics, les producteurs d'électricité indépendants et d'autres intervenants. |
12 accords de contribution ont été signé pour 948 MW de nouvelle électricité qui devrait produire 3 térawattheures par année (TWh/an), dont 10 sont en opération pour un total de 757 MW et une production attendue de 2,4 TWh/an. 165 avis de demandes de projet avaient été enregistrés au 31 mars 2008. Les 10 projets actuellement en opération déplaceront en moyenne 1,12 MT de GES par année. |
Énergie propre | Ressources naturelles Canada |
Programme Énergie propre 5 : écoÉNERGIE pour le chauffage renouvelable | Activités du programme : 1.3 Énergie |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 36 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 8 000 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 5 187 000 $ |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats Déployer jusqu'à 700 unités héliothermiques dans le secteur industriel, commercial et institutionnel (ICI). Financer, en principe, jusqu'à huit projets pilotes coopératifs dans le secteur résidentiel (chacun permettra le déploiement de nombreuses unités héliothermiques). Réaliser des économies d'énergie de 0,35 pétajoule, ce qui correspond à des réductions annuelles des émissions d'environ 20 kilotonnes de GES, de 9,8 kilotonnes de NOX , et de 19 à 32 tonnes de SO2. Le développement de la capacité industrielle devrait entraîner la mise en place de deux normes liées à l'énergie thermique renouvelable, la certification de près de huit réseaux d'alimentation en eau conformes aux normes, la réalisation de deux enquêtes annuelles au sein de l'industrie, l'élaboration et la distribution d'au moins trois publications sur les nouvelles technologies visant à informer le public, en plus de la mise en place de deux normes professionnelles sur l'énergie renouvelable. |
111 systèmes héliothermiques ont été installés dans le secteur industriel, commercial et institutionnel (91 systèmes solaires à air, 20 systèmes solaires à eau). Ces systèmes installés devraient entraîner des économies d'énergie de 41 820 GJ/année et une réduction de 2 673 kilotonnes de GES par année. 13 projets pilotes résidentiels ont été sélectionnés en 2007-2008 et devraient entraîner l'installation de 8 000 chauffe-eau solaires résidentiels d'ici 2010. Des accords de contribution pour les projets pilotes sélectionnés seront signés en 2008-2009. Le développement de normes est en cours. Des accords ont été signés avec 4 compagnies pour la certification de systèmes solaires à eau. |
Énergie propre | Ressources naturelles Canada |
Programme Énergie propre 6 : Initiative écoÉNERGIE sur la technologie | Activités du programme : 1.3 Énergie |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 226 440 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 8 710 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 5 194 000 $ |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats Un ensemble amélioré de technologies d'énergie propre et de meilleures réglementations, afin de veiller à leur mise en œuvre. Plus grande implication et collaboration du milieu de la recherche et des principaux intervenants. Sensibilisation et compréhension accrues vis-à -vis des technologies et des procédés de réduction des émissions atmosphériques. Meilleure capacité de mise en place de nouveaux systèmes et meilleures nouvelles technologies énergétiques permettant de réaliser les objectifs liés à la qualité de l'air; en plus d'un programme global. Les nouvelles technologies devraient permettre une importante réduction des émissions de matières particulaires, de polluants gazeux, de substances toxiques et de gaz à effet de serre provenant de la production et de l'utilisation de l'énergie. Les nouvelles connaissances et technologies permettront de mettre en place des règlements, des codes et des normes. |
Accord de collaboration sur un projet de conception technique d'avant-garde pour une centrale de gazéification du charbon propre (secteur fédéral-provincial-industriel) http://www.nrcan-rncan.gc.ca/media/newcom/2007/2007104-fra.php Commanditaire de la conférence internationale sur les véhicules hybrides recharges afin de sensibiliser le public à cette nouvelle technologie. Préparatifs approfondis pour l'appel de propositions de 140 M$ (annoncé le 4 avril 2008) dans deux secteurs : 1) le développement de la technologie pour réduire les répercussions des sables bitumineux; et 2) les technologies de capture et de stockage du carbone afin de réduire les émissions de GES des sables bitumineux et des centrales électriques alimentées au charbon. Des projets choisis découlant du processus d'appel devraient débuter au début de 2009. |
Énergie propre | Ressources naturelles Canada |
Programme Énergie propre 7 : Politiques, communications, surveillance et déclaration | Activités du programme : 1.3 Énergie, 1.4 Forêt durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 24 600 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 6 140 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 5 263 950 $ |
Résultats prévus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Politique Résultats Analyse approfondie des politiques sur les changements climatiques et la qualité de l'air, et bonne compréhension de leurs implications, de manière à ce que les choix politiques puissent être présentés aux hauts fonctionnaires et aux ministres aux fins de décision. Coordination efficace des processus interministériels et participation à ces derniers, afin de veiller à l'efficacité de la gestion gouvernementale, de la préparation des documents destinés au Cabinet et de la mise en œuvre des décisions de ce dernier. Les tendances en matière d'émissions sont comprises et permettent d'établir des discussions éclairées sur les objectifs liés à la réduction des émissions. |
Politique Des documents de politique et des conseils ont été fournis au ministre, au sous-ministre et autres cadres supérieurs à l'appui de l'élaboration de politiques et de programmes et de la prise de décision. Analyse des politiques pertinentes proposées et mises en œuvre dans d'autres juridictions (c.-à -d. provinces, territoires, autres pays). Une analyse des politiques a été menée relativement à la technologie de CSC, y compris le soutien direct pour le Groupe de travail ÉcoÉNERGIE Canada-Alberta sur le piégeage et le stockage du carbone, Afin de mieux comprendre les principaux défis et les possibilités associées au déploiement à grande échelle des technologies de capture et de stockage du carbone au Canada. Collaboration étroite avec Environnement Canada afin de mettre au point le Cadre réglementaire pour les émissions industrielles de GES, en consultation avec les intervenants y compris les industries de ressources naturelles touchées par le nouveau règlement. Contribution à l'élaboration et à la mise en œuvre du Cadre horizontal de gestion, de responsabilisation et de rapport afin d'assurer une gestion et une coordination interministérielle efficace et efficiente des programmes de changements climatiques et de l'air pur. Collaboration avec EC (ministère responsable) et d'autres ministères gouvernementaux pour l'achèvement d'une présentation du Conseil du Trésor décrivant le CHGRR final (c.-à -d. structure de gouvernance, stratégies de mesure du rendement, gestion financière, rapports et vérification et évaluation). Collaboration étroite avec EC sur les activités de modélisation du gouvernement dans le cadre du plan Prendre le virage afin de comprendre les tendances des émissions et analyser les répercussions des politiques d'atténuation des gaz à effet de serre et des polluants atmosphériques. Collaboration avec EC (ministère responsable) et d'autres ministères afin de préparer les évaluations économiques sectorielles du Programme de réglementation de l'air pur. Mise à jour du modèle de prévision MAPLE-C de RNCan. Élargissement des paramètres du modèle afin d'estimer les niveaux des émissions jusqu'à l'année 2030. Renforcement de ses capacités à projeter les émissions des principaux contaminants atmosphériques (PCA) pour le secteur de l'électricité. Accroître ses sous-modules pétrolier et gazier, industriels, des émissions, résidentiels et commerciaux afin de tenir compte des débouchés et des réalités. |
Communications stratégiques Résultats Les publics cibles comprennent le programme du gouvernement concernant l'énergie propre et son rôle dans le programme environnemental global. Des conseils visant une communication de grande qualité et une messagerie cohérente contribueront à la mise en place et à l'application des politiques et des programmes d'énergie propre du gouvernement. Mise en place d'une stratégie de communication et d'un système de messagerie d'envergure gouvernementale, afin d'assurer une démarche cohérente pour la communication des mesures gouvernementales concernant l'énergie propre et l'environnement. Extrants Fournir des conseils sur la communication stratégique et appuyer le programme environnemental du gouvernement. Messagerie efficace et cohérente en communication horizontale. Planification des communications proactive et intégrée. |
Communications stratégiques 78 annonces ont été faites pour appuyer les programmes de l'énergie propre. Élaboration et maintien du site Web écoÉNERGIE. Des discours et des communiqués de presse ont été élaborés pour les annonces d'écoÉNERGIE. Production de divers produits d'information sur écoÉNERGIE y compris des trousses d'information, des brochures, un rapport du groupe de travail sur la CSC, des vidéos (c.-à -d. CSC) et autres documents publicitaires. Réponse à 141 demandes de renseignements des médias concernant les initiatives d'écoÉNERGIE. |
Politiques forestières et surveillance des forêts Résultats La surveillance des forêts et l'établissement des rapports à ce sujet permettent d'avoir une meilleure compréhension des conséquences des changements climatiques et des activités humaines sur les forêts canadiennes. Disponibilité de meilleurs renseignements concernant tout le secteur forestier, ce qui permet de mettre en place des politiques, de meilleures pratiques d'aménagement forestier et une meilleure planification des activités, afin de réduire les pertes forestières. Extrants Analyse des choix politiques, conception et évaluation des réductions des émissions ainsi que des options d'adaptation. Mise en œuvre et entretien d'un inventaire forestier souple et de systèmes de surveillance dans le cadre de partenariats conclus avec les provinces et les territoires. Participation aux ateliers internationaux de négociation sur les changements climatiques, aux travaux universitaires portant sur la modélisation et l'acquisition de données partagées avec les provinces et les territoires, en recourant à l'autorité ministérielle de contribution par catégorie qui est en place. Établir des rapports sur les forêts, le changement d'affectation des terres et les émissions atmosphériques. |
Politiques forestières et surveillance des forêts Production d'estimés sur les émissions annuelles de GES liés aux forêts et leur élimination, lesquels ont été fournis à Environnement Canada en vue de leur inclusion à l'Inventaire national de gaz à effet de serre du Canada pour la période de 1990 à 2006. Des accords de partage de l'information sont en place avec toutes les provinces et tous les territoires (à l'exception du Nunavut non forestier). Deux notes sur la science et les politiques de haut niveau ont été publiées, deux rapports d'option de comptabilisation de gestion des forêts, un rapport sur la modélisation du carbone des produits forestiers. Un document scientifique a été publié, décrivant l'analyse à l'appui de la décision de 2007 du Canada de ne pas inclure la gestion de forêts dans sa comptabilisation de Kyoto. Quatre étudies ont été rapportées dans les documents à comité de lecteur et deux études dans la presse. Deux études font l'objet d'un examen (fondement scientifique de l'outil CBM-CFS3, amélioration de la modélisation des répercussions du carbone de la tordeuse des bourgeons de l'épinette) et trois études sont en cours (variabilité interannuelle des balances de GES forestiers, répercussions du climat sur la productivité forestière, comparaison de résultats pour des modèles multiples de deux sites forestiers). Des experts de la science et des politiques du Service canadien des forêts ont participé à plusieurs présentations et discussions au Canada (p. ex. aux cadres de la haute direction fédéraux, provinciaux, territoriaux et de l'industrie) et à l'étranger sur les options. Un scientifique chevronné du SCF a été un auteur principal du Quatrième rapport d'évaluation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évaluation du climat (GIEC) sur les options d'atténuation pour les forêts. |
Énergie propre | Affaires indiennes et du Nord Canada |
Programme Énergie propre 8 : écoÉNERGIE pour les collectivités autochtones et du Nord | Activité du programme : 2.4 Santé des collectivités du Nord |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 15 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 750 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 411 225 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats immédiats Les collectivités autochtones et du Nord sont engagées et participent au programme écoÉNERGIE. Une amélioration des compétences techniques et de gestion des Autochtones et des gens du Nord, pour une énergie propre. Une mise en œuvre réussie de projets d'énergie renouvelable et d'efficacité énergétique. Résultats intermédiaires Les collectivités du Nord et autochtones possèdent les connaissances et les outils pour augmenter l'efficacité énergétique de l'infrastructure de la collectivité. Une diminution des émissions de gaz à effet de serre et des principaux contaminants atmosphériques dans les collectivités du Nord et autochtones. Efficacité énergétique accrue et utilisation des énergies renouvelables dans les collectivités du Nord et autochtones. Une infrastructure plus fiable dans les collectivités du Nord et autochtones. Des économies de coûts de l'énergie dans les collectivités du Nord et autochtones. Résultats finaux Une réduction des émissions de gaz à effet de serre et des principaux contaminants atmosphériques dans les collectivités du Nord et autochtones. Des collectivités du Nord et autochtones durables et saines. |
Un site Web pour communiquer le programme au personnel et aux intervenants externes est en place et tenu à jour. On a reçu 23 demandes de renseignements sur le programme. Des personnes-ressources régionales et externes ont été nommées et engagées dans le «réseau sur l'énergie propre». Le personnel du programme a assisté à trois conférences sur l'énergie propre. Plus de 200 intervenants ont été informés des possibilités offertes par le programme. Une DPP pour une convention d'offre à commande a été publiée pour obtenir des conseils sur la faisabilité technique et la gestion de projet en vue de la mise en œuvre en 2008-2009. Vingt projets des collectivités autochtones et du Nord ont été examinés et des conseils ont été donnés. Quatorze projets d'énergie renouvelable ont été financés, 1 922 449 $/3 411 225 $ = 56 % des fonds du programme sur les projets d'énergie renouvelable, et 81 % des Subventions et contributions. Un projet d'efficacité énergétique a été financé. 100 000 $/3 411 225 $ = 3 % des fonds du programme pour les projets d'efficacité énergétique et 4 % des Subventions et contributions. Huit plans d'énergie communautaire ont été financés. 126 700 $/3 411 225 $ = 4 % des fonds du programme sur les plans d'énergie communautaire et 5 % des Subventions et contributions. |
Programmes du thème du transport écologique
Transport écologique | Transports Canada |
Programme de transport écologique 1 : programme écoMobilité | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le développement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 9 337 992 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 810 899 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 379 365 $ |
Résultats attendus 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Les résultats à court terme comprennent
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Transport écologique | Transports Canada |
Programme de transport écologique 2 : Programme écoTechnologie pour les véhicules | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le développement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 14 028 900 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 2 869 726 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 560 704 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats immédiats
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En 2007-2008, le programme eTV
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Transport écologique | Transports Canada |
Programme de transport écologique 3 : Initiative nationale d'harmonisation pour l'industrie du camionnage | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le développement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 5 412 565 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 755 246 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 319 530 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Ce programme de contribution est conçu pour réaliser les objectifs suivants
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Achèvement d'un ensemble détaillé de six études et évaluations afin d'examiner les conséquences d'un mandat de limiteur national de vitesse pour les poids lourds. Un mandat national pourrait réaliser des économies annuelles de diesel routier de 228 millions de litres, soit 0,64 Mt de GES. |
Transport écologique | Transports Canada |
Programme de transport écologique 4 : Fonds de démonstration des technologies du fret | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le développement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 9 281 901 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 776 120 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 613 172 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Le programme de contribution est en réponse directe à la croissance rapide des activités de transport du fret, dont il est prévu qu'elle mènera à une augmentation des émissions Ce programme de contribution est conçu pour atteindre les objectifs suivants
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Transport écologique | Transports Canada |
Programme de transport écologique 5 : Programme d'encouragement des technologies du fret | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le renouvellement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 9 593 027 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 465 460 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 371 344 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Le programme de contribution est en réponse directe à la croissance rapide des activités de transport du fret, dont il est prévu qu'elle mènera à une augmentation des émissions Ce programme de contribution est conçu pour atteindre les objectifs suivants
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Transport écologique | Transports Canada |
Programme de transport écologique 6 : Partenariats écoFret | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le développement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 6 325 408 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 339 883 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 447 078 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Partenariats internationaux sur les réductions des émissions Les Partenariats internationaux sur les réductions des émissions apporteront une présence accrue au sein des comités internationaux, des groupes de travail et d'autres forums qui développent des approches internationales dans les domaines maritimes et de l'aviation. Cette activité suscitera une réglementation, des normes et de meilleures pratiques ou directives plus sévères qui sont en cours de développement et mèneront à une réduction globale des émissions de gaz à effet de serre et des polluants atmosphériques ainsi qu'à une efficacité accrue au sein des secteurs maritimes et de l'aviation. Initiative de partenariat de l'industrie du transport TC mettra en œuvre et suivra de près le protocole d'entente actuel avec l'Association du transport aérien du Canada. TC signera également, mettra en œuvre et suivra de près un protocole d'entente avec l'Association des chemins de fer du Canada. TC établira des partenariats similaires avec l'industrie maritime. Les activités du programme comprendront l'apport de fonctions de secrétariat aux divers comités de gestion des protocoles d'entente, l'examen des rapports annuels et de progrès, et les vérifications de surveillance. TC mènera également des études et des initiatives, en collaboration avec l'industrie, dans le but de favoriser les progrès vers les objectifs en matière d'émissions et de continuer de jouer un rôle de facilitateur pour aider l'industrie à aborder les barrières qui s'opposent à la réduction des émissions et qui sont au-delà de la portée des industries individuelles. Cette initiative mènera à une entente volontaire dans le cadre de laquelle les associations modales et leurs membres s'engageront à réduire leurs émissions de contaminants atmosphériques. Programme d'efficacité pour les expéditeurs et transitaires de fret TC fera appel aux résultats obtenus par les récents groupes de consultation pour établir de nouveaux partenariats directement avec les usagers des systèmes de fret dans le but d'améliorer leurs prises de décision en matière de transport et d'accroître l'adoption de systèmes modaux et de pratiques plus durables. TC mènera des études, des évaluations de rendement et prendra d'autres initiatives afin de se procurer et de produire les renseignements exigés par les expéditeurs et les transitaires pour que ceux-ci soient en mesure de prendre des décisions de transport éclairées. TC travaillera aussi avec l'industrie à préparer des enquêtes annuelles sur les pratiques environnementales et les décisions prises par l'industrie, et commanditera ou accueillera des conférences, des ateliers, etc. Ce programme instruira les usagers des systèmes de fret quant aux effets causés par leurs décisions en matière de transport du fret. À l'aide de ces connaissances, les usagers seront en mesure d'inclure les impacts environnementaux dans leur processus décisionnel lorsqu'ils exerceront un choix entre les divers modes et transporteurs. |
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Transport écologique | Transports Canada |
Programme de transport écologique 7 : Programme d'alimentation externe maritime | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le développement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 6 089 617 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 318 620 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 159 006 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Le programme de contribution est en réponse directe à la croissance rapide des activités de transport du fret, dont il est prévu qu'elle mènera à une augmentation des émissions . Ce programme de contribution est conçu pour atteindre les objectifs suivants
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L'exécution du Programme d'alimentation externe maritime a été suspendue en attendant l'entrée en vigueur des modifications à la Loi maritime du Canada qui élimineraient la restriction de financement des administrations portuaires canadiennes. En 2007-2008, Transports Canada a consulté l'Association des administrations portuaires canadiennes et les exploitants de terminaux afin de promouvoir le programme. Le Guide des demandeurs et les critères d'évaluation ont été préparés afin d'être prêts à la première ronde de financement, une fois les modifications en vigueur. |
Transport écologique | Transports Canada |
Programme de transport écologique 8 : Appui aux analyses et aux politiques | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le développement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 3 829 191 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 741 629 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 720 189 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
L'objectif crucial de cette initiative est d'aider à assurer la présence des compétences nécessaires spécialisées en matière d'analyse et de politiques, afin d'appuyer et de pousser plus loin la recherche, les politiques et les programmes associés aux priorités fédérales concernant le transport durable, l'assainissement de l'air et les changements climatiques. |
En 2007-2008, les études suivantes ont été menées afin de fournir un soutien analytique et stratégique :
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Transport écologique | Transports Canada |
Programme de transport écologique 9a : Programme de remise écoAUTO (composant de Transports Canada) | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le développement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 251 818 351 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 74 622 027 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 73 757 589 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
L'objectif principal du programme de remise ÉcoAUTO est d'encourager l'achat de véhicules personnels plus économes en combustible, afin de réduire les émissions de contaminants atmosphériques et la consommation d'énergie dans le secteur des transports en appui au Programme sur la qualité de l'air du gouvernement. La réduction des émissions de gaz à effet de serre et des polluants atmosphériques causés par le secteur du transport des passagers. La pénétration accrue des technologies d'économie de combustible sur le marché canadien des véhicules. Un gouvernement mieux réseauté, apportant aux demandeurs du programme un service opportun centré sur le citoyen par l'entremise d'un centre d'appels efficace, d'un réseau en personne et d'un centre de traitement. |
Le 19 mars 2007, le budget de 2007 a annoncé le Programme de remise écoAUTO. Le budget de 2007 indiquait que même si la remise pour les véhicules à haut rendement énergétique est entré en vigueur le 20 mars 2007, le paiement des remises serait effectué une fois que les systèmes d'administration et de diffusion seraient mis en place, avec une date cible à l'automne
2007. Le programme a été conçu, les approbations appropriées demandées et il était opérationnel le 1 er octobre 2007. Le programme a favorisé l'achat de NOUVEAUX véhicules à haut rendement énergétique en offrant des remises aux bénéficiaires admissibles qui achetaient ou s'engageaient dans un contrat à bail de 12 mois ou plus, d'un véhicule admissible enregistré utilisé au Canada. Une liste des véhicules admissibles pour les modèles de 2006, 2007 et 2008 a été publiée en utilisation une cote de consommation de carburant combinée (CCCC) de 6,5 L/100 km ou moins pour les nouvelles automobiles et une CCCC de 8,3 L/100 km ou moins pour les nouvelles fourgonnettes, les nouveaux véhicules utilitaires sport ou autre camions légers. De plus, les remises pour l'achat de véhicules neufs polycarburants ayant une cote de consommation de carburant combinée E85 de 13,0 L/100 km ou moins ont été envoyées.
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Transport écologique | Ressources humaines et Développement social Canada |
Programme de transport écologique 9b : Programme de remise écoAUTO (composant Ressources humaines et Développement social Canada) | Activité de programme : 3.1 Politiques et programmes qui appuient le développement durable |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 11 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 7 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 7 000 000 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Les activités du programme écoAUTO comprennent également la réception et le traitement des demandes de rabais des consommateurs qui achètent des véhicules admissibles, à la suite de quoi les bénéficiaires admissibles reçoivent des chèques de rabais en temps opportun. |
RHDSC a administré le traitement des demandes écoAUTO pour TC.
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Transport écologique | Ressources naturelles Canada |
Programme de transport écologique 10 : écoÉNERGIE pour les véhicules personnels | Activité de programme : 1.3 Énergie |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 21 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 950 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 886 000 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultat final
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Résultat final
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Transport écologique | Ressources naturelles Canada |
Programme de transport écologique 11 : écoÉNERGIE pour les parcs de véhicules | Activité de programme : 1.3 Énergie |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 22 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 650 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 2 659 000 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Résultats final
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Résultat final
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Transport écologique | Environnement Canada |
Programme de transport écologique 12 : Programme de mise à la ferraille des véhicules (composant Environnement Canada) | Activité de programme : 3.3 - Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de gaz à effet de serre pour les Canadiens, leur santé et l'environnement |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 92 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 500 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 733 741 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Le programme de mise à la casse visera les modèles d'automobiles personnelles datant de 1995 ou avant, en état de marche et immatriculées, et assurées depuis au moins six mois. Une série d'encouragements sera proposée à ces propriétaires. Ces incitatifs pourraient comprendre un encouragement financier, des passages gratuits dans les transports en commun, d'autres
encouragements favorisant d'autres modes de transport durables (comme l'adhésion à un système de covoiturage ou un rabais sur l'achat d'une bicyclette); ou un rabais sur un véhicule de modèle 2004 ou plus récent, fourni par un constructeur et/ou un concessionnaire. Il y aura des différences régionales quant au genre et à la valeur des encouragements selon la
contribution des partenaires locaux, par exemple les commissions de transport. À la fin de quatre ans, le programme aura obtenu les résultats suivants
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Programmes du thème de la qualité de l'air intérieur
Qualité de l'air intérieur | Conseil national de recherches |
Programme de la qualité de l'air intérieur 1 : Initiative de recherche et développement sur l'air intérieur | Activité du programme : 1.1 Recherche et développement |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 8 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 2 000 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 1 222 147 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Évaluation des effets sur la santé humaine et sur la qualité de l'air intérieur, d'une amélioration de la ventilation de l'air intérieur et de la distribution de l'air intérieur
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Le comité scientifique est établi avec des membres de SC, SCHL, INSPQ et CNRC Un PE est rédigé par l'INSPQ et le CNRC relativement aux objectifs et responsabilités de l'étude sur le terrain portant sur l'intervention. Nouvelle installation d'air intérieur
Le document d'examen technologique a été rédigé. Document rédigé sur le mandat, la composition et le rôle du comité. Une réunion de fondation a eu lieu avec les intervenants représentant le gouvernement et l'industrie de partout au Canada; détermination d'autres membres et définition de la portée, de la missions et du mandat. |
Qualité de l'air intérieur | Santé Canada |
Programme de la qualité de l'air intérieur 2 : Stratégie Radon | Activité de programme : 3.1 Des environnements sains et la sécurité du consommateur |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 15 00 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 500 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 3 384 000 $ |
Résultats attendus en 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Cartographie Levés de plans, cartographie et détermination systématique des points chauds en termes de radon dans toutes les régions les plus populeuses du Canada, dont on sait ou pense qu'elles sont à risque en raison des conditions géologiques et climatiques locales associées à des niveaux élevés de radon Éducation et sensibilisation Des connaissances, une sensibilisation et une réactivité accrues de tous les secteurs clés ainsi que des consommateurs canadiens, des employés fédéraux et des gérants d'immeuble, concernant la nature et l'étendue des risques pour la santé humaine issus de l'exposition au radon et des mesures disponibles de prévention et d'atténuation permettant de faire face à ces risques d'une manière efficace. Essais Des essais et des tests de dépistage systématiques sur place dans environ 15 000 immeubles et installations fédéraux, dans le but de déterminer les niveaux de radon par rapport aux nouvelles directives à ce sujet, ces chiffres comprenant toutes les installations fédérales situées dans des régions à risque élevé ou potentiellement à risque élevé. |
Achèvement d'une analyse au sol des concentrations de radon dans les gaz du sol à 262 sites (au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse, à l'Île-du-Prince-Édouard et dans le sud de l'Ontario). Des endroits aux environs de Sarnia dans le sud de l'Ontario affichent des concentrations de radon supérieures à la moyenne dans les gaz du sol, ce qui laisse entendre
qu'ils peuvent être riches en radon. Élaboration d'une stratégie de marketing et de communications sur le radon pour l'automne et l'hiver de 2008 portant principalement sur les propriétaires résidentiels, les propriétaires d'immeubles commerciaux, l'industrie de la construction et les praticiens de la santé publique. Quatorze ateliers des intervenants en radon ont eu lieu partout au Canada dans le cadre d'une stratégie ayant pour but d'encourager la participation des intervenants dans les essais sur le radon et la remise en état. Élaboration et distribution d'un document d'information sur le radon par l'intermédiaire des intervenants et des partenaires de l'industrie. Élaboration d'une procédure normalisée pour les essais sur le radon dans les grands immeubles, en commençant par les immeubles fédéraux. Préparation d'une trousse d'information sur les objectifs du projet, le procédé des essais et les moyens selon lesquels les données et les résultats seront communiqués. Essais dans environ 1 000 immeubles partout au Canada en 2007-2008, ce qui représente 5 % de l'inventaire que l'on estime dans des secteurs à risque élevé. |
Programmes du thème Adaptation
Adaptation | Affaires indiennes et du Nord Canada |
Programme d'adaptation n o 1 : Aide aux collectivités du Nord à évaluer les principaux points vulnérables et les principales occasions | Activité de programme n o 3.4 : Terres et ressources du Nord |
Date de début : Le 1 er avril 2008 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 14 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 0 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 338 775 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Les gens du Nord et les Autochtones auront des connaissances et des capacités accrues pour s'adapter aux répercussions des changements climatiques. Les mesures du programme visent à améliorer l'accès à l'information et à augmenter le savoir-faire technique en matière d'adaptation aux changements climatiques, à évaluer les risques et à déterminer les réponses pour faire
face à ces risques, et à mettre en place des mécanismes de collaboration, afin de concevoir des solutions efficaces. Elles visent aussi à ce que les collectivités autochtones et du Nord mettent au point des mesures d'adaptation qui leur permettront de remédier aux principales vulnérabilités. Le programme facilite la distribution de l'information concernant les outils,
les pratiques exemplaires et les résultats des projets, afin de permettre aux collectivités d'intégrer la gestion des risques liés aux changements climatiques dans leur planification, leurs prises de décision et dans la mise en œuvre des projets. Résultats attendus pour 2007-2008 (énoncés dans le CGRR/CVAR du programme) Résultat à long terme
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(conformément aux indicateurs de rendement du CGRR/CVAR au niveau des extrants)
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Adaptation | Environnement Canada |
Programme d'adaptation n o 2a : Cote air santé à l'échelle nationale et programme de prévision de la qualité de l'air (composante d'Environnement Canada) | Activité de programme n° 2.1 : De meilleures connaissances et de meilleurs renseignements sur les conditions météorologiques et environnementales influencent la prise de décisions |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 21 300 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 4 500 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 4 088 900 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Les centres régionaux de prévision des intempéries d'Environnement Canada prépareront des rapports sur la qualité de l'air et des prévisions en s'appuyant sur les systèmes de prévisions météorologiques et environnementales d'Environnement Canada ainsi que sur les données en temps réel obtenues auprès des programmes fédéraux-provinciaux de contrôle de la qualité de l'air. |
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Adaptation | Santé Canada |
Programme d'adaptation n o 2b : Cote air santé à l'échelle nationale et programme de prévision de la qualité de l'air (composante de Santé Canada) | Activité de programme n° 2.1 : De meilleures connaissances et de meilleurs renseignements sur les conditions météorologiques et environnementales influencent la prise de décisions |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 8 700 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 500 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 1 039 630 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Les résultats attendus au cours des quatre prochaines années sont de permettre à la totalité des 27 régions métropolitaines (collectivités de plus de 100 000 personnes) qui, ensemble, regroupent 80 % de la population canadienne, d'obtenir des prévisions locales de la cote air santé. L'objectif à plus long terme est de permettre à toutes les collectivités au Canada, y compris celles du Nord canadien, d'obtenir des prévisions de la cote air santé là où les systèmes nécessaires sont en place. | En 2007-2008, Santé Canada a entamé la phase de mise en œuvre de la CAS en commençant à Toronto et dans 14 collectivités de la Colombie-Britannique. Les travaux préparatoires pour assurer la mise en œuvre dans au moins six collectivités supplémentaires pour l'exercice 2008-2009 ont aussi eu lieu. Le Ministère, avec ses partenaires, a posé le fondement afin de lancer la mise en œuvre dans la région du Grand Toronto (Brampton, Burlington, Mississauga, Newmarket, Oakville, et Oshawa), Halifax, N.-É. et Saint John, N.-B. en 2008. |
Adaptation | Environnement Canada |
Programme d'adaptation no 3 : Scénarios améliorés en matière de changements climatiques | Activité de programme n° 2.1 : De meilleures connaissances et de meilleurs renseignements sur les conditions météorologiques et environnementales influencent la prise de décisions |
Date de début : Le 1 er avril 2008 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 15 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 0 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 0 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Des renseignements et des projections climatiques exacts sont essentiels à l'évaluation des impacts ainsi qu'à l'élaboration de stratégies et de mesures d'adaptation fiables. Le Ministère améliorera les projections et les scénarios relatifs aux changements climatiques, surtout ceux qui touchent aux extrêmes et aux dangers pour une infrastructure vulnérable (p. ex., les ponts et les égouts, qui nécessitent des données de conception dans le cas de très fortes précipitations) et pour les collectivités canadiennes. Les principaux résultats de ce programme incluent : la prise de décisions adaptée, la diminution des risques et la préparation aux situations d'urgence. | Puisque les fonds en vertu de ce programme n'ont pas été approuvés avant avril 2008, aucun travail n'a été entrepris en 2007-2008. |
Adaptation | Santé Canada |
Programme d'adaptation n o 4 : Adaptation des collectivités inuites et du Nord en matière de santé et de changements climatiques | Activité de programme n° 4.1 : Santé des Premières nations et des Inuits |
Date de début : Le 1 er avril 2008 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 7 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 295 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 0 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
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Il n'y a pas de résultats à déclarer pour l'exercice 2007-2008 parce que l'approbation de financement du Conseil du Trésor n'a pas été reçue avant le 3 avril 2008. |
Adaptation | Ressources naturelles Canada |
Programme d'adaptation n o 5 : Outils innovateurs de gestion des risques | Activité de programme n° 1.1 : Sciences de la Terre |
Date de début : Le 1 er avril 2008 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 5 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 0 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 0 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
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Achèvement des essais des outils communautaires pour l'adaptation et analyse des besoins de renseignements de soutien (le financement de cette activité provient de la Stratégie intérimaire sur le changement climatique). |
Adaptation | Ressources naturelles Canada |
Programme d'adaptation n o 6 : Partenariats pour les mesures d'adaptation régionale | Activité de programme n° 1.1 : Sciences de la Terre |
Date de début : Le 1 er avril 2008 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 30 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 0 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 0 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
L'information et les outils de soutien aux décisions dont les spécialistes et les décideurs ont besoin pour comprendre les risques et les occasions liés aux changements climatiques, et pour reconnaître les options d'adaptation qu'ils peuvent obtenir auprès des membres des Programmes de travail pour l'adaptation des régions;
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Des réunions informelles ont eu lieu avec les points centraux provinciaux et territoriaux afin de discuter des plans possibles pour les Programmes de travail pour l'adaptation des régions et déterminer les possibilités de collaboration. La planification pour le processus à suivre pour exécuter le programme de l'ACFC a été lancé (élaboration de la lettre d'appel, planification des communications, etc.). Discussions d'un sondage de référence afin de fournir les données pour l'évaluation des thèmes et des programmes au niveau de l'activité d'adaptation au Canada. |
Adaptation | Santé Canada |
Programme d'adaptation n o 7a : Élaboration de systèmes d'alerte et de réaction relatifs au climat et aux maladies infectieuses, afin de protéger la santé des Canadiens (composante de Santé Canada) | Activité de programme n° 3.1 : Santé environnementale et sécurité des consommateurs |
Date de début : Le 1 er avril 2008 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 7 900 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 550 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 0 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Interventions et formation des professionnels de la santé Les Canadiens et les professionnels en soins de santé auront accès à de meilleures connaissances sur les risques pour la santé découlant des changements climatiques dans les secteurs clés suivants :
Les Canadiens et les professionnels en soins de santé auront accès à de meilleures connaissances sur les risques pour la santé découlant des changements climatiques dans le secteur clé suivant :
|
Il n'y a pas de résultats à déclarer pour l'exercice 2007-2008 parce que l'approbation de financement du Conseil du Trésor n'a pas été reçue avant le 3 avril 2008. |
Adaptation | Agence de santé publique du Canada |
Programme d'adaptation n o 7b : Élaboration de systèmes d'alerte et de réaction relatifs au climat et aux maladies infectieuses, afin de protéger la santé des Canadiens (composante de l'Agence de santé publique du Canada) | Activité de programme n° 1.2 : Prévention et contrôle des maladies |
Date de début : Le 1 er avril 2008 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 7 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 494 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 251 600 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Élaboration d'une approche communautaire pilote pour l'évaluation des risques de maladie infectieuse et l'efficacité de la réponse dans jusqu'à quatre collectivités.
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Une planification sur l'élaboration du programme a été entreprise et une communication préliminaire avec des partenaires possibles a été faite. De l'équipement scientifique et autre a été acheté et de la formation a été donnée. |
Programmes du thème des mesures internationales
Mesures internationales | Environnement Canada |
Programme de mesures internationales n o 1a : Obligations internationales (composante d'Environnement Canada) | Activité de programme n o 4.2 : Les relations avec les autres gouvernements et partenaires sont bien gérées, afin de soutenir les priorités environnementales. |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 2 892 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 023 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 962 268 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
L'établissement d'un registre national aidera à protéger la crédibilité du Canada sur le plan international et maintiendra la participation canadienne au Protocole de Kyoto, tout en évitant l'ouverture d'une procédure pour non-conformité. Le paiement de ses cotisations de membre et la participation active à des partenariats technologiques internationaux hors du giron de l'ONU renforceront la crédibilité du Canada et son influence dans les discussions préalables à une entente éventuelle sur les changements climatiques. |
Le Canada a établi son registre national. Le Canada a fait ses contributions évaluées ainsi que des contributions volontaires à la Convention-cadre des Nations-Unies sur les changements climatiques. Le Canada a participé à des partenariats liés à la technologie à l'extérieure des Nations Unies, y compris le Partenariat pour l'énergie renouvelable et l'efficacité énergétique afin de promouvoir et d'appuyer le développement de technologies nécessaires pour réduire les émissions de GES et lutter contre les changements climatiques. Le Canada a fourni un soutien aux organisations non membres des Nations-Unies dans le but d'accroître la compréhension et les options d'évaluation pour le développement d'un futur accord sur les changements climatiques. |
Mesures internationales | Affaires étrangères et Commerce international Canada |
Programme de mesures internationales n o 1b : Obligations internationales (composante d'Affaires étrangères et Commerce international Canada) | Activité de programme n o 1.3 : Enjeux mondiaux |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 1 908 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 477 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 404 316 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
En continuant à remplir ses obligations de financement vis-à -vis du Secrétariat de l'ONU sur les changements climatiques, le Canada contribuera au maintien de sa réputation internationale et au fonctionnement général de cet organisme, et cela aidera à faire en sorte que le Secrétariat puisse continuer à organiser des réunions dans le futur. | Les obligations de financement international pour 2007-2008 ont été satisfaites. |
Mesures internationales | Environnement Canada |
Programme de mesures internationales n o 2a : Participation et négociations internationales (composante d'Environnement Canada) | Activité de programme n o 3.3 : Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de gaz à effet de serre pour les Canadiens, leur santé et l'environnement |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 11 400 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 000 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 3 247 607 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Étant donné la démarche interdisciplinaire et collaborative des ministères à l'égard de cette composante, certains résultats attendus pour ce travail sont communs à plusieurs ministères. Les résultats attendus partagés sont les suivants :
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EC a travaillé en étroite collaboration avec d'autres ministères afin d'élaborer des options de politiques et des positions sur un vaste éventail de questions liées aux changements climatiques. Le Canada a participé activement aux négociations et aux discussions de l'ONU et extérieures à l'ONU menant à l'établissement d'un accord après 2012 sur les changements climatiques. La participation du Canada a contribué à faire en sorte que le futur accord sur les changements climatiques soit conforme à notre approche nationale à l'égard des changements climatiques et protège les intérêts canadiens en matière d'économie et d'environnement. |
Mesures internationales | Affaires étrangères et Commerce international Canada |
Programme de mesures internationales n o 2b : Participation et négociations internationales (composante d'Affaires étrangères et Commerce international Canada) | Activité de programme n o 1.3 : Enjeux mondiaux |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 6 400 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 750 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 1 525 706 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Étant donné la démarche interdisciplinaire et collaborative des ministères à l'égard de cette composante, certains résultats attendus pour ce travail sont communs à plusieurs ministères. Les résultats attendus partagés sont les suivants :
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Par la prestation de commentaires analytiques et stratégiques substantifs dans la formulation et la présentation des opinions canadiennes, les intérêts du Canada ont été défendus dans les négociations en vertu de la CCNUCC et de son Protocole de Kyoto. Un résultat clé de ces délibérations était le lancement officiel de négociations sur un futur accord sur les changements climatiques à la Conférence sur les changements climatiques de l'ONU à Bali, en décembre 2007. Le MAECI a participé activement au processus de l'ONU ainsi que pour défendre nos positions dans le cadre d'autres processus multilatéraux, c.-à -d. le G8, le processus de réunions des grandes économies, APEC, le Commonwealth, d'autres événements de l'ONU, et par des voies bilatérales par l'intermédiaire du réseau d'Ambassades du MAECI et d'autres missions à l'étranger. |
Mesures internationales | Ressources naturelles Canada |
Programme de mesures internationales n o 2c : Participation et négociations internationales (composante des Ressources naturelles Canada) | Activité de programme n o 2.1 : Énergie propre |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 5 200 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 400 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 946 922 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Les résultats attendus de l'élaboration d'une politique en matière de changements climatiques à l'échelle internationale et de la participation poursuivie de RNCan aux négociations sur les changements climatiques mondiaux, sous l'égide ou non de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), incluent :
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RNCan a contribué au processus visant à s'assurer que les intérêts nationaux et les politiques en matière de changements climatiques ont été pris en compte pendant la formulation et la présentation des positions de négociation du Canada. RNCan a participé au Groupe d'experts du transfert de technologies, établi en vertu de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CNUCC) afin d'analyser et de déterminer des façons de faciliter et de faire avancer le développement de technologies et les activités de transfert. RNCan a renvoyé à des activités nationales pour aborder les changements climatiques (p. ex. écoÉNERGIE) dans des documents d'information préparés pour les réunions internationales sur les changements climatiques. Les dirigeants de RNCan ont fourni des documents de politique et des conseils au ministre, au sous-ministre et autres cadres supérieurs à l'appui des politiques, du développement et de la prise de décisions. L'analyse stratégique et l'expertise technique de RNCan dans l'énergie, la foresterie et l'adaptation aux changements climatiques ont ancré la participation des représentants du gouvernement du Canada dans les réunions internationales, y compris la CCNUCC, le processus de grands émetteurs dirigé par les É.-U., le G8 et la Coopération économique de la zone Asie-Pacifique. |
Mesures internationales | Environnement Canada |
Programme de mesures internationales n o 3a : Partenariat Asie-Pacifique (composante d'Environnement Canada) | Activité de programme n o 3.3 : Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de gaz à effet de serre pour les Canadiens, leur santé et l'environnement |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 18 882 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 4 628 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 518 024 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Au cours de la première année, le Canada sera dans une phase de mise en œuvre, alors que les activités relatives au Partenariat Asie-Pacifique seront axées sur : 1) l'obtention du statut de membre; 2) la consultation auprès d'intervenants des principaux secteurs industriels canadiens; et 3) l'élaboration d'une structure de gouvernance canadienne et
de lignes directrices opérationnelles par l'intermédiaire de la mise sur pied du Secrétariat du Partenariat Asie-Pacifique. Au cours des années suivantes, lorsque le statut de membre du Canada aura été confirmé, le point de convergence des activités passera de la conception à la mise en œuvre du programme. Au Canada, les activités passeront de la promotion et de la consultation à la sélection de projets. Sur le plan international, le Canada cherchera à influer sur la portée et l'orientation du Partenariat pour s'assurer qu'il est conforme aux intérêts du Canada, tout en stimulant des relations bilatérales améliorées qui serviront à façonner le rôle des principaux pays émetteurs dans toute entente éventuelle sur les changements climatiques. |
Le Canada est devenu membre du Partenariat Asie-Pacifique (PAP) en octobre 2007. Une structure de gouvernance pour la participation du Canada au PAP a été opérationnalisée. Le Canada participe aux travaux de tous les groupes de travail du PAP sauf un, et il facilite la participation du secteur privé canadien dans les travaux du PAP. |
Mesures internationales | Ressources naturelles Canada |
Programme de mesures internationales n o 3b : Partenariat Asie-Pacifique (composante de Ressources naturelles Canada) | Activité de programme n o 2.1 : Énergie propre |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 878 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 272 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 21 436 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Au cours de la première année, le Canada sera dans une phase de mise en œuvre, alors que les activités relatives au Partenariat Asie-Pacifique seront axées sur : 1) l'obtention du statut de membre; 2) la consultation auprès d'intervenants des principaux secteurs industriels canadiens; et 3) l'élaboration d'une structure de gouvernance canadienne et
de lignes directrices opérationnelles par l'intermédiaire de la mise sur pied du Secrétariat du Partenariat Asie-Pacifique. Au cours des années suivantes, lorsque le statut de membre du Canada aura été confirmé, le point de convergence des activités passera de la conception à la mise en œuvre du programme. Au Canada, les activités passeront de la promotion et de la consultation à la sélection de projets. Sur le plan international, le Canada cherchera à influer sur la portée et l'orientation du Partenariat pour s'assurer qu'il est conforme aux intérêts du Canada, tout en stimulant des relations bilatérales améliorées qui serviront à façonner le rôle des principaux pays émetteurs dans toute entente éventuelle sur les changements climatiques. |
Les dirigeants de RNCan ont aidé dans les efforts qui ont mené à l'invitation du Canada et ensuite son acceptation comme membre. RNCan a participé en consultations avec les principaux secteurs industriels intérieurs clés. RNCan a donné des conseils et des suggestions au Secrétariat et au groupe de travail interministériel dans l'élaboration de la structure de gouvernance du Canada et des lignes directrices opérationnelles. RNCan a fourni des commentaires sur les critères de sélection de projets éventuels. |
Mesures internationales | Industrie Canada |
Programme de mesures internationales n o 3c : Partenariat Asie-Pacifique (composante d'Industrie Canada) | Activité de programme n o 2.1 : Énergie propre |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 240 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 100 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 0 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Au cours de la première année, le Canada sera dans une phase de mise en œuvre, alors que les activités relatives au Partenariat Asie-Pacifique seront axées sur : 1) l'obtention du statut de membre; 2) la consultation auprès d'intervenants des principaux secteurs industriels canadiens; et 3) l'élaboration d'une structure de gouvernance canadienne et
de lignes directrices opérationnelles par l'intermédiaire de la mise sur pied du Secrétariat du Partenariat Asie-Pacifique. Au cours des années suivantes, lorsque le statut de membre du Canada aura été confirmé, le point de convergence des activités passera de la conception à la mise en œuvre du programme. Au Canada, les activités passeront de la promotion et de la consultation à la sélection de projets. Sur le plan international, le Canada cherchera à influer sur la portée et l'orientation du Partenariat pour s'assurer qu'il est conforme aux intérêts du Canada, tout en stimulant des relations bilatérales améliorées qui serviront à façonner le rôle des principaux pays émetteurs dans toute entente éventuelle sur les changements climatiques. La participation d'Industrie Canada au PAP entraînera une meilleure participation et liaison avec les principaux secteurs canadiens et les principaux secteurs à l'échelle internationale. |
Alors qu'il y a pas eu de dépense en 2007-2008, aucun résultat n'a été accompli durant cette période. |
Mesures internationales | Environnement Canada |
Programme de mesures internationales n o 4 : Annexe concernant les matières particulaires | Activité de programme n o 3.3 : Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de gaz à effet de serre pour les Canadiens, leur santé et l'environnement |
Date de début : Le 1 er avril 2007 | Date de fin : Le 31 mars 2011 |
Financement total alloué | 2 200 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 550 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 136 699 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Les négociations sur l'annexe concernant les matières particulaires, (dont l'achèvement est prévu pour le début de l'été 2008), devrait favoriser ce qui suit, à long terme (soit d'ici 2011) :
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En 2007-2008, le Canada et les États-Unis ont lancé les négociations d'une annexe sur les MP et ont établi deux groupes de travail de session afin de préparer la deuxième ronde de négociations. |
Programme du thème Partenariats
Partenariats | Environnement Canada |
Programme de partenariats n o 1 : Partenariats en action communautaire pour l'air pur | Activité de programme : |
Total approuvé | 12 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 3 000 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 1 000 600 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Les résultats à court terme comprennent ce qui suit
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Finalisation de la conception et démarrage du programme d'action communautaire du programme de la qualité de l'air. Consultation avec les intervenants, préparation de documents et dotation :
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Programme du thème de gestion et responsabilisation
Gestion et responsabilisation | Environnement Canada |
Programme de gestion et de responsabilisation n o 1 : Gestion et responsabilisation | Activité de programme n o 3.3 : Réduction des risques que posent les polluants atmosphériques et les émissions de gaz à effet de serre pour les Canadiens, leur santé et l'environnement |
Total approuvé | 5 000 000 $ |
Dépenses prévues pour 2007-2008 | 1 250 000 $ |
Dépenses réelles pour 2007-2008 | 1 185 894 $ |
Résultats attendus pour 2007-2011 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Le gouvernement s'est engagé à apporter des améliorations concrètes à l'environnement canadien, y compris à réduire la pollution de l'air et les émissions de gaz à effet de serre. Il s'est également engagé à mettre en œuvre une approche de gestion des dépenses plus stratégique dans les domaines prioritaires horizontaux. Le CRRGH aidera à répondre à la nécessité
d'améliorer la gouvernance et la responsabilisation en matière de gestion des initiatives horizontales auxquelles participent plusieurs ministères. Les objectifs du Programme de l'air pur consistent à fortifier la santé des Canadiens et à améliorer l'environnement, en réduisant la pollution atmosphérique et les émissions de gaz à effet de serre. Ces objectifs seront atteints au moyen de deux grandes initiatives :
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Description: La GRC a élaboré une stratégie de sécurité aux frontières qui s’appuie sur la maximisation de l’utilisation des renseignements, de la technologie et des ressources humaines pour cibler les particuliers et les organisations qui exploitent les lacunes de l’environnement frontalier.
Objectif(s) communs : Les Équipes intégrées de la police des frontières (EIPF) sont reconnues à l’échelle nationale et internationale comme le moyen le plus efficace de coordonner les efforts locaux, nationaux et internationaux visant l’application de la loi pour protéger les citoyens canadiens et américains contre des menaces potentielles, qu’il s’agisse de terrorisme ou de crime organisé.
Structure(s) de gouvernance : L’Équipe de gestion conjointe internationale (EGCI) est composée d’un représentant des organismes suivants : Agence des services frontaliers du Canada, GRC, US Immigration and Customs Enforcement, US Customs and Border Protection/Office of the Border Patrol et US Coast Guard.
L’EGCI est responsable de ce qui suit :
L’EGCI se réunit toutes les six semaines, ou plus souvent si le besoin s’en fait sentir.
Partenaires fédéraux : Les EIPF sont une initiative intégrée et multiorganismes visant l’application de la loi; elles facilitent l’échange de renseignements et les efforts de collaboration entre les principaux partenaires suivants : GRC, ASFC, US Customs and Border Protection/Office of Border Patrol, US Immigration and Customs Enforcement et US Coast Guard.
Les EIPF encouragent également la participation des divers organismes d’application de la loi (villes, provinces, États, gouvernements fédéraux et Premières nations), ainsi que des organismes partenaires et des ministères pertinents.
Un niveau d’intégration sans précédent a permis l’élaboration et l’échange de renseignements primordiaux sur la criminalité transfrontalière. Les EIPF sont multidisciplinaires, ce qui leur permet de s’attaquer à tout type de criminalité transfrontalière (trafic d’armes, de drogues et de matières dangereuses, trafic de personnes/passage de clandestins, etc.).
Date de début/de fin : Cette initiative a commencé au cours de l’exercice 2002-2003. Le financement permanent a été accordé en 2007 dans le cadre de l’Initiative Sécurité publique et antiterrorisme.
Description : Il s’agit d’équipes intégrées de spécialistes des marchés financiers qui axent leurs efforts sur les infractions au Code criminel qui ont une incidence nationale ou internationale.
Objectif(s) : Contribuer à la force des marchés financiers canadiens grâce à une surveillance efficace et à une collaboration poussée entre les partenaires, en plus d’assurer aux Canadiens un futur prospère et une grande sécurité.
Structure(s) de gouvernance : Conseil exécutif de la GRC.
Partenaires fédéraux : GRC, ministère de la Justice, Service des poursuites pénales du Canada et Sécurité publique Canada.
Date de début/de fin : Cette initiative a commencé au cours de l’exercice 2003. Pour le moment, aucune date de fin n’a été établie.
Description : Établies en Ontario, au Québec, en Colombie-Britannique et dans la région de la capitale nationale, les EISN collaborent pour détecter, prévenir et perturber les activités terroristes, ainsi que pour enquêter à ce sujet. Leur objectif est de faire comparaître les terroristes devant la justice avant qu’ils ne perpètrent des actes criminels graves et violents au Canada ou à l’étranger.
Objectif : Contribuer à entraver les activités terroristes en mettant l’accent sur les enquêtes criminelles, l’échange de renseignements et la collaboration avec d’autres organismes d’application des lois nationales ou étrangères. Une formation commune à la GRC et aux autres agences de sécurité contribue à l’atteinte de cet objectif en veillant à ce que le personnel œuvrant dans ce domaine ait les compétences requises.
Structure de gouvernance : Le cadre de gouvernance pour accroître l’efficacité des enquêtes criminelles relatives à la sécurité nationale fournit à tous les enquêteurs nationaux sur la sécurité nationale un cadre clair et concis en matière d’enquêtes criminelles sur la sécurité nationale. Ce cadre prévoit que la surveillance et le contrôle des enquêtes criminelles sur la sécurité nationale soient centralisés à la Direction générale, comme l’exige l’Instruction du ministre sur la sécurité nationale Responsabilité et obligation de rendre des comptes pour tous les aspects du programme de sécurité nationale. L’équipe des Enquêtes criminelles sur la sécurité nationale (ECSN) de la Direction générale surveille, oriente, supervise et dirige les EISN lors des enquêtes criminelles sur la sécurité nationale. La gestion de ces dossiers d’enquête, y compris ceux des évaluations de menaces à la sécurité, incombe à une EISN sous le contrôle central d’ECSN. Plusieurs organismes municipaux, provinciaux et fédéraux, d’autres services de police et des agences de sécurité participent aux EISN. Alors que le paragraphe 6(1) de la Loi sur les infractions en matière de sécurité donne à la GRC le rôle principal dans le cadre des enquêtes sur les infractions en matière de sécurité nationale, le programme est assujetti à diverses structures de reddition de comptes et d’examen, notamment la Commission des plaintes du public et le Comité externe d’examen.
Partenaires fédéraux : Agence des services frontaliers du Canada, Service canadien du renseignement de sécurité et Agence du revenu du Canada.
Date de début/de fin : Cette initiative a commencé au cours de l’exercice 2001-2002. Le financement permanent a été accordé en 2007 dans le cadre de l’Initiative Sécurité publique et antiterrorisme.
En tant qu’organisme responsable ou partenaire, la GRC participe à une panoplie d’initiatives horizontales multijuridirictionnelles et interagences. En établissant des partenariats et des buts communs, ces initiatives augmentent les capacités de la Gendarmerie afin d’optimiser ses retombées pour les Canadiens et les Canadiennes.
La GRC est l’organisme responsable des initiatives horizontales suivantes :
Pour en savoir davantage sur les initiatives horizontales, voir www.tbs-sct.gc.ca/rma/dpr1/07-08/index_f.asp.
Industrie Canada participe à plusieurs initiatives horizontales en partenariat avec d’autres ministères fédéraux, d’autres ordres de gouvernement, des organismes non gouvernementaux et des organismes du secteur privé. Le Ministère contribue ainsi à la réalisation de ses objectifs stratégiques.
Industrie Canada a été désigné ministère responsable des importantes initiatives horizontales mentionnées ci-après. Pour obtenir de plus amples renseignements, consulter la base de données sur les initiatives horizontales du Secrétariat du Conseil du Trésor.
La Stratégie canadienne en matière de biotechnologie (SCB) a pris fin en mai 2007 au moment de la publication de la stratégie fédérale des sciences et de la technologie, intitulée Réaliser le potentiel des sciences et de la technologie au profit du Canada. Par le fait même, aucune activité horizontale n’a été tenue sous les auspices de la SCB en 2007-2008. Deux initiatives de cette stratégie — le Système canadien de réglementation de la biotechnologie et le Programme de recherche-développement en génomique — ont été maintenues respectivement par Santé Canada et par le Conseil national de recherches du Canada. Leurs rapports sur le rendement respectifs feront état des résultats de ces deux initiatives. | |
Nom du ou des ministères responsables Industrie Canada, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Agence canadienne d’inspection des aliments, Pêches et Océans Canada, Affaires étrangères et Commerce international Canada, Environnement Canada, Santé Canada, Ressources naturelles Canada et Conseil national de recherches Canada |
Activité de programme du ou des ministères responsables
Sans objet |
Date de mise en œuvre : 1998 | Date de clôture : 15 juin 2007 |
Total des fonds fédéraux affectés (pour toute la durée de l’initiative) : 467,9 millions de dollars | |
Description de l’initiative horizontale (y compris l’entente de financement) La vision de la Stratégie canadienne en matière de biotechnologie (SCB) était de « rehausser le niveau de vie des Canadiens — sur le plan de la santé, de la sécurité, de l’environnement et du développement social et économique en faisant du Canada un chef de file mondial ayant le sens des responsabilités en biotechnologie. » Sous l’égide des trois grandes fonctions de la SCB, à savoir l’intendance, la participation des citoyens et l’innovation, les trois initiatives stratégiques traitent du Fonds de la SCB, du Système canadien de réglementation de la biotechnologie et du Programme de recherche-développement en génomique. Chacune de ces initiatives porte sur un aspect particulier des priorités canadiennes en biotechnologie et fait intervenir une gestion de programme, une affectation de ressources et un profil d’initiative distincts, reliés entre eux par la structure de gouvernance de la SCB. |
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Résultats communs La SCB a pris fin avec succès et les ressources ont été réaffectées aux priorités ministérielles. |
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Structure de gouvernance L’autorisation de financement de la SCB a pris fin le 15 juin 2007. Par suite d’un engagement pris dans la stratégie fédérale des sciences et de la technologie, intitulée Réaliser le potentiel des sciences et de la technologie au profit du Canada, les rôles et responsabilités du Comité consultatif canadien de la biotechnologie sont désormais regroupés au sein du nouveau Conseil des sciences, de la technologie et de l’innovation. Industrie Canada a mis fin de façon méthodique à deux mécanismes clés de la SCB, soit le Secrétariat canadien de la biotechnologie et le Comité consultatif canadien de la biotechnologie. Par ailleurs, le Ministère est désormais responsable de la présentation des rapports généraux de la SCB. Deux initiatives de cette stratégie — le Système canadien de réglementation de la biotechnologie et le Programme de recherche-développement en génomique — ont été maintenues respectivement par Santé Canada et par le Conseil national de recherches du Canada. |
(Regroupement des Centres de services aux entreprises du Canada et du Portail des affaires) | |||
Nom du ou des ministères responsables Industrie Canada, Agence de promotion économique du Canada atlantique, Diversification de l’économie de l’Ouest Canada, Développement économique Canada pour les régions du Québec |
Activité de programme du ou des ministères responsables Développement économique |
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Date de mise en œuvre | Date de clôture | Total des fonds fédéraux affectés (pour toute la durée de l’initiative) | |
Centres de services aux entreprises du Canada Début du financement en 1995 (9 février 1995, CT 822499). Renouvellement le plus récent pour 2006–2007 (Approbation de la politique et du financement : L’innovation : la clé de l’économie moderne — Programme : emploi et croissance) |
Mars 2009 — renouvellement (2008-2009 — automne) |
226,1 millions de dollars (depuis 1995) | |
Portail des affaires Le financement a commencé en 2000. (Approbation de la politique et du financement : Financement de Gouvernement en direct par l’entremise du SCT au départ et de TPSGC — Passerelles et regroupements) |
31 mars 2006 | 6,79 millions de dollars (depuis 2000) | |
Total : 232,89 millions de dollars | |||
Description de l’initiative horizontale (y compris l’entente de financement) Le Réseau Entreprises Canada a été créé afin d’améliorer les services aux petites entreprises et aux entrepreneurs qui se lancent en affaires, en leur offrant un guichet unique où ils peuvent trouver des renseignements détaillés sur les services, les programmes et les exigences de conformité des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux. Au nom du gouvernement fédéral et de ses partenaires, Entreprises Canada offre une foule de produits d’information et de ressources selon divers modes de prestation de services dans l’ensemble du pays (site Web, service au comptoir ou par téléphone). Grâce à sa collaboration avec les provinces et les territoires, le Réseau propose des produits d’information et des ressources dont le contenu est propre à chaque champ de compétences, offrant ainsi un service d’information intégré véritablement axé sur les besoins de la clientèle. |
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Résultats communs
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Structure de gouvernance Le Réseau Entreprises Canada est géré au nom du gouvernement fédéral par l’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA), Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC), Diversification de l’économie de l’Ouest Canada (DEO) et Industrie Canada (IC). Les organismes responsables sont chargés d’assurer la conformité à toutes les politiques fédérales ayant trait à l’exécution de programmes dans un environnement de collaboration, en particulier les politiques sur les langues officielles ainsi que les politiques d’accessibilité, d’accès à l’information et de protection des renseignements personnels, d’image de marque et de diversification des modes de prestation de services. |
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés pour toute la durée de l’initiative (en milliers de dollars) | Dépenses prévues pour 2007-2008 (en milliers de dollars) |
Dépenses réelles en 2007-2008 (en milliers de dollars) |
Résultats prévus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
IC | Développement économique | Réseau Entreprises Canada | 92 416 $ | 6 504 $ | 6 504 $ | (Les résultats prévus s’appliqu ent à chaque partenaire) Sensibilisa tion et accès accrus à l’informatio n d’affaires et aux programm es et services gouverne mentaux, et conformité facilitée pour les entreprise s |
234 191 clients ont été servis avec l’aide du personnel (p. ex., téléphone, en personne, courriel ou télécopieur), soit une baisse de 1,6 p. 100 par rapport à 2006- 2007 |
APECA | Réseau Entreprises Canada | 36 016 $ | 2 641 $ | 2 642 $ | Utilisation accrue d’Internet | Les sites Web du Réseau Entreprises Canada ont enregistré 7 millions de consultation s, soit une hausse supérieure à 18 p. 100 |
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DEO | Réseau Entreprises Canada | 49 964 $ | 3 977 $ | 3 977 $ | Simplifica tion des formalités d’accès aux program mes et aux services ainsi qu’aux exigences de conformit é pour les PME |
Des sondages sont menés tous les deux ans pour évaluer la satisfaction de la clientèle. Il n’y en a eu aucun en 2007-2008. |
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DEC | Réseau Entreprises Canada | 23 184 $ | 1 878 $ | 1 878 $ | Améliorati on de la planificati on d’entrepri se et des études de marché pour les PME |
43 518 plans d’entreprise interactifs ont été créés, soit une augmentati on de 3,6 p. 100 par rapport à 2006- 2007 |
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Total (en milliers de dollars) | 201 580 $ | 15 000 $ | 15 000 $ | ||||
Commentaires sur les écarts Sans objet |
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Résultats obtenus par les partenaires ne faisant pas partie de l’administration fédérale Sans objet |
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Personne-ressource Marcie Girouard, directrice exécutive, Prestation des services et partenariats |
Infrastructure Canada
Investissements dans les infrastructures
Début de l'initiative horizontale : 2003-2004
Fin de l'initiative horizontale : 2012-2013
Affectation totale du gouvernement fédéral (de la date de début à la date de fin) : 5,2 milliards de dollars
Le Fonds canadien sur l'infrastructure stratégique (FCIS) est un programme de dix ans qui a été approuvé par le Conseil du Trésor en 2003; le total des fonds s'élève à quatre milliards de dollars. Il s'agit d'un programme de contributions à coûts partagés visant les projets d'infrastructure stratégique. L'affectation initiale de quatre milliards de dollars a été augmentée par un financement supplémentaire issu de différentes sources, de sorte que le financement total s'établissait à 5,2 milliards de dollars à la fin de 2006‑2007.
Les investissements sont axés sur des projets d'importance majeure sur le plan national et régional et doivent être faits dans des secteurs qui jouent un rôle crucial dans le soutien de la croissance économique et de l'amélioration de la qualité de vie des Canadiens. Le FCIS est mis en œuvre au moyen d'ententes négociées entre le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux/territoriaux, les administrations locales, des partenaires du secteur privé ou des organisations non gouvernementales. Des ententes de contribution sont adaptées aux exigences du projet.
La Loi sur le Fonds canadien d'infrastructure stratégique prévoit les principales catégories d'investissements dans des projets qui font intervenir des biens corporels immobilisés qui servent l'intérêt du public. Voici les catégories admissibles en vertu du FCIS :
On peut obtenir de plus amples détails sur le FCIS à l'adresse suivante : http://www.infrastructure.gc.ca/ip-pi/csif-fcis/index_f.shtml.
Les résultats globaux qu’Infrastructure Canada espère obtenir dans le cadre du FCIS sont liés aux investissements dans des projets qui :
Tous les projets du FCIS sont sélectionnés sous l’autorité du ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités. Avant de sélectionner les projets, le ministre consulte d’autres ministres qui s’intéressent à la région ou au secteur fondamental du projet. Après la sélection des projets, l’approbation du Conseil du Trésor est requise pour chaque contribution. En parallèle, les fonds de fonctionnement supplémentaires requis pour la gestion et la surveillance des projets par les ministères/organismes de mise en œuvre sont déterminés et demandés dans la présentation au Conseil du Trésor.
Le FCIS est mis en œuvre dans le cadre de partenariats qui font principalement intervenir trois groupes de collaborateurs clés :
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Activité de programme (AP) du partenaire fédéral |
Noms des programmes des partenaires fédéraux |
Affectation totale (de la date de début à la date de fin) |
Dépenses prévues pour 2007-2008 |
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
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1. Agence de promotion économique du Canada atlantique |
AP 1 |
a. |
161,5 millions de dollars |
45,4 millions de dollars |
41,9 millions de dollars |
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AP 2 |
c. |
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2. DévelopÂpement économique Canada pour les régions du Québec (DEC-Québec) |
AP 1 |
a. |
144,5 millions de dollars |
59,3 millions de dollars |
35 millions de dollars |
b. |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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3. DiversifiÂcation de l'économie de l'Ouest (DEO) |
AP 1 |
a. |
655,5 millions de dollars |
184,2 millions de dollars |
169 millions de dollars |
b. |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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4. Industrie Canada |
AP 1 |
a. |
398 millions de dollars |
25,8 millions de dollars |
20,2 millions de dollars |
b. |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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5. Affaires indiennes et du Nord (AINC) |
AP 1 |
a. |
41 millions de dollars |
27,4 millions de dollars |
7,9 millions de dollars |
b. |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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6. Transports Canada |
AP 1 |
a. |
3 351,7 millions de dollars |
741,3 millions de dollars |
625,5 millions de dollars |
b. |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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Total : |
4 752,4 millions de dollars |
1 083,4 millions de dollars |
899,5 millions de dollars |
Un cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) a été conçu pour le FCIS. Il propose une série d’indicateurs pour les projets et les sources de données ou des méthodes pour la collecte des données.
Les résultats globaux prévus pour le FCIS comprennent ce qui suit :
Le FCIS est un programme d’une durée de dix ans qui a reçu l’approbation du Conseil du Trésor en 2003. Compte tenu de l’envergure des projets, la plupart des projets auxquels le gouvernement contribuera seront en cours de réalisation pendant de nombreuses années. Par conséquent, la réalisation des résultats définitifs sera plutôt limitée au cours des premières années du programme. Les futurs rapports ministériels sur le rendement comprendront des rapports sur le programme et sur les projets sélectionnés.
Au cours de 2007-2008, neuf projets ont été annoncés, et l'affectation totale du gouvernement fédéral s'établissait à 210,1 millions de dollars. En date du 31 mars 2008, 71 projets avaient été annoncés en tout, et leur valeur s'élève presque à 4,5 milliards de dollars.
S/O
Jocelyne St Jean : 613-948-8003
Directrice générale, Opérations intergouvernementales
Infrastructure Canada
Investissements dans les infrastructures
Début de l'initiative horizontale : 2003-2004
Fin de l'initiative horizontale : 2013-2014
Affectation totale du gouvernement fédéral (de la date de début à la date de fin) : 600 millions de dollars
Le Fonds sur l’infrastructure frontalière (FIF), qui a reçu l’approbation du Conseil du Trésor en 2003, est un programme de contributions à coûts partagés de 600 millions de dollars (dix ans). Il complète certains des autres programmes d’infrastructure du gouvernement du Canada, comme le FCIS et le Programme stratégique d’infrastructure routière, un programme de Transports Canada. (Pour obtenir plus de renseignements à cet égard, visitez le www.tc.gc.ca/PSIR/faq.htm.)
En tant que parties intégrantes de « la promesse par laquelle le Canada s’est engagé à alléger les pressions aux routes d’accès en direction des points d’entrée frontaliers, comme la congestion routière, et à continuer de faciliter les échanges commerciaux entre le Canada et les États‑Unis », les contributions du FIF sont destinées aux routes d’accès aux postes frontaliers canado-américains, particulièrement aux six plus importants :
Le FIF consacre aussi des fonds aux petits postes frontaliers et aux postes frontaliers d’importance régionale de tous les coins du Canada. Une fois terminés, les projets appuyés par le FIF aideront à alléger la congestion routière, accroîtront la capacité du réseau et serviront la Déclaration sur la frontière intelligente. (Pour lire la Déclaration sur la frontière intelligente Canada — É.-U., visitez le www.dfait‑maeci.gc.ca/anti‑terrorism/declaration‑fr.asp.)
Pour obtenir plus de renseignements au sujet du FIF, visitez le www.infrastructure.gc.ca/ip-pi/bif-fsif/index_f.shtml.
Les résultats globaux qu’Infrastructure Canada compte obtenir grâce au FIF sont des investissements dans des projets qui contribuent à la sécurité et à l’efficacité des postes frontaliers. Les résultats prévus sont les suivants : alléger la congestion routière à la frontière, accroître la capacité aux routes d’accès en direction des points d’entrée frontaliers et hausser la sécurité aux postes frontaliers, ce qui augmente l’efficacité commerciale.
Tous les projets du FIF sont sélectionnés sous l’autorité du ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités. Avant de sélectionner les projets, le ministre consulte d’autres ministres qui s’intéressent à la région ou au secteur fondamental du projet. Après la sélection des projets, le ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités fait l’annonce au public. L’approbation du Conseil du Trésor est requise pour chaque contribution. En parallèle, les fonds de fonctionnement supplémentaires requis pour la gestion et la surveillance des projets par Transports Canada sont déterminés et demandés dans la présentation au Conseil du Trésor.
Le FIF est exécuté dans le cadre de partenariats qui font principalement intervenir trois groupes de collaborateurs clés :
Partenaires fédéraux |
Activité de programme (AP) du partenaire fédéral |
Noms des programmes des partenaires fédéraux |
Affectation totale (de la date de début à la date de fin) |
Dépenses prévues pour 2007-2008 |
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|
1. Transports Canada |
AP 1 |
a. Fonds sur l'infrastructure frontalière |
542 millions de dollars |
122,6 millions de dollars |
69,9 millions de dollars |
b. |
$ |
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AP 2 |
c. |
$ |
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d. |
$ |
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2 |
AP 1 |
a. |
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b. |
$ |
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AP 2 |
c. |
$ |
$ |
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d. |
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Total : |
542 millions de dollars |
122,6 millions de dollars |
69,9 millions de dollars |
Un cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) a été élaboré pour le FIF. Il présente les résultats escomptés et propose une série d’indicateurs de rendement pour les projets. Les résultats de la mesure continue du rendement seront utilisés pour apporter les rajustements nécessaires à l’initiative et la stratégie de mesure du rendement sera examinée chaque année.
Les résultats globaux prévus pour le FIF comprennent les suivants :
Le FIF est un programme d’une durée de 10 ans qui a reçu l’approbation du Conseil du Trésor en 2003. Compte tenu de l’envergure des projets, la plupart d’entre eux seront en cours de réalisation pendant de nombreuses années. Par conséquent, la réalisation des résultats définitifs sera plutôt limitée au cours des premières années du programme. Les futurs rapports ministériels sur le rendement comprendront des rapports sur le programme et sur les projets sélectionnés.
Annoncé dans le budget 2001, le FIF a été établi en tant que fonds de 600 millions de dollars visant principalement l'infrastructure des six plus grands points d'entrée frontaliers entre le Canada et les États‑Unis, en plus de plusieurs autres points. Depuis les débuts du programme, 12 ententes relatives au FIF ont été conclues, et l'engagement du gouvernement fédéral se fixe aujourd'hui à 550,1 millions de dollars.
S/O
Jocelyne St Jean : 613-948-8003
Directrice générale, Opérations intergouvernementales
Infrastructure Canada
Investissements dans les infrastructures
Début de l'initiative horizontale : 2004-2005
Fin de l'initiative horizontale : 2009-2010
Affectation totale du gouvernement fédéral (de la date de début à la date de fin) : 1,2 milliard de dollars
À l’origine, ce fonds avait été établi à un milliard de dollars, et dans le budget 2006, une somme additionnelle de 200 millions de dollars a été ajoutée pour 2006‑2007, totalisant ainsi 1,2 G$. Ce fonds a été structuré pour répondre de manière équilibrée aux besoins locaux en matière d’infrastructure dans les régions urbaines et rurales du Canada. Le FIMR permettra de faire en sorte que tous les Canadiens, qu’ils vivent dans de grandes villes, de petites agglomérations ou des collectivités éloignées, puissent profiter des avantages des investissements dans l’infrastructure. Il misera sur les réussites antérieures des partenariats en matière de financement de l’infrastructure grâce auxquels plus de 3 000 projets ont entraîné des avantages directs pour les Canadiens.
Le Fonds sur l'infrastructure municipale rurale améliore et augmente les infrastructures publiques de base dans des domaines comme l’épuration de l’eau et le traitement des eaux usées, la culture et les loisirs, et tout ce qui permet à nos collectivités d’être des lieux dynamiques et productifs où il fait bon travailler et élever une famille. Le FIMR cible des collectivités de moins de 250 000 résidants et les collectivités des Premières nations. Comme les autres programmes d’infrastructure, le FIMR veille à ce que les projets autorisés aux termes du Fonds visent les objectifs du gouvernement fédéral : encourager des approches nouvelles et novatrices et favoriser des partenariats qui mettent l’accent sur les projets écologiques qui sont durables et réduisent la production de gaz à effet de serre. Au moins 50 % des fonds fédéraux seront accordés à des projets écologiques.
Grâce au FIMR, le gouvernement du Canada continue de créer des partenariats productifs avec les provinces, les territoires et les municipalités, ainsi qu’avec les Premières nations et le secteur privé, en vue d’investir dans des projets d’infrastructure locales. Ces projets sont indispensables au soutien de la croissance économique et à l’amélioration de la qualité de vie dans les collectivités canadiennes.
Le FIMR est un programme à coûts partagés dans le cadre duquel le gouvernement du Canada assume en moyenne le tiers des coûts admissibles totaux des projets. Les provinces et municipalités assument le reste. Compte tenu de la situation particulière des Premières nations et des territoires, où plusieurs collectivités n’ont pas de pouvoir d’imposition foncière, le gouvernement du Canada pourra dans leur cas assumer plus du tiers des coûts.
Le FIMR est basé sur un partenariat fédéral entre Infrastructure Canada et cinq ministères fédéraux : Diversification de l’économie de l’Ouest, Industrie Canada (pour les projets en Ontario), l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec, l’Agence de promotion économique du Canada atlantique et Affaires indiennes et du Nord Canada. Quatorze sous-programmes sont négociés dans le cadre du FIMR, soit un sous‑programme conjoint pour chaque province et chaque territoire et un sous-programme pour les collectivités des Premières nations. Chacun des 14 sous‑programmes du FIMR est assujetti aux mêmes conditions, priorités et méthodes générales, mais en raison de la nature individuelle de chaque sous‑programme, les ententes comprennent les nuances propres à chaque ordre de gouvernement.
Pour stimuler la réalisation des résultats prévus, les projets admissibles aux termes du FIMR devront être conformes à un cadre d’optimisation des politiques qui aura une base commune, mais qui sera adapté à chaque administration. Pour garantir un vaste appui et une exécution efficace et innovatrice, des partenariats de divers types, y compris des partenariats entre les secteurs public et privé, sont encouragés dans la formulation et l’exécution des projets du FIMR. Le programme s’appuiera sur la participation active des municipalités locales et rurales, y compris le soutien des conseils locaux élus. De plus, les représentants municipaux participeront aux processus et à la gestion des programmes dans leur province ou leur territoire respectif.
Partenaires fédéraux participant à chacun des programmes.
Le FIMR est basé sur un partenariat fédéral entre Infrastructure Canada et cinq ministères fédéraux :
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Activité de programme (AP) du partenaire fédéral |
Noms des programmes des partenaires fédéraux |
Affectation totale (de la date de début à la date de fin) |
Dépenses prévues pour 2007-2008 |
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|
1. Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) |
AP 1 |
a. |
143,4 millions de dollars |
52,8 millions de dollars |
35,2 millions de dollars |
b. |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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2. DévelopÂpement économique Canada pour les régions du Québec (DEC-Québec) |
AP 1 |
a. |
241,8 millions de dollars |
79,5 millions de dollars |
6,4 millions de dollars |
b. |
$ |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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3. DiversifiÂcation de l'économie de l'Ouest (DEO) |
AP 1 |
a. |
286,3 millions de dollars |
45 millions de dollars |
26,4 millions de dollars |
b. |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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4. Industrie Canada |
AP 1 |
a. |
373,3 millions de dollars |
100 millions de dollars |
70,7 millions de dollars |
b. |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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5. Affaires indiennes et du Nord (AINC) |
AP 1 |
a. |
59,1 millions de dollars |
30,2 millions de dollars |
4,6 millions de dollars |
b. |
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AP 2 |
c. |
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d. |
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Total : |
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1 103,9 millions de dollars |
307,5 millions de dollars |
143,3 millions de dollars |
Un cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) a été élaboré pour le FIMR. Il présente les résultats escomptés et propose une série d’indicateurs pour les projets et les sources de données ou les méthodes pour la collecte des données.
Les résultats réels dépendront des types de projets approuvés et seront communiqués dans les futurs rapports ministériels sur le rendement d’INFC.
Au cours de l'année 2007-2008, 821 projets ont été approuvés, et leur valeur est estimée à 212,4 millions de dollars. En date du 31 mars 2008, 1 078 projets ont été approuvés, et l'investissement du gouvernement fédéral s'élève au total à 871,3 millions de dollars.
S/O
Jocelyne St Jean : 613-948-8003
Directrice générale, Opérations intergouvernementales
Infrastructure Canada
Investissements dans les infrastructures
Début de l'initiative horizontale : 2000-2001
Fin de l'initiative horizontale : 2010-2011
Affectation totale du gouvernement fédéral (de la date de début à la date de fin) : 2,05 milliards de dollars
Le Programme infrastructures Canada (PIC) est un programme de contributions qui a vu le jour en 2000 et qui vise les projets d’infrastructure locale/municipale. Le gouvernement du Canada fournit une contribution égale à celle de l’administration provinciale/territoriale, jusqu’à concurrence du tiers des coûts de chaque projet d’infrastructure municipale. Le PIC est un programme de 2,05 milliards de dollars dont la durée de vie couvre sept exercices, avec une prolongation de deux ans. Le PIC va bon train, et des projets sont en cours partout au Canada. La plupart des fonds ont été affectés aux projets approuvés. En 2002, Infrastructure Canada a été créé, et on lui a confié le rôle de coordination qui était joué jusque-là par le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.
Le financement octroyé dans le cadre du PIC est affecté prioritairement aux « projets municipaux verts », c’est-à -dire aux projets qui produisent des avantages environnementaux dans l’intérêt de la qualité de l’environnement ou des avantages sur le plan de la santé dans l’intérêt de la qualité de vie. Au nombre des autres priorités se trouvent le logement abordable, la culture, le tourisme et les loisirs, les télécommunications dans les régions rurales et éloignées, la prestation d’un accès à haute vitesse aux institutions publiques locales et le transport local. Reconnaissant que ce sont les collectivités qui connaissent le mieux leurs besoins, les responsables du Programme fonctionnent selon une approche ascendante et laissent aux municipalités et aux collectivités des Premières nations la latitude nécessaire pour qu’elles déterminent leurs priorités en matière d’infrastructure. Le Programme contient aussi des dispositions dont l’objet est de faire en sorte que le financement soit réparti équitablement entre les collectivités urbaines et rurales.
Pour obtenir plus de renseignements, consultez les sites Web suivants :
Les résultats globaux prévus sont les suivants : Améliorer l’infrastructure municipale urbaine et rurale au Canada et améliorer la qualité de vie des Canadiennes et des Canadiens grâce à des investissements qui protègent l’environnement et appuient la croissance communautaire et économique à long terme.
|
Activité de programme (AP) du partenaire fédéral |
a. |
Affectation totale (de la date de début à la date de fin) |
Dépenses prévues pour 2007-2008 |
Dépenses réelles pour 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|
1. Agence de promotion économique du Canada Atlantique (APECA) |
AP 1 |
b. |
188,2 millions de dollars |
3 millions de dollars |
9,2 millions de dollars |
c. |
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AP 2 |
d. |
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a. |
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|
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2. Développement éconoÂmique Canada pour les régions du Québec (DEC-Québec) |
AP 1 |
b. |
524,7 millions de dollars |
101,9 millions de dollars |
46 millions de dollars |
c. |
$ |
$ |
|
||
AP 2 |
d. |
$ |
$ |
|
|
a. |
$ |
$ |
|
||
3. Diversification de l'économie de l'Ouest (DEO) |
AP 1 |
b. |
567,8 millions de dollars |
34,6 millions de dollars |
30,7 millions de dollars |
c. |
$ |
$ |
|
||
AP 2 |
d. |
$ |
$ |
|
|
a. |
$ |
$ |
|
||
4. Industrie Canada |
AP 1 |
b. |
693,4 millions de dollars |
55,8 millions de dollars |
33 millions de dollars |
c. |
$ |
$ |
|
||
AP 2 |
d. |
$ |
$ |
|
|
a. |
$ |
$ |
|
||
5. Affaires indiennes et du Nord (AINC) |
AP 1 |
b. |
40 millions de dollars |
0 |
0 |
c. |
$ |
$ |
|
||
AP 2 |
d. |
$ |
$ |
|
|
b. |
$ |
$ |
|
||
|
$ |
$ |
|
||
Total : |
|
|
2 014,1 millions de dollars |
195,3 millions de dollars |
118,9 millions de dollars |
Les résultats prévus comprennent les suivants :
En date du 31 mars 2006, tout le financement initial obtenu en vertu du PIC avait été affecté à 3 871 projets d'un océan à l'autre, ce qui équivaut à une somme de plus de 1,9 milliard de dollars. Le Programme a été prolongé jusqu'au 31 mars 2009, et au 31 mars 2007 pour le volet des Premières nations, afin d'accorder plus de temps pour achever les projets approuvés. Une prolongation ultérieure allant jusqu'à 2011 a été approuvée en 2007 (à l'exclusion du volet des Premières nations).
S/O
Jocelyne St Jean : 613-948-8003
Directrice générale, Opérations intergouvernementales
1. Nom de l'initiative horizontale : Stratégie nationale antidrogue | |||||||
2. Nom du ministère responsable : Ministère de la Justice |
3. Activité de programme du ministère responsable : Justice Canada – ministère responsable de la Stratégie nationale antidrogue; Fonds du système de justice pour les jeunes (composante de traitement antidrogue de justice pour les jeunes) et Tribunaux de traitement de la toxicomanie. |
||||||
4. Date de mise en œuvre : 2007-2008 | 5. Date de clôture de l'initiative horizontale : 2011-2012 et continue |
||||||
6. Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture) : 598 M$[1] | |||||||
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
La Stratégie nationale antidrogue s’inspire de l’ancienne Stratégie canadienne antidrogue, qui porte sur les drogues illicites et qui met l’accent sur les jeunes. Elle a comme but de contribuer à des collectivités plus sécuritaires et saines au moyen de mesures coordonnées de prévention de la consommation de drogues illicites, de traitement de la dépendance ainsi que de réduction de la production et de la distribution des drogues illicites. Elle englobe trois plans d’action : prévention, traitement et mise en application. Le plan de prévention soutient les mesures visant à empêcher les jeunes de consommer des drogues illicites en leur faisant prendre conscience des effets dangereux sur la société et la santé de la consommation de drogues illicites ainsi qu’à élaborer et mettre en œuvre des interventions et des initiatives communautaires de prévention de la consommation de drogues illicites. Le plan de traitement soutient les mécanismes et services de traitement et de réadaptation au moyen de l’élaboration et de la mise en œuvre de méthodes innovatrices coordonnées. Le plan de mise en application vise à contribuer à la perturbation des activités liées aux drogues illicites d’une manière sécuritaire et cible particulièrement les organisations criminelles. |
|||||||
8. Résultats partagés :
|
|||||||
9. Structures de gouvernance :
La structure de gouvernance de la Stratégie se compose du Comité directeur des sous-ministres adjoints et des groupes de travail sur les politiques et le rendement, la prévention et le traitement, l’exécution et les communications. La structure de gouvernance est soutenue par l’Unité des initiatives stratégiques du ministère de la Justice du Canada. Le Comité directeur des sous-ministres adjoints (CDSMA), qui est présidé par le ministère de la Justice du Canada, surveille la mise en œuvre de la Stratégie, prenant les décisions nécessaires à l’avancement de l’initiative, le cas échéant, et veillant à l’obtention de résultats appropriés en temps opportun pour l’initiative et à la reddition de comptes et des dépenses des ressources de l’initiative. Le CDSMA prépare des questions pour étude par les sous-ministres, le cas échéant. Le Groupe de travail pour la prévention et le traitement, présidé par Santé Canada, surveille l’élaboration et la mise en œuvre des plans de prévention et de traitement. Le Groupe de travail sur la mise en application, présidé par le ministère de la Sécurité publique du Canada, surveille l’élaboration et la mise en œuvre du plan de mise en application. Le Groupe de travail sur les politiques et le rendement, présidé par le ministère de la Justice du Canada, surveille l’élaboration et la formulation de directives et de résultats stratégiques pour la Stratégie et les travaux du Sous-comité sur l’évaluation et le rendement. Le Groupe de travail des communications, présidé par le ministère de la Justice du Canada, surveille la communication de la Stratégie, notamment la prise des décisions nécessaires à l’avancement de la communication de l’initiative et à la coordination des communications. |
|||||||
10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux |
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 14. Dépenses prévues 2007-2008 |
15. Dépenses réelles 2007-2008 | 16. Résultats prévus 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. Ministère de la Justice | A1 | a. Rôle de chef de file de Justice Canada pour la stratégie nationale anti-drogue |
3,3 M $
|
660 207 $
|
568 388 $
|
Direction efficace de la réponse fédérale aux préoccupations concernant les drogues illicites, et des mesures de prévention, de traitement et de mise en application par les moyens suivants :
• Assumer la responsabilité globale de la politique et de la coordination; • Établir et maintenir une structure de gouvernance pour la SNA; • Assumer la direction et la coordination de toutes les activités de communications concernant la SNA; • Assumer la responsabilité première de la reddition des comptes – rapports d’évaluation et de rendement |
• A coordonné la rédaction de quatre mémoires au Cabinet qui ont été approuvés en principe en février – mars 2007;
• A établi la structure de gouvernance pour la SNA; • A coordonné les trois présentations au CT que celui-ci a approuvées en septembre 2007; • A préparé et négocié la participation de tous les partenaires et leur accord à un Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) qui a été présenté au Conseil du Trésor à la fin de mars 2008; • A assumé un rôle de leadership en matière de politiques et de rendement par l’entremise du Comité directeur des SMA et du Groupe de travail sur les politiques et le rendement de la structure de gouvernance; • A assuré un leadership et une coordination globale pour toutes les activités de communications, y compris le développement et la maintenance du site Web de la SNA. |
b. Tribunaux de traitement de la toxicomanie
(Plan d’action sur le traitement) |
16,2 M $
|
3,9 M $
|
1,9 M $
|
Les nouveaux tribunaux de traitement de la toxicomanie sont opérationnels et font rapport conformément aux accords de financement | Des plans de travail annuels et des rapports d’étape conformes aux objectifs du programme de financement des TTT ont été reçus. | ||
c. Fonds de justice pour les jeunes – Composante Désintoxication de la justice pour les jeunes
(Plan d’action sur le traitement) |
6,9 M $ | 500 000 $ | 259 708 $ |
Financement de projets visant à améliorer les services et programmes de traitement.
Amélioration de la capacité d’organiser/offrir aux populations cibles une gamme de services et programmes de traitement |
Au total, neuf propositions ont été reçues en 2007-2008.
Trois projets avaient obtenu une aide financière avant la fin de l’exercice (deux étaient terminés et un était en cours le 31 mars 2008) Quatre seront financés en 2008-2009 Les trois projets financés ciblaient les jeunes qui ont des démêlés avec la justice en raison de la consommation de drogues illicites; les trois ont amélioré la capacité grâce à une formation ou des recherches, et l’un d’eux a fourni des services de traitement dans le cadre d’un programme pilote. |
||
2. Santé Canada | S/O |
a. Campagne médiatique de masse
(Plan d’action sur la prévention) |
29,8 M $
|
4,0 M $
|
4,8 M $
|
Accroissement de la sensibilisation et de la compréhension pour ce qui est des drogues illicites et de leurs conséquences néfastes | Des annonces à la radio, dans les journaux et sur le site Web ont été préparées et diffusées à l’intention des parents. Des conseils et des outils étaient aussi disponibles pour les parents à www.preventiondesdrogues.gc.ca et dans la brochure intitulée Aborder le sujet des drogues avec son adolescent. |
3.4 |
b. Fonds des initiatives communautaires de la Stratégie antidrogue (FICSA)
(Plan d’action sur la prévention) |
78,0 M $
|
11,97 M $[2]
|
10,2 M $
|
Accroissement de la sensibilisation et de la compréhension pour ce qui est des drogues illicites et de leurs conséquences néfastes
Amélioration des connaissances des collectivités relatives aux drogues illicites et à leurs conséquences néfastes |
En 2007-2008, Santé Canada a consenti un montant de 2 920 000 $ pour des projets nationaux et de 3 705 000 $ pour des projets régionaux. Une nouvelle demande de propositions portant sur les objectifs de la SNA et lancée dans le cadre du FICSA a pris fin en février 2008. Au total, 299 propositions ont été reçues à des fins d’examen. | |
c. Programme de financement du traitement de la toxicomanie (PFTT)
(Plan d’action sur le traitement) |
124,7 M $
|
18,0 M $
|
14,1 M $
|
Amélioration de la collaboration à des interventions ainsi que de la connaissance des difficultés liées au traitement
Amélioration de la capacité d’organiser/ offrir aux populations cibles une gamme de services et programmes de traitement Augmentation des engagements F/P/T à améliorer les systèmes de traitement dans des domaines de besoins ciblés |
En 2007-2008, des consultations ont eu lieu avec les provinces et les territoires pour mettre au point le Programme de financement du traitement de la toxicomanie (PFTT). Deux provinces ont reçu des fonds d’un montant de 85 000 $ pour réaliser une analyse de situation décrivant l’« état actuel des choses » par rapport à la mise en œuvre de pratiques éclairées par les faits et d’activités de mesure et d’évaluation du rendement. En outre, des discussions ont été tenues avec le ministère de la Santé de la Colombie-Britannique et la Vancouver Coastal Health Authority au sujet d’options concernant de nouvelles interventions de traitement auprès des toxicomanes habitant dans le quartier Eastside du centre-ville, en particulier les femmes impliquées dans le commerce du sexe. | ||
4.1.1.2 |
d. Programme national de lutte contre l’abus de l’alcool et des drogues chez les Autochtones
(Plan d’action sur le traitement) |
36,0 M $
|
2,4 M $ [3]
|
2,2 M $[4]
|
Amélioration de la capacité d’ organiser/ offrir à des populations cibles une gamme de services et programmes de traitement | En 2007-2008, la DGSPNI a lancé un certain nombre d’activités visant à préparer le terrain pour d’autres investissements dans la SNA en 200802009. Ces investissements étaient notamment les suivants : mise en place d’un programme national d’agrément; amélioration et augmentation des possibilités de suivre une formation reconnue, fondée sur les faits; réalisation de travaux sur un système informatisé d’information sur les dépendances; production d’un rapport détaillé sur les questions en matière de main-d’œuvre qui orienteront les investissements à venir. | |
3.4 |
e. Bureau des substances contrôlées
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
12,8 M $
|
1,6 M $
|
1,6 M $
|
Accroissement de la capacité de contrôler et surveiller les substances contrôlées et les précurseurs chimiques | Le Bureau des substances contrôlées (BSC) a continué à élargir et à affiner le programme d’inspection des précurseurs chimiques. Deux nouveaux inspecteurs ont été embauchés en Alberta et quatre en Ontario. Soixante-quinze inspections ont été effectuées; celles-ci comprenaient des inspections visant des distributeurs autorisés en vertu du Règlement sur les précurseurs, ainsi que des inspections faisant suite à une demande d’autorisation, et un petit nombre d’inspections ciblées effectuées en vertu du Règlement sur les stupéfiants. On poursuit la mise au point d’outils et de mécanismes pour créer la structure appropriée à un programme d’inspection de plus grande envergure encore. | |
f. Service d’analyse des drogues
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
8,0 M $
|
9,0 M $
|
Accroissement de la capacité de recueillir, d’analyser/ de partager des renseignements de sécurité et d’analyser des données.
Accroissement de la sensibilisation aux problèmes que posent les drogues illicites et les précurseurs chimiques aux organismes d’exécution de la loi. |
Les laboratoires du Service d’analyse des drogues (SAD) ont reçu plus de 107 000 produits et délivré plus de 124 000 certificats d’analyse. Même si le temps moyen requis pour analyser les produits a dépassé la cible de rendement (60 jours), tous les produits reçus qui comportaient une date d’audience ont été analysés et le rapport a été présenté avant cette date. L’équipe de destruction a traité plus de 113 000 demandes d’autorisation de détruire des substances contrôlées saisies. Dans le cadre de l’application de la partie III, des articles 24 (4) à 29 de la LRCDAS, Santé Canada rembourse aux services de police les frais de destruction. De nouvelles procédures ont été mises en place pour le remboursement de ces frais. Il est difficile à ce moment‑ci de prévoir l’impact à long terme de ces procédures, mais on a constaté une augmentation des demandes de remboursement. | |||
3. Instituts de recherche en santé du Canada | 1.2.6 |
Recherche sur un modèle de traitement de la toxicomanie
(Plan d’action sur le traitement) |
4,0 M$ | 100 000 $ |
34 446 $
|
Amélioration de la transmission du savoir et du partage des tendances et des conséquences connexes en matière de drogues illicites | Les 8 et 9 novembre 2007, l’Institut des neurosciences, de la santé mentale et de la toxicomanie des IRSC a organisé un atelier de consultation ayant pour objet de définir les priorités de recherche relatives au traitement des dépendances à l’égard des drogues illicites. Des experts en toxicomanie, des professionnels de la santé et des partenaires éventuels ont été invités à la consultation, qui était financée par la SNA. Les priorités fixées pendant la consultation ont constitué le fondement de deux appels de demandes. Les appels ont été affichés sur le site Web des IRSC en avril 2008. |
4. Ministère de la Sécurité publique du Canada | 5 |
a. Financement et programme en matière de prévention du crime
(Plan d’action sur la prévention) |
20,0 M $
|
2,0 M $
|
830 013 $
|
Soutien accru des groupes à risque ciblés
Connaissance accrue dans les collectivités en matière de lutte contre la consommation de drogues illicites et leurs conséquences négatives. |
Les projets financés n’en sont qu’à l’étape préliminaire de mise en œuvre, et il est trop tôt pour pouvoir présenter des résultats qui soient solides. Les six projets approuvés jusqu’ici pour un financement sont mis en œuvre par des particuliers et des collectivités en Colombie-Britannique, en Ontario et dans le Canada atlantique. Ils ont pour objet de faire participer des jeunes à risque de commettre des crimes reliés à la consommation de drogues à des programmes qui les aident à obtenir un emploi, des habiletés en communications interpersonnelles et d’autres compétences prosociales, ce qui contribue à réduire les facteurs de risque. Ces projets répondent aux priorités du Centre national de prévention du crime, en s’attaquant au problème de la consommation de drogues chez les jeunes ou chez les Autochtones. En outre, 21 autres projets ont été élaborés et font actuellement l’objet d’un examen. |
3 |
b. Coordination nationale des mesures d’amélioration des renseignements, des connaissances, de la gestion, de la recherche et de l’évaluation
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
4,0 M $
|
800 000 $
|
586 000 $
|
Collectivités plus sûres et exécution plus efficace au moyen de politiques stratégiques nationales d’application de la loi |
A dirigé, coordonné et rédigé la présentation au CT portant sur la SNA, de concert avec des partenaires du Plan d’action sur l’application de la loi. A coordonné l’Évaluation de la menace liée à la drogue à la frontière canado-américaine de 2007, et a rédigé la section sur la politique antidrogue canadienne. A participé très activement Ã
l’élaboration du CGRR de la SNA. A coordonné des sections du rapport annuel sur les tendances nationales en matière de drogues à soumettre aux Nations Unies. A participé à des forums stratégiques FPT (groupes du CCHF qui étudient les problèmes reliés à la conduite avec facultés affaiblies et à la toxicomanie), et des forums stratégiques internationaux, y
compris la Commission des stupéfiants des Nations Unies et la Commission interaméricaine de lutte contre l’abus des drogues.
A financé huit projets portant sur l’échange de résultats de recherche, de connaissances et d’information. |
|
5. Gendarmerie royale du Canada | 1.1.2.7 |
a. Service de sensibilisation aux drogues et au crime organisé
(Plan d’action sur la prévention) |
15,1 M $
|
3,0 M $
|
1,8 M $
|
Accroissement de la sensibilisation des milieux scolaires, des collectivités autochtones, des jeunes, des professionnels et du grand public à la nature, à l’étendue et aux conséquences de la consommation/ l’abus de substances.
Amélioration des habiletés et compétences en matière de prestation de programmes |
La GRC a continué à engager les jeunes et les collectivités dans des programmes de prévention qui fournissent de l’information sur les conséquences néfastes de la consommation de drogues et des comportements à risque. En outre, le SSDCO offre des services de sensibilisation à d’autres organismes qui traitent peut-être de problèmes ayant trait à la consommation ou à l’abus de drogues illicites. En 2007‑2008, ces programmes comprenaient, entre autres, les suivants : D.A.R E., Les enfants et la drogue, Formation des agents chargés de la sensibilisation aux drogues (FASD) Des mesures sont également prises pour améliorer le matériel du programme « Notre bouclier » pour les jeunes Autochtones. |
3.5.2 |
b. Programme national d’intervention et de déjudiÂciarisation
(Plan d’action sur le traitement) |
3,6 M $
|
410 276 $
|
208 681 $
|
Création d’une équipe et établissement d’un plan de travail pour le programme |
Trois employés à plein temps ont été embauchés pour lancer le programme
La version préliminaire d’un plan de travail quinquennal a été rédigée A organisé et participé à 30 consultations |
|
1.1.2.7 |
c. Programme antidrogue de la GRC
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
91,4 M $
|
12,6 M $[7]
|
10,9 M $
|
Accroissement de la compréhension et de la connaissance des tendances en matière de consommation de drogues, ainsi que des méthodes de production et de détournement
Accroissement de la capacité de repérer et d’intercepter les approvisionÂnements de drogues illicites et de substances nocives |
A lancé une initiative visant à former les équipes affectées aux installations de culture de la marihuana à jouer un rôle corollaire auprès des intervenants affectés aux laboratoires clandestins.
Cette initiative a été menée à bien, la majorité des membres actuels des équipes ICM recevant une formation polyvalente sur les laboratoires clandestins. Les membres récemment formés contribuent à créer un partenariat synergétique entre les deux équipes, et à cibler les efforts consacrés à prévenir le détournement de produits chimiques et la production de drogues synthétiques. On appliquera dorénavant cette pratique, car les Divisions ont reconnu les avantages de disposer d’un bassin de plus en plus large d’experts dans la détection et le démantèlement sécuritaires des laboratoires dangereux dans une situation d’urgence. Au total, 18 agents ont été formés en 2007-2008 Les Divisions ont reçu des fonds en vertu de la Stratégie nationale antidrogue qui leur ont permis de renforcer leurs équipes affectées aux installations de culture de la marihuana (ICM) et aux laboratoires clandestins. Grâce à l’ajout de nouveaux membres, on a pu cibler davantage les efforts sur des installations de culture plus importantes, ainsi que sur de nouveaux « super laboratoires ». En 2007-2008, on a repéré 138 ICM et 22 laboratoires clandestins. Dans le cas des ICM, ces interventions se sont traduites par la saisie de 95 924 plants et 1 202 kg de boutures de marihuana. Dans le cas des laboratoires clandestins, plus de 90 kg de méthamphétamine et 95 kg de MDMA ont été saisis. |
|
6. Service correctionnel du Canada | 3.0 |
Préparation et surveillance de cas
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
23,3 M $[8]
|
0 $
|
0 $
|
S/O
|
S/O |
7. Commission nationale des libérations conditionnelles du Canada |
Décisions en matière de libérations conditionnelles et de pardons
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
7,5 M $[9]
|
0 $
|
0 $
|
S/O
|
S/O | |
8. Bureau du directeur des poursuites pénales | 1.1 |
a. Poursuites et services liés aux poursuites
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
9,9 M $[10]
|
0 $
|
0 $
|
S/O
|
S/O |
b. Poursuites relatives à des infractions graves en matière de drogues prévues dans la LRCDAS.
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
$33.5 M $[11]
|
0 $
|
0 $
|
S/O
|
S/O | ||
9. Agence des services frontaliers du Canada | PA 1 |
Renseignements sur les frontières, détournement de précurseurs chimiques, analyse et services scientifiques
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
12,7 M $ |
1,5 M $
|
888 639 $
|
Début de la mise en œuvre et embauche de personnel. Pour l’ASFC, la période de déclaration concernant la SNA est de septembre 2007 (début de la mise en œuvre de la Stratégie) au 31 mars 2008. | Des fonds ont été versés aux bureaux régionaux, des procédures d’embauche ont été amorcées et, le cas échéant, des ressources fractionnaires ont été combinées à la suite d’une analyse des besoins régionaux, et pour combler des lacunes ou faire face à des urgences. |
10. Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international | 1.2 |
Contributions annuelles à l’ONUDC et à la CICAD
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
4.5 M $ |
900 000 $
|
900 000 $
|
Accroissement de la capacité des États membres de mettre en Suvre des mesures de lutte contre la criminalité et les toxicomanies, au moyen de l’ application d’ instruments internationaux clés et de la prestation d’ une aide technique. | Le MAECI a géré avec succès des projets portant, entre autres, sur de la formation, du matériel, de l’expertise technique et juridique, qui se sont traduits par une augmentation de la capacité des États bénéficiaires et des entités gouvernementales de prévenir et combattre la criminalité et les drogues à l’échelle internationale. Les activités de renforcement des capacités avaient trait à la fois à l’offre et à la demande de drogues illicites, tout en répondant aux priorités stratégiques du Canada. |
11. Agence du revenu du Canada | 42400 |
Programme spécial d’exécution (Plan d’action sur l’application de la loi) |
4,2 M $
|
825 019 $
|
290 000 $
|
Augmenter la capacité de mener des vérifications d’ICM et de laboratoires clandestins | À l’aide des fonds supplémentaires provenant de la Stratégie, 44 vérifications ont été amorcées en 2007‑2008. Sur ce nombre, 25 ont été terminées, pour des recettes fiscales de 1,2 million de dollars. |
12. Travaux publics et Services gouvernementaux Canada | 01 |
Groupe de gestion juricomptable (GGJ)
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
1,6 M $
|
200 000 $
|
200 000 $
|
Accroissement de la capacité de fournir des services juricomptables | Un employé à plein temps a été embauché. Le GGJ a effectué des analyses juricomptables pour trois projets de la GRC ayant trait à la Stratégie. |
13. Centre d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada | 4881 |
Centre d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada
(Plan d’action sur l’application de la loi) |
2,5 M $
|
268 000 $
|
78 250 $
|
Soutien accru aux organismes d’application de la loi
Élaboration de renseignements financiers Veiller à la conformité dans les secteurs déclarants à haut risque |
La participation du CANAFE à la SNA en 2007-2008 a permis au Centre d’accroître sa capacité de communiquer avec ses partenaires dans l’application de la loi et le renseignement, grâce au travail de ses agents de liaison. Le CANAFE a aussi accru sa capacité d’analyser l’information qu’il reçoit et de produire des renseignements financiers qui pourraient être utiles dans des causes impliquant des drogues, avec l’ajout d’un ETP à la SNA au cours du dernier trimestre de 2007-2008. Cette augmentation de la capacité permettra d’effectuer les travaux nécessaires pour renforcer la capacité du CANAFE de générer plus de produits d’information pour le traitement de causes. |
Total
598 M $ |
Total
73,6 M $ |
Total
61,3 M $ |
|||||
18. Commentaires sur les écarts 1.a Justice – Rôle de chef de file de Justice Canada pour la Stratégie nationale antidrogue 1.b Justice – Tribunaux de traitement de la toxicomanie : 1.c Justice – Fonds de justice pour les jeunes – composante Intoxication de la justice pour les jeunes : 2.a Santé Canada – Campagne médiatique de masse 2.c Santé Canada – Programme de financement du traitement de la toxicomanie 2.f Santé Canada – Service d’analyse des drogues 3. Instituts de recherche en santé du Canada – Recherche sur un modèle de traitement de la toxicomanie 4.a Ministère de la Sécurité publique du Canada – Financement et programme en matière de prévention du crime 4.b Ministère de la Sécurité publique du Canada – Coordination nationale des mesures d’amélioration des renseignements, des connaissances, de la gestion, de la recherche et de l’évaluation. Étant donné que les fonds affectés à la SNA ont été reçus tard pendant l’exercice 2007-2008, nous n’avons pas eu suffisamment de temps pour prendre toutes les mesures nécessaires, en matière de dotation, de sorte que des fonds équivalents à un ETP sont devenus périmés. 5.a GRC – Service de sensibilisation aux drogues et au crime organisé 5.b GRC – Programme national d’intervention et de déjudiciarisation à l’intention des jeunes (PNIDJ) 5.c GRC – Programme antidrogue de la GRC 9. Agence des services frontaliers du Canada – Renseignements sur les frontières, détournement de précurseurs chimiques, analyse et services scientifiques La mise en œuvre en septembre 2007 a eu un impact important sur les dépenses de l’ASFC pour la première année de la Stratégie nationale antidrogue. Par conséquent, l’ASFC n’a pas pu, en 2007-2008, utiliser toutes les ressources qui avaient été mises à sa disposition (par exemple, retards au chapitre des achats). 11. Agence du revenu du Canada – Programme spécial d’exécution L’ARC a reçu les fonds en novembre 2007. Elle ne le a pas entièrement utilisés, car elle disposait de seulement cinq mois pour les dépenser et que les fonds sont en grande partie consacrés aux frais reliés au personnel. 13. Centre d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada |
|||||||
19. Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : s/o | |||||||
20. Personne ressource Catherine Latimer |
[1] Ce financement de mise en œuvre des peines minimales en matière d’infractions graves liées aux drogues fait l’objet d’une affectation bloquée, qui sera débloquée lorsque la législation proposée recevra la sanction royale.
[2] Le montant original selon le CGRR est de 15,7 millions de dollars. La différence tient à une réaffectation à 2008-2009 de 1,79 million de dollars en contributions, aux compressions budgétaires d’un milliard de dollars en 2005-2006, et à une péremption de fonds.
[3] Le montant original de 3,2 millions de dollars pour 2007-2008 a été réaffecté à des années de programme à venir.
[4] Ce montant ne comprend pas les locaux, le RAS et les frais de la Direction générale.
[7] Ce montant ne comprend pas les coûts des locaux qui sont transférés à TPSGC.
[8] Ce financement de mise en œuvre des peines minimales en matière d’infractions graves liées aux drogues fait l’objet d’une affectation bloquée, qui sera débloquée lorsque la législation proposée recevra la sanction royale. Aucun financement n’était disponible pour 2007-2008.
[9] Ce financement de mise en œuvre des peines minimales en matière d’infractions graves liées aux drogues fait l’objet d’une affectation bloquée, qui sera débloquée lorsque la législation proposée recevra la sanction royale. Aucun financement n’était disponible pour 2007-2008.
[10] Aucun financement n’a été consenti pour l’exercice 2007/2008.
[11] Ce financement de mise en œuvre des peines minimales en matière d’infractions graves liées aux drogues fait l’objet d’une affectation bloquée, qui sera débloquée lorsque la législation proposée recevra la sanction royale. Aucun financement n’était disponible pour 2007-2008.
1) Nom de l'initiative horizontale : Fonds pour la paix et la sécurité mondiales | |||||
2) Nom du ministère responsable : Affaires étrangères et Commerce international Canada | 3) Activité de programme du ministère responsable : Sécurité internationale 1 | ||||
4) Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : lancée le 3 octobre 2005; opérationnelle - 18 septembre 2006 | 5) Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2013 | ||||
6) Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture) : conformément au tableau 8.19, les dépenses totales à ce jour du MAECI ou des partenaires responsables sont de 235,9 millions de dollars, alors que le financement horizontal aux entités non MAECI n'entre pas dans le financement transféré aux niveaux de référence. Les fonds du FPSM ne sont donc pas désignés pour d'autres ministères ou partenaires fédéraux sur une base d'allocation. Les niveaux de dépenses prévus pour ces entités reflètent le niveau de préparation du FPSM en vue de répondre aux demandes dans une année donnée, dans le cadre d'ententes générales, provenant de la GRC, du SCC, etc. | |||||
7) Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) : financé à partir du compte de la paix et de la sécurité de l'enveloppe de l'aide internationale, le FPSM comble une lacune en matière de financement en offrant des ressources spécifiques à l'égard d'activités nécessaires à une intervention opportune concernant des pays en
crise ou présentant un risque de crise, mais qui ne relèvent pas à proprement parler du ministère de la Défense nationale et qui n'entrent pas dans le programme classique d'aide publique au développement du Canada. Parmi les exemples d'activités de ce genre, mentionnons l'appui aux opérations de paix et aux processus de paix, le soutien à la réforme du système judiciaire
et de sécurité, la promotion de la réconciliation et l'amélioration de la justice transitoire ainsi que des capacités de la police et de l'armée d'imposer la paix en Afrique et dans les Amériques. Les principaux bénéficiaires du financement sont l'Afghanistan, le Soudan et Haïti. Le FPSM est un programme à la fois directif et réactif qui a été mis sur pied afin d'assurer une aide internationale rapide, ciblée, efficace et responsable, et ce, en réponse aux défis importants en matière de paix et de sécurité. Le MAECI collabore avec plusieurs ministères, notamment la GRC, le MDN, le SCC, l'ASFC et Justice Canada. Parmi les autres formes d'aide, ces partenariats contribuent une expertise essentielle aux composantes civiles des opérations de paix des Nations Unies dans les domaines de la réforme du système judiciaire et de sécurité. En 2007-2008, le FPSM a conclu des ententes avec plusieurs partenaires fédéraux chargés de la mise en œuvre. Ces derniers ont contribué un montant de 82,4 millions de dollars, s'ajoutant à la contribution de 86,3 millions de dollars du MAECI pour un total de 168,7 millions de dollars (voir colonne 15 ci-dessous). De manière toute particulière, il faut noter le soutien aux opérations de soutien de la paix au Soudan par l'entremise de la Corporation commerciale canadienne et la mise en œuvre des projets de stabilisation et de reconstruction dans la province de Kandahar, en Afghanistan. |
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8) Résultats partagés :
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9) Structure de gouvernance : le FPSM est géré par le secrétariat du Groupe de travail sur la stabilisation et la reconstruction (GTSR) dans le contexte d'une approche pangouvernementale coordonnée par l'entremise du conseil consultatif du GTSR. Sous la présidence du directeur général du secrétariat du GTSR et réunissant des hauts fonctionnaires de l'ensemble de l'administration fédérale, le conseil consultatif du GTSR est responsable de l'établissement d'une politique stratégique pangouvernementale, de l'établissement des priorités et des orientations concernant les États fragiles et les urgences complexes dans le cadre des autorisations ministérielles individuelles; de plus, il doit offrir une plateforme d'échanges de renseignements sur les activités liées au programme de façon à garantir la complémentarité et à éviter le double emploi. Le secrétariat du GTSR fait partie du Secteur de la sécurité internationale du Ministère et doit rendre des comptes au MAECI, qui est responsable d'offrir des ressources financières, humaines et matérielles au GTSR. | |||||
10) Partenaires fédéraux Activité de programme des partenaires fédéraux |
11) Noms des programmes pour les partenaires fédéraux 2 |
12) Dépenses prévues pour 2007- 2008 (en millions de dollars) |
13) Dépenses réelles en 2007- 2008 (en millions de dollars) |
14) Résultats prévus pour 2007-2008 |
15) Résultats obtenus en 2007-2008 |
Affaires étrangères et Commerce international Canada (MAECI) Sécurité internationale (AAP provisoire) Diplomatie et Défense des intérêts (nouvelle AAP) |
Programme pour la paix et la sécurité mondiales, Programme des opérations mondiales de maintien de la paix, Programme Glyn-Berry pour la paix et la sécurité | 89,0 3 | 86,3 3 | Réponses pan-gouverne-mentales coordonnées, rentables et efficaces aux crises naturelles et humaines à l'étranger | 200 projets ont été financés à travers le FPSM, en soutenant la prévention des conflits, la réponse aux situations de crise et les initiatives de stabilisation et de consolidation de la paix après les conflits |
Gendarmerie royale du Canada (GRC) AP 1 : Opérations fédérales et internationales |
Arrangement sur la police civile au Canada | 11,4 4 | 5,8 | Mise en œuvre des projets de maintien de la paix de la police internationale de la GRC | Soutien à l'affectation des membres en service dans les États fragiles, notamment en Haïti et en Afghanistan |
Agence canadienne de développement international (ACDI) AP 1 : Programmes géographiques |
Opérations de soutien de la paix au Soudan | - | - | Appui à la Mission de l'Union africaine au Soudan (MUAS) | Appui à la MUAS |
Corporation commerciale canadienne (CCC) AP : s.o. |
Opérations de soutien de la paix au Soudan | 96,0 | 73,0 | Appui logistique aux opérations de soutien de la paix au Soudan (MUAS/ Mission des Nations Unies et de l'Union africaine au Darfour - MINUAD) | Appui logistique aux opérations de soutien de la paix au Soudan (MUAS/ MINUAD) |
Service correctionnel du Canada (SCC) AP 1 : Interventions correctionnelles |
Opérations en Afghanistan et stabilisation et reconstruction en Haïti | 0,5 | 1,5 | Appui à l'affectation de conseillers correctionnels à l'Equipe de reconstruction provinciale (ERP) en Afghanistan | Appui à l'affectation de conseillers correctionnels à l'ERP en Afghanistan |
Ministère de la Justice AP 1 : Politiques, lois et programmes en matière de justice |
Opérations en Afghanistan et appui à la consolidation de la paix au Soudan | 0,7 | - | Appui à la mise en œuvre des projets du FPSM et des activités du GTSR | Appui à la mise en œuvre des projets du FPSM et des activités du GTSR |
Appui à la mise en œuvre des projets du FPSM et des activités du GTSR AP 1 : Sécurité |
Opérations en Afghanistan (frontière pakistano-afghane); soutien du Canada au processus de paix au Moyen-Orient; et stabilisation et reconstruction en Haïti | 0,7 | - | Prestation d'assistance technique | Prestation d'assistance technique |
Ministère de la Défense nationale (MDN) AP 1 : Contribuer aux efforts du Canada et de la communauté internationale |
Opérations en Afghanistan | 6,4 | 2,1 | Appui à la mise en œuvre de projets dans la province de Kandahar | Appui à la mise en œuvre de projets dans la province de Kandahar |
Totaux 5 | 204,7 3 | 168,7 3 | |||
16) Commentaires sur les écarts : le FPSM évolue dans des États fragiles ou des pays en crise; ce sont des environnements difficiles qui expliquent l'écart important entre les dépenses prévues et réelles. Par exemple, les activités de programme du FPSM destinées à soutenir le processus de paix au Moyen-Orient ont dû être annulées en raison de préoccupations relatives à la sécurité sur le terrain. De plus, le niveau des dépenses du FPSM par l'entremise des partenaires fédéraux varie en réponse aux besoins exprimés par les pays partenaires et les organismes multilatéraux. À ce titre, les niveaux de dépenses prévus constituent des estimations théoriques. | |||||
17) Résultats que doivent atteindre les partenaires non fédéraux (s'il y a lieu) : le FPSM travaille avec une vaste gamme de partenaires responsables de la mise en œuvre, notamment des organisations internationales et régionales, par exemple les Nations Unies et ses organes de même que des organisations non gouvernementales, des établissements universitaires, des gouvernements étrangers et d'autres entités juridiques. | |||||
18) Personne-ressource : M. Robert Derouin, directeur général, secrétariat du GTSR, Affaires étrangères et Commerce international Canada, tél. : 613 665 6689, téléc. : 613-944-5911, courriel : robert.derouin@international.gc.ca |
1. Cette activité de programme est liée à l'AAP provisoire du MAECI qui a été utilisée pour le RPP de 2007-2008. Dans le cadre de la présente AAP, approuvée par le Conseil du Trésor le 7 juin 2007, l'activité de programme pour ce tableau s'intitule Diplomatie et Défense des intérêts.
2. Les noms des programmes ont trait à l'appui aux activités du FPSM et ne rendent pas compte nécessairement du nom du programme du ministère en question. Il arrive souvent que les ministères qui collaborent avec le FPSM ne possèdent pas un nom de programme officiel pour cette activité.
3. Les subventions sont incluses.
4. Cela ne comprend pas les fonds transférés aux niveaux de référence. Il s'agit uniquement des fonds pour couvrir les coûts marginaux de la GRC concernant l'affectation de policiers à l'appui des opérations internationales de maintien de la paix.
5. L'affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) pour les partenaires fédéraux n'est pas disponible.
1) Nom de l'initiative horizontale : Initiative de représentation accrue (IRA) | |||||
2) Nom du ministère responsable : Affaires étrangères et Commerce international Canada | 3) Activités de programme du ministère responsable : Relations bilatérales et Développement du commerce international 1 | ||||
4) Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 17 septembre 2003 | 5) Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2008 2 | ||||
6) Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture) : 118,2 millions de dollars | |||||
7) Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) : l'IRA a fonctionné sous forme de partenariat composé de sept ministères et organismes fédéraux. L'IRA a fourni une approche et des orientation coordonnées et intégrées pour gérer et promouvoir les intérêts du Canada aux États-Unis dans les domaines de la défense des intérêts, du commerce, du développement des affaires, de la science et de la technologie, et de l'investissement. Cette initiative a été menée par les partenaires de l'IRA dans un esprit de collaboration et en consultation avec d'autres ministères fédéraux, les provinces et les territoires, ainsi qu'avec d'autres intervenants. Les partenaires de l'IRA ont supervisé un réseau de 43 points de contact aux États-Unis, incluant des consulats généraux, des consulats, des bureaux commerciaux et des consuls honoraires. | |||||
8) Résultats partagés : les résultats reflètent l'ensemble des efforts du gouvernement du Canada en ce qui a trait à la défense et à la promotion des intérêts et au développement des affaires aux États-Unis, et ce, en tenant compte du contexte économique mondial. Des résultats précis ont été définis dans le Cadre de gestion et de responsabilisation axé
sur les résultats de l'IRA. Résultats à court terme :
Résultats à moyen terme :
Résultats à long terme :
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9) Structure de gouvernance : le partenariat de l'IRA a été géré par une structure de gouvernance officielle, formée d'un comité directeur des sous-ministres, d'un comité des politiques des sous-ministres adjoints, d'un comité des opérations des directeurs généraux et de trois comités permanents (défense et promotion des intérêts du Canada et développement des affaires; communications; ressources humaines) constitués de fonctionnaires de l'échelon de directeurs. Les affaires courantes ont été gérées par le secrétariat de l'Initiative - qui relevait du partenariat selon la structure de gouvernance - et qui était responsable de la planification, la mise en œuvre et l'évaluation du plan d'action annuel de l'IRA. D'un point de vue administratif, le secrétariat de l'Initiative était responsable devant son ministère d'accueil, Affaires étrangères et Commerce international Canada, qui lui a fourni des ressources financières, humaines et matérielles. | |||||
10) Partenaires fédéraux
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11) Composantes de programme de l'Initiative de représentation accrue |
12) Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) (en millions de dollars) |
13) Dépenses prévues pour 2007- 2008 (en millions de dollars) |
14) Dépenses réelles pour 2007- 2008 (en millions de dollars) |
15) Résultats prévus pour 2007-2008 |
16) Résultats obtenus en 2007-2008 |
(a) Représentation | 78,1 | 22,4 | 22,0 | Terminer la dotation en personnel et la mise au point de l'infrastructure | La dotation en personnel est terminée, sauf pour 3 des 20 postes de consuls honoraires. La dotation des postes vacants est réalisée par l'entremise du Partenariat. |
(b) Défense et promotion des intérêts et Développement des affaires | 26,7 | 10,4 | 9,6 | Développement d'une approche pan- gouvernementale |
A mené des activités ciblant l'amélioration des relations Canada-États-Unis et a augmenté les occasions d'affaires pour les entreprises canadiennes visant le marché américain. A utilisé 92,3 % des fonds alloués. |
(c) Programmes ministériels/ gouvernance | 6,3 | 1,4 | 1,3 | Améliorer la gouvernance par la mise en œuvre des recommandations de l'évaluation formative | A mis en œuvre des recommandations de l'évaluation formative qui ont été acceptées; a appuyé l'évaluation sommative de l'IRA, et a dirigé la création d'un partenariat pour le nouveau Programme de la plateforme nord-américaine (PPNA), lequel doit succéder à l'IRA. |
(d) Réserves / Non affectés | 7,1 | 1,5 | 2,8 | ||
Totaux : | 118,2 | 35,7 | 35,7 | ||
17) Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux (s'il y a lieu) : s. o. | |||||
18) Personne-ressource : M. Wolf Nowak, gestionnaire, Planification et analyse stratégiques, Programme de la plateforme nord-américaine (PPNA), tél. : 613-944-2715, téléc. : 613-996-0650, courriel : wolf.nowak@international.gc.ca |
1. Ces activités de programme sont liées à l'AAP provisoire du MAECI qui a été utilisée pour le RPP de 2007-2008.
2. Depuis le 1er avril 2008, le nouveau programme s'intitule le Programme de la plateforme nord-américaine.
Nom de l'initiative horizontale : Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes, anciennement appelée Initiative nationale de lutte contre le blanchiment d'argent (INLBA) | |
Nom du ministère responsable : Ministère des Finances Canada |
Activité de programme responsable : Politique du secteur financier |
Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : Juin 2000 |
Date de clôture de l'initiative horizontale : 2009-2010 |
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) : 433 700 $ (Milliers de $) | |
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) : L'Initiative nationale de lutte contre le blanchiment d'argent (INLBA) a été lancée officiellement en l'an 2000 dans le cadre des mesures systématiques qui sont prises par le gouvernement pour lutter contre le blanchiment d'argent au Canada. Une loi adoptée cette année là , la Loi sur le recyclage des produits de la criminalité (LRPC), mettait en place un système de déclaration obligatoire des opérations douteuses, des mouvements transfrontaliers d'espèces de grande valeur et de certaines opérations interdites. La LRPC établissait également le Centre d'analyse des opérations et déclarations financières du Canada (CANAFE), chargé de recueillir et d'analyser des rapports sur ces opérations financières et de communiquer l'information pertinente aux organismes d'exécution de la loi et de renseignement. En décembre 2001, la LRPC a été modifiée pour inclure des mesures visant à lutter contre le financement des activités terroristes et un nouveau titre lui a été donné, Loi sur le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes (LRPCFAT). L'INLBA, dont la portée a été élargie, est maintenant connue sous le nom de Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes (RCLRPC/FAT). En décembre 2006, le projet de loi C-25 a modifié la LRPCFAT afin que la législation canadienne demeure conforme aux normes internationales en matière de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes énoncées par le Groupe d'action financière (GAFI) sur le blanchiment des capitaux et qu'elle s'applique à des secteurs présentant des risques au Canada. Au nombre des modifications, on compte un renforcement des exigences concernant l'identification des clients, la création d'un régime d'enregistrement pour les entreprises de transfert de fonds et l'instauration d'un régime de sanctions administratives et pécuniaires pour traiter les infractions de moindre importance à la LRPCFAT. |
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Résultats partagés : Détecter et décourager le blanchiment d'argent et le financement d'activités terroristes et faciliter les enquêtes et les poursuites pour blanchiment d'argent et financement d'activités terroristes | |
Structures de gouvernance : Le RCLRPC/FAT est une initiative horizontale à laquelle participent des partenaires financés et non financés par l'État. Le ministère des Finances Canada, le ministère de la Justice Canada, le Service des poursuites pénales du Canada (SPPC), le CANAFE, l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) – Immigration et Douanes, l'Agence du revenu du Canada (ARC), ainsi que la Gendarmerie royale du Canada (GRC) sont les partenaires financés par l'État. Sécurité publique Canada (SPC), le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) et le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) sont les partenaires non financés par l'État. Un groupe de travail interministériel des sous-ministres adjoints (SMA), au sein duquel sont représentés tous les partenaires et qui est dirigé par le ministère des Finances Canada, dirige et coordonne les mesures gouvernementales de lutte contre le blanchiment d'argent et le financement d'activités terroristes. De plus, un comité consultatif composé de représentants du secteur public et du secteur privé a été mis sur pied et chargé de faciliter l'apport des participants du secteur privé au RCLRPC/FAT. |
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en oeuvre à la clôture) | Dépenses prévues 2007-2008 | Dépenses réelles 2007-2008 | Résultats prévus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 | ||
Ministère des Finances Canada | Politique du secteur financier | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 3 000 $ | 300 $ |
296 $
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1. Consultation auprès des parties prenantes des secteurs public et privé pour préciser les projets de règlement. | 1. Les consultations avec les secteurs public et privé se poursuivent. Un comité consultatif composé de représentants des secteurs public et privé a été mis sur pied et chargé de faciliter les discussions entre les membres des secteur public et privé qui font partie du Régime. | ||
2. Publication de règlements conformément à la nouvelle LRPCFAT | 2. Trois règlements découlant du projet de loi C-25 ont été publiés en version finale en 2007-2008. Ces règlements renforcent le devoir de diligence relatif à la clientèle, la tenue de dossiers et les exigences en matière de rapport que doivent respecter les institutions financières et les intermédiaires; créent un nouveau régime d'inscription pour les entreprises de transfert de fonds ou de vente de titres négociables; étendent les exigences de déclaration à trois autres secteurs d'activité; et créent un régime de sanctions administratives et pécuniaires. | ||||||||
3. Achèvement de l'évaluation mutuelle du GAFI au sujet du RCLRPC/FAT | 3. Le GAFI a achevé son évaluation du régime canadien et en a publié les conclusions en février 2008. | ||||||||
4. Surveillance efficace du RCLRPC/FAT | 4. Le Ministère des Finances Canada continue de diriger le régime et d'offrir des moyens de s'attaquer aux enjeux stratégiques et opérationnels pour faire en sorte que le Canada dispose d'un régime efficace de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes. | ||||||||
5. Soutien de la présidence du GAFI par le Canada en 2006-2007 | 5. Le mandat d'un an du Canada à la présidence du GAFI s'est terminé le 30 juin 2007. Sous la présidence canadienne, qui s'est révélée efficace, des évaluations ont été menées au sujet de six pays. Le nombre de membres du GAFI s'est accru et les communications avec le secteur privé se sont renforcées. | ||||||||
Ministère de la Justice Canada (JUS) | L'Initiative nationale de la lutte contre le blanchiment d'argent | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 9 300 $ | 100 $ | 100 $ | La Section du droit pénal du ministère de la Justice Canada joue un rôle primordial à l'égard du régime. Il est prévu qu'en 2007-2008, les ressources de la Section seront consacrées à l'exécution de travaux relatifs au GAFI, y compris la participation à ses réunions internationales, dont le nombre s'élèvera à cinq au cours de la période en question. Cette participation revêt une importance toute particulière en 2007 car le RCLRPC/FAT est évalué cette année à la lumière des 40 plus 9 recommandations du GAFI; l'apport de la Section se révèle donc essentielle pour qu'aient lieu les débats qui s'imposent sur le rapport d'évaluation du Canada. De plus, la Section du droit pénal constituera l'autorité compétente pour répondre à toutes les questions juridiques qui découleront de l'évaluation. Des ressources seront également prévues afin que la Section continue de contribuer à l'élaboration des politiques relatives au blanchiment d'argent et au financement des activités terroristes. Finalement, la Section des droits de la personne recevra les crédits nécessaires pour s'occuper des questions constitutionnelles connexes qui pourraient être soulevées durant les poursuites. | Le RCLRPC/FAT a été évalué par le GAFI et un juriste de la Section du droit pénal a participé pleinement à toutes les réunions au Canada au sujet du rapport d'évaluation, en plus d'assister à deux réunions du GAFI et à une réunion intersession avec les évaluateurs. Un juriste de la Section du droit pénal a aussi assisté à une séance plénière du Groupe d'action financière des Caraïbes (GAFIC) et a travaillé avec le ministère des Finances Canada lors de réunions préparatoires et plénières. Un juriste de la Section du droit pénal a également fait partie, à titre d'expert juridique du GAFI, de l'équipe qui a évalué le régime japonais de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes. De plus, la Section du droit pénal constituait l'autorité compétente pour répondre à toutes les questions juridiques découlant de l'évaluation. Des ressources ont également été prévues afin que la Section continue de contribuer à l'élaboration des politiques relatives au blanchiment d'argent et au financement des activités terroristes. Finalement, la Section des droits s'est occupée des questions constitutionnelles connexes qui ont pu être soulevées durant les poursuites. | ||
Service des poursuites pénales du Canada (SPPC) | Aborder des questions pénales afin de créer un monde plus sécuritaire pour le Canada | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 6 900 $ | 2 300 $ | 2 000 $ | Le SPPC joue un rôle primordial à l'égard du régime. Pour l'exercice 2007-2008, on s'attend à ce que l'information communiquée aux organismes d'exécution de la loi par le CANAFE suscite une augmentation des conseils juridiques en matière de poursuites qui sont fournis à ces organismes. De plus, davantage d'accusations seront portées pour le blanchiment d'argent et le financement d'activités terroristes, ce qui entraînera une augmentation de la charge de travail des procureurs. Le SPPC doit aussi assumer des responsabilités relatives à la LRPCFAT. Les travaux prévus comprennent des requêtes en ordonnances de communication, une augmentation des saisies aux frontières et des confiscations liées aux produits présumés de la criminalité et des poursuites judiciaires relatives aux nouvelles infractions prévues dans la LRPCFAT. En outre, des crédits seront affectés à la formation des procureurs et du personnel chargé de l'exécution de la loi, ainsi qu'à l'élaboration et à la coordination de politiques concernant le blanchiment d'argent et le financement d'activités terroristes. Finalement, des ressources du SPPC seront consacrées à l'exécution de travaux relatifs au GAFI, y compris la participation à ses réunions internationales. | En 2007-2008, le SPPC a ouvert 51 dossiers comportant, entre autres, des accusations de blanchiment d'argent ou des poursuites en vertu de la LRPCFAT. Ces 51 dossiers représentaient 6 accusations de blanchiment d'argent et 62 accusations en vertu de la LRPCFAT, soit au total 68 accusations. De plus, les avocats de la Couronne se sont occupés de 83 dossiers reportés qui comprenaient notamment une accusation de recyclage des produits de la criminalité ou une accusation en vertu de la LRPCFAT. Ces dossiers représentent 16 accusations en vertu de la LRPCFAT et 285 accusations de blanchiment d'argent, soit 301 accusations au total. Pendant la même période, les juristes du SPPC ont également obtenu 11 ordonnances de communication en vertu de l'article 60 de la LRPCFAT. | ||
CANAFE | Collecte, analyse et diffusion de renseignements financiers | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 269 085 $ | 38 595 $ | 35 800 $ |
L'analyse des renseignements financiers effectuée au moyen de la technologie et la divulgation de cas sont largement utilisées par les organismes de renseignements et d'exécution de la loi; un programme favorise la conformité des entités déclarantes. Mise en oeuvre des modifications contenues dans le projet de loi C-25 |
Le CANAFE a continué de communiquer des renseignements financiers aux organismes d'exécution de la loi et aux organismes nationaux de sécurité. Les cas de plus en plus complexes qui ont été divulgués révélaient de nouveaux suspects et de nouvelles transactions financières, et ont suscité de nouvelles enquêtes ou ont contribué de façon importante à des enquêtes ou
poursuites en cours. Le CANAFE a également continué d'élargir ses activités de conformité et de sensibilisation, en organisant plus de 370 exposés, réunions et colloques avec des entités déclarantes et des associations. Au moyen d'une macroanalyse de ses divulgations de cas et des rapports de transactions connexes, le CANAFE a continué d'approfondir sa compréhension des cas présumés de blanchiment d'argent et de financement d'activités terroristes. En divulguant de l'information stratégique, le CANAFE a appuyé le travail des décideurs, des partenaires nationaux des domaines de l'exécution de la loi et de la sécurité nationale, de la collectivité financière et des partenaires internationaux. Le CANAFE a également entrepris de mettre en oeuvre et d'intégrer à ses activités les changements découlant du projet de loi C-25. Entre autres mesures, citons la création d'un régime d'enregistrement pour les entreprises de transfert de fonds et l'instauration d'un régime de sanctions administratives et pécuniaires comme outil secondaire pour amener les contrevenants à se conformer. |
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Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) | Sécurité | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 55 952 $ | 7 525 $ | 7 500 $ | L'ASFC est responsable de l'administration de la Partie 2 de la LRPCFAT, « Déclaration des espèces et effets ». Le programme « Déclaration des mouvements transfrontaliers des espèces » (DMTE) exige que les voyageurs déclarent l'importation et l'exportation d'espèces et d'effets dont la valeur égale ou excède 10 000 $CAN. La Partie 2 de la Loi prévoit la mise en application des dispositions du DMTE relatives à l'exécution de la loi, ce qui comprend des fouilles, l'interrogation d'individus et la saisie d'espèces non déclarées ou faussement déclarées, ainsi que de produits présumés d'activités criminelles. |
Depuis janvier 2003, l'ASFC assume de nouvelles responsabilités en matière d'administration et d'exécution de la Partie 2 de LRPCFAT. En vertu de cette loi, toutes les espèces et tous les instruments monétaires importés ou exportés dont la valeur est égale ou supérieure à 10 000 $CAN doivent être signalés à l'ASFC. Au cours de l'exercice 2007-2008, l'ASFC a participé Ã
plus de 2 000 saisies en vertu de la Loi, dont la valeur représentait plus de 39 millions de dollars. De ce montant, environ 6 millions ont été confisqués au profit de l'État.
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Agence du revenu du Canada (ARC) | Programme spécial d'exécution | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 11 000 $ | 2 200 $ | 2 228 $ | Le nombre prévu de vérifications s'élève à 105, et le montant d'impôt fédéral recouvré devrait atteindre 8 956 905 $. | Le nombre total de vérifications s'élève à 99, et le montant d'impôt fédéral recouvré à 11 304 163 $. | ||
GRC (unités de lutte contre le blanchiment d'argent) | Unités de lutte contre le blanchiment d'argent | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 57 103 $ | 7 117 $ | 6 704 $ |
Accroître, aux échelles nationale et internationale, les occasions de déceler les activités de blanchiment d'argent et de mener des enquêtes à leur sujet. Intensifier les communications du CANAFE et la collecte de renseignements en général, de sorte que les ressources des unités mixtes de contrôle des produits de la criminalité ou d'autres unités au sein de la GRC soient consacrées aux enquêtes en vue de multiplier les saisies. Augmenter les ressources dans les trois principaux centres urbains du Canada (Vancouver, Toronto et Montréal) afin d'y renforcer la capacité d'enquêter sur des pistes relatives au RCLRPC/FAT. |
Les unités de lutte contre le blanchiment d'argent continuent d'étudier les diverses occasions que les criminels ont de blanchir l'argent qu'ils ont obtenu illégalement, tant au Canada qu'à l'étranger. Elles produisent notamment un rapport sur les casinos au Canada, la monnaie électronique, les guichets automatiques privés et les cartes de crédit prépayées. Ces unités reçoivent aussi des renseignements de différentes autres sources, notamment l'information communiquée par le CANAFE et les déclarations des mouvements transfrontaliers d'espèces de l'ASFC. Les unités communiquent cette information aux UMPC, qui s'en servent dans le cadre d'enquêtes en cours, pour amorcer de nouvelles enquêtes ou qui la conservent pour le cas où elle serait utile à l'avenir. En 2007–08, les UMPC ont saisi plus de 400 biens dont la valeur était estimée à 15 070 923 $. Les niveaux des ressources ont augmenté à Vancouver, à Montréal et à Toronto. Les unités de lutte contre le blanchiment d'argent comptent maintenant 10 enquêteurs |
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GRC (Équipe de lutte contre le financement des activités terroristes —ELFAT) | Unités de lutte contre le financement des activités terroristes | Régime canadien de lutte contre le recyclage des produits de la criminalité et le financement des activités terroristes | 21 360 $ | 5 340 $ | 3 258 $ | L'ELFAT s'efforcera d'utiliser les renseignements financiers qu'elle recueille et analyse pour des enquêtes proactives, renforçant ainsi la capacité de la GRC de déceler et de prévenir le financement des activités terroristes. |
L'ELFAT continue d'appuyer 7 enquêtes de type « projet majeur » sur le financement d'activités terroristes au Canada et 15 autres enquêtes, en plus de répondre aux demandes d'assistance d'autres organismes. L'ELFAT continue d'offrir de la formation à la GRC et à des organismes partenaires. La GRC et l'ARC ont animé conjointement 4 colloques au sujet de l'application de la Loi sur l'enregistrement des organismes de bienfaisance (renseignements de sécurité) à des unités sur le terrain d'Ottawa, de Halifax, de Montréal et de Toronto. La GRC, le SCRS et l'ARC ont mis sur pied un groupe de travail chargé de repérer les organismes de bienfaisance qui ont des liens avec le financement d'activités terroristes et ont recours au « processus de certification » en vertu de la Loi sur l'enregistrement des organismes de bienfaisance (renseignements de sécurité). La GRC a participé à la rédaction de la réponse à l'évaluation du régime canadien que le GAFI a publiée en février 2008. La GRC continuera d'aider les groupes de travail du GAFI sur la typologie qui s'intéressent au financement et à la prolifération des activités terroristes. Des représentants de l'ELFAT ont assisté à la plénière du GAFIC qui s'est tenue en Haïti en mai 2008. |
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Total 433 700 $ | Total 63 477 $ | Total 57 886 $ | |||||||
Commentaires sur les écarts GRC – Équipe de lutte contre le financement des activités terroristes : La différence entre les dépenses prévues et les différences réelles s'explique par le fait que six postes réguliers ne sont pas encore dotés. Les unités sur le terrain disposent de tous les effectifs prévus et n'affichent aucune dépense exceptionnelle. Les postes vacants devraient être dotés en septembre ou en octobre 2008. |
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Résultats que doivent atteindre les partenaires non fédéraux (s'il y a lieu) : Sans objet | |||||||||
18. Personne-ressource : Lynn Hemmings, chef Téléphone : 613 992 0553 |
19. Approuvé par : Jeremy Rudin, sous ministre adjoint p.i. Téléphone : 613 992 5885 |
20. Date d'approbation : Juillet 2008 |
[1]. En plus des paiements de transfert énumérés ici, des paiements au titre de la réduction des temps d’attente (Partie V.1, Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces) ont été versés à une fiducie administrée par des tiers au nom des provinces et des territoires en 2004, pour la période de 2004-2005 à 2008-2009. Ils n’ont donc été imputés à aucun crédit en 2007-2008. Un transfert annuel visant la réduction des temps d’attente sera versé en espèces aux provinces et aux territoires à compter de 2009-2010 jusqu’en 2013–2014 et il sera signalé dans le Rapport ministériel sur le rendement à partir de 2009-2010.
[2]. Le « développement durable » s’entend du développement qui permet de répondre aux besoins de la génération actuelle sans compromettre la capacité de satisfaire les besoins des générations futures. Il s’agit d’un engagement clé de tous les ministères fédéraux.
1. Nom de l'initiative horizontale: Plan d'action pour les langues officielles | |
2. Ministère responsable: Ministère du Patrimoine canadien | 3. Activité de programme du ministère responsable : Services ministériels |
4. Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : Le 1er avril 2003 | 5. Date de clôture de l'initiative horizontale : Le 31 mars 2008 |
6. Total des fonds fédéraux alloués : 787,3 $millions de dollars. (En avril 2005, une attribution triennale (2005–2008) de 36 M $ a été ajoutée au montant initial de 751,3 M $ prévu pour le Fonds d'habilitation, programme administré par Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC)). | |
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'entente de financement) : Le Plan d'action est un énoncé de politique du gouvernement du Canada qui renforce la mise en œuvre des obligations qui découlent de
la Loi sur les langues officielles (LLO). Il comprend diverses initiatives visant à renforcer et à promouvoir la dualité linguistique dans la société canadienne. Dix institutions fédérales ont reçu des fonds pour des activités et des programmes
sectoriels liés aux langues officielles. Une autre composante principale du Plan d'action est la mise en œuvre d'un plan de responsabilisation et la mise en place d'une coordination globale de l'approche pangouvernementale des langues officielles. La mise en œuvre du Plan d'action est une composante du grand Programme des langues officielles, tel qu'il a été défini et approuvé par le Comité des sous-ministres responsables des langues officielles (CSMLO) en décembre 2004. |
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8. Résultats partagés: On a déterminé trois niveaux de résultats pour le Programme des langues officielles Résultat ultime Les Canadiens profitent de la dualité; ils vivent et travaillent dans des collectivités qui reflètent les valeurs canadiennes par rapport à l'utilisation de l'anglais et du français et ils ont accès aux services gouvernementaux dans la langue de leur choix. Résultats intermédiaires
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9. Structure de gouvernance : La Ministre responsable des langues officielles a la responsabilité particulière de mettre en œuvre le Plan d'action pour les langues officielles. Le 6 février 2006, la Direction des langues officielles (DLO) des Affaires intergouvernementales (AIG) au Bureau du Conseil privé fut transférée au ministère du Patrimoine canadien et il est devenu le Secrétariat des langues officielles (SLO). Le SLO continuera d'appuyer la Ministre responsable des langues officielles dans la coordination horizontale du Programme des langues officielles, y compris la mise en œuvre du Plan d'action. Le SLO appuiera également la gouvernance du Programme des langues officielles par le biais de divers mécanismes et comités. |
Liste des partenaires fédéraux
Des sous-tableaux sont inclus pour chacun des partenaires fédéraux:
A. | |||
10. Partenaires fédéraux | Patrimoine canadien | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP 8: Services ministériels | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | a. Cadre d'imputabilité et de coordination (Programme relevant auparavant du Bureau du Conseil privé) | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 13,5 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 2,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 1 715 768 $ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Meilleure communication horizontale entre les institutions fédérales. Échanges intensifiés et communication améliorée entre les institutions fédérales et les communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM). Échanges intensifiés et meilleure coopération entre le gouvernement fédéral et les provinces et territoires. Meilleure connaissance scientifique et empirique de la dualité linguistique au Canada. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Le Secrétariat des langues officielles (SLO) a organisé des rencontres régulières pour les trois comités interministériels de politique, d'évaluation et de recherche et a veillé au bon fonctionnement de la communication
horizontale entre les institutions fédérales. Des consultations publiques sur la dualité linguistique et les langues officielles ont eu lieu dans sept villes au Canada en décembre 2007 et en janvier 2008 sous la direction de M. Bernard Lord. Le SLO a appuyé l'organisation de rencontres multilatérales, notamment la Conférence ministérielle sur la francophonie canadienne en 2007. Le SLO a aussi joué un rôle de facilitateur et a entretenu un dialogue continu avec les provinces et les territoires. Le SLO a organisé un symposium visant à clarifier les enjeux de la recherche en langues officielles. Ce symposium a eu lieu en janvier 2008 à Ottawa et a réuni 165 intervenants des milieux universitaires, communautaires et gouvernementaux. Un document a été publié à la suite de cette rencontre. En décembre 2007, Statistique Canada a publié un premier rapport sur l'Enquête sur la vitalité des minorités de langue officielle (EVMLO). Cette enquête a été financée par plusieurs ministères et par le Commissariat aux langues officielles (COLO) et mènera à la publication de nouveaux rapports fondés sur les données recueillies au cours de l'Enquête. |
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10. Partenaires fédéraux | Patrimoine canadien | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP 6 : Développement des communautés et renforcement des capacités AP 5 : Promotion de la compréhension interculturelle |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | b. Éducation - langue minoritaire et langue seconde | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 346,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 86,4 M$ (ce montant n'inclut pas le fonds de fonctionnement) | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 94 716 587 $ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Mise en œuvre par les provinces et les territoires des accords et des plans d'action. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Les ententes pluriannuelles en éducation conclues avec le Conseil des ministres de l'Éducation (CMEC) et les provinces et territoires ont été mises en œuvre en 2007–2008. Sur le plan de l'éducation dans la langue de la minorité, on note que les investissements réalisés à ce jour par le biais du Plan d'action se concentrent principalement dans quatre domaines :
En enseignement de langue seconde, les activités financées à ce jour par le Plan d'action couvrent trois domaines principaux :
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10. Partenaires fédéraux | Patrimoine canadien | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP 6 : Développement des communautés et renforcement des capacités AP 5 : Promotion de la compréhension interculturelle |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | c. Programme de bourses | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 24,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 7,2 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 7,2 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Poursuivre la mise en œuvre et la promotion des nouveaux programmes Destination Clic et Explore. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Poursuite de la mise en œuvre et de la promotion des programmes Explore et Destination Clic, qui visent à fournir des bourses afin de contribuer à l'apprentissage et au perfectionnement de la langue des étudiants canadiens. Durant les quatre premières années de mise en œuvre du Plan d'action, le gouvernement fédéral a augmenté le nombre de participants au programme de bourses de 23 p. 100 et la valeur de chaque bourse de 9 p. 100. |
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10. Partenaires fédéraux | Patrimoine canadien | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP 6 : Développement des communautés et renforcement des capacités AP 5 : Promotion de la compréhension interculturelle |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | d. Programme des moniteurs de langues officielles | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 11,5 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 3,6 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 3,6 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Poursuivre la mise en œuvre et la promotion des nouveaux programmes Accent et Odyssée. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Poursuite de la mise en œuvre et de la promotion des programmes Accent et Odyssée. L'objectif de ces programmes est de fournir aux établissements d'enseignement des moniteurs de langues (à temps plein et à temps partiel) dont le rôle est d'aider les enseignants à contribuer à l'apprentissage et à l'acquisition linguistique des élèves canadiens et de permettre aux moniteurs de langues de pratiquer leur langue seconde ou leur langue maternelle et d'apprécier davantage la diversité culturelle du Canada. | ||
10. Partenaires fédéraux | Patrimoine canadien | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | PA 6: Community development and capacity building | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | e. Appui aux communautés minoritaires | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 19,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 4,05 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 4 057 025 $ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Investissement dans des secteurs prioritaires pour les communautés, p. ex. : culture, communication et promotion de l'animation communautaire. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Le ministère du Patrimoine canadien a ciblé l'animation et la diffusion culturelle et les stations de radio communautaires. Des fonds ont été alloués à des organismes communautaires afin de les aider à offrir une gamme d'activités qui contribuent à une utilisation accrue de la langue officielle dans la vie quotidienne des Canadiens vivant au sein des communautés de langue officielle en situation minoritaire. L'utilisation régulière de la langue est un moyen de la préserver. | ||
10. Partenaires fédéraux | Patrimoine canadien | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP 6 : Développement des communautés et renforcement des capacités | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | f. Coopération intergouvernementale | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 14,5 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 4,05 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 4 164 582 $ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Favoriser le développement de services provinciaux et territoriaux dans des secteurs prioritaires. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Les provinces et les territoires jouent un rôle de premier plan dans le développement et l'épanouissement des communautés de langue officielle en situation minoritaire. Grâce au Plan d'action, le Ministère a rehaussé l'appui aux provinces et aux territoires en vue de la collaboration intergouvernementale en matière de services dans la langue de la minorité. Les investissements ont permis de contribuer à l'élaboration et la mise en œuvre de mesures concrètes afin d'augmenter le niveau de services offerts dans des domaines de compétence provinciale autres que l'éducation jugés prioritaires pour les communautés en situation minoritaire. | ||
10. Partenaires fédéraux | Patrimoine canadien | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP 5 : Promotion de la compréhension interculturelle AP 6 : Développement des communautés et renforcement des capacités |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | g. Recherche et administration | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 0,0 $ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 9,7 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 9,7 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Administration des programmes et initiatives spéciales de recherche. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Les fonds ont été alloués à l'administration des programmes et des initiatives spéciales de recherche. Ces initiatives contribuent à l'orientation des politiques et des programmes. Par exemple, au cours des années du Plan d'action, des fonds ont permis de contribuer à l'EVMLO ainsi qu'à une recherche sur les facteurs de vitalité des communautés de langue officielle en situation minoritaire dans le Nord. | ||
B. | |||
10. Partenaires fédéraux | Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada (AGRHFPC) (relevant auparavant du Secrétariat du Conseil du Trésor) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | S.O. | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | a. Investir dans l'innovation | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 14,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 0,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | S.O. | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | S.O. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | S.O. | ||
10. Partenaires fédéraux | Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada (AGRHFPC) (relevant auparavant du Secrétariat du Conseil du Trésor) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP 1 : Programme d'orientation stratégique, de partenariats et d'intégration AP 3: Programme d'intégrité et de durabilité |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | b. Centre d'excellence | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 12,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 3,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 3,0 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Continuer à améliorer la responsabilisation au chapitre des langues officielles, et le service aux Canadiens et aux Canadiennes, ainsi que favoriser progressivement l'émergence d'une vision commune et consolidée de la
notion de milieu de travail bilingue. Poursuivre la campagne d'information visant à favoriser une vision commune et consolidée de la notion de milieu de travail bilingue. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | AP 1 : Programme d'orientation stratégique, de partenariats et d'intégration –SA1, SSA4 : Politique sur les langues officielles L'Agence a : – veillé à ce que les instruments de politique en matière de langues officielles soient à jour, tiennent compte des réalités d'aujourd'hui et permettent une application relativement uniforme au sein du gouvernement des dispositions de la LLO relatives au service au public, à la langue de travail, à la participation équitable des deux collectivités, à l'égalité de leurs chances d'emploi et d'avancement dans ces institutions ainsi qu'à l'établissement des exigences linguistiques et à l'accessibilité à la formation linguistique; – lancé une campagne d'information en collaboration avec huit ministères, agences et sociétés d'État. Cette campagne a pour objectif de mieux ancrer les langues officielles dans les valeurs fondamentales de la société canadienne (respect, équité et inclusion) ; d'informer les employés de leurs droits et de leurs obligations; d'informer les employés des responsabilités du gouvernement du Canada à l'égard des communautés de langue officielle en situation minoritaire, et de promouvoir la dualité linguistique. Cette campagne vise à ouvrir la voie à un changement de culture et à exercer une influence positive sur les attitudes et les comportements des employés; – fourni aux institutions fédérales un service d'interprétation des instruments de politiques en matière de langues officielles; – offert aux institutions un service d'appui, d'avis et de conseils afin de les aider à appliquer les dispositions des instruments de politique; – conçu et diffusé l'outil Déterminer le profil linguistiquedes postes bilingues à l'intention des gestionnaires; – donné des séances d'information et des ateliers pour permettre aux personnes responsables des langues officielles dans les institutions fédérales de mieux comprendre les exigences de la Loi et des instruments de politique. AP 1: Programme d'orientation stratégique, de partenariats et d'intégration – SA3 (Partenariats et alignements) SSA 1 (Champions, réseaux et communautés d'intérêt) L'Agence a : – organisé deux réunions régulières et une retraite pour chacun des deux comités consultatifs sur les langues officielles. Les travaux de ces comités permettent de veiller à ce que les personnes responsables des langues officielles dans les institutions soient plus à même d'accomplir leurs fonctions à l'égard de la Loi en leur donnant l'occasion de se mettre au courant des derniers développements, de prendre part aux diverses consultations, d'échanger de l'information, ainsi que de parfaire leurs connaissances du Programme des langues officielles; – a tenu son troisième forum annuel sur les bonnes pratiques. L'édition 2007 avait pour thème « Les langues officielles renforcées grâce aux bonnes pratiques » Quelque 300 personnes y ont participé; – organisé la conférence annuelle des champions des langues officielles, édition 2007, à Summerside, à l'ÃŽle-du-Prince-Édouard. Cet événement, ayant pour thème « les langues officielles : au cœur de nos valeurs fondamentales ». Les participants ont échangé des idées, se sont familiarisé avec la réalité de la communauté acadienne et ont échangé sur les défis en matière de langues officielles; – organisé quatre séances d'information pour les champions nouvellement nommés. Une quarantaine de champions et co–champions y ont participé; - participé, à titre de membre actif, aux six réunions du Conseil du Réseau des champions ministériels des langues officielles et aux travaux qui y sont liés. AP 3 (Programme d'intégrité et de durabilité) – SA 3 (Rapports), SSA 2 (Rapport sur les langues officielles) L'Agence a : – assuré un suivi régulier des pratiques et des contrôles de gestion concernant les langues officielles en établissant des communications régulières avec les personnes responsables des langues officielles dans les institutions; – analysé le rendement de chaque institution dans le cadre de l'exercice des bilans annuels selon une approche fondée sur le risque, puis signalé aux institutions les risques éventuels relevés ainsi que les éléments qu'elles doivent améliorer; – recueilli l'information pour la rédaction du rapport annuel sur les langues officielles (y compris la collecte des bonnes pratiques dignes de mention ou autorisant des économies d'échelles); – conçu et utilisé un nouvel outil électronique l'analyse horizontale des bilans annuels sur les langues officielles fournis par les institutions. Cet outil facilite grandement l'analyse horizontale et la rend encore plus systématique, car l'information y est examinée par rapport aux données qui figurent dans les systèmes d'information, à la connaissance générale des dossiers ainsi qu'aux renseignements obtenus dans le cadre des activités d'appui et de suivi menées par l'Agence; – évalué le rendement des institutions dans le contexte du cadre de responsabilisation de gestion (CRG); – procédé à cinq vérifications, à savoir une vérification sur l'offre active dans la région de la capitale nationale, une vérification sur la supervision à Exportation et développement Canada (EDC) et une autre vérification sur la supervision au Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), une vérification des nouvelles obligations concernant les communications avec le public et la prestation des services (Saskatchewan et Manitoba) ainsi qu'une vérification de l'offre active et du service au public dans les bureaux désignés bilingues (Saskatchewan et Manitoba). |
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C. | |||
10. Partenaires fédéraux | École de la fonction publique du Canada (EFPC) (relevant auparavant du Secrétariat du Conseil du Trésor) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | S.O. | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | c. Reconstruction des capacités | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 38,6 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 0,0 $ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | S.O. | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | S.O. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | S.O. | ||
D. | |||
10. Partenaires fédéraux | Santé Canada (SC) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Système de santé canadien | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | a. Réseautage | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 14,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 3,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 6,3 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Accès amélioré aux services de santé dans la langue de son choix. Meilleur état de santé des CLOSM. Réseautage accru entre les professionnels de la santé et les décideurs sur les questions d'accès aux soins de santé pour les CLOSM. Instauration de mécanismes d'échange d'information entre les partenaires de la santé et les membres des CLOSM. Engagement accru des partenaires de la santé pour améliorer les services de santé. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Communautés francophones à langue officielle en situation minoritaire Depuis le lancement de l'Appui aux réseaux communautaires en 2003, 17 réseaux ont été établis et sont fonctionnels dans toutes les provinces et tous les territoires où des francophones sont en situation minoritaire. Ces réseaux rassemblent des représentants de chacun des cinq principaux partenaires visant à améliorer l'accès à des services de santé en français, c.-à -d. des professionnels de la santé, des gestionnaires d'établissements de santé, des preneurs de décisions stratégiques, des établissements d'enseignement et des communautés. L'éducation et le rassemblement de ces partenaires afin d'obtenir leur appui et leur engagement réels a été l'une des principales activités des réseaux, et probablement leur plus grand succès jusqu'ici. Un grand nombre de ces activités ont eu comme résultat de mobiliser les différents intervenants, par exemple, toutes les quatre à douze semaines, des réunions de comités composés de représentants des cinq groupes d'intervenants, des ateliers de formation pour les professionnels de la santé, l'organisation de conférences et le lancement d'initiatives liées à l'accès aux services de santé. Les réseaux ont été reconnus, à différents degrés selon la province et le territoire, comme intervenants principaux. Sept réseaux dans quatre provinces (ÃŽle du Prince Édouard, Nouveau-Brunswick, Ontario et Manitoba) ont été officiellement reconnus par leur ministère de la Santé respectif. Plus de la moitié des réseaux ont établi des liens informels avec les gouvernements provinciaux et territoriaux de leur administration, et avec d'autres partenaires de la santé. Chaque réseau a :
Onze réseaux officiels rassemblent actuellement les communautés anglophones minoritaires ainsi que les fournisseurs de service aux échelles locale, régionale et provinciale. La plupart de ces réseaux tentent d'intégrer les initiatives de soins de santé primaires, la formation et les acquis linguistiques ainsi que les projets de services à distance. Cette stratégie a permis à des participants des communautés de chaque réseau d'avoir une capacité minimale essentielle de mobiliser des partenaires publics et de créer des réseaux avec eux. Deux de ces réseaux ont été établis afin de répondre aux besoins des secteurs et des provinces. Le Programme de récupération Fraser offre aux jeunes et aux adultes des services de prévention d'abus d'alcool ou d'autres drogues. Le Réseau communautaire de santé et de services sociaux (RCSSS) parraine des projets et des initiatives par la création de partenariats et de réseaux afin de promouvoir l'accès à des services de santé et à des services sociaux en anglais et de soutenir la vitalité des communautés anglophones en situation minoritaire. Le réseau provincial (RCSSS) a relié toutes les unités des réseaux.
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10. Partenaires fédéraux | Santé Canada (SC) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Système de santé canadien | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | b. Formation et maintien | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 75,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 20,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 25,0 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Accès amélioré aux services de santé dans la langue de son choix. Meilleur état de santé des Canadiens dans les CLOSM. Amélioration de la capacité de former les professionnels de la santé au sein des CLOSM. Nombre accru de professionnels de la santé pour répondre aux besoins des CLOSM. Amélioration de la qualité et de la quantité des services de santé disponibles dans les CLOSM. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Communautés francophones à langue officielle en situation minoritaire L'évaluation sommative du projet de formation et de recherche sur les soins de santé du Consortium national de formation en santé (CNFS) a relevé un certain nombre de facteurs de réussite pendant les cinq années d'existence du projet (de 2003 à 2008).
Communautés anglophones de langue officielle en situation minoritaire L'Université McGill a obtenu 11,5 M$ pour son projet de formation et de développement des ressources humaines. Le projet consiste en quatre mesures mises en œuvre sur une période de 3,5 années (octobre 2004 – mars 2008).
En 2005–2006, une formation en anglais a été donnée à 1 427 travailleurs dans 15 des régions de soins de santé et de services sociaux du Québec. En 2006–2007, 1 993 travailleurs ont reçu une formation en anglais dans 17 régions, ce qui représente 93 p. 100 de la cible établie par McGill pour 2006–2007. Le nombre cible de professionnels de la santé francophones qui obtiendront des cours en anglais en 2007–2008 a été estimé à 2 000. Pour obtenir de plus amples renseignements sur les réalisations des activités de formation et de maintien pour les communautés anglophones de langue officielle en situation minoritaire, veuillez consulter le site Web du projet de formation et de développement des ressources humaines de McGill à l'adresse http://www.mcgill.ca/hssaccess/. |
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10. Partenaires fédéraux | Santé Canada (SC) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | |||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | c. Fonds pour l'adaptation des soins de santé primaires | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 30,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 0,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | S.O. | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Cette composante de 30 M$ du Plan d'action pour les initiatives de soins de santé primaires devait originalement être financée jusqu'en mars 2006, mais, par la suite, a été prolongée jusqu'en septembre 2006. Un montant supplémentaire de 10 M$ a été approuvé pour les projets en 2006–2007. Il n'y a actuellement pas de plan pour financer ces activités en 2007–2008. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | S.O. | ||
E. | |||
10. Partenaires fédéraux | Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Apprentissage et compétences en milieu de travail | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | a. Alphabétisation | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 7,4 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 1,1 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 1,3 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Intégration d'une approche de gestion axée sur les résultats par les organismes partenaires de l'Initiative d'alphabétisation familiale. Nombre accru d'activités d'alphabétisation familiale au sein des CLOSM. Formation sur l'alphabétisation familiale offerte aux intervenants œuvrant dans un contexte francophone minoritaire. Mise en œuvre d'un réseau d'intervenants en alphabétisation familiale parmi les formateurs en alphabétisation dans le contexte des CLOSM. Rapport annuel sur les activités du Réseau d'experts en alphabétisation familiale. Évaluation sommative de l'Initiative en alphabétisation familiale dans les CLOSM. Accueillir un colloque en alphabétisation familiale :
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Une évaluation sommative de l'Initiative d'alphabétisation familiale a été entreprise par le Centre de leadership en évaluation à la demande de la Fédération canadienne d'alphabétisation en français. 1 237 personnes ont complétés les séances de formation d'alphabétisation familiale. 36 nouveaux formateurs et intervenants en alphabétisation familiale ont participé à la formation. 11 organisations provinciales et territoriales d'alphabétisation en français membres de la Fédération canadienne d'alphabétisation en français ont continué de maintenir des liens avec de nombreux autres intervenants communautaires (associations de parents, garderies, bibliothèques, municipalités, etc.). Le rapport annuel de 2007 2008 de la Fédération canadienne d'alphabétisation en français a été publié en mai 2008. Évaluation réalisée par le Bureau de l'alphabétisation et des compétences essentielles et soumise au ministère du Patrimoine canadien en septembre 2007. Tenue du 2e Colloque en alphabétisation familiale de la Fédération canadienne pour l'alphabétisation en français les 6 et 7 mars 2008, à Ottawa. Des rencontres du Comité directeur de recherche ont eu lieu, notamment afin de préparer un colloque sur le développement d'un réseau de recherche sur l'alphabétisation, du 23 au 25 avril 2008 à Montréal : L'alphabétisation en français à l'heure des réseaux et des communautés d'échanges en ligne. |
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10. Partenaires fédéraux | Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Marché du travail | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | b. Stages | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 7,3 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 0,0 $ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 1,7 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Le montant de 7,3 M$ provient du budget du programme Expérience emploi d'été. Ce financement correspond à l'engagement prévu dans le Plan d'action pour les langues officielles de 2003 à 2008. Jusqu`ici, on dépasse largement le nombre de stages prévus (650). Selon le dernier rapport (mai 2006), 1 144 jeunes de langue officielle en situation minoritaire avaient tiré profit d'une expérience de travail. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | 1 865 stages dans les communautés de langue officielle en situation minoritaire grâce à la Stratégie Emploi Jeunesse. | ||
10. Partenaires fédéraux | Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Marché du travail | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | c. Fonds d'habilitation | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 36,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 12,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 11,8M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Continuité de la vitalité des infrastructures et des réseaux comme mécanismes de soutien du gouvernement aux CLOSM. Amélioration de la connaissance des CLOSM grâce à des profils des communautés; cette information sera utilisée pour orienter les décisions en matière de financement, comme point de référence et pour l'évaluation des progrès et de l'évaluation à venir. Augmentation de la capacité des CLOSM, tant au niveau de l'organisation qu'à celui des réseaux, de produire des plans et des projets de développement communautaire. Augmentation de la capacité des ressources locales dans les CLOSM de promouvoir et de mettre en œuvre leur propre développement. Augmentation de la vitalité des CLOSM, y compris la croissance économique et l'employabilité. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Le Fonds d'habilitation a été renouvelé pour 2008–2009, et le programme sera également considéré pour la prochaine stratégie fédérale pour les langues officielles. Une évaluation indépendante a révélé un progrès notable dans la capacité des réseaux de créer des partenariats et des initiatives de développement économique communautaire et des ressources humaines. Chaque communauté bénéficie d'un profil communautaire et d'un plan pour le développement économique. Le programme a pu miser sur plus de 11,4 M$ de sources non fédérales, pour un total de 24 M$. De plus, chaque employé permanent des RDÉE provinciaux et territoriaux a généré une moyenne de 24 emplois indirects qui n'auraient pas été créés sans leur participation. |
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10. Partenaires fédéraux | Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Politiques, recherches et communications | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | d. Projets pilotes de garderies | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 10,8 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 3,1 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 2,5 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Mise en place d'un projet pilote de garderie dans cinq communautés francophones en milieu minoritaire | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Le projet a été mis en place dans six communautés francophones en situation minoritaire | ||
10. Partenaires fédéraux | Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Investissement socia | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | e. Développement de la capacité des ONG | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 3,8 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 0,68 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 0,65 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Production de matériel d'apprentissage en français pour permettre aux parents et aux organismes communautaires de parents de promouvoir les programmes de développement de la langue française dès la petite enfance dans les CLOSM, grâce aux investissements dans des organisations francophones nationales non gouvernementales. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | La Table nationale en développement de la petite enfance (DPE) s'est dotée d'un Cadre en DPE pour les communautés francophones de langue officielle en situation minoritaire. Le Cadre permet d'établir la vision des différents secteurs
œuvrant en petite enfance et de mettre en place une stratégie de mise en œuvre pour l'avancement du DPE. Le Cadre a été approuvé par tous les secteurs faisant partie de la Table nationale en DPE et un lien stratégique a été fait en particulier
avec quatre secteurs, soit l'éducation, la santé, la justice et l'immigration. Production de documents tel qu'un guide de construction identitaire au foyer à l'intention des parents, un guide pratique de collaboration intersectorielle et une étude des coûts de la mise en œuvre de centres de services intégrés en développement de la petite enfance (DPE). |
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F. | |||
10. Partenaires fédéraux | Industrie Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | Sous-activité de programme (SAP) : article 41, Loi sur les langues officielles SAP : Programme de l'industrie de la langue et Programme des industries canadiennes du textile et de l'habillement SAP : Francommunautés Virtuelles |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | a. Sensibilisation et counselling | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 8,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 1,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 2,2 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Maintenir le réseau d'Industrie Canada, composé d'au moins un conseiller à temps plein par région, afin d'appuyer les CLOSM et d'assurer la liaison avec celles-ci. Continuer d'accroître la présence et la compréhension des programmes et des services offerts par Industrie Canada dans les CLOSM dans toutes les régions où se trouve Industrie Canada. Les activités de rayonnement et de communication visent à inciter les CLOSM à participer davantage aux programmes actuels d'Industrie Canada. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Résultat atteint. Le Réseau des conseillers et des coordonnateurs est demeuré en opération jusqu'au 31 mars 2008. Résultat atteint. Mesures prises : - Consultations conjointes d'Industrie Canada (IC), des Agences de développement régional (ADR) et des représentants des CLOSM - Séances d'information régionales et participation à des réunions et conférences par les agents du Réseau des conseillers et des coordonnateurs Résultat atteint. Mesures prises : - création de nouveaux produits de communication et de marketing Indicateur : - une étude sur la participation des CLOSM aux programmes d'IC et des ADR indique que les CLOSM reçoivent un financement en proportion avec leur présence dans la collectivité canadienne. |
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10. Partenaires fédéraux | Industrie Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | SAP : article 41, Loi sur les langues officielles SAP: Programme de l'industrie de la langue et Programme des industries canadiennes du textile et de l'habillement SAP : Francommunautés Virtuelles |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | b. Stages | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 2,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 0,8 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 0,8 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Continuer à créer des partenariats pour des programmes de stages afin d'augmenter le nombre de travailleurs qualifiés et d'entreprises nouvelles ou améliorées et d'accroître l'adoption de nouvelles technologies en vue d'atteindre les objectifs énoncés dans la présentation au Conseil du Trésor, soit d'investir 2 M$ sur 4 ans dans la création de 200 stages. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Résultat atteint 45 stages effectués en 2007–2008 |
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10. Partenaires fédéraux | Industrie Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | SAP : article 41, Loi sur les langues officielles SAP: Programme de l'industrie de la langue et Programme des industries canadiennes du textile et de l'habillement SAP : Francommunautés Virtuelles |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | c. Projets pilotes (téléformation et téléapprentissage) | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 10,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 1,5 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 1,6 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Conclure des partenariats avec les universités, les collèges et les sociétés sans but lucratif afin de mettre sur pied des projets pilotes permettant d'amener les technologies de pointe dans les CLOSM, conformément à l'affectation de 10 M$ sur 5 ans prévue dans la présentation au Conseil du Trésor en vue de développer le contenu et les applications pour l'enseignement et la formation à distance | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Résultat atteint 16 projets pilotes financés en 2007–2008 |
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10. Partenaires fédéraux | Industrie Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | SAP : article 41, Loi sur les langues officielles SAP: Programme de l'industrie de la langue et Programme des industries canadiennes du textile et de l'habillement SAP : Francommunautés Virtuelles |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | d. Francommunautés virtuelles | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 13,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 4,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 4,5 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Appuyer jusqu'à 50 nouveaux projets en vertu du processus actuel pour obtenir du financement. Mener une évaluation sommative du programme. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Résultat atteint. 26 nouveaux projets subventionnés en 2007–2008 12 projets ayant débuté en 2006–2007 menés à bien en 2007–2008 Résultat atteint. Le rapport d'évaluation examiné par le comité de Vérification et d'évaluation d'Industrie Canada en juin 2008. |
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10. Partenaires fédéraux | Industrie Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | SAP : article 41, Loi sur les langues officielles SAP: Programme de l'industrie de la langue et Programme des industries canadiennes du textile et de l'habillement SAP : Francommunautés Virtuelles |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | e. Réseau canadien de l'industrie de la langue | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 5,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 1,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 1,0 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Association représentative reconnue par les gouvernements et l'industrie. Appui à l'élaboration et à l'adoption de normes de qualité canadiennes pour les services de traduction et les écoles de formations linguistique. Consolidation du secteur de la formation linguistique. Mise en œuvre de la stratégie de lancement. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Résultat atteint. AILIA a fait des représentations auprès du Comité permanent pour les LO, les consultations Lord et auprès de plusieurs ministères (IC, TPSGC, MAECI, PCH). Les membres d'AILIA ont reconnu dans une enquête l'importance du travail accompli. Grâce au travail intense des différents partenaires, les normes pour les services de traduction en sont maintenant au stade d'approbation devant le Conseil canadien des normes (CCN). Une norme unique existe maintenant pour les écoles publiques et privées. Résultat atteint. Depuis mars 2008, une seule association représente le secteur. Une stratégie a été développée et mise en œuvre. Elle comprend quatre volets : communication, ressources humaines, finances et gestion de l'information. |
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10. Partenaires fédéraux | Industrie Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | SAP : article 41, Loi sur les langues officielles SAP: Programme de l'industrie de la langue et Programme des industries canadiennes du textile et de l'habillement SAP : Francommunautés Virtuelles |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | f. Marketing et promotion de marques de commerce | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 5,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 1,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 0,6 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Maximiser l'utilisation des fonds du programme de l'industrie de la langue. Meilleure connaissance des marchés nationaux et internationaux et meilleur accès à ces marchés. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Résultat atteint. 75 p. 100 du financement a été octroyé à l'industrie et utilisé. Quatre études de marché ont été complétées ou publiées. Soutien continu aux activités de l'AILIA et à la gestion du programme. Promotion de l'industrie auprès des divers intervenants (gouvernements, organismes, compagnies). |
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G. | |||
10. Partenaires fédéraux | Conseil national de recherches Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Technologies de l'information | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | Institut de technologie de l'information – Groupe de technologies langagières interactives | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 10,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 2,6 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 2, 579 436 $ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Nous visons la création d'innovations scientifiques et technologiques qui profiteront à nos clients. En 2007–2008, nous continueront à renforcer notre technologie de traduction automatique statistique (TAS) et confirmer ainsi sa forte compétitivité sur la scène internationale. Ces avancées seront protégées par des brevets, et les résultats seront publiés dans les meilleurs journaux et présentés dans les conférences importantes. Notre technologie de TAS sera déployée dans les applications axées sur l'utilisateur, et fournira aux traducteurs et aux terminologues des fonctions d'aide inédites. Ces fonctions comprendront : les aides au développement et au maintien de ressources terminologiques multilingues; les aides à la saisie de traduction (p. ex. la dictée vocale); les aides à la rédaction de traduction (p. ex. mémoires de traduction enrichies par des capacités de TAS) et les aides à la vérification de traduction. Ces démarches seront réalisées conjointement avec nos partenaires du CRTL, nos partenaires nationaux (universités) et plusieurs partenaires internationaux. Enfin, nous prévoyons établir cette année au moins une entente de transfert technologique vers l'industrie privée. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Programme de recherche Nightingale consortium, GALE de l'agence DARPA (U.S. Department of Defence) Cette activité a aidé à garantir et à montrer que notre technologie de traduction automatique est de renommée internationale. Conjointement avec certains de nos partenaires Nightingale, nous avons continué à offrir une technologie de traduction automatique du chinois vers l'anglais à la satisfaction du client (DARPA). Notre financement a donc été renouvelé pour la troisième année à venir, et il a été augmenté de 50 p. 100 comparativement à l'année précédente. Consortium SMART, programme IST pour la communauté européenne Le consortium SMART a commencé à mettre à l'essai l'applicabilité de nouvelles méthodes d'apprentissage automatique (comme les techniques de régression par la méthode du noyau) au problème de la traduction automatique. Les résultats préliminaires sont très encourageants. Collaboration Systran/CNRC Un système hybride combinant Systran et le Portage du CNRC a donné d'excellents résultats dans les concours internationaux. Des discussions avec les organisations ont été entreprises. |
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H. | |||
10. Partenaires fédéraux | Justice Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Services au gouvernement | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | a. Cadre d'imputabilité et de coordination | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 2,5 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 0,35 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 0,37 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Les institutions fédérales utilisent les outils juridiques pour remplir leurs obligations énoncées dans la Loi. Les services juridiques à l'égard des droits linguistiques sont améliorés. Les institutions fédérales connaissent mieux leurs obligations énoncées dans la LLO. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Un Guide pour la mise en œuvre de la partie VII de la LLO a été élaboré conjointement avec le SLO. L'évaluation du ministère de la Justice conclut à l'amélioration des services juridiques. Des activités de sensibilisation des fonctionnaires fédéraux ont été offertes à nouveau en 2007–2008. |
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10. Partenaires fédéraux | Justice Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Justice, politiques, lois et programmes | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | b. Obligations légales (i) Contraventions |
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13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 27,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 4,7 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 1,6 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Des modifications aux accords et aux règlements sont déjà intervenues avec l'Ontario, la Colombie-Britannique, le Manitoba et la Nouvelle-Écosse. Nous prévoyons conclure de nouveaux accords avec la Saskatchewan, l'Alberta,
Terre-Neuve-et-Labrador et la Ville de Mississauga. Ces modifications prévoiront que les services seront accessibles dans les deux langues officielles là où la demande sera suffisante et que l'offre active de ces services sera faite. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Des discussions ont été entamées avec l'ÃŽle-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve et Labrador. Aucun accord conclu en 2007–2008. | ||
10. Partenaires fédéraux | Justice Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Services au gouvernement | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | b. Obligations légales (ii) Projet de loi S 41 : Loi sur la réédition des textes législatifs |
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13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | |||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 0,4 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 0,6 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Conformément au paragraphe 9(1) de la Loi, le ministre de la Justice a procédé à l'examen de la mise en œuvre et de l'application de l'article 4 de la Loi. Il doit, en outre, toujours selon l'article 9 de la Loi, remettre son rapport d'examen à chacune des chambres du Parlement au plus tard le 13 juin 2008. | ||
17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Entre décembre 2007 et juin 2008, 259 instruments législatifs ont été réadoptés au moyen de cinq règlements. Le rapport sur l'examen de la mise en œuvre de l'article 4 de la Loi devrait être déposé devant les deux chambres du Parlement le 12 juin 2008. |
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10. Partenaires fédéraux | Justice Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP : Services au gouvernement | ||
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | c. Accès à la justice | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 18,5 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 4,1 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 3,7 M$ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Capacité accrue de répondre aux questions liées à l'accès à la justice dans les deux langues officielles. Un public et une communauté juridique mieux informés. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | L'évaluation sommative du Fonds d'appui révèle qu'il est pertinent et efficace, et que les projets financés ont contribué à accroître l'accès aux services juridiques dans les deux langues officielles ainsi que la capacité des
intervenants à offrir de tels services. Le Fonds d'appui a permis aux associations de juristes d'expression française de mieux remplir leur mandat, a contribué à l'élaboration d'outils juri-linguistiques et à la formation des juristes, et a permis de rassembler divers intervenants pour que ceux-ci puissent conjuguer leurs efforts. Les activités entreprises par l'intermédiaire du Fonds d'appui ont mené à d'importantes réussites. Premièrement, bien qu'on s'attendait à ce que des partenariats s'établissent entre les participants, la force des réseaux et de la collaboration qui a émergé était inattendue. Deuxièmement, les associations de juristes d'expression française occupent une plus grande place dans leurs réseaux communautaires respectifs et sont des organismes de revendication crédibles. Troisièmement, les centres de juri-linguistique ont pu développer une expertise reconnue sur le plan international dans leur domaine. |
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I. | |||
10. Partenaires fédéraux | Citoyenneté et Immigration Canada | ||
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux | AP 1 : Programme d'immigration AP 2 : Programme des résidents temporaires AP 4 : Programme des réfugiés AP 5 : Programme d'intégration |
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12. Noms des programmes des partenaires fédéraux | Appui aux communautés | ||
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) | 9,0 M$ | ||
14. Dépenses prévues 2007–2008 | 2,0 M$ | ||
15. Dépenses réelles 2007–2008 | 1 965 750 $ | ||
16. Résultats prévus 2007–2008 | Mise en œuvre du Plan stratégique pour favoriser l'immigration au sein des communautés francophones en situation minoritaire (CFSM). Promotion à l'étranger, amélioration de la capacité d'accueil des CFSM et renforcement des structures d'accueil et d'établissement pour les nouveaux arrivants d'expression française pour faciliter leur intégration sociale et culturelle. Coordination du Comité directeur et du Comité de mise en œuvre et appui à la recherche sur les CFSM. |
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17. Résultats obtenus en 2007–2008 | Mise en œuvre du Plan stratégique pour favoriser l'immigration au sein des communautés francophones en situation minoritaire et coordination du Comité directeur et du Comité de mise en œuvre CIC – Le Comité directeur de la FMC s'est réuni en septembre 2007 et a approuvé trois autres priorités en plus de celles présentées dans le plan stratégique visant à favoriser l'immigration et dans le rapport annuel présenté par le Comité de mise en œuvre. Les sous-comités régionaux sur l'immigration francophone continuent à travailler à la mise en œuvre du plan stratégique. Promotion à l'étranger Des activités de promotion et de recrutement de petite et de grande envergure ont été organisées, et des documents de promotion ont été élaborés. Par exemple, « Destination Canada » s'est tenu en novembre 2007 à Paris, à Lyon, à Bruxelles et à Tunis. |
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Total du financement (du début jusqu'à la fin) | Dépenses prévues pour 2007–2008 |
Dépenses actuelles pour 2007–2008 | |
Total : | $787.4 M | $183.0M | $198.9M |
18. Commentaires sur les écarts : S.O. | |||
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : | S.O. | ||
20. Contact : olslo@pch.gc.ca | http://www.pch.gc.ca/slo-ols/ | Apprové par: Jérôme Moisan Date de l'approbation : le 20 juin 2008 |
1. Nom de l'initiative horizontale :Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010 – La réalisation de nos engagements | |
2. Nom du ministère responsable :Ministère du Patrimoine canadien | 3. Activité de programme (AP) du ministère responsable : AP 2 – Viabilité de l'expression culturelle et de la participation dans le domaine culturel AP 7 – Participation à la vie communautaire et à la vie civique |
4. Datede mise en œuvre de l'initiative horizontale : 2003-2004 |
5. Datede clôture de l'initiative horizontale : Le 31 mars 2012 |
6. Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral (du début à la fin) : 622,1 M$ (de 2004–2005 à 2011–2012) |
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7. Description de l'initiative horizontale : Surveiller l'apport du gouvernement du Canada aux Jeux d'hiver de 2010 et en rendre compte, afin que ceux-ci mettent à contribution les Canadiens et les Canadiennes de tout le pays, tiennent compte des valeurs et des priorités canadiennes dans leur planification, leur réalisation et leur profil international, et favorisent les occasions de promouvoir les objectifs de politique publique et de faire des investissements stratégiques qui appuient des avantages économiques concrets à long terme de même que des legs d'ordre sportif, social, culturel et environnemental pour toute la population canadienne. (http://www.pch.gc.ca/). Le gouvernement du Canada est un partenaire essentiel des Jeux d'hiver de 2010. Le Secrétariat fédéral 2010, qui relève du ministère du Patrimoine canadien, adopte une approche horizontale pour soutenir et promouvoir la participation du gouvernement fédéral dans la planification et la réalisation des Jeux, y compris la prestation de services fédéraux essentiels de haute qualité, de même que l'attribution de fonds pour les immobilisations et l'utilisation ultérieure des installations. Le Secrétariat fédéral 2010 travaille en collaboration avec des partenaires et intervenants pour tirer parti des Jeux afin d'atteindre les objectifs stratégiques publics, établir des legs durables et d'en retirer le plus d'avantages possible pour tous les Canadiens. (www.canada2010.gc.ca). |
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8. Résultats partagés :
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9. Structures de gouvernance (au ministère du Patrimoine canadien) Secrétariat fédéral des Jeux de 2010 Groupe de travail représentatif (GTR) Le Secrétariat fédéral des Jeux de 2010, sous la direction de la sous-ministre du ministère du Patrimoine canadien, appuie le Cadre fédéral de coordination (CFC). Le CFC est le principal mécanisme visant à favoriser la gestion horizontale des Jeux d'hiver. Cette structure de gouvernance comprend trois niveaux.
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10. Partenaires fédéraux |
11. Activité de programme (AP) des partenaires fédéraux |
12. Noms des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) |
14. Dépenses prévues 2007–2008 |
15. Dépenses réelles 2007–2008 |
16. Résultats prévus 2007–2008 |
17. Résultats obtenus en 2007–2008 |
1. Patrimoine canadien | AP 1 Les Canadiens et Canadiennes expriment leurs expériences culturelles diversifiées et les partagent entre eux et avec le monde. |
a. Viabilité de l'expression culturelle et de la participation dans le domaine culturel | $ | 122,7 M$ | $ | Possibilités accrues d'assurer la visibilité du gouvernement fédéral à l'occasion des activités liées aux Jeux de 2010. Meilleures relations avec les partenaires et les responsables du CFC de 2010. Dépenses éclairées pour tous les aspects du financement fédéral. |
Activités entreprises pour favoriser une visibilité nationale et internationale et pour faire en sorte que ces Jeux soient « canadiens ». Protéger les investissements canadiens en surveillant l'avancement des travaux et en faisant preuve de diligence raisonnable dans le dossier du programme de construction des sites. Assurer la coordination et la prestation efficace des services fédéraux essentiels et saisir les occasions stratégiques au moyen de divers mécanismes de coordination dont les groupes thématiques de travail et l'Équipe de direction chargée des activités gouvernementales. |
AP 2 Les Canadiens et Canadiennes vivent dans une société inclusive fondée sur la compréhension interculturelle et la participation des citoyens. |
b. Participation à la vie communautaire et civique | ||||||
B. Gendarme-rie royale du Canada (GRC), Sécurité publique Canada (SP), ministère de la Défense nationale (MDN), Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) Agence de la santé publique du Canada (ASPC) |
S/O | Police et sécurité | 87,5 M$ | Pour des raisons de sécurité nationale, le Groupe sécurité a demandé que l'information ne soit pas communi-quée. | Pour des raisons de sécurité nationale, le Groupe sécurité a demandé que l'information ne soit pas communi-quée. | Engagement des partenaires et des intervenants dans l'élaboration de plans stratégiques et opérationnels axés sur le renseignement. | Les plans stratégiques et opérationnels sont élaborés en consultation avec les partenaires et intervenants. Des accords ont été mis en place et plusieurs protocoles d'ententes sont terminés tandis que d'autres sont en voie d'élaboration. De nouveaux partenaires se sont récemment joints à l'Unité de sécurité intégrée à Vancouver. Des mécanismes officiels d'échanges d'information ont été établis. |
C. Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) | Accès | Sécurité | 15,8 M$ | 1,2 M$ | 1,5 M$ | Planification logistique et planification opérationnelle. Contribution à la conception, à l'élaboration et à la planification de la mise en application des cartes d'identité et d'accrédita-tion olympiques. |
Un cadre opérationnel intégré, des équipes de planification et la planification stratégique des RH ont été mis en place. Le Groupe de travail sur l'accréditation olympique est formé, la consultation sur la conception du processus d'accréditation a été amorcée, on a commencé la conception détaillée, l'accord de partenariat et l'approche du gouvernement du Canada sont établis. Il y a participation des groupes thématiques de travail (CFC). |
D. Citoyenneté et Immigration (CIC) | Optimisation de la contribution des migrations au développement social, culturel et économique du Canada | Programme des résidents temporaires | 5,0 M$ | 0,3 M$ | 0,25 M$ | Planification opération-nelle et planification de la logistique. Apport à la conception et à la création de la carte du Comité international olympique (CIO) | La planification logistique et opérationnelle est en cours. On travaille actuellement à la conception et à la création de la carte du CIO. Les modifications réglementaires sont en voie d'élaboration. |
E. Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) |
Productivité et participation canadiennes accrues par des marchés du travail efficients et inclusifs, des milieux de travail compétitifs et l'accès à l'apprentissage. | Travailleurs étrangers et immigrants | 1,3 M$ | 0,2 M$ | 0 $ | Planification opération-nelle et planification de la logistique à propos de l'entrée des travailleurs étrangers | L'entrée des travailleurs étrangers est intégrée au plus vaste programme des travailleurs étrangers à l'échelle du pays. |
F. Santé Canada (SC) | Réduction des risques pour la santé et pour l'environnement causés par des substances et des produits réglementés, et milieux de vie et de travail plus sains | Milieux sains et sécurité des consommateurs Protection de la santé des dignitaires étrangers Protection de la santé du public voyageur Protection de la santé des fonctionnaires |
2,6 M$ | - | 0 $ | Activités à entreprendre en 2008–2009 | Poursuivre la planification stratégique pour assurer la prestation de services de santé aux dignitaires étrangers qui assisteront aux Jeux d'hiver 2010 et prendre des mesures pour veiller à la santé et à la sécurité des employés fédéraux qui
travaillent sur place. On a rencontré les intervenants pour cerner les exigences et établir le fondement de la collaboration. Planification en cours afin d'assurer des services de santé publique relatifs aux services de transport et aux services auxiliaires dans le but de protéger la santé du public voyageur. |
G. Environnement Canada (EC) |
Les prévisions et services météorologiques réduisent les risques et contribuent au bien-être des Canadiens et des Canadiennes. | Les connaissances et les données plus justes sur le temps et les conditions environnementales exercent une influence sur la prise de décision | 9,3 M$ | 0,8 M$ | 0,8 M$ | Les infrastructures et les technologies rattachées aux services météorologiques dans le cadre des Jeux olympiques sont mises au point. | La construction du réseau olympique d'observation météorologique en surface est complétée (32 plateformes d'observation), tout comme le radiomètre profileur hyperfréquences. Des études météorologiques appropriées aux Jeux de 2010 ont été menées. On a donné des cours de formation sur les conditions hivernales locales à 32 météorologues en vue des Jeux. |
Le capital naturel du Canada est remis en état, conservé et amélioré. |
La population canadienne adopte des approches qui assurent l'utilisation et la gestion durables du capital naturel et de l'écopaysage. | 1,5 M$ | 0,5 M$ | 0,43 M$ | Le programme de développement durable et les investissements à cet égard progressent. | Miser de façon stratégique sur des partenariats avec le COVAN, la C.–B. et les organismes non–gouverne-mentaux voués à l'environnement pour faire progresser les initiatives de développement durable. Collaboration continue avec les ministères fédéraux et les partenaires externes en vue de cerner les possibilités de mettre en valeur les approches inédites de développement durable. Dynamisation du groupe thématique de travail sur le développement durable et l'environnement pour concentrer les initiatives dans trois secteurs prioritaires : la réduction des empreintes humaines, l'éducation et l'innovation en matière de développement durable et la sensibilisation. |
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L'évaluation environnemen-tale fait partie de la prise de décisions concernant les programmes et les politiques. | Évaluations environnemen-tales efficaces et efficientes | 2,6 M$ | 0,4 M$ | 0,2 M$ | Évaluations environne-mentales terminées | Évaluations environnementales terminées Participation à des programmes de suivi des EA |
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H. Pêches et Océans Canada | Des écosystèmes aquatiques sains et productifs | Gestion de l'habitat | 0,6 M$ | 0,1 M$ | 0,1 M$ | Évaluation environne-mentale terminée | Pêches et Océans a terminé les évaluations environnementales du Centre des sports de Whistler. Le Ministère a également fourni des avis autorisés à titre de responsable fédéral au sujet de 5 projets. Le Ministère a accordé 12 autorisations en vertu de la Loi sur les pêches. |
18. Commentaires sur les écarts : L'écart négatif signalé ci–dessus de l'ASFC est dû au fait que les activités prévues pour l'exercice financier 2006–2007 ont été accomplies en 2007–2008. Dans le cas de Pêches et Océans Canada, la différence de financement pour le total des fonds alloués correspond aux crédits périmés des années antérieures qui ne seront pas affectés. RHDSC a intégré l'entrée des travailleurs étrangers dans le Programme des travailleurs étrangers, mis en œuvre à l'échelle nationale et, par conséquent, ne demandera pas de financement. |
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19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Les activités entreprises par les partenaires non fédéraux sont cruciales pour la réussite des Jeux. Tous ces partenaires ont fourni de l'information sur les résultats de leurs activités sur leur site Web respectif. Le Comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010 à Vancouver : http://www.vancouver2010.com/fr Le gouvernement de la Colombie-Britannique : http://www.gov.bc.ca/ La ville de Vancouver : http://www.city.vancouver.bc.ca/ La municipalité de villégiature de Whistler : http://www.whistler.ca/ Le Comité olympique et paralympique canadien : http://www.olympic.ca/FR/ |
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20. Personne-ressource :Tenille Hoogland (613) 949–7987 |
Les initiatives horizontales sont des programmes ou des initiatives qui font l'objet d'ententes officielles de financement entre deux partenaires ou plus d'organismes ayant convenu de collaborer pour obtenir des résultats communs.
Le MPO participe en tant que partenaire aux 11 initiatives horizontales menées par d'autres ministères fédéraux que voici :
Initiative horizontale | Ministère responsable |
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Rechercher la confiance du public dans la réglementation des pesticides et améliorer l'accès aux produits antiparasitaires à usage réduit | Santé Canada |
Stratégie canadienne de la biotechnologie | Industrie Canada |
Groupe canadien des observations de la Terre (GCOT) | Environnement Canada |
Initiative de l'écosystème du bassin des Grands Lacs | Environnement Canada |
Année polaire internationale | Affaires indiennes et du Nord canadien |
Initiative de R et D en génomique | Industrie Canada |
Projet gazier Mackenzie (PGM) et activités induites d'exploration et de mise en valeur des ressources pétrolières et gazières dans les T.N.-O. | Affaires indiennes et du Nord canadien |
Plan d'action accéléré des sites contaminés fédéraux | Environnement Canada et Secrétariat du Conseil du Trésor |
Mise en œuvre de la Loi concernant la protection des espèces sauvages en péril au Canada | Environnement Canada |
Sûreté maritime | Transports Canada |
Stratégie intérimaire sur les programmes existants portant sur le changement climatique | Environnement Canada |
Vous trouverez de plus amples renseignements au sujet de ces initiatives horizontales sur Internet.
Structure de gouvernance : Résolution des questions des pensionnats indiens Canada est responsable du modèle global de la Convention de règlement et travaille en partenariat avec Santé Canada pour assurer la coordination et la prestation des services nécessaires aux anciens élèves des pensionnats indiens. Santé Canada et Résolution des questions des pensionnats indiens Canada assureront séparément la prestation de diverses composantes du Programme de soutien en santé pour la résolution des questions des pensionnats indiens.
Les responsabilités qui incombent à Résolution des questions des pensionnats indiens Canada relativement au Programme de soutien en santé pour la résolution des questions des pensionnats indiens consistent à :
Santé Canada est responsable d'offrir aux anciens élèves des PI et à leurs familles des services de soutien à la santé et au mieux-être au moyen du Programme de soutien en santé – résolution des questions des pensionnats indiens. Ces services comprennent :
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Nom des programmes des partenaires fédéraux | Total des fonds affectés (de la mise en œuvre à la clôture) | Dépenses prévues
pour 2007- 2008 |
Dépenses réelles
pour 2007- 2008 |
Résultats attendus
pour 2007- 2008 |
Résultats obtenus
en 2007- 2008 |
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Santé Canada | Santé des Premières nations et des Inuits, Programmes communautaires, Santé mentale et toxicomanie | Programme de soutien en santé résolution des questions des pensionnats indiens | 94,5 M$ | 22,7 M$ | 12,3 M$ | Santé Canada collaborera avec Résolution des questions des pensionnats indiens Canada afin de s'assurer que les anciens élèves admissibles reçoivent du soutien émotionnel et culturel ainsi que des services de counselling professionnel adéquats. | Un soutien a été apporté aux anciens élèves recevant des paiements d'expérience commune et à ceux qui ont présenté une demande dans le cadre du Processus d'évaluation indépendant, ainsi qu'à leurs familles, afin de s'assurer qu'ils ont bénéficié de soutien approprié en temps opportun et de manière efficace. |
94,5 M$ | 22,7 M$ | 12,3 M$ | |||||
Total 94,5 M$ | Total 22,7 M$ | Total 12,3 M$ |
Commentaires sur les écarts :
L'écart entre les dépenses réelles et les dépenses prévues de Santé Canada est de 10 437 300 $.
La Convention de règlement prévoit cinq composantes : le Paiement d'expérience commune; le Processus d'évaluation indépendant visant à superviser les demandes d'indemnisation qui vont au-delà du Paiement d'expérience commune; des événements commémoratifs concernant les pensionnats indiens qui seront supervisés par la Commission de vérité et de réconciliation; des initiatives communautaires de guérison dirigées par des Autochtones soutenues par la Fondation autochtone de guérison; et le programme soutien en santé - résolution des questions des pensionnats indiens visant à offrir des services de counselling et du soutien émotionnel et culturel aux anciens élèves des pensionnats indiens. Des retards dans la mise en place des trois premières composantes ont donné lieu à beaucoup moins de recours aux services de soutien en santé mentale et de soutien émotionnel que prévu, ce qui a entraîné moins de dépenses que celles prévues.
Au cours de l'exercice 2007-2008, Ressources humaines et Développement social Canada a participé aux initiatives horizontales ci-après. Sauf indication contraire dans la liste, Ressources humaines et Développement social Canada est le ministère responsable de ces initiatives.
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Nom de l'initiative horizontale : Programme de partenariat pour les compétences et l'emploi des Autochtones |
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Nom du ministère responsable : Ressources humaines et Développement social Canada |
Activité de programme du ministère responsable : Marché du travail |
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Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 3 octobre 2003 |
Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2012 |
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Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture): 199,5 M$ | |||||||
Description de l'initiative horizontale : (y compris l'accord de financement):
Le programme de Partenariat pour les compétences et l'emploi des Autochtones (PCEA) était au départ une initiative de 85 millions de dollars débutant en 2003 pour se terminer en 2009. Le budget de 2007 a élargi et prolongé le programme grâce à un investissement supplémentaire de 105 millions de dollars de 2007 à 2012. Le Partenariat pour les compétences et l'emploi des Autochtones vise à parfaire les compétences de l'effectif autochtone du Canada, à promouvoir le taux d'emploi maximum des Autochtones dans les principaux secteurs de développement économique du Canada et à offrir des prestations durables aux collectivités, aux familles et aux particuliers autochtones. Le programme de Partenariat pour les compétences et l'emploi des Autochtones est une initiative fondée sur les possibilités mise en œuvre à l'aide de partenariats officiels entre le secteur privé et les collectivités autochtones (et d'autres intervenants, comme les provinces et les établissements de formation). Les partenariats sont chargés de l'élaboration et de la gestion communes de plans complets et pluriannuels de développement des compétences qui garantiront des emplois viables et hautement spécialisés à long terme à la suite des projets. Le plan détaillé de cheminement de la formation à l'emploi des Autochtones couvre un vaste continuum qui varie de la mise à niveau des compétences de base, de l'alphabétisme et de la scolarité, à la formation propre à l'emploi et à la formation par l'apprentissage, puis à des conseils sur le maintien en poste et d'autres mesures de soutien de l'emploi. En vertu de ce plan, les employeurs doivent s'engager à fournir au moins 50 emplois à long terme (viables) aux Autochtones. Le partenariat doit également apporter une grande contribution financière au plan de formation et élaborer un modèle de régie qui gérera et chapeautera le projet. http://srv119.services.gc.ca/AHRDSInternet/general/public/asep/asep_f.asp |
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Résultats communs :
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Structures de gouvernance :
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En millions de dollars | |||||||
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Allocation totale (de la date de mise en œuvre à la date de clôture) | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles 2007-2008 | Résultats attendus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
Ressources humaines et Développement social Canada | AP 1 | a. Partenariat pour les compétences et l'emploi des Autochtones |
190,0 (programme et fonctionnement) |
20,8 (programme et fonctionnement) |
17,5 (programme et fonctionnement) |
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Ressources naturelles Canada | AP 1 | a. Projet PCEA du Nouveau-Brunswick | 0,4 | 0,0 | 0,1 | s.o. | |
Affaires indiennes et du Nord Canada | AP 2 | a. PCEA Manitoba Hydro Northern Training | 3,3 | 0,0 | 0,0 | ||
b. Nunavut Fisheries Training | 0,3 | 0,0 | 0,0 | ||||
c. Mine training Society | 5,5 | 0,0 | 0,9 | ||||
Total 199,5 |
Total 20,8 |
Total 18,5 |
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Commentaires sur les écarts : Écart attribuable à des retards dans le lancement des propositions de projets qui se dérouleront au cours du prochain exercice. |
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Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant):
s.o. |
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Coordonnées de la personne-ressource:
Keith Conn, |
Approuvé par : | Date d'approbation : |
Nom de l'initiative horizontale : Stratégie emploi jeunesse |
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Nom du ministère responsable : Ressources humaines et Développement social Canada |
Activité de programme du ministère responsable : Marché du travail |
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Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2003 |
Date de clôture de l'initiative horizontale : En cours |
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Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture): en cours | |||||||
Description de l'initiative horizontale : (y compris l'accord de financement):
La Stratégie emploi jeunesse aide les jeunes Canadiens à faire leur entrée sur le marché du travail. Elle joue un rôle dans la création de l'effectif de l'avenir du Canada en permettant aux jeunes Canadiens d'accéder à des programmes et à des services qui les aident à acquérir les compétences, le savoir, l'information professionnelle et l'expérience de travail dont ils ont besoin pour se trouver un emploi et le garder et pour assurer la réussite de leur transition sur le marché du travail. La Stratégie emploi jeunesse vise à relever les défis du marché du travail qui attendent les jeunes de 15 à 30 ans. Elle comporte trois composantes : Connexion compétences, Objectif carrière et Expérience emploi été, qui englobe l'initiative Emplois d'été Canada. Connexion compétences offre aux jeunes à risque la possibilité d'acquérir les compétences dont ils ont besoin pour se trouver du travail ou retourner aux études. Objectif carrière aide les diplômés d'un programme d'études postsecondaires à se trouver du travail dans leur domaine de spécialisation. Expérience emploi été aide les diplômés d'un programme d'études secondaires ou postsecondaires à acquérir des compétences professionnelles et à payer leurs études au moyen d'emplois d'été. Le soutien du gouvernement du Canada envers les jeunes Canadiens est une responsabilité partagée et un effort de partenariat entre de nombreux ministères et organismes. Ressources humaines et Développement social, avec l'aide de 11 autres ministères fédéraux, travaille en collaboration avec les autres niveaux de gouvernement, les organisations autochtones, les établissements d'enseignement, le secteur privé et les secteurs sans but lucratif et bénévoles pour offrir les initiatives de la Stratégie emploi jeunesse. http://www.jeunesse.gc.ca |
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Résultats communs :
Voici les principaux résultats communs des partenaires :
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Structures de gouvernance :
La Stratégie emploi jeunesse a adopté un cadre général de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) selon lequel les 12 ministères fédéraux participants s'engagent à faire en permanence la collecte de données communes sur la gestion du rendement pour assurer l'efficacité globale de la gestion du rendement du programme. À titre de ministère responsable, Ressources humaines et Développement social Canada et Service Canada président un Comité interministériel des opérations chargé de rendre compte de la mise en œuvre de la Stratégie emploi jeunesse, et en assurent la coordination et la gestion. Le Comité directeur de l'évaluation est un autre comité interministériel de la Stratégie emploi jeunesse. Il y a également un sous-comité des communications, qui relève du Comité des opérations. Les initiatives de la Stratégie emploi jeunesse sont exécutées à l'échelle nationale, régionale et locale par le truchement de divers instruments de financement, comme des accords de contribution et certains moyens d'exécution directe. Les paiements de transfert sont principalement fournis par les ministères participants au moyen d'accords de contribution et d'ententes de prestation de services à l'appui de la rémunération du participant et des frais généraux. Le Ministère a signé des protocoles jeunesse sur les mécanismes de planification commune avec Terre-Neuve-et-Labrador, la Nouvelle-Écosse, l'ÃŽle-du-Prince-Édouard, le Nouveau-Brunswick et le Manitoba. |
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En millions de dollars | |||||||
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Allocation totale (de la date de mise en œuvre à la date de clôture) | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles 2007-2008 | Résultats attendus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. Ressources humaines et Développement social Canada - Service Canada | AP 1 | a. Objectif carrière | En cours | 13,0 | 11,6* |
RHDSC - Objectif carrière - conseils sectoriels
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RHDSC -Objectif carrière - conseils sectoriels
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Service Canada
|
Service Canada
|
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b. Connexion compétences | 167,5 | 141,0* |
RHDSC avec Service Canada
|
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AP 2 | c. Expérience emploi été | 54,2 | 107,4* | RHDSC avec Service Canada Aucune cible fixée (ce programme fait l'objet d'un examen dans le cadre de l'engagement du gouvernement relatif à l'examen permanent des dépenses de programmes) |
|
||
2. Agriculture et Agroalimentaire Canada | AP 1 | a. Objectif carrière | 1,1 | 0,8 | Les cibles ne sont pas fixées par RHDSC pour d'autres ministères |
|
|
3. Agence canadienne d'inspection des aliments | AP 1 | a. Objectif carrière | 0,1 | 0,1 |
|
||
4. Agence canadienne de développement international | AP 1 | a. Objectif carrière | 6,4 | 5,5 |
|
||
5. Patrimoine canadien | AP 1 | a. Objectif carrière | 0,9 | 0,9 |
|
||
b. Expérience emploi été | 9,8 | 7,2 |
|
||||
6. Environnement Canada | AP 1 | a. Objectif carrière | 3,3 | 1,6 |
|
||
7. Industrie Canada | AP 1 | a. Objectif carrière | 9,8 | 8,1 |
(OPE-PAEP)
|
||
b. Expérience emploi été | 10,0 | 5,5 |
(IJ du PAC - Été)
|
||||
8. Conseil national de recherches du Canada | AP 1 | a. Objectif carrière | 5,4 | 5.0 |
|
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9. Ressources naturelles Canada | AP 1 | a. Objectif carrière | 0,6 | 0,6 |
|
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10. Société canadienne d'hypothèques et de logement | AP 1 | a. Connexion compétences | 1,0 | 1,0 |
|
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11. Affaires indiennes et du Nord Canada | AP 1 | a. Connexion compétences | 14,0 | 15,4 |
|
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b. Expérience emploi été | 10,0 | 9,8 |
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12. Parcs Canada | AP 1 | a. Expérience emploi été | 2,0 | 2,0 |
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Total en cours |
Total 309,1 |
Total 323,5 |
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Commentaires sur les écarts : Les dépenses réelles sont supérieures aux dépenses prévues en raison de fonds reçus par RHDSC au moyen du Budget supplémentaire des dépenses (A) de 2007-2008 pour le programme Emplois d'été Canada dans le volet Expérience emploi été de la SEJ. Ces fonds sont contrebalancés par des retards dans la mise en œuvre des projets Connexion compétences et Objectif carrière, par l'incapacité de certains employeurs subventionnés dans le cadre du programme Emplois d'été Canada à doter tous les postes pour lesquels le financement a été approuvé et par le fait que certains étudiants ont quitté leur emploi prématurément. |
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Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant):
s.o. |
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Coordonnées de la personne-ressource:
John Atherton, |
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*Nota - Les dépenses réelles de RHDSC en 2007-2008 englobent les ressources de fonctionnement estimatives de 23,9 millions de dollars. |
Nom de l'initiative horizontale : Programme canadien de prêts aux étudiants |
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Nom du ministère responsable : Ressources humaines et Développement social Canada |
Activité de programme du ministère responsable : Apprentissage |
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Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er août 1964 |
Date de clôture de l'initiative horizontale : En cours |
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Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture): En cours | |||||||
Description de l'initiative horizontale : (y compris l'accord de financement):
Le Programme canadien de prêts aux étudiants vise à promouvoir l'accessibilité à l'enseignement postsecondaire aux étudiants pouvant démontrer qu'ils ont besoin d'aide financière en réduisant les obstacles financiers par l'octroi de prêts et de bourses et à s'assurer que les Canadiens ont la possibilité d'acquérir les compétences et les connaissances nécessaires pour s'intégrer au marché du travail et à la communauté. Depuis 1964, le Programme a aidé des millions d'étudiants à poursuivre des études postsecondaires. En août 2000, le Programme canadien de prêts aux étudiants a abandonné les mesures de financement à risques partagés qui avaient été établies avec les institutions financières entre 1995 et 2000 au profit d'un régime de financement direct de prêts aux étudiants. Ainsi, le mode de prestation de services a été repensé de sorte que les prêts aux étudiants soient directement financés, et deux fournisseurs de services privés ont été embauchés en 2001 pour administrer les prêts. À compter de mars 2008, le contrat d'administration des prêts sera confié à un seul fournisseur de services. En furetant sur le site http://www.cibletudes.ca/, le public trouvera des informations sur l'épargne, la planification et le financement des études postsecondaires et les bénéficiaires du Programme canadien de prêts aux étudiants y trouveront des renseignements précis sur une sélection de possibilités d'apprentissage, la planification financière et la manière de présenter une demande, de gérer et de rembourser des prêts pour les études. |
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Résultats communs :
Tenir l'engagement pris par le gouvernement à l'égard de l'accessibilité aux études postsecondaires :
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Structures de gouvernance :
Le gouvernement du Canada a conclu des ententes d'intégration avec quatre provinces participantes (Ontario, Saskatchewan, Nouveau-Brunswick et Terre-Neuve-et-Labrador) dans le but de créer un service de « prêt unique par étudiant ». Les emprunteurs de ces quatre provinces représentent plus de 60 % des emprunteurs du Programme canadien de prêts aux étudiants. L'administration du programme actuel résulte de la collaboration entre Ressources humaines et Développement social Canada, Service Canada, l'Agence du revenu du Canada, les provinces participantes, le Territoire du Yukon, un fournisseur de services et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. Ces fondés de pouvoir sont chargés d'une ou de plusieurs activités au cours du cycle de vie du prêt. Les documents et les outils de communication sont généralement préparés en collaboration et avec l'approbation du gouvernement fédéral et des provinces et territoires participants. Le Québec, les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut ne participent pas au Programme canadien de prêts aux étudiants. Cette province et ces territoires reçoivent un montant compensatoire pour les aider à défrayer les coûts d'administration d'un programme similaire d'aide financière aux étudiants. La responsabilité fondamentale du Programme canadien de prêts aux étudiants consiste à gérer efficacement le Programme et les relations avec les fondés de pouvoir. Les activités liées au Programme comprennent, par exemple, les relations avec les bénéficiaires dans les cas graves ainsi que la fonction de contrôleur. Les bureaux provinciaux d'aide aux étudiants, qui administrent également l'aide provinciale, s'occupent de la mise en application et de l'évaluation des besoins. Les provinces participantes et le Territoire du Yukon :
Alors que le Programme canadien de prêts aux étudiants fournit des conseils et des directives sur la mise en œuvre du Programme, le fournisseur de services assume la responsabilité de la gestion du prêt une fois que l'accord de prêt est signé et soumis en vue d'être traité. Les responsabilités du fournisseur de services comprend :
Travaux publics et Services gouvernementaux Canada est tenu de verser aux emprunteurs et aux établissements d'enseignement les montants des prêts à partir des dossiers déjà approuvés par le Programme canadien de prêts aux étudiants dans le cas des fonds destinés aux frais de scolarité. Les services de recouvrement non fiscaux de l'Agence du revenu du Canada sont tenus de recouvrer les créances. Les prêts garantis et à risques partagés qui ne sont pas remboursés selon les modalités prévues deviennent une créance de l'État après que le gouvernement du Canada a racheté la dette des institutions financières. Les services de recouvrement non fiscaux de l'Agence du revenu du Canada deviennent responsables des prêts financés directement lorsque le fournisseur de services a tenté de recouvrir les sommes dues pendant une certaine période et que l'emprunteur n'a pas fait de paiements sur son prêt ou n'est pas disposé à rembourser. L'Agence du revenu du Canada peut également demander à des agences privées de recouvrement embauchées sous contrat d'exécuter ces tâches. Ces agences privées de recouvrement doivent se conformer aux lignes directrices fixées par l'Agence du revenu du Canada lorsqu'elles procèdent au recouvrement des dettes de l'État. |
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En millions de dollars | |||||||
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Allocation totale (de la date de mise en œuvre à la date de clôture) | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles 2007-2008 | Résultats attendus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. | Ressources humaines et Développement social Canada Travaux publics et Services gouvernementaux Canada Agence du revenu du Canada |
s.o. | En cours (fonds prévus par la loi) |
790,4 Prêts accordés en vertu de la Loi fédérale sur l'aide financière aux étudiants : 2,0 G$ |
572,2 |
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Total |
Total 790,4 |
Total 572,2 |
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Commentaires sur les écarts :
Une bonne partie des écarts (218,2 M$) est attribuable à des revenus d'intérêts sur les prêts directs plus élevés que prévu (107,1 M$), à un ajustement des créances irrécouvrables (48,8 M$) en raison de la combinaison de changements apportés à la méthodologie de calcul des dépenses par le Bureau de l'actuaire en chef, au remboursement accéléré et à la diminution importante des montants compensatoires (58,7 M$) découlant de la réduction des prêts en souffrance. En outre, d'autres écarts, pour un total de 3,6 millions de dollars, sont le résultat de la combinaison d'écarts mineurs reliés à d'autres composantes du programme. |
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Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant):
s.o. |
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Coordonnées de la personne-ressource:
Barbara Glover |
Approuvé par :
David MacDonald |
Date d'approbation : | |||||
Pour obtenir des renseignements concernant votre prêt ou le remboursement de votre prêt, veuillez consulter les sites suivants : http://osap.gov.on.ca/fre/not_secure/general.htm#NSLSC ou www.cibletudes.ca |
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a Veuillez noter que ce chiffre est approximatif puisque les prêts sont accordés en fonction de l'admissibilité et d'un besoin financier manifeste. b Veuillez noter que ce chiffre est approximatif puisque les subventions sont accordées en fonction de l'admissibilité et d'un besoin financier manifeste. |
Nom de l'initiative horizontale : Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance |
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Nom du ministère responsable : Ressources humaines et Développement social Canada |
Activité de programme du ministère responsable : Logement et sans-abri |
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Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1er avril 2007 |
Date de clôture de l'initiative horizontale : 31 mars 2009 |
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Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture): 269,6 M$ sur deux ans, c'est-à -dire 6 M$ pour l'Initiative visant à mettre des biens immobiliers excédentaires fédéraux à la disposition des sans-abri, administrée par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. | |||||||
Description de l'initiative horizontale : (y compris l'accord de financement):
La Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance (qui remplace l'Initiative nationale pour les sans-abri) permet de faire des investissements stratégiques en fonction des priorités communautaires et prévoit un processus de planification qui encourage la collaboration entre les gouvernements, les organismes et les organisations communautaires en vue de trouver des solutions locales pour les sans-abri et les personnes à risque. La Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance est conçue de façon à venir en aide à 61 collectivités désignées et à quelques collectivités petites, rurales, autochtones et du Nord, afin de les aider à adopter des mesures communautaires visant à aider les sans-abri et leur famille à devenir autonomes. Dans le cadre de la Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance, l'Initiative visant à mettre des biens immobiliers excédentaires fédéraux à la disposition des sans-abri est plus flexible et permet des échanges de terrains. Les groupes communautaires peuvent, selon certaines conditions, échanger un bien immobilier fédéral reçu dans le cadre de l'Initiative visant à mettre des biens immobiliers excédentaires fédéraux à la disposition des sans-abri contre un autre bien semblable, qui leur convient mieux. Par ailleurs, la période de contrôle a été prolongée à 15 ans (elle était de cinq ans dans l'Initiative nationale pour les sans-abri) pour que les bénéficiaires et les collectivités reçoivent des prestations durables à long terme. Ces deux améliorations font partie des nouvelles modalités du programme. La Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance a continué :
Pour plus de renseignements, voir le site Web de la Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance, à l'adresse suivante : http://www.sans-abri.gc.ca/ Contexte En décembre 1999, le gouvernement du Canada a lancé l'Initiative nationale pour les sans-abri. Cette initiative d'une durée de trois ans était dotée d'un budget de 753 millions de dollars et devait donner lieu à l'élaboration de nouveaux programmes et à l'amélioration des programmes existants en vue de régler le problème de l'itinérance au Canada. En février 2003, le gouvernement a renouvelé l'Initiative nationale pour les sans-abri pour une période supplémentaire de trois ans et lui a accordé un budget de 405 millions de dollars. En novembre 2005, il l'a de nouveau prolongée d'une autre année (2006-2007) et y a affecté une somme supplémentaire de 134,8 millions de dollars pour venir en aide aux collectivités grâce à des investissements dans des initiatives sur l'itinérance donnant de bons résultats. Le 19 décembre 2006, il a annoncé la nouvelle Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance qui est entrée en vigueur le 1er avril 2007, qui se poursuivra jusqu'au 31 mars 2009 et dont l'affectation budgétaire est de 269,6 millions de dollars. |
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Résultats communs :
Amélioration de la sécurité du revenu, accès aux possibilités et mieux-être des personnes, des familles et des collectivités. |
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Structures de gouvernance :
Le programme communautaire de la Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance - l'Initiative des partenariats de lutte contre l'itinérance - est offert suivant deux modèles :
Contrairement aux autres provinces et territoires, le Québec offre l'Initiative des partenariats de lutte contre l'itinérance dans le cadre d'une entente officielle Canada-Québec, en collaboration avec la province de Québec. Selon ce modèle, les agences de la santé et des services sociaux du Québec sont responsables du processus de planification communautaire ainsi que de la sélection et de la recommandation des projets. Ces « agences » sont les organes de prestation du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, tout comme Service Canada l'est pour RHDSC. Un comité de gestion conjoint, composé de représentants fédéraux et provinciaux, examine chaque projet et recommande des projets réussis en vue de leur approbation par le gouvernement du Canada. La Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance reconnaît que la prévention et la réduction de l'itinérance nécessitent une collaboration entre tous les paliers de gouvernement, particulièrement entre le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux et territoriaux. Les provinces et territoires seront invités à conclure des ententes bilatérales avec le gouvernement fédéral. L'Entente Canada-Québec sert de modèle qui sera adapté à d'autres secteurs de compétence. Les ententes en matière de partenariat offriront aux provinces et territoires l'occasion de participer dès le début à la planification communautaire et à l'établissement de priorités. Les ententes appuieront l'harmonisation des investissements fédéraux, provinciaux et territoriaux, pour renforcer les liens entre les services sociaux et le logement et assurer la viabilité opérationnelle des projets communautaires. Cette approche fondée sur des partenariats garantira que tous les outils et mécanismes de soutien nécessaires sont en place pour permettre aux sans-abri de trouver un logement et des services de soutien qui répondent bien à leurs besoins, et aux personnes à risque d'itinérance de trouver un logement stable. L'Initiative visant à mettre des biens immobiliers excédentaires fédéraux à la disposition des sans-abri est un programme de la Stratégie des partenariats de lutte contre l'itinérance qui est cogéré par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada et Ressources humaines et Développement social Canada, avec l'aide et les conseils de la Société canadienne d'hypothèques et de logement. |
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En millions de dollars | |||||||
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Allocation totale (de la date de mise en œuvre à la date de clôture) | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles 2007-2008 | Résultats attendus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. Ressources humaines et Développement social Canada | a. Initiative des partenariats de lutte contre l'itinérance | 259,9 | 129,9 | 87,6 |
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b. Réseau sur les responsabilités en matière d'itinérance | 3,7 | 1,9 | 1,0 |
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2. Travaux publics et Services gouvernementaux Canada | a. Initiative visant à mettre des biens immobiliers excédentaires fédéraux à la disposition des sans-abri | [Le financement de l'Initiative visant à mettre des biens immobiliers excédentaires fédéraux à la disposition des sans-abri est administré par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada] | s.o. | s.o. | Renforcement de la capacité des collectivités de mettre des biens immobiliers à la disposition des sans-abri et de leur famille |
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Total 263,6 |
Total 131,8 |
Total 88,6 |
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Commentaires sur les écarts : L'écart entre les dépenses prévues et réelles de 43,2 M$ a été reporté partiellement dans la MJANR 2008-2009 (17,5 M$). Le reste fera l'objet d'une demande de report dans le budget supplémentaire des dépenses (B) pour que des sommes soient disponibles pour les projets en cours d'élaboration en vue des activités visant à prévenir et à réduire l'itinérance. |
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Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant): | |||||||
Coordonnées de la personne-ressource:
Jim Young |
Approuvé par :
Bayla Kolk |
Date d'approbation : |
Nom de l'initiative horizontale : Prestation nationale pour enfants |
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Nom du ministère responsable : Ressources humaines et Développement social Canada |
Activité de programme du ministère responsable : Enfants et familles |
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Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : 1998 |
Date de clôture de l'initiative horizontale : En cours |
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Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture): Selon la loi | |||||||
Description de l'initiative horizontale : (y compris l'accord de financement):
La Prestation nationale pour enfants1 s'inscrit dans une vaste stratégie fédérale, provinciale et territoriale, le Programme national d'action pour les enfants, qui vise à aider les enfants au Canada. Par l'intermédiaire de la Prestation nationale pour enfants, le gouvernement du Canada cherche, en collaboration avec les gouvernements provinciaux et territoriaux, à offrir un soutien du revenu, ainsi que des prestations et des services aux familles à faible revenu avec enfants. L'initiative comporte également un volet à l'intention des Premières nations. |
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Résultats communs :
L'initiative de la Prestation nationale pour enfants vise trois objectifs :
En outre, en juin 2005, les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux ont publié un rapport de synthèse sur une évaluation globale des trois premières années de l'initiative de la Prestation nationale pour enfants (1998-1999, 1999-2000, 2000-2001). L'évaluation a permis de compiler des preuves de plusieurs études et de démontrer que la Prestation nationale pour enfants atteint ses buts. En outre, le processus de lancement d'une autre étude a débuté. Pour une analyse complète des indicateurs, voir les chapitres 5 et 6 du Rapport d'étape de 2006 de la Prestation nationale pour enfants. Pour une analyse des résultats de l'évaluation, voir le Rapport de synthèse de l'évaluation de l'initiative de la Prestation nationale pour enfants. Ces rapports sont disponibles gratuitement sur le site Internet de la Prestation nationale pour enfants, http://www.prestationnationalepourenfants.ca . |
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Structures de gouvernance :
Le Cadre de gestion et de responsabilité de la Prestation nationale pour enfants décrit les principales caractéristiques du partenariat fédéral, provincial et territorial : collaboration, transparence, souplesse, évolution et reddition de comptes. À titre d'initiative de collaboration entre les gouvernements, la Prestation nationale pour enfants allie les avantages d'un programme national à la souplesse des initiatives provinciales et territoriales conçues pour répondre aux besoins particuliers de chaque secteur de compétence, dans le contexte qui caractérise chacun. Pour ce qui est de la reddition de comptes, selon le Cadre de gestion et de responsabilité, les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux chargés des services sociaux se sont engagés à mettre en commun des données sur les initiatives de réinvestissement et à examiner les résultats obtenus afin de recenser les pratiques exemplaires. Les gouvernements fédéraux-provinciaux-territoriaux se sont aussi entendus pour faire rapport annuellement à la population en mettant en lumière les résultats de l'initiative. À ce jour, six rapports d'étape annuels ont été publiés, de même qu'un rapport de synthèse sur l'évaluation globale des trois premières années de l'initiative. Rôle du gouvernement fédéral : Grâce à la Prestation nationale pour enfants, le gouvernement du Canada offre un soutien du revenu supplémentaire aux familles à faible revenu avec enfants au moyen du Supplément de la Prestation nationale pour enfants de la Prestation fiscale canadienne pour enfants. L'Agence du revenu du Canada verse ces prestations aux familles. Ressources humaines et Développement social Canada est chargé de l'élaboration des politiques relativement à l'initiative de la Prestation nationale pour enfants, et le ministre de Ressources humaines et Développement social représente le gouvernement du Canada dans cette initiative fédérale-provinciale-territoriale. La Prestation fiscale canadienne pour enfants (y compris le Supplément de la Prestation nationale pour enfants) est une mesure fiscale appliquée par l'Agence du revenu du Canada. Affaires indiennes et du Nord Canada et Citoyenneté et Immigration Canada ont un rôle à jouer en matière de réinvestissement et d'investissement. Rôle des provinces et des territoires : Avec la Prestation nationale pour enfants, les provinces, les territoires et les Premières nations offrent des prestations et des services servant à atteindre les objectifs de l'initiative. La Prestation nationale pour enfants est conçue de telle sorte que les provinces, les territoires et les Premières nations disposent de la latitude nécessaire pour élaborer et offrir des programmes et des services qui répondent le mieux aux besoins et aux priorités de leurs collectivités. De cette façon, les provinces et les territoires peuvent adapter les paiements d'aide sociale ou de prestations pour enfants en fonction de la totalité ou d'une partie du montant du Supplément de la Prestation nationale pour enfants. C'est ainsi que la situation des familles vivant de l'aide sociale ne s'est pas détériorée pour ce qui est du montant des prestations, et que les provinces et les territoires ont pu bénéficier de fonds pour des programmes nouveaux ou améliorés à l'avantage des familles à faible revenu avec enfants. Il est important de signaler que, comme l'initiative de la Prestation nationale pour enfants est maintenant arrivée à maturité, la majorité des provinces et des territoires ne récupèrent plus les hausses du Supplément de la Prestation nationale pour enfants. C'est donc que la vaste majorité des enfants vivant dans des familles à faible revenu, y compris ceux qui bénéficient de l'aide sociale, touchent actuellement une partie ou la totalité du Supplément de la Prestation nationale pour enfants. En vertu du Cadre national de réinvestissement, les gouvernements des provinces et des territoires, de même que les Premières nations, se sont engagés à réaffecter les fonds d'aide sociale disponibles dans des prestations et des services pour les enfants de familles à faible revenu pour contribuer à l'atteinte des objectifs de l'initiative. Les secteurs de compétence ont orienté leurs investissements principalement dans cinq secteurs importants :
Rôle des Premières nations : Le gouvernement fédéral veille à ce que les programmes pour les enfants des Premières nations dans les réserves soient comparables à ceux qui sont offerts aux autres enfants au Canada. Avec la Prestation nationale pour enfants, les Premières nations ont la possibilité de réinvestir les économies découlant des rajustements de l'aide sociale dans des programmes et des services conçus pour répondre aux besoins et aux priorités de chacune des collectivités. Quelque 500 Premières nations participent à l'initiative de la Prestation nationale pour enfants et mettent en œuvre leurs propres programmes. |
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En millions de dollars | |||||||
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux2 | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Allocation totale (de la date de mise en œuvre à la date de clôture) | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles 2007-2008 | Résultats attendus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. | 1. Agence du revenu du Canada | Supplément de la Prestation nationale pour enfants | En cours | 3,5 milliards de dollars | Information non disponible | Progrès constants vers les objectifs de l'initiative de la Prestation nationale pour enfants, comme il est expliqué dans les « Résultats communs » ci dessus. | Information non disponible |
Commentaires sur les écarts : s.o. |
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Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant): | |||||||
Coordonnées de la personne-ressource:
Carole Vallerand |
Approuvé par :
Shawn Tupper, |
Date d'approbation : | |||||
Note : 1Le gouvernement du Québec a déclaré qu'il entérinait les principes de base de la Prestation nationale pour enfants. Il a cependant décidé de ne pas participer à l'initiative parce qu'il veut être maître du soutien du revenu pour les enfants au Québec; toutefois, il a adopté une démarche semblable à la Prestation nationale pour enfants. Dans le présent document, les mentions au sujet des positions conjointes fédérales, provinciales et territoriales n'englobent pas le Québec. 2Même si Ressources humaines et Développement social Canada est responsable de l'élaboration des politiques relatives à l'initiative de la Prestation nationale pour enfants, la Prestation fiscale canadienne pour enfants (y compris le Supplément de la Prestation nationale pour enfants) est une mesure fiscale qui est appliquée par l'Agence du revenu du Canada. En outre, Affaires indiennes et du Nord Canada et Citoyenneté et Immigration Canada jouent un rôle dans les réinvestissements et les investissements. |
Nom de l'initiative horizontale : Cadre multilatéral pour l'apprentissage et la garde des jeunes enfants |
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Nom du ministère responsable : Ressources humaines et Développement social Canada |
Activité de programme du ministère responsable : Enfants et familles |
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Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : Mars 2003 |
Date de clôture de l'initiative horizontale : En cours |
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Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture): 350 millions de dollars en 2007-2008 | |||||||
Description de l'initiative horizontale : (y compris l'accord de financement):
En mars 2003, les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux responsables des services sociaux se sont entendus sur un cadre propre à rendre plus accessibles des programmes et des services abordables et de qualité sous réglementation provinciale et territoriale pour l'apprentissage et la garde des jeunes enfants. En vertu du cadre multilatéral, le gouvernement du Canada prévoit un montant de 1,05 milliard de dollars sur cinq ans au moyen du TCPS afin de soutenir les investissements des gouvernements provinciaux et territoriaux dans l'apprentissage et la garde des jeunes enfants. Cette initiative est le complément de l'Entente sur le développement de la petite enfance, conclue en septembre 2000. Cette initiative vise à promouvoir le développement de la petite enfance et à soutenir la participation des parents à l'emploi ou à la formation en améliorant l'accès à des programmes et à des services d'apprentissage et de garde des jeunes enfants abordables et de qualité. Les programmes et services financés à cette fin par une telle initiative assureront surtout ce soutien aux enfants dans les garderies institutionnelles et familiales, les établissements préscolaires, les jardins d'enfants, etc. Les types d'investissements comprennent le financement des budgets d'immobilisation et d'exploitation, les subventions des places de garderie, les subventions salariales, la formation, le perfectionnement professionnel et le soutien, l'assurance de la qualité, l'information à l'intention des parents et l'aiguillage de ces derniers. Les programmes et services qui font partie du système scolaire officiel ne figurent pas dans cette initiative. Les gouvernements se sont également engagés à produire des rapports publics transparents qui donneront aux Canadiens une idée claire de l'état d'avancement de l'amélioration de l'accès à des programmes et à des services d'apprentissage et de garde des jeunes enfants abordables et de qualité, en commençant par un rapport de référence en novembre 2003. Le portail Web fédéral, provincial et territorial sur le développement de la petite enfance et l'apprentissage et la garde des jeunes enfants (http://www.ecd-elcc.ca/) contient des renseignements sur l'initiative, y compris le texte du Cadre multilatéral pour l'apprentissage et la garde des jeunes enfants. |
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Résultats communs :
Les objectifs de l'initiative, qui sont décrits dans le Cadre multilatéral pour l'apprentissage et la garde des jeunes enfants, sont les suivants :
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Structures de gouvernance :
Le Cadre multilatéral pour l'apprentissage et la garde des jeunes enfants reconnaît que les provinces et territoires sont les principaux responsables des programmes et des services d'apprentissage et de garde des jeunes enfants. La tâche de mettre en œuvre les engagements établis dans le Cadre multilatéral a été confiée à un groupe de travail constitué de représentants de toutes les administrations (y compris le Québec, qui y participe comme observateur). Ce groupe de travail relève des sous-ministres responsables des services sociaux et est coprésidé par Ressources humaines et Développement social Canada et la Saskatchewan. |
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En millions de dollars | |||||||
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Allocation totale (de la date de mise en œuvre à la date de clôture) | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles 2007-2008 | Résultats attendus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
s.o. Le Cadre multilatéral pour l'apprentissage et la garde des jeunes enfants est une initiative fédérale-provinciale-territoriale. |
En 2007-2008, le gouvernement du Canada a transféré 350 M$ par le truchement du Transfert social canadien aux provinces et aux territoires pour qu'ils investissent dans les programmes et services liés à l'apprentissage et à la garde des jeunes enfants. Tous les gouvernements ont reconnu que les investissements dans l'apprentissage et la garde des jeunes enfants devraient être progressifs, prévisibles et viables sur une longue période. Tous les gouvernements se sont engagés à investir de plus en plus dans les programmes réglementés d'apprentissage et de garde des jeunes enfants. |
Le Transfert social canadien est un transfert en bloc aux provinces et aux territoires qui n'exige pas que ces derniers rendent des comptes au gouvernement du Canada sur les résultats qu'ils obtiennent. | |||||
Total
350 M$ par le truchement du Transfert social canadien |
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Commentaires sur les écarts : s.o. |
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Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant):
Les gouvernements provinciaux et territoriaux ont accepté d'investir les subventions accordées aux programmes réglementés d'apprentissage et de garde des jeunes enfants pour les enfants de moins de six ans. Les programmes et services financés à cette fin par une telle initiative assureront surtout ce soutien aux enfants dans les garderies institutionnelles et familiales, les établissements préscolaires, les jardins d'enfants, etc. On prévoit notamment des fonds d'investissement et de fonctionnement, des subventions de places de garde, des subventions salaires, des services de formation, de perfectionnement professionnel et de soutien, l'assurance de la qualité et des activités d'information et d'aiguillage des parents. Les programmes et les services qui font partie du système scolaire officiel ne figurent pas dans cette initiative. Les gouvernements se sont également engagés à produire des rapports publics transparents qui donneront aux Canadiens une idée claire de l'état d'avancement de l'amélioration de l'accès à des programmes et à des services d'apprentissage et de garde des jeunes enfants abordables et de qualité, en commençant par un rapport de référence en novembre 2003 et un rapport annuel en novembre 2004. Le gouvernement du Québec adhère aux principes généraux de l'initiative de l'apprentissage et de la garde des jeunes enfants mais n'a pas participé à son élaboration puisqu'il tient à préserver sa compétence exclusive en matière sociale. Toutefois, il reçoit sa part des fonds accordés par le gouvernement du Canada et investit des sommes importantes dans les programmes et les services destinés aux familles et aux enfants. |
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Coordonnées de la personne-ressource:
Lynne Westlake |
Approuvé par :
Shawn Tupper, |
Date d'approbation : |
Nom de l'initiative horizontale : Entente sur le développement de la petite enfance |
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Nom du ministère responsable : Ressources humaines et Développement social Canada |
Activité de programme du ministère responsable : Enfants et familles |
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Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : Septembre 2000, début du financement en avril 2001 |
Date de clôture de l'initiative horizontale : En cours |
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Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture): 500 millions de dollars pour 2007-2008 | |||||||
Description de l'initiative horizontale : (y compris l'accord de financement):
En septembre 2000, les premiers ministres ont conclu une entente, l'Entente fédérale, provinciale et territoriale sur le développement de la petite enfance, pour améliorer et accroître les mesures de soutien du développement de la petite enfance pour les jeunes enfants (6 ans et moins) et leurs parents. Le gouvernement du Québec adhère aux principes généraux de l'initiative du développement de la petite enfance mais n'a pas participé à son élaboration puisqu'il tient à préserver sa compétence exclusive en matière sociale. Toutefois, il reçoit sa part des fonds accordés par le gouvernement du Canada et investit des sommes importantes dans les programmes et les services destinés aux familles et aux enfants. Le portail Web fédéral, provincial et territorial sur le développement de la petite enfance et l'apprentissage et la garde des jeunes enfants (http://www.ecd-elcc.ca/) contient des renseignements sur l'entente, notamment le texte du communiqué des premiers ministres sur le développement de la petite enfance. |
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Résultats communs :
Les objectifs de cette initiative, qui sont décrits dans l'Entente sur le développement de la petite enfance, sont les suivants :
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Structures de gouvernance :
Dans l'Entente sur le développement de la petite enfance, les premiers ministres ont reconnu que les provinces et les territoires étaient les principales administrations responsables des programmes et des services de développement de la petite enfance. Les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux responsables des services sociaux et les ministres de la Santé sont chargés de la mise en œuvre des engagements qui figurent dans l'entente. La tâche de la mise en œuvre a été confiée à un groupe de travail constitué de représentants de toutes les administrations (y compris le Québec, qui y participe comme observateur). Le groupe de travail est coprésidé par RHDSC et la Saskatchewan. |
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En millions de dollars | |||||||
Partenaires fédéraux | Activité de programme des partenaires fédéraux | Noms des programmes des partenaires fédéraux | Allocation totale (de la date de mise en œuvre à la date de clôture) | Dépenses prévues pour 2007-2008 | Dépenses réelles 2007-2008 | Résultats attendus pour 2007-2008 | Résultats obtenus en 2007-2008 |
s.o. L'Entente sur le développement de la petite enfance est une initiative fédérale-provinciale-territoriale. | En 2007-2008, le gouvernement du Canada a transféré 500 M$ par le truchement du Transfert social canadien aux provinces et aux territoires pour qu'ils investissent dans les programmes et services liés au développement de la petite enfance. | Le Transfert social canadien est un transfert en bloc aux provinces et aux territoires qui n'exige pas que ces derniers rendent des comptes au gouvernement du Canada sur les résultats qu'ils obtiennent. | |||||
Total : 500 M$ par le truchement du Transfert social canadien |
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Commentaires sur les écarts : s.o. |
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Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant):
Les gouvernements provinciaux et territoriaux investissent les fonds qui leur sont transférés par le gouvernement du Canada dans une partie ou la totalité des domaines d'intervention énumérés dans l'Entente sur le développement de la petite enfance :
Tous les gouvernements participants (fédéral, provinciaux et territoriaux) se sont engagés à respecter trois exigences de déclaration :
Au gouvernement du Canada, Ressources humaines et Développement social Canada et l'Agence de la santé publique du Canada se partagent la responsabilité de la mise en œuvre des engagements décrits dans l'Entente sur le développement de la petite enfance. |
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Coordonnées de la personne-ressource:
Lynne Westlake, |
Approuvé par :
Shawn Tupper, |
Date d'approbation : |
Tableau 8 : Initiatives horizontales
1. Nom de l'initiative horizontale : Plan de gestion des produits chimiques
2. Nom des ministères responsables : Santé Canada et Environnement Canada
3. Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : Exercice 2007-2008
4. Date de clôture de l'initiative horizontale : Exercice 2010-2011
5. Total des fonds fédéraux affectés : 299,2 M$
6. Description de l'initiative horizontale
Le Plan de gestion des produits chimiques (PGPC) fait partie du plan environnemental global du gouvernement et est géré conjointement par Santé Canada et Environnement Canada (EC). Les activités exposées dans ce plan tireront parti de la position du Canada comme chef de file mondial dans la gestion sécuritaire des substances chimiques et des substances chimiques que l'on trouve
dans les produits et portent sur des mesures opportunes à l'égard de menaces centrales pour la santé et l'environnement.
Le PGPC imposera également un niveau de responsabilité accru à l'industrie par des mesures réalistes et applicables, stimulera l'innovation, et augmentera la compétitivité canadienne dans un marché international où de plus en plus d'attention est portée à l'innocuité des substances chimiques et des produits.
Santé Canada et EC gèrent le financement du PGPC ensemble et s'assurent qu'il cadre avec les plus grandes priorités en matière de protection de la santé humaine et de l'environnement .
Dans le cadre du modèle du PGPC, le processus de gestion réglementaire des produits chimiques peut être mis en oeuvre en vertu d'un certain nombre de lois, dont les suivantes : Loi sur les aliments et drogues (LAD), Loi sur les produits antiparasitaires (LPA), Loi sur les produits dangereux (LPD) et Loi canadienne sur la protection de l'environnement (LCPE) . Santé Canada est responsable des trois premières lois, et Santé Canada et Environnement Canada sont coresponsables de la LCPE.
Les directions générales, les directions et les programmes suivants sont touchés par les activités liées au PGPC :
Santé Canada
Environnement Canada
7. Résultats partagés
Parmi les résultats de haut niveau concernant le PGPC, mentionnons les suivants :
8. Structures de gouvernance
Santé Canada partage la responsabilité du PGPC avec Environnement Canada. Le PGPC consiste en cinq éléments de programme interdépendants (énumérés ci-dessous) à planifier, à offrir et à évaluer dans le contexte d'un cadre intégré, géré conjointement par les deux ministères.
Au sein du gouvernement fédéral, la gouvernance du PGPC doit être assurée par l'entremise d'un comité conjoint formé des sous-ministres adjoints (SMA) de Santé Canada et d'Environnement Canada de même que du comité exécutif interministériel de gestion des produits chimiques.
Le comité exécutif interministériel de gestion des produits chimiques a pour mandat de veiller à ce que toutes les questions de gestion des produits chimiques soient prises en charge de manière optimale et que les activités en vertu du PGPC soient exécutées de façon intégrée à l'aide de diverses lois, notamment la LCPE, la LPA, la LAD et la LPD.
Les principaux éléments de travail axés sur les principales activités du PGPC (évaluation des risques, gestion des risques, recherche et sciences, contrôle et surveillance ainsi que gestion des politiques et des programmes) sont établis pour appuyer les structures de gouvernance susmentionnées.
9. Partenaires fédéraux participant à chaque programme | 10. Nom des programmes | 11. Total des fonds affectés | 12. Dépenses prévues pour l'exercice 2007-2008 | 13. Dépenses réelles de l'exercice 2007-2008 |
---|---|---|---|---|
Santé Canada | Évaluation des risques | 27,0 M$ | 3,2 M$ | |
Environnement Canada | 22,6 M$ | 3,5 M$ | ||
49,6 M$ (total) | 6,7 M$ (total) | |||
Santé Canada | Gestion des risques | 94,9 M$ | 12,7 M$ | |
Environnement Canada | 64,9 M$ | 9,1 M$ | ||
159,8 M$ (total) | 21,8 M$ (total) | |||
Santé Canada | Recherche et sciences | 30,2 M$ | 3,3 M$ | |
Environnement Canada | 2,1 M$ | 0,6 M$ | ||
32,3 M$ (total) | 3,9 M$ (total) | |||
Santé Canada | Contrôle et surveillance | 35,2 M$ | 3,4 M$ | |
Environnement Canada | 16,9 M$ | 3,0 M$ | ||
52,1 M$ (total) | 6,4 M$ (total) | |||
Santé Canada | Gestion des programmes | 5,4 M$ | 0,9 M$ | |
5,4 M$ (total) | 0.9 M$ (total) | |||
Total $299,2 M | Total 39,7 M$ |
Résultats prévus pour l'exercice 2007-2008 (selon le Rapport sur les plans et les priorités de 2007-2008)
Évaluation des risques : Par exemple, terminer l'évaluation d'environ 200 substances d'intérêt prioritaire en trois ans.
Gestion des risques : Contrôles efficaces, et intervenants et public canadien informés (p. ex. terminer la mise en oeuvre du système de déclaration obligatoire des incidents mettant en cause des pesticides et de la base de données sur les ventes de pesticides d'ici 2009).
Recherche : Compréhension des risques relatifs des substances toxiques (p. ex. terminer l'élaboration de méthodologies pour l'exposition humaine et l'analyse des tendances).
Contrôle et surveillance : Information sur l'efficacité des mesures de contrôle (p. ex. définir l'information scientifique à recueillir d'ici 2008).
Gestion de programmes : Direction, collaboration et coordination des activités scientifiques et administratives (p. ex. initiatives mises en oeuvre d'ici 2009 pour obtenir des résultats appropriés en ce qui a trait à la gestion des ressources et à la gouvernance).
Résultats atteints en 2007-2008
Un élément clé du PGPC est de prendre des mesures immédiates à l'égard des substances chimiques présentant la priorité la plus élevée. On recueille de l'information qui sera utilisée pour déterminer la meilleure approche à adopter pour protéger les Canadiens et leur environnement contre les risques que présentent certaines substances. L'initiative, que l'on appelle le « Défi », consiste à identifier les quelque 200 substances présentant la priorité la plus élevée, qui ont été réparties en groupes plus restreints et qui seront examinées dans l'ordre.
Des demandes de renseignements concernant les lots 2 à 5 présentées en vertu de l'article 71 de la LCPE ont été publiées dans le cadre du « Défi ». Des profils des substances ont été élaborés pour les lots 2 à 5. On a également élaboré de nouveaux règlements (p. ex. 31 substances toxiques visées par la LCPE et trois autres produits chimiques préoccupants ont vu leur règlement modifié) et mis au point un plan pour gérer les substances issues du pétrole très préoccupantes.
On établit actuellement des solutions de gestion des risques pour le Défi. Les résultats d'analyses scientifiques, juridiques et économiques ainsi que des conseils sur l'application de la loi sont pris en considération. Des consultations avec les intervenants de l'industrie touchés et le public canadien sont en cours et se poursuivront jusqu'à la fin du programme. Un groupe consultatif du Défi (experts) et le Conseil consultatif des intervenants du PGPC (ONG et industrie) ont également été établis. Le groupe consultatif a pour mandat de donner des conseils indépendants sur l'application du principe de précaution et de la valeur des données probantes dans le cadre de l'évaluation des risques liés aux substances visées par le Défi. Le conseil sert de tribune aux membres des ONG et aux intervenants de l'industrie et fournit au gouvernement des conseils et des renseignements sur diverses questions liées à la mise en oeuvre du PGPC.
La liste intérieure des substances (LID) répertorie environ 23 000 substances fabriquées, importées ou utilisées au Canada à des fins commerciales. Il s'agit de substances qui étaient présentes au Canada sous certaines conditions entre le 1 er janvier 1984 et le 31 décembre 1986. Si l'on propose d'utiliser une substance donnée à une fin différente de celle énoncée dans la déclaration initiale, une nouvelle activité peut être attribuée à une substance figurant à la LID si l'on ne dispose pas de renseignements suffisants pour s'assurer que la nouvelle activité ne pose aucun risque à l'environnement et à la santé humaine. L'application de nouvelles activités pour environ 56 substances qui ne sont plus commercialisées au Canada est en cours.
Des plans visant l'amélioration et l'expansion du portail et du site Web du PGPC ont été élaborés, et des produits de communication supplémentaires sont en cours d'élaboration, notamment des documents de vulgarisation scientifique (documents d'information). Un cadre mixte SC-EC de responsabilisation intégré en gestion du PGPC a également été élaboré, et le suivi trimestriel des engagements est continu.
Voici d'autres activités liées au PGPC qui sont menées durant l'exercice 2007-2008 :
16. Commentaires sur les écarts
17. Résultats atteints par les partenaires non fédéraux : S.O.
18. Personnes-ressources
Francois Dignard, SC
613-941-0590
francois_dignard@hc-sc.gc.ca
Mark Cuddy, EC
819-994-7467
mark.cuddy@ec.gc.ca
19. Approuvé par
20. Approuvé le
1. Nom de l'initiative horizontale : Rechercher la confiance du public dans la réglementation des pesticides et améliorer l'accès aux produits antiparasitaires
2. Ministère responsable : Santé Canada
3. Date de début : 2002-2003
4. Date de clôture : 2008-2009
5. Total des fonds fédéraux répartis : 155 millions de dollars 154,96 millions de dollars, arrondis au chiffre supérieur
6. Description :
Cette initiative fait partie des engagements du gouvernement fédéral décrits dans la présentation Rechercher la confiance du public dans la réglementation des pesticides et améliorer l'accès aux produits antiparasitaires au Secrétariat du Conseil du Trésor. Cette présentation et son Cadre de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) connexe décrivent la méthode intégrée par laquelle les initiatives seront mesurées, gérées et communiquées du début à la fin. Un élément important est que les intervenants et la population seront tenus informés au moyen d'un système de gestion transparent. Les ministères participants travailleront de concert pour atteindre des résultats communs, en mesurer le rendement et examiner les progrès réalisés. Cette initiative réunit le travail de six partenaires ministériels fédéraux pour gagner la confiance du public et des intervenants envers le système de réglementation des pesticides, pour protéger la santé et l'environnement, et pour augmenter la compétitivité des secteurs agroalimentaire et forestier. La recherche et la surveillance dans le domaine des pesticides sont coordonnées avec la réglementation de ces secteurs.
La présence et les effets des pesticides dans l'environnement, dans les écosystèmes marins et d'eau douce, et dans l'environnement forestier sont surveillés. Cette initiative accroît la surveillance et l'exécution de la loi en matière de limites maximales de résidus de pesticides dans les aliments et le fourrage, de résidus de pesticides dans les engrais, et de vérification de la garantie des pesticides dans les mélanges engrais-antiparasitaires. De nouveaux pesticides à risque réduit et des pesticides biologiques ont été créés pour le secteur de la foresterie et leur utilisation est encouragée. Des stratégies de réduction des risques pour les denrées dans le secteur agricole et agroalimentaire sont élaborées et mises en oeuvre. Des programmes d'amélioration de l'accès aux pesticides à usage limité et à risque réduit pour les usages agricoles sont en cours d'implantation. Des recherches sont effectuées dans le but d'introduire des pesticides à usage limité qui présentent un risque réduit pour l'environnement. Un système de déclaration pour faire le suivi des effets néfastes des pesticides a été élaboré et des renseignements sur ces effets seront recueillis et consignés. Dans l'ensemble, ce travail est réalisé afin de gagner la confiance du public envers un meilleur maintien et une plus grande protection de la santé humaine et de l'environnement, tout en contribuant à la compétitivité du secteur agricole canadien.
L'information présentée dans le tableau qui suit est articulée autour de trois thèmes principaux :
7. Résultats partagés :
Immédiats :
À moyen terme :
Finaux :
Augmentation de la confiance du public et des intervenants envers la réglementation des pesticides, protection de la santé et de l'environnement, et augmentation de la compétitivité, des secteurs agroalimentaire et forestier
8. Structures de gouvernance :
I. Recherche et surveillance
9. Partenaires fédéraux | 10. Noms des programmes | 11. Total des fonds affectés | 12. Dépenses prévues pour 2007-2008 | 13. Dépenses réelles pour 2007-2008 | 14. Résultats prévus pour 2007-2008 | Résultats réels pour 2007-2008 |
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AAC | (a) Effectuer des recherches pour favoriser l'introduction de pesticides à usage limité qui présentent un risque réduit pour l'environnement. | 8,0 M$ |
3,0 M$ | 1,3 M$ |
Les rapports finaux et les étapes suivantes du transfert de technologie des résultats de la recherche en ce qui touche les 16 projets qui seront terminés en mars 2007 :
|
Résultats additionnels : Des essais de dépistage ont permis de cibler des solutions potentielles relativement à trois des principaux problèmes liés aux parasites. |
ACIA
ACIA suite ACIA suite |
(b) Accroître la surveillance et l'exécution de la loi en matière de limites maximales de résidus de pesticide dans les aliments et les aliments pour animaux. | 2,7 M$ | 0,25 M$ | 0,25 M$ |
Déterminer les denrées alimentaires consommées par la sous-population cible (les enfants).
Analyse en laboratoire d'environ 1500 échantillons par année. Inspections de suivi dans les cas de résultats non conformes. Publication d'un rapport annuel présentant les résultats du Programme national de surveillance des résidus chimiques (PNSRC). Rappels d'aliments, s'il y a lieu, en vue d'atténuer les risques et de retirer les aliments dangereux du marché. |
Les objectifs étaient d'évaluer la conformité d'aliments consommés par des enfants âgés de 3 à 15 ans. Les aliments soumis à des tests ont été choisis au hasard parmi des aliments dont la mise en marché s'adresse aux enfants du groupe d'âge ciblé, qui sont consommés en grande quantité par eux, ou encore des aliments dont ils sont les principaux consommateurs. Les résultats des tests de résidus de pesticides ont démontré un degré élevé de conformité avec les limites établies(>98 %). Aucune tendance n'a été observée quant à la concentration de pesticides en lien avec le produit, la marque, le résidu ou le pays d'origine. |
(c) Amélioration de la surveillance et de l'application de la loi en ce qui a trait aux limites des résidus de pesticides dans les mélanges engrais-pesticides. | 2,4 M$ | 0,25 M$ | 0,193 M$ |
Élaborer des politiques et des processus de surveillance et de contrôle pour guider et conseiller le personnel opérationnel au sujet des mélanges d'engrais-pesticides et des engrais contaminés par les pesticides.
Accroître les interactions avec l'ARLA pour obtenir les plus récents renseignements concernant la sécurité et l'étiquetage des pesticides. Mettre à jour le Recueil des mélanges d'engrais-pesticides, qui contient des renseignements sur l'homologation, les garanties et l'étiquetage approprié. Travailler à la modification du règlement pour faciliter la mise à jour plus régulière du Recueil et, si cela porte fruit, fournir des mises à jour plus régulièrement aux producteurs de mélanges et au personnel d'inspection de l'ACIA. Conseiller les Opérations de l'ACIA sur les procédures de suivi appropriées et formuler des recommandations sur l'importance des résultats d'analyse des échantillons. Prélever des échantillons des mélanges d'engrais-pesticides pour vérifier les garanties. Prélever des échantillons des engrais soupçonnés d'être contaminés par des pesticides. Vérifier les étiquettes des mélanges d'engrais-pesticides. Mener des activités d'enquête et d'application de la loi (prévues d'après la fréquence des échantillonnages et des inspections). Analyser les échantillons soumis par les inspecteurs. |
La circulaire d'inspection I-4-93, un document qui présente toutes les activités d'inspection et les quotas d'échantillons pour l'année, a été distribuée au personnel responsable des inspections. Afin de faciliter la vérification des étiquettes sur le terrain et d'assurer l'uniformité, une liste de tous les engrais-pesticides homologués et des étiquettes a été mise Ã
jour et distribuée au personnel d'inspection. Au besoin, les inspecteurs ont reçu des conseils quant au suivi approprié en cas de non-conformité.
Le programme de vérification des garanties des pesticides a été remanié avec l'aide des intervenants en vue d'une amélioration du taux de conformité. La tolérance de l'ACIA en matière de résidus de pesticides dans les engrais a été revue et modifiée. Les procédures d'application de la loi en réponse aux cas de non-conformité ont été élaborées par l'entremise d'une initiative de formation nationale dans le but de favoriser l'uniformité des mesures d'application de la loi partout au Canada L'ACIA et l'ARLA ont travaillé ensemble à l'élaboration de politiques et de processus pour la révision conjointe des produits visés par la Loi sur les engrais et la Loi sur les produits antiparasitaires . L'ACIA participe aux travaux du groupe de travail sur l'évaluation de l'initiative du CT en matière de renforcement de la confiance du public. L'ACIA participe aux travaux du groupe de travail sur les pesticides et la lutte antiparasitaire des six ministères de ressources naturelles. La 3 e édition du RMEP est en attente de publication dans la Gazette du Canada , partie II. L'ACIA étudie les changements de réglementation et les mécanismes accélérés dans le but de permettre des mises à jour plus fréquentes. Un nouveau format est en cours de création pour faciliter la disponibilité publique et des mises à jour ont été distribuées. Un changement de réglementation pour mettre à jour la définition du RMEP afin qu'il renvoie à la 3 e édition est en attente d'approbation. Conseils prodigués au personnel des opérations de l'ACIA sur le fait de déterminer la tolérance à l'égard des pesticides en lien avec la garantie de ces derniers, de déterminer si un résidu de pesticide est présent à des concentrations constituant un niveau de préoccupation important selon les résultats des analyses, et recommandations de procédures de suivi, au besoin. Les inspecteurs ont prélevé 91 échantillons d'engrais-pesticides à des fins de vérification de la garantie des pesticides, soit le double du nombre moyen d'échantillons prélevés entre 2000-2001 et 2002-2003. Les inspecteurs ont prélevé 78 échantillons d'engrais pour vérifier la présence de résidus de pesticides, soit quatre fois plus que le nombre moyen d'échantillons prélevés de 2000-2001 à 2002-2003 pour la vérification de la contamination. Un total de 20 échantillons supplémentaires ont été analysés pour vérifier la conformité puisqu'ils ont obtenu de mauvais résultats au cours des dernières années. Les inspecteurs ont passé en revue 193 étiquettes d'engrais-pesticides afin d'en vérifier la conformité à l'égard de la Loi sur les engrais et de son Règlement. Les mesures de suivi effectuées quant aux 51 échantillons non conformes comprenaient la rétention des produits, l'envoi de lettres d'avertissement aux détaillants et aux fabricants, et des visites de l'inspecteur à l'usine. Le nombre d'échantillons analysés s'élevait à 97 pour ce qui est de la vérification de la garantie des pesticides et à 105 pour celle de leur contamination (certains échantillons ont été prélevés au cours de l'exercice précédent et autorisés en 2007-2008). |
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MPO | (d) Surveillance et recherche de la présence et des effets des pesticides dans les écosystèmes marins et d'eau douce. | 7,9 M$ | 1,0 M$ | 1,0 M$ |
Le MPO fournira à l'ARLA des rapports finaux concernant les projets régionaux du Fonds national. Ces projets de recherche serviront à combler les lacunes des connaissances constatées en 2006-2007, après consultation avec l'ARLA.
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EC | (e) Surveillance et recherche de la présence et des effets des pesticides dans l'environnement. | 7,16 M$ | 1,0 M$ | 1,0 M$ |
EC :
Se fondant sur les résultats du premier cycle d'activité, EC a entrepris un deuxième cycle d'étude et de surveillance de la présence et des effets des pesticides dans l'environnement. Les faits saillants des projets et des conseils des bénéficiaires du premier cycle des projets du FSP (2003-2006) ont été présentés au Comité de coordination du Programme des pesticides (CCPP) d'EC. Le CCPP (dont l'ARLA est membre) a ensuite défini les nouvelles priorités scientifiques d'EC en matière de pesticides pour 10 nouveaux projets de recherche relatifs aux priorités de la réglementation. En 2007-2008, des rapports de situation seront produits sur les éléments suivants :
Pour mieux intégrer et coordonner la recherche et la réglementation au sein du Ministère, EC continuera de collaborer avec l'ARLA à la mise en oeuvre du PE EC-ARLA. Le PE comprend quatre volets : politiques scientifiques, production de connaissance, gestion des problèmes, promotion de la conformité et application de la loi. Il comprend également de nombreuses initiatives et activités qui ne sont pas énumérées ici. EC s'efforcera encore de jouer un rôle de chef de file dans l'élaboration et la mise en oeuvre d'une stratégie scientifique fédérale coordonnée sur les pesticides pour la recherche et la surveillance. En outre, EC continuera de contribuer au besoin aux évaluations de pesticides effectuées par l'ARLA et de fournir des conseils scientifiques et stratégiques concernant les politiques clés du gouvernement du Canada liées à la gestion des pesticides et à leur utilisation au Canada. |
EC a été en mesure de respecter son engagement en vertu de l'initiative Rechercher la confiance du public . Le programme scientifique sur les pesticides d'EC fait désormais partie du volet sur les résultats « Risques pour les Canadiens » tout en étant toujours coordonné par le CCPP d'EC. Nous avons maintenu et assurons la continuité des activités liées
aux domaines suivants :
EC :
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Santé Canada (ARLA) | (f) Liens entre la réglementation et la recherche en matière de pesticides. | 4,2 M$ | 0,8 M$ | 0,8 M$ |
Établir chaque année les priorités de l'ARLA en matière de recherche et de surveillance et les communiquer aux partenaires 5RN dans le cadre de réunions régulières et par d'autres mécanismes au besoin. Faciliter la discussion entre les 5RN au sujet des mesures à prendre pour donner suite à des priorités particulières, notamment la recherche en collaboration.
Discuter avec les 5RN de la façon dont les résultats de leurs activités de recherche et de surveillance sont utilisés dans les décisions réglementaires, afin de mieux harmoniser la recherche et la réglementation. Faciliter les communications bilatérales et la coordination de la réglementation et la recherche entre les divers gouvernements au Canada (par le truchement du comité FPT de l'ARLA) et à l'échelle internationale, de même qu'avec le secteur privé et le milieu universitaire, au moyen d'exposés faisant le lien entre la recherche et la réglementation présentés dans le cadre de réunions régionales, nationales et internationales (p. ex. de la SETAC de l'Association canadienne de normalisation et de l'UICPA). Pour renforcer le cadre de liaison des activités de recherche et de surveillance liées aux pesticides, élaborer, à l'intention des 5RN, un PE sur l'harmonisation de la recherche et de la réglementation. Continue de promouvoir l'utilisation accrue et plus efficace des évaluations probabilistes des risques. |
Un plan de travail intégré en matière de recherche et de surveillance a été élaboré par les 6NR. Dans le cadre de ce processus, l'ARLA a ciblé des domaines de recherche qui accentueraient sa capacité de réglementer les pesticides de façon efficace. Les domaines désignés comprennent la surveillance des taux de pesticides dans l'environnement, les effets des pesticides
sur l'environnement, la préparation et l'examen par les pairs de données scientifiques utilisées pour évaluer les risques posés par les pesticides, et l'élaboration de stratégies de réduction des risques. À tour de rôle, les 6NR ont ciblé des initiatives de recherche pour les prochaines années qui combleraient certaines de ces lacunes. Puisque de nombreuses lacunes en
matière de recherche et de surveillance déterminées par l'ARLA sont prises en charge par les 6NR en tant qu'initiatives en cours, ou dans le cadre de cycles de recherche de trois ou quatre années, le plan de travail intégré sera mis à jour, au besoin, lorsqu'il y aura des changements de priorités parmi les partenaires.
L'ARLA assure un suivi lorsque des résultats de recherche et de surveillance sont utilisés dans nos décisions réglementaires. Lorsque les résultats de recherche des 6NR jouent un rôle central dans une décision réglementaire, l'ARLA communique avec le partenaire qui fournit l'information afin de confirmer qu'elle est employée de façon appropriée, que les résultats sont correctement interprétés et afin d'aider à cibler les possibilités pour des recherches futures. L'ARLA a présenté ses besoins en matière de méthodologie et de recherche lors de nombreuses réunions régionales, nationales et internationales (OCDE, ALENA, comité FPT de l'ARLA, conférences, etc.) De plus, l'ARLA a présenté à des intervenants de quelle façon les résultats de recherches sont utilisés dans le cadre de la réglementation des pesticides. Un PE pour les 6NR a été élaboré et signé par les directeurs généraux et les directeurs administratifs des ministères et des organismes des 6NR. Ce PE présente en détail les rôles et les responsabilités en ce qui concerne le partage de l'information et le respect de la confidentialité des documents non publiés. Le PE créé également un comité de niveau DG afin de coordonner une approche intégrée pour établir les priorités en matière de recherche et de surveillance dans le but de renforcer la réglementation sur les pesticides. Un groupe de travail sur l'évaluation probabiliste des risques a été créé au sein de l'ARLA. Les membres de ce groupe ont reçu, et continueront de recevoir, de la formation sur les méthodes avancées d'évaluation des risques, y compris les évaluations probabilistes des risques. Ils ont également rencontré, et continueront de le faire, leurs homologues d'autres administrations (EPA, UE) afin de partager de l'information, des outils et des approches avancées d'évaluation des risques, y compris l'emploi de méthodes probabilistes. Les membres du groupe de travail agiront à titre de ressources auprès des autres scientifiques au sein de l'ARLA lorsque des méthodes avancées d'évaluations des risques seront requises. |
(g) Effectuer des recherches à l'appui de l'introduction de pesticides à usage limité présentant un risque réduit pour l'environnement. | 3,5 M$ | 1,2 M$ | 1,2 M$ |
Améliorer les méthodes d'évaluation des risques (p. ex. l'évaluation de l'exposition professionnelle) au moyen de recherches pour soutenir l'harmonisation des méthodes d'évaluation des risques avec les partenaires internationaux (EPA des États-Unis; California Department of Pesticide Regulation).
Élaborer ou améliorer des plans de groupement des cultures pour intégrer d'autres récoltes à faible utilisation de pesticides (ALENA, Initiative CODEX). Cela facilitera l'évaluation des risques alimentaires des produits à usage limité pour les récoltes. Valider les données agricoles récemment mises à jour qui servent à élaborer des essais sur le terrain pour établir des limites de résidus maximales pour les pesticides à usage limité et courant. |
L'ARLA a participé à des rencontres avec des partenaires internationaux sur l'élaboration des données qui seront utilisées dans le cadre des estimations additionnelles des expositions professionnelles aux pesticides. Les données d'exposition des préposés au mélange, au chargement ou à l'application ont été complétées et soumises à l'ARLA et d'autres partenaires
internationaux en matière de réglementation pour utilisation dans les évaluations de l'exposition des travailleurs agricoles.
Quatre plans de groupement des cultures ont été approuvés. L'examen d'autres plans de groupement des cultures est en cours. La validation des données agricoles est terminée. Un projet de règlement sur les Lignes directrices concernant l'homologation de produits biochimiques à faible risque et d'autres pesticides non classiques a été publié. |
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RNCan | (h) Recherche et surveillance des pesticides dans le milieu forestier. | 3,5 M$ | 0,5 M$ | 0,3 M$ |
Examiner les rapports finaux et les publications des travaux de recherche de quatre projets. Transmettre les résultats aux clients et aux intervenants, ainsi qu'à l'ARLA. Les projets de recherche terminés sont les suivants :
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Des rapports finaux et des publications ont été révisés et des renseignements ont été fournis aux intervenants et aux organismes de réglementation par l'entremise du Forum sur la répression des ravageurs forestiers 2007, ateliers de SERG-International (février 2008), etc.
Des répercussions environnementales possibles ont été effectuées sur le margousier (azadirachtin) utilisé comme insecticide systémique contre l'agrile du frêne, en remplacement de l'imidaclopride, pour des raisons d'urgence et de disponibilité. Les résultats ont démontré que l'application d'azadirachtin n'entraîne pas d'effets nocifs pour les espèces microbiennes terrestres et aquatiques. Un rapport final à jour sera publié lorsque des données additionnelles sur les concentrations actuelles d'azadirachtin auront été reçues des collaborateurs. Les travaux en cours sur la prévention de la maladie du rond avec le champignon pathogène Phlebiopsis gigantea sont à l'étape de la délivrance de permis. Le financement des méthodes améliorées de lutte antiparasitaire était axé sur les répercussions sur l'environnement des insecticides systémiques pour le contrôle des insectes envahissants. Le dernier insecticide était l'azadirachtin. Les études expérimentales sont terminées et les données ont été analysées. Des études précédentes sur l'imidaclopride ont engendré quatre articles dans des revues scientifiques et quatre présentations lors de conférences. Les développements technologiques et les connaissances scientifiques générés dans le cadre du projet « Spray Advisor » sont obtenus dans des rapports aux organismes de financement, des publications dans des revues et par l'entremise d'initiatives directes de transfert de technologie, y compris un site de démonstration et des ateliers ciblés pour le transfert du système d'aide à la décision (SAD) aux forestiers, aux applicateurs de pesticides par voie aérienne et aux organismes de réglementation. |
II. Élaborer et mettre en oeuvre des stratégies de réduction des risques visant des denrées précises
9. Partenaires fédéraux | 10. Noms des programmes | 11. Total des fonds affectés | 12. Dépenses prévues pour 2007-2008 | 13. Dépenses réelles pour 2007-2008 | 14. Résultats prévus pour 2007-2008 | Résultats réels pour 2007-2008 |
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AAC | (a) Stratégies de réduction des risques par culture. | 19,3 M$ | 2,5 M$ | 1,7 M$ |
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Santé Canada (ARLA) | (a) Stratégies de réduction des risques par culture. | 25,7 M$ | 4,0 M$ | 4,0 M$ |
Mesures de dotation prévues en 2006-2007, postes de durée indéterminée.
Consultations continues avec les groupes intéressés. Travaux partagés avec d'autres ministères et les 5RN. Travail sur un indicateur de risque des pesticides : consultation, création et validation d'une base de données. De concert avec AAC, choisir les prochaines cultures prioritaires pour le programme. Partage du travail avec AAC sur les nouveaux profils de culture et les documents examinant les enjeux et finaliser les documents existants. Partage du travail avec AAC pour définir la portée du programme pour chacun des biens, y compris des façons d'accroître la participation et pour élaborer une stratégie qui permettra de maintenir les groupes d'intervenants après le retrait du gouvernement. Des stratégies de réduction des risques pour les légumineuses et le colza canola sont établies. De plus, une stratégie de gestion à long terme de la brûlure bactérienne de la pomme est élaborée. Le comité directeur et les groupes de travail se sont réunis afin de trouver des solutions aux principaux problèmes recensés et de prendre des mesures pour les régler. Des progrès considérables ont été réalisés en ce qui touche l'élaboration de stratégies et la mise sur pied de comités directeurs chargés de mettre en oeuvre des stratégies visant d'autres cultures, notamment les légumes de serre, les raisins, les pêches, les pommes de terre, le soya les fraises et les pommes. Des groupes de travail ont été créés et élaborent des plans d'action pour trouver des solutions aux problèmes cernés. Des consultations seront tenues cette année avec les intervenants de la culture de la framboise et du bleuet (variétés géantes et sauvages). Elles seront suivies en mars par des réunions du comité directeur. Outre le travail sur les stratégies de réduction des risques axées sur les produits, l'ARLA travaille avec les intervenants pour élaborer des stratégies afin de s'attaquer aux problèmes d'un certain nombre de secteurs non agricoles, y compris la foresterie, l'industrie des produits industriels de préservation du bois, l'aménagement ornemental et paysager, la lutte antiparasitaire structurelle, la transformation des aliments, la lutte contre les ravageurs des greniers et la production de miel. |
Deux postes ont été pourvus.
Dans le cadre du Programme de réduction des risques liés aux pesticides, des consultations ont eu lieu avec des intervenants des cultures prioritaires dans le but d'en arriver à un consensus national sur les problèmes de lutte antiparasitaire relatifs à la culture du bleuet (variétés géantes et sauvages), de la carotte et de l'oignon, de la framboise, du maïs sucré et de la fraise. Au total, 11 rencontres de comités directeurs ont été tenues en lien avec 9 des cultures prioritaires et 32 rencontres de groupes de travail ont eu lieu dans le but d'élaborer des stratégies vers des solutions à risques réduits pour les problèmes principaux des producteurs. L'ARLA a facilité la communication entre les intervenants (titulaires d'homologations, chercheurs, associations de producteurs et gouvernement provincial) et l'Agence relativement à 76 produits, y compris 16 biopesticides et 19 pesticides à risque réduit. Grâce au travail d'AAC, les producteurs agricoles ont maintenant accès à de nouveaux produits et de nouvelles pratiques de lutte antiparasitaire à risque réduit. L'environnement de base de données sur les indicateurs de risques est complété à 100 %. La base de données santé est complétée à 95 % et devrait l'être à 100 % d'ici la mi-mai 2008. La mise à jour du modèle est effectuée à 100 %, la publication technique à 70 % (achèvement prévu pour la fin mai) et la documentation destinée au public à 100 %. L'ARLA a fourni l'expertise technique et les renseignements de base concernant le statut réglementaire des produits pour quinze discussions de groupes de concertation et a tenu des discussions de groupes de concertation pour le canola. L'information recueillie auprès de ces groupes a été utilisée par AAC pour élaborer de nouveaux profils de culture et effectuer la mise à jour des renseignements dans les profils existants. Les liens ont été renforcés avec les intervenants, y compris les producteurs et leurs associations, les services provinciaux de vulgarisation, les titulaires d'homologations, les chercheurs et d'autres ministères à l'échelle nationale et internationale grâce aux travaux effectués en vertu du Programme de réduction des risques liés aux pesticides ainsi qu'à la participation et aux travaux conjoints dans des domaines comme le Programme de salubrité des aliments à la ferme, le Comité des normes sur l'agriculture biologique de l'Office des normes générales du Canada et l'ALENA. Ces liens favorisent l'amélioration de la confiance des intervenants en matière de réglementation à l'usage des pesticides grâce à la mise en commun des efforts et une meilleure compréhension du cadre réglementaire. L'ARLA collabore avec la U.S. Environmental Protection Agency afin de coordonner et d'harmoniser les activités de réglementation en Amérique du Nord quant à des règles du jeu équitables pour le commerce des marchandises affectées par l'abandon graduel de l'azinphosméthyl (AZM). De plus, l'ARLA a commencé à travailler avec des intervenants canadiens à la transition, vers des produits et des pratiques de lutte à risque réduit, d'utilisations en cours d'abandon graduel par l'entremise du processus de réévaluation. Les travaux progressent en collaboration avec les intervenants relativement à l'homologation d'une solution de rechange pour le contrôle des punaises de lit, l'élaboration d'une norme de la CSA pour les produits industriels de préservation du bois (HDWP), et une nouvelle approche de groupement des cultures fondée sur l'efficacité pour les plantes ornementales. |
III. Génération de données à l'appui de l'homologation de pesticides à risque réduit et à usage limité dans les secteurs agricoles et agroalimentaires ainsi que de pesticides à risque réduit et de biopesticides dans la foresterie
9. Partenaires fédéraux | 10. Noms des programmes | 11. Total des fonds affectés | 12. Dépenses prévues pour 2007-2008 | 13. Dépenses réelles pour 2007-2008 | 14. Résultats prévus pour 2007-2008 | Résultats réels pour 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|---|
AAC | (a) Améliorer l'accès du secteur agricole aux pesticides à usage limité et aux pesticides à risque réduit pour usage agricole. |
33,7 M$
12,0 M$ |
6,5 M$
2,0 M$ |
5,7 M$
2,0 M$ |
|
La rencontre 2007-2008 pour l'établissement des priorités en matière de pesticides à usage limité a été reportée à avril 2008; toutefois, 38 priorités ont été sélectionnées.
Dix-neuf projets conjoints AAC/É.-U. sur les usages limités ont été sélectionnés à l'occasion de la réunion de planification des IR-4 (31 oct. au 1 er nov. 2007). AAC a consulté des titulaires d'homologations de pesticides dont les produits ont été choisis dans le cadre de l'établissement des priorités de recherche sur ces cultures et ces pesticides et leur a demandé un soutien écrit. Puisque plusieurs des priorités sélectionnées concernaient des pesticides non homologués et que l'ARLA n'accepte pas les DCPDH pour ceux-ci, AAC n'a pu présenter de demandes pour toutes les priorités. Des ébauches de plans d'étude ont été préparés pour tous les projets dans le cadre desquels des essais seraient effectués en 2008 avant la DP de 2008 relative aux champs 2008 (février 2008). Plus de 500 essais en champs et en serres ont été effectués en 2007. Tous les essais ont respecté les exigences en matière de bonnes pratiques de laboratoire sans observation importante. Un total de 45 projets d'AAC sur les usages limités ont été complétés et soumis au titulaire d'homologations ou à l'ARLA. |
Santé Canada (ARLA) | (a) Améliorer l'accès du secteur agricole aux pesticides à usage limité et aux pesticides à risque réduit pour usage agricole. | 20,8 M$ | 4,0 M$ | 4,0 M$ |
Travail d'évaluation des produits - Examen des propositions préalables à la présentation soumises par AAC et les coordonnateurs provinciaux, et publication des besoins de données.
Homologation de nouveaux usages limités, y compris des produits à usage limité et à risque réduit et leurs utilisations. Travail d'harmonisation et projets de réglementation - Examens conjoints en collaboration avec l'EPA des États-Unis, AAC et le programme IR-4 du Department of Agriculture des États-Unis, autres travaux sur les groupements de culture et sur la promulgation des limites maximales des résidus (LMR). Communication accrue et transmission de rétroactions à AAC afin d'améliorer la qualité et l'utilisation des justifications scientifiques. |
N bre de D 3.1 Reçus 129 Approuvés 90 Examinés 96 N bre de D 3.2 Reçus 109 N bre C6.3 révision d'étiquette L'ARLA a homologué 663 nouveaux usages limités par la présentation de produits antiparasitaires nouveaux ou modifiés, y compris 546 utilisations alimentaires et 117 utilisations non alimentaires, permettant ainsi de combler l'écart technologique qui existe entre le Canada et ses marchés d'exportation. Cet écart a également été réduit grâce aux études et aux homologations conjointes de l'ARLA et de l'EPA d'extension du profil d'emploi pour les usages limités, ce qui a permis l'homologation de la première extension du profil d'emploi conjointe. L'ARLA travaille avec l'EPA et des organismes de réglementation d'autres administrations afin d'élargir le recours aux études conjointes et au partage du travail pour les usages limités. |
RNCan | (b) Élaborer et favoriser l'utilisation des pesticides à risque réduit et des pesticides biologiques en foresterie. | 4,1 M$ | 0,5 M$ | 0,4 M$ |
Examen des rapports finaux concernant cinq projets financés pour une seule année et planification de la stratégie et des priorités relatives au financement futur.
RNCan continuera d'harmoniser ses activités avec celles des autres 5NR partenaires et des intervenants et de collaborer à l'élaboration de la stratégie nationale de lutte contre les ravageurs forestiers. La conseillère en matière de pesticides à usage limité embauchée par RNCan et Forêts Canada à partir de ce Fonds continuera de collaborer avec AAC afin de faciliter l'homologation des pesticides à risque réduit et à usage limité destinés au traitement des plantes ornementales ligneuses d'extérieur et des espèces forestières. Coordination et production de rapports concernant six projets portant sur les pesticides à usage limité au Canada. Le Ministère soutiendra le Forum national sur la lutte antiparasitaire en foresterie au Centre des congrès d'Ottawa. Le Ministère soutiendra les projets portant sur les pesticides à risque réduit dans le secteur forestier. |
Voici les résultats des projets suivants financés en vertu du programme de RNCan sur les pesticides :
La phérormone synthétique (appelée fuscumol) du longicorne brun de l'épinette a été formulée en écailles Hercon biodégradables, et les taux d'émission ont été quantifiés. Une demande de brevet a été déposée pour la phéromone de synthèse « fuscumol » du longicorne brun de l'épinette. Le produit de la phérormone de la tordeuse des bourgeons de l'épinette « Hercon Disrupt Micro-Flake SBW », pour répression, sera bientôt enregistré. Un essai de démonstration a été conçu afin de permettre aux utilisateurs de se familiariser avec le potentiel de la formule du « Disrupt Micro-Flake SBW » et du système de dispersion « Hercon Pod » en matière de lutte antiparasitaire de la tordeuse des bourgeons de l'épinette. Des tentatives pour créer une colonie en laboratoire à partir de larves de diprion Diprion similis prélevées sur le terrain ont échoué en raison de l'inaccessibilité des larves sur le terrain. Des isolats de la collecte de culture ont été obtenus et des suspensions de cultures en cristal endosporal sont conservées jusqu'à ce qu'une colonie de diprions soit disponible pour effectuer des essais biologiques. En 2007, les populations de tordeuses des bourgeons étaient très basses; avec comme résultat un petit nombre de prises et une ponte faible. En conséquence, le calibrage de base des pièges n'a pu avoir lieu et le projet est en suspens jusqu'à ce que des niveaux de population plus élevés soient découverts. Cependant, les appâts de phérormones se sont avérés efficaces pour détecter les quelques tordeuses des bourgeons. Des études sont en cours sur l'utilisation du champignon pathogène Beauveria bassiana pour lutter contre le charançon du pin blanc et d'autres scolytes. L'équipe a développé une expertise en matière d'identification moléculaire et morphologique du champignon. Le programme S&T sur les méthodes améliorées de lutte antiparasitaire est maintenant intégré à la stratégie nationale de lutte contre les ravageurs forestiers. La conseillère en matière de pesticides à usage limité embauchée par RNCan et Forêts Canada a continué de collaborer avec AAC afin de faciliter l'homologation de produits antiparasitaires à risque réduit destinés au traitement des plantes ornementales ligneuses d'extérieur et des espèces forestières. La conseillère est impliquée dans 17 projets nationaux prioritaires « A » d'AAC sur les usages limités; les quatre usages de pesticides associés aux plantes ornementales ligneuses d'extérieur et aux espèces forestières ont été homologués et trois autres ont été soumis à l'ARLA pour examen final. A apporté un appui financier ainsi que du soutien à la recherche dans le cadre du Forum sur la répression des ravageurs forestiers 2007, lequel comprend des intervenants, des gestionnaires, des organismes de réglementation et d'autres parties qui s'intéressent à la lutte antiparasitaire. Des affiches ont été présentées sur les projets financés en vertu de ce programme. |
TOTAL | 154,96 M$ | 27,5 M$ | 23,843 M$ |
15. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux : s/o
Personne-ressource :
Grace Lewis, chargée de projet
Direction des politiques, des communications et des affaires réglementaires, ARLA
613-736-3592
Approuvé par :
Jason Flint, directeur général par intérim
Direction des politiques, des communications et des affaires réglementaires, ARLA
613-736-3914
Date d'approbation : 21 juillet 2008
1. Nom de l'initiative horizontale : Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme 2007-2011
2. Nom du ministère responsable : Santé Canada
3. Date de mise en oeuvre de l'initiative horizontale : 2001-2002
4. Date de clôture de l'initiative horizontale : 2007-2008 et plus
5. Total des fonds fédéraux affectés : 361 M$
6. Description de l'initiative horizontale
La Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme (SFLT) établit un cadre pour une approche globale, intégrée et à multiples facettes de la lutte contre le tabagisme. Elle est axée sur quatre éléments qui se renforcent mutuellement : la protection, la prévention, le renoncement et la réglementation des produits.
Le gouvernement du Canada a mis en oeuvre la SFLT (2007-2011) afin de respecter son engagement de longue durée qui consiste à réduire les effets importants et négatifs du tabagisme sur la santé. Santé Canada est responsable de la SFLT (2007-2011), et plusieurs partenaires fédéraux y participent.
7. Résultat partagé
Le but de la SFLT pour 2007 à 2011 est de réduire la prévalence générale du tabagisme de 19 % (2005) à 12 % d'ici 2011, et ses objectifs pour la même période sont les suivants :
8. Structure de gouvernance
Des ressources ont été affectées à un certain nombre de ministères et d'organismes pour la mise en oeuvre de la SFLT. Santé Canada est chargé de réglementer la fabrication, la vente, l'étiquetage et la promotion des produits du tabac ainsi que d'élaborer, de mettre en oeuvre et de promouvoir des initiatives de réduction ou de prévention des effets néfastes du tabac sur la santé.
Les ministères et organismes partenaires sont les suivants :
9. Parte-naires fédéraux participant à chaque programme | 10. Nom des programmes | 11. Financement total alloué de 2007 à 2011 | 12. Dépenses prévues pour 2007-2008 | 13. Dépenses réelles en 2007-2008 | 14. Résultats prévus pour 2007-2008 | 15. Résultats atteints en 2007-2008 |
---|---|---|---|---|---|---|
1. SC | SFLT | 284,2 M$ | 56,8 M$ | 55,1 M$ | Voir ci-dessous | Voir ci-dessous |
2. SP | SFLT | 3,0 M$ | 0,6 M$ | 0,6 M$ | Voir ci-dessous | Voir ci-dessous |
3. BDPP | SFLT | 11,2 M$ | 2,2 M$ | 2,1 M$ | Voir ci-dessous | Voir ci-dessous |
4. GRC | SFLT | 8,6 M$ | 1,7 M$ | 0,8 M$ | Voir ci-dessous | Voir ci-dessous |
5. ARC
Cotisations et services à la clientèle (ancien-nement Cotisations et recou-vrements) Direction l'accise et des décisions de la TPS/TVH Direction générale de la politique législative et des affaires régle-mentaires |
SFLT |
4,0 M$
(54 M$ - montant total alloué à l'ARC : 50 M$ alloués aux Douanes et à l'ASFC et 4 M$ alloués à l'ARC) |
0,8 M$
(10,8 M$ : 10 M$ attribués aux Douanes et à l'ASFC et 0,8 M$ alloués à deux unités de l'ARC |
0,2 M$
0,6 M$ |
Voir ci-dessous | Voir ci-dessous |
6. Direction du rensei-gnement et Division des voyageurs de l'ASFC | SFLT | 28,5 M$ pour les activités et 21,5 M$ pour la perte de la concession de ventes hors taxe | 5,7 M$ pour les activités et 4,3 M$ pour la perte de la concession des ventes hors taxe | 5,7 M$ pour les activités et 4,3 M$ pour la perte de la concession des ventes hors taxe | Voir ci-dessous | Voir ci-dessous |
Total de 2007 Ã 2011 |
Total
360 M$ |
Total
72,2 M$ |
Total
69,4 M$ |
16. Remarques sur les écarts
Dans le cadre de l'examen des dépenses de septembre 2006, la portion de la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits (DGSPNI) du financement de la SFLT a été éliminée. Cela a réduit le budget global de Santé Canada de 8,3 M$ en 2007-2008, de 10,8 M$ en 2008-2009 et cela se poursuit.
17. Résultats atteints par les partenaires non fédéraux
Grâce aux fonds de la SFLT, le Service de police mohawk d'Akwesasne (SPMA) a pu intensifier la surveillance et le contrôle de la contrebande du tabac. Le SPMA a signalé participer à des opérations conjointes de forces policières qui ont mené à des accusations et à des saisies, y compris du tabac. Toutes les saisies de tabac faites par le SPMA sont remises à la GRC qui intente des poursuites et elles sont déclarées par le détachement de la GRC à Cornwall.
Le SPMA a amélioré sa capacité de collecte de renseignements et de techniques d'enquêtes criminelles spécialisées grâce à son travail avec des partenaires canadiens et américains chargés de l'application des lois au sein de l'équipe intégrée de la police des frontières de la région de Cornwall. En outre, le SPMA a eu l'occasion de diriger des opérations policières conjointes liées à des activités criminelles transfrontières et au crime organisé.
14. Résultats prévus pour 2007-2008 | 15. Résultats atteints en 2007-2008 | |
---|---|---|
1. Santé Canada |
1) Il faut préserver les Canadiens des incitations à fumer grâce à des règlements qui interdiront l'affichage au détail des produits du tabac et des accessoires de marque ainsi que l'installation d'affiches sur la disponibilité et le prix des produits du tabac.
2) Des tests toxicologiques sur les produits du tabac et les biomarqueurs de l'exposition aux produits du tabac seront effectués. 3) La SFLT intégrera une stratégie d'évaluation continue fondée sur son cadre approuvé de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats ainsi que les résultats d'analyses coûts-efficacité et des modèles économétriques. 4) Santé Canada explorera des méthodes novatrices d'évaluation des risques afin de déterminer si les produits du tabac modifiés sont plus ou moins toxiques que les produits déjà disponibles sur le marché. 5) La Convention-cadre de l' Organisation mondiale de la santé pour la lutte antitabac donne l'occasion de s'assurer que les politiques internationales et canadiennes se soutiennent mutuellement. 6) L'impact des initiatives de lutte contre le tabagisme est surveillé dans le cadre de l'Enquête de surveillance de l'usage du tabac au Canada. |
Les provinces et les territoires ont adopté des lois interdisant aux détaillants d'exposer les produits du tabac. Par conséquent, Santé Canada n'a pas poursuivi son exigence de réglementation à cet égard puisqu'il s'agit d'une compétence provinciale et territoriale.
Le Ministère a entrepris des travaux sur les biomarqueurs en 2007-2008. Les résultats seront présentés en 2010. Les analyses coûts-efficacité et les modèles économétriques de 2007-2008 ont été mis au point. Divers produits ont été examinés (p. ex. le tabac sans fumer et les cigares), et leur toxicité a été comparée à celle des cigarettes. Comme les cigarettes, ces produits sont mutagènes, cytotoxiques et génotoxiques. Le Canada a participé à la Conférence des Parties de la CCLAT de l'OMS et aidé d'autres pays à mettre en oeuvre leur propre CCLAT. D'après les résultats de l'Enquête de surveillance de l'usage du tabac au Canada et les données recueillies entre février et juin 2007, 19 % des Canadiens (un peu moins de 5 millions) âgés de 15 ans et plus consomment des produits du tabac. Chez les jeunes âgés de 15 à 19 ans, 15 % sont fumeurs. La prévalence du tabagisme chez les jeunes adultes âgés de 20 à 24 ans était de 24 % durant le premier semestre de 2007. |
2. SP | Améliorer l'accord de partenariat avec le Service de police mohawk d'Akwesasne. |
Voir les résultats atteints par les partenaires non fédéraux ci-dessus.
En février 2008, Sécurité publique était à la tête de la délégation canadienne qui a participé au premier Organe intergouvernemental de négociation en vue d'élaborer un protocole concernant le commerce illicite de produits du tabac. L'objectif est d'élaborer un protocole qui sera mis en oeuvre en 2010 et permettra d'établir des normes internationales pour freiner le commerce illicite de produits du tabac à l'échelle mondiale. |
3. BDPP |
1) Établir l'ordre de priorité du recouvrement des amendes ordonnées dans le cadre de condamnations de jeunes relativement aux ventes de cigarettes de contrebande et de tabac.
2) Augmenter le nombre d'amendes payées d'au moins 15 %. 3) Analyser les tendances et établir l'ordre de priorités le plus efficace et les méthodes de recouvrement les moins coûteuses. 4) Privilégier le paiement d'amendes plutôt que l'incarcération, mais améliorer les mesures de crcition si cela convient. 5) Réduire les coûts des ministères clients concernant les honoraires à payer pour la présence de l'avocat-conseil de la Couronne au moment de la présentation des requêtes en vue d'obtenir une prolongation du délai de paiement de l'amende. |
Le programme de recouvrement des amendes est toujours axé sur ces priorités, et ses mesures d'application de la loi sont modifiées selon les changements du volume et de la nature des activités de contrebande, les condamnations qui en découlent et les amendes imposées.
2) La recherche rigoureuse et efficace des personnes ayant des amendes en souffrance menée dans toutes les régions a permis de recouvrer un montant plus important qu'au cours de la dernière année. 3) La priorité est donnée aux méthodes de recouvrement les plus économiques, particulièrement les demandes de remboursement, les appels téléphoniques et la négociation d'accords de paiement. De plus, des progrès ont été réalisés en partenariat avec l'Agence du revenu du Canada pour l'élaboration d'un nouvel outil qui assurera le recouvrement plus efficace des amendes (compensation de dette par remboursement). 4) On a mis l'accent sur le remboursement des amendes plutôt que sur l'incarcération, notamment des mesures comme des paiements négociés et la saisie de biens appropriée et nécessaire. 5) L'avocat-conseil de la Couronne assigné aux unités de recouvrement des amendes continue de s'opposer à toutes les requêtes de prolongation de délai de paiement présentées au tribunal, ce qui a donné lieu à une diminution des honoraires d'avocat pour les ministères clients à ces audiences et a fait en sorte que, de manière générale, les délinquants respectent davantage les ordonnances de paiement. |
4. GRC |
1) Transmettre au ministère des Finances, à Santé Canada et à d'autres partenaires les mises à jour les plus récentes sur les activités du commerce illicite du tabac.
2) Surveiller les activités illégales à la frontière Canada-États-Unis ou le long de cette frontière à l'aide d'équipement de détection et de surveillance stratégique. 3) Accroître la coopération avec les partenaires nationaux et internationaux chargés de faire appliquer la loi. |
1) Des rapports réguliers sur la situation du commerce illicite du tabac ont été transmis aux ministères des Finances et à Santé Canada. Ils sont fournis sur demande à d'autres partenaires et ministères clés. Les analystes du tabac participent régulièrement à des réunions pour informer le ministère des Finances. Ils lui ont fourni le rapport d'évaluation des
renseignements stratégiques de 2006. Le rapport d'évaluation des renseignements stratégiques de 2007 sera présenté en août 2008. La GRC a lancé en 2008 sa Stratégie de lutte contre le tabac de contrebande; son objectif global est de réduire à l'échelle nationale la disponibilité du tabac de contrebande et de diminuer la demande tout en soutenant les
objectifs du gouvernement en matière de santé.
2) Amélioration de la sécurité frontalière grâce à l'utilisation d'une technologie perfectionnée qui permet la détection et la surveillance d'intrusions illégales aux frontières, ce qui constitue une source de renseignements vitale et favorise la prise éventuelle de mesures d'application de la loi. Le Canada et les États-Unis ont mené conjointement en 2007 le projet Shiprider dans la région de Cornwall et du fleuve Saint-Laurent qui visait la contrebande interfrontalière et la collecte de renseignements. 3) Hôte conjoint, en 2008, de l'atelier sur le détournement des produits du tabac par les agences canadiennes et américaines. Les participants à la conférence interprovinciale des enquêteurs des taxes se sont penchés sur le tabac de contrebande et d'autres questions liées aux produits illicites du tabac. On participe actuellement au Groupe de travail de Sécurité publique sur les produits illicites du tabac en vue de déterminer des mesures concrètes qui permettront de perturber et de réduire le commerce du tabac de contrebande. En 2008, on a également participé à un atelier d'échange de renseignements sur les enquêtes en cours sur le tabac de contrebande avec l'Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives Agency des États-Unis. En février 2008, on a aussi participé aux négociations dans le cadre de la CCLAT de l'OMS en vue d'établir un protocole de lutte antitabac. |
5. ARC
Cotisations et services à la clientèle (anciennement Cotisations et recouvrements) Direction de l'accise et des décisions de la TPS/TVH Direction générale de la politique législative et des affaires réglementaires |
1) Rajuster et entretenir les systèmes afin de tenir compte des changements législatifs qui touchent les taux, la production de rapports et les remboursements, et apporter des changements aux programmes afin d'inclure les boutiques hors taxes et les provisions de bord. | 1) Les systèmes et les capacités redditionnelles ont été maintenues, tel qu'on l'a requis pour satisfaire aux exigences de programme. |
2) Vérifier les activités d'exportation. | 2) Le programme de vérification de la mise en application des lois sur le tabac (champ) a permis de surveiller efficacement le transport des produits du tabac exportés. | |
3) Assurer la conformité avec les exigences législatives concernant la fabrication, la vente et la possession de produits du tabac au Canada. | 3) Les agents des droits d'accise ont mené des vérifications et des examens réglementaires des fabricants titulaires de licence afin d'assurer leur conformité avec les exigences législatives. | |
4) Travailler en collaboration avec des intervenants à la surveillance et à l'évaluation de l'efficacité des mesures prises pour réduire le commerce du tabac de contrebande. | 4) On a participé à un certain nombre de comités travaillant à la surveillance et au contrôle des produits du tabac, y compris ceux qui travaillent sur les dossiers interprovinciaux. On a aussi coorganisé l'atelier sur le détournement des produits du tabac auquel le Canada et les États-Unis ont participé. | |
5) Fournir au ministère des Finances des conseils pour l'aider à élaborer des politiques et à déterminer l'ampleur des futures augmentations de taxes et le moment opportun pour les imposer. | 5) On a rencontré le ministère des Finances, au besoin, et communiqué des renseignements sur l'industrie et les produits. | |
6) Soutenir les activités d'application de la loi de la GRC. | 6) Un soutien a été fourni à la GRC pour l'application de la loi au moyen de renseignements sur certaines transactions relatives aux produits du tabac, de témoignages d'experts et d'affidavits. | |
6. Direction du renseignement de l'ASFC | 1) Offrir de conseils au ministère des Finances sur les questions qui auront une incidence sur la future structure des taxes sur le tabac. | 1) Participation à des réunions mensuelles avec le ministère des Finances et les partenaires pour discuter des questions relatives à la taxation du tabac et servir de référence à cet égard. |
2) Surveiller la contrebande de produits du tabac au Canada et présenter des rapports. | 2) Présentation d'une analyse mensuelle sur la contrebande au pays par la compilation des rapports reçus des régions. Établissement de partenariats avec la GRC pour l'évaluation annuelle des risques relatifs à la nature et à l'étendue de la contrebande de produits du tabac. Coordination d'une collecte de données sur le tabac dans les régions. | |
3) Accroître la collaboration avec les partenaires nationaux et internationaux d'application de la loi. | 3) Participation active à des opérations policières conjointes avec les partenaires d'application de la loi dans l'ensemble des régions. Tenue conjointe par les États-Unis et le Canada d'un atelier sur le détournement des produits du tabac en 2008 avec des organismes canadiens et américains. Des liens ont été créés et maintenus avec les responsables internationaux d'application des lois sur le tabac. | |
Division des voyageurs | Perception des taxes sur le tabac imposées sur les importations personnelles des Canadiens de retour au pays. | En 2007-2008, les agents de première ligne de l'ASFC ont perçu des droits et des taxes sur des importations personnelles de produits du taba |
18. Personne-ressource : Brenda Paine 613-941-9826
19. Approuvé par
20. Approuvé le
1. Nom de l'initiative horizontale Initiative de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique |
|
2. Nom du ou des Ministères responsables Transports Canada |
3. Activité de programme du Ministère responsable Élaboration de politiques de Transport et programmes d'infrastructure |
4. Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale 19 octobre 2006 |
5. Date de clôture de l'initiative horizontale 31 mars 2014 |
6. Total des fonds fédéraux versés (de la date de mise en œuvre à celle de clôture) 1 001 000 000 |
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) L'Initiative de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique (IPCAP) a pour objet de renforcer la position concurrentielle du Canada au sein du commerce mondial. L'IPCAP est un ensemble intégré d'investissements et de mesures stratégiques qui renforcera la capacité et l'efficacité de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique et qui permettra au Canada d'en tirer le meilleur parti. Elle reflète l'engagement du gouvernement du Canada à travailler en partenariat avec des administrations provinciales, des dirigeants du secteur privé et d'autres intervenants dans le but de développer et de tirer profit de la Porte. Il s'agit de faire de la Porte et du Corridor canadiens de l'Asie-Pacifique le meilleur réseau de transport qui soit pour appuyer les chaînes d'approvisionnement mondiales entre l'Amérique du Nord et l'Asie. Des fonds supplémentaires ont été affectés dans le cadre du Budget 2007, ce qui porte à plus de 1 milliard de dollars l'engagement total du gouvernement fédéral. |
8. Résultats partagés Les activités et les résultats partagés prévus pour l'Initiative de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique sont décrits ci-après : Activités clés :
Résultat final :
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9. Structures de gouvernance : Deux ministres sont conjointement responsables de l'IPCAP. Le ministre pour la Porte d'entrée du Pacifique, qui est le responsable politique, est appuyé dans ses efforts par Transports Canada. En juin 2008, on a nommé un secrétaire d'État qui a été chargé de la responsabilité de la Porte de l'Asie-Pacifique. Le ministre des Transports, de l'Infrastructure et des Collectivités est responsable de la gestion du Fonds d'infrastructure de transport de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique. L'IPCAP est une initiative horizontale dont l'élaboration et la mise au point mettent en cause un certain nombre d'autres Ministères ou organismes fédéraux importants. Un cadre global de rendement horizontal pour l'IPCAP, qui a été fourni au Secrétariat du Conseil du Trésor dans la présentation au Conseil du Trésor de 2006 sur l'IPCAP, va être modifié avec l'ajout des éléments non liés à l'infrastructure/à une compétitivité accrue. Ce cadre, qui avait été conçu avec le concours de tous les Ministères/organismes impliqués dans l'IPCAP, offre une stratégie d'évaluation et de mesure de rendement saine, coordonnée et continue qui permet d'évaluer globalement le processus de mise en œuvre de l'initiative. Bien qu'en définitive, chacun soit responsable de ses propres programmes ou activités ou ressources connexes provenant du financement de l'IPCAP, les MinisÂtères ou organismes fédéraux concernés doivent également contribuer aux objectifs généraux de l'initiative. Tous les partenaires fédéraux sont chargés de la gesÂtion quotidienne de leurs éléments respectifs de l'IPCAP. De plus, on s'attend à ce que chaque Ministère ou organisme fournisse régulièrement une mise à jour au secrétaire d'État et au ministre des Transports, de l'Infrastructure et des Collectivités par l'intermédiaire du Comité de direction interministériel, niveau des DG, sur l'Initiative de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique, qui est présidé par Transports Canada. Les Ministères partenaires et leur rôle dans le cadre de l'Initiative sont les suivants : |
TRANSPORTS CANADATransports Canada (TC), à titre de Ministère responsable, relève du secrétaire d'État et du ministre des Transports, de l'Infrastructure et des Collectivités. La Direction de la coordination de la porte d'entrée du Pacifique de TC (ACKD) est chargée de la coordination, de la gestion, de l'intégration ainsi que de l'élaboration et de la mise en œuvre stratégiques continues de l'Initiative dans son ensemble. TC préside le groupe directeur interne ainsi que le Comité de direction interministériel, et la direction ACKD fait fonction de secrétariat pour ces deux organes. D'autres Ministères et organismes fédéraux, les quatre provinces de l'Ouest et des intervenants du secteur privé sont consultés et mis à contribution dans l'établissement d'un consensus sur les décisions liées à l'Initiative. TC est responsable de l'établissement et de la mise en œuvre du Fonds d'infrastructure de transport (FIT) de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique, dont l'objectif premier est de régler les problèmes de capacité auxquels font face la Porte et le Corridor de l'Asie-Pacifique. Les projets financés dans le cadre du FIT contribueront à améliorer la compétitivité, l'efficience et la capacité du réseau de transport multimodal du Canada et ils seront axés particulièrement sur le transport pour le commerce international entre l'Asie-Pacifique et l'Amérique du Nord. Bien que l'infrastructure de transport en soit l'élément central, l'Initiative porte également sur des questions interreliées qui ont une incidence sur la poursuite du développement et de l'exploitation de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique. Un certain nombre de mesures non liées à l'infrastructure et à une compétitivité accrue annoncées lors du lancement de l'initiative en octobre 2006 ont été prises ou sont en cours de mise en œuvre, notamment :
Comme le Cabinet l'a approuvé en décembre 2007, TC s'est aussi employé à prendre des mesures non liées à l'infrastructure sous les catégories thématiques suivantes : un système de Porte et de Corridor plus intelligent (notamment analyse du système et mesure du rendement, mise à contribution des experts, partenariats internationaux) et mobilisation accrue du public. Un troisième thème non lié à l'infrastructure est l'examen des enjeux relatifs au développement des compétences et au marché du travail, pour lequel Ressources humaines et Développement social Canada va mettre sur pied la Table de partenariat sur les compétences relatives à la Porte de l'Asie-Pacifique. AFFAIRES ÉTRANGÈRES ET COMMERCE INTERNATIONALLe Groupe de coordination de la Porte d'entrée du Pacifique et des Jeux olympiques d'hiver de 2010, établi par le Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI), est responsable de l'élaboration et de la mise en œuvre continues d'une stratégie de commercialisation internationale conjointement avec tous les intervenants. L'objectif est d'encourager les importateurs, les exportateurs, les investisseurs et les entreprises de transport de l'Amérique du Nord et de l'Asie-Pacifique à utiliser davantage la Porte à titre d'itinéraire de choix pour les chaînes d'approvisionnement de l'Asie-Pacifique Pour cette stratégie, élaborée en collaboration avec les intervenants, on va utiliser des produits de communication ciblés, tout comme les missions canadiennes à l'étranger ou au Canada. Les avantages de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique seront mis en évidence à d'importants salons, congrès et colloques portant sur le commerce, l'investissement et la technologie au Canada, en Asie-Pacifique, en Europe et en Amérique du Nord. Les principales missions du MAECI à l'étranger contribuent activement à faire progresser le Canada à titre de Porte et de Corridor de choix grâce à l'établissement d'un dialogue avec les producteurs, les exportateurs, les importateurs et les entreprises de transport dans chaque région en vue de mettre en évidence les forces du réseau de transport canadien, de favoriser l'investissement et le transfert de technologies, de défendre les questions clés de l'IPCAP telles que la sûreté et l'efficience frontalière, de fournir des renseignements au Canada afin de soutenir l'élaboration de politiques ainsi que d'aider à cerner le message qui se dégage au sein de leurs marchés. Le MAECI a mis en place un groupe central de délégués commerciaux des missions de l'Asie-Pacifique, de l'Amérique du Nord et de l'Europe à qui on a donné des séances d'orientation pour leur bien faire comprendre la Porte et les possibilités qu'elle présente pour l'économie canadienne et qui sont, par conséquent, en mesure d'appuyer l'objectif du gouvernement visant à établir le Canada à titre de porte et de corridor de choix entre l'Amérique du Nord et l'Asie-Pacifique. AGENCE DES SERVICES FRONTALIERS DU CANADAL'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) est responsable de la mise en œuvre d'une opération d'inspection des conteneurs maritimes au port de Prince Rupert, qui est devenu opérationnel à l'automne 2007. Cette activité permettra à l'ASFC de mettre sur pied des opérations qui permettront d'inspecter correctement les conteneurs provenant d'autres pays au moyen de processus efficaces et d'une technologie de pointe. L'activité d'inspection des conteneurs maritimes de l'ASFC, qui joue un rôle essentiel et stratégique, est intégrée à l'initiative de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique. AGENCE PARCS CANADAParcs Canada est responsable de l'entretien et de la réfection des routes qui passent dans les parcs nationaux, notamment la Transcanadienne, une grande route pancanadienne qui relie la côte ouest, y compris ses liens à l'Asie-Pacifique, avec le reste du Canada, particulièrement les marchés des provinces de l'Ouest. Parcs Canada termine le doublement (élargissement à quatre voies) d'un tronçon de 10 km très fréquenté de la Transcanadienne qui passe dans le parc national Banff du Canada, ce qui en améliorera la capacité et l'efficience. Le financement fourni par l'IPCAP a contribué à l'achèvement en temps voulu de l'amélioration de ce tronçon de route et à la réalisation de l'objectif de l'Initiative visant à améliorer le transport des marchandises qui passent par la Porte et le Corridor de l'Asie-Pacifique. DIVERSIFICATION DE L'ÉCONOMIE DE L'OUEST CANADIENDiversification de l'économie de l'Ouest canadien (DEO) est responsable de deux éléments de l'IPCAP : l'initiative axée sur les possibilités d'affaires et la sensibilisation intitulée « Saisir l'occasion de la Porte et du Corridor : le défi de l'Ouest canadien et de l'Asie-Pacifique », et le financement des travaux de dragage du fleuve Fraser afin de conserver un chenal de navigation compétitif. Dans le cadre de « Saisir l'occasion de la Porte et du Corridor », DEO consulte des gouvernements provinciaux, des entreprises et d'autres intervenants et appuie la recherche sur les incidences, les obstacles et les possibilités du commerce de l'Asie-Pacifique dans l'Ouest canadien concernant des aspects tels que les pratiques commerciales et la main-d'œuvre. En vue d'appuyer l'IPCAP, DEO a entrepris toute une gamme d'activités, notamment des ateliers, des études et des partenariats, pour se pencher sur des sujets tels que les possibilités du marché asiatique par secteur de l'industrie et l'évaluation des besoins des petites et moyennes entreprises (PME) de l'Ouest qui cherchent à livrer efficacement concurrence aux entreprises asiatiques. DEO a accordé une subvention de 4 millions de dollars sur deux ans à l'administration portuaire du fleuve Fraser afin de financer les travaux de dragage du chenal de navigation. Ce financement permettra à l'administration portuaire du fleuve Fraser de poursuivre ses activités actuelles et de se positionner en vue d'attirer de nouvelles entreprises, tirant ainsi parti des possibilités de la porte de l'Asie-Pacifique. Cette mesure ponctuelle permettra au port de répondre aux besoins des cargos de plus en plus grands jusqu'à ce qu'une solution à long terme permettant un accès autonome aux installations portuaires soit mise en place. |
10. Partenaires fédéraux |
11. Activité de programme du partenaire fédéral |
12. Nom des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la date de mise en œuvre à celle de clôture) (en milliers de dollars) |
14. Dépenses prévues pour 2007‑2008 (en milliers de dollars) |
15. Dépenses réelles en 2007‑2008 (en milliers de dollars) |
16. Résultats prévus pour 2007‑2008 | 17. Résultats obtenus en 2007‑2008 |
1 Transports Canada | Élaboration de politiques de Transport et programmes d'infrastructure | Programme d'infrastructures terrestre | 477 500 | 4 400 | 4 070 |
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Élaboration de politiques de Transport et programmes d'infrastructure | Politiques stratégiques de transport | 8 550 | 2 300 | 2 205 |
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Politiques, réglementation, surveillance et sensibilisation en appui un réseau de transport sûr et sécuritaire | Sureté et préparatifs d'urgence | 250 | 200 | 9 |
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Élaboration de politiques de Transport et programmes d'infrastructure | Politiques stratégiques de transport | 28 300 | 500 | 212 |
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2. Affaires étrangères et Commerce internatioÂnal | Conseil sur les politiques internationales | Planification, intégration et coordination sur les questions de politique internationale | 7 000 | 1 500 | 1 050 |
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3. Agence des services frontaliers du Canada |
Sûreté | 26 950 | 13 260 | 5 750 |
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Accès | 77 | 96 | 61 | ||||
Innovation axée sur les sciences et la technologie | 28 | 1 080 | 84 |
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4. Agence Parcs Canada | Gestion des routes de transit | 37 000 | 10 000 | 10 000 |
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5. DiversiÂfication de l'éconoÂmie de l'Ouest | Collaboration et coordination | 400 | 187 | 187 |
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Recherche et analyse | 121 | 121 |
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Programme du développement des entreprises et de l'entreprenariat | Expansion des marchés/du commerce | 4 400 | 2 000 | 2 025 | |||
18. Commentaires sur les écarts : L'écart est le résultat du retard du financement dans l'exercice financier, de la nécessité de réduire une de nos initiatives principales d'environ 30 % et des missions à l'étranger qui absorbent le coût ou cherchent la manière la plus rentable de participer à la séance d'orientation. |
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19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) | |||||||
20. Personne-ressource Sarah Lauzon, 990-9524 |
1. Nom de l'initiative horizontale : Sûreté maritime |
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2. Nom du ou des Ministères responsables : Transports Canada |
3. Activité de programme du Ministère responsable Sûreté maritime |
4. Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale : Budget 2001 |
5. Date de clôture de l'initiative horizontale : En cours |
6. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) Sans objet |
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7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) La Sûreté maritime est une initiative horizontale liée à la grande priorité du gouvernement : sécurité et sûreté du Canada. Elle vise à renforcer la sûreté du réseau maritime canadien, notamment dans les eaux territoriales, les voies navigables intérieures et les ports canadiens. Cette initiative comprend les éléments suivants :
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8. Résultats partagés Les éléments ci-dessous sont les résultats et les activités partagés prévus sur le plan de la sûreté maritime. À noter que pour l'EX 08-09, le nouveau Cadre de rendement horizontal de la sûreté maritime sera utilisé par les partenaires dans le secteur. Activités clés :
Résultat final :
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9. Structure(s) de gouvernance : Le gouvernement du Canada a mis sur pied le Groupe de travail interministériel sur la sûreté maritime (GTISM), sous l'égide deTransports Canada. Le Groupe est chargé de définir et de coordonner les interventions du gouvernement fédéral à l'appui des objectifs du Canada en matière de sûreté publique et de lutte contre le terrorisme maritime et de ses obligations internationales en termes de sûreté maritime. Conformément aux directives du GTISM, chaque Ministère partenaire assume les responsabilités suivantes : TRANSPORTS CANADADirige les initiatives du gouvernement du Canada en matière d'amélioration de la sûreté maritime, c.-à -d. :
MINISTÈRE DES PÊCHES ET DES OCÉANS/ GARDE CÔTIÈRE CANADIENNE L'organisation (MPO/GCC) contribue à améliorer le niveau de vigilance dans le secteur maritime dans les limites de la zone économique exclusive (ZEE) du Canada grâce à des activités de surveillance, d'identification et de suivi des navires. L'organisation a intensifié ses activités de surveillance, a mis en place une infrastructure terrestre pour le Système d'identification automatique (SIA) et dirige le développement d'une capacité de repérage à longue distance des navires. En outre, l'organisation offre ses bâtiments et son expertise lors des interventions en cas d'incidents de sûreté maritime et a accru sa capacité d'intervention en mer à cet effet. L'organisation participe aussi aux activités des Centres des opérations de la sûreté maritime (COSM), fournissant les données et l'expertise du Ministère pour renforcer la vigilance et améliorer la coordination et les consultations avec la communauté de sûreté maritime. SÉCURITÉ PUBLIQUE ET PROTECTION CIVILE CANADALe mandat de Sécurité publique et Protection civile Canada (SPPCC) est de protéger la population canadienne d'un certain nombre de dangers, notamment les catastrophes naturelles, le crime et le terrorisme. Pour ce faire, le Ministère coordonne et appuie les travaux des organismes fédéraux qui veillent à la sécurité nationale et à la protection de la population. SPPCC collabore également avec les autres ordres de gouvernement, les premiers intervenants, les groupes communautaires, le secteur privé ainsi que d'autres pays. À titre de Ministère responsable de la sécurité publique au Canada, SPPCC collabore avec cinq organismes, dont la GRC et l'ASFC et trois organes d'examen, lesquels relèvent d'un seul portefeuille et d'un même ministre. Il en résulte une meilleure intégration entre les organisations fédérales qui s'occupent de la sûreté nationale, de la gestion des urgences, de l'application de la loi, des services correctionnels, de la prévention du crime et des services/de l'application de la loi aux frontières. AGENCE DES SERVICES FRONTALIERS DU CANADA :L'ASFC a pour mandat de gérer les frontières du pays aux points d'entrée en appliquant les lois canadiennes qui régissent les échanges commerciaux et les voyages, mais aussi les conventions et accords internationaux. Le travail de l'ASFC consiste notamment à identifier les personnes et les marchandises à risque élevé et à interdire leur entrée, à travailler avec les organismes d'application de la loi afin de préserver l'intégrité des frontières, et à prendre part à des activités d'application de la loi, notamment la saisie de marchandises, les arrestations, les détentions, les enquêtes, les audiences et les renvois. Participe aussi aux activités des COSM. GENDARMERIE ROYALE DU CANADALa GRC est chargée d'appliquer les lois fédérales et de diriger les enquêtes en matière de sécurité nationale et de crime organisé partout au Canada, à terre ou en mer. Elle veille également à l'intégrité des frontières entre les différents points d'entrée. La GRC dirige le COSM des Grands Lacs-Voie maritime du Saint-Laurent et participe aux activités des COSM côtiers. MINISTÈRE DE LA DÉFENSE NATIONALEContribue au renforcement de la vigilance dans les zones côtières stratégiques. Dirige le COSM sur les côtes et participe aux activités du COSM des Grands Lacs-Voie maritime du Saint-Laurent. |
10. Partenaires fédéraux |
11. Activités de programme des partenaires fédéraux |
12. Nom des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) (en milliers de dollars) |
14. Dépenses prévues 2007-2008 (en milliers de dollars) |
15. Dépenses réelles 2007-2008 (en milliers de dollars) |
16. Résultats prévus 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. Transports Canada | B91 - Sécurité du réseau de transport maritime | a. Fonds de coordination de la sûreté maritime | S/O | 2 220 127 | 3 473 868 |
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Quatre nouveaux projets du Fonds de coordination ont été approuvés pour l'EX 07-08. Le Fonds est maintenant entièrement souscrit jusqu'à l'EX 09-10. |
B91 - Sécurité du réseau de transport maritime | b. Programme de surveillance et d'application de la sûreté maritime | S/O | 10 830 060 | 11 749 312 |
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Opérations de la sûreté maritime a été très actif dans les différentes régions du Canada, menant diverses activités, dont l'établissement de normes, les inspections et la vérification de la conformité, la sensibilisation à la sûreté maritime ainsi que des activités d'éducation, de formation et d'appui. La Direction a continué d'élaborer des plans d'évaluation et de mener l'examen des ports, des installations et des navires pour déterminer s'ils sont conformes au Code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires et au Règlement sur la sûreté du transport maritime. (ISPS/RSTM). | |
La Direction a poursuivi sa collaboration avec le Ministère de la Défense nationale et d'autres partenaires principaux pour établir des centres d'opérations de la sûreté maritime (COSM) sur les côtes, soit à Halifax et à Victoria, et elle a continué le développement des centres pour qu'ils remplissent le mandat de Transports Canada. La Direction a conçu et élaboré divers produits, exposés et publications visant à sensibiliser les membres de l'industrie et les intervenants. La Direction a réalisé un programme de formation en matière d'inspection et d'application de la loi à l'intention des inspecteurs. |
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B91 - Sécurité du réseau de transport maritime | c. Coordination améliorée des politiques de la Sûreté maritime | S/O | 1 037 087 | 1 107 215 |
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TC va établir, à l'intention des intervenants, un sondage pour déterminer les résultats obtenus. | |
B91 - Sécurité du réseau de transport maritime | d. Programme d'habilitation de sécurité en matière de transport maritime | S/O | 1 889 747 | 2 681 311 |
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9 454 habilitations de sécurité pour la Phase I
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B91 - Sécurité du réseau de transport maritime | e. Programme de contribution pour la sûreté maritime | S/O | 31 102 653 | 32 208 420 |
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B91 - Sécurité du réseau de transport maritime | Centre des opérations de la sûreté maritime Grands Lacs- Voie maritime du Saint-Laurent | 1 500 000 | 497 649 | 472 607 |
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Continué de faire partie de l'équipe de conception dirigée par la GRC pour la phase de mise en œuvre. | |
Total S/O | Total 47 577 323 | Total 51 692 733 | |||||
18. Commentaires sur les écarts : Fonds de coordination de la sûreté maritime: 2 674 k$ reportés de l'EX 06/07, portant à 4 674 k$ les fonds pouvant être réaffectés, dont la plupart (3 130 k$) ont été dépensés par Sécurité maritime-Transports Canada pour un projet approuvé par le GTISM. Surveillance et application : Les écarts sont des réaffectations internes de TC d'environ 900 k$ pour satisfaire aux exigences hautement prioritaires comme Exécution et suivi de programme, Gestion des crises, qui sont insuffisamment financés. Coordination des politiques : On a commencé avec seulement cinq ETP. Sûreté maritime a dû effectuer une gestion des risques pour un plus grand nombre d'employés du fait de la hausse de la charge du travail relatif à la coordination des efforts concernant la politique de sûreté maritime du Canada - tant au niveau national qu'international - le travail évoluant constamment. Il fallait aussi des ressources supplémentaires pour mener des activités comme la mise en œuvre du Comité de sûreté maritime, niveau SMA, et l'analyse des lacunes en matière de sûreté maritime, ce qui explique l'écart global (70 k$) Programme de contribution pour la sûreté maritime : Le programme, qui devait se terminer pendant l'EX 07/08, a commencé l'EX avec seulement trois ETP (plus les affectations salariales et autres affectations de fonctionnement connexes). TC a dû réaffecter 1 M$ pour appuyer la gestion du programme, qui avait été prolongé de deux autres années en novembre 2006. Il a fallu des ressources supplémentaires pour assurer la gestion et le contrôle des outils déjà en place qui permettaient de verser des contributions et de faire le suivi et réaliser d'autres activités exceptionnelles comme p. ex., mener à bien la fermeture des dossiers pour 17 administrations portuaires canadiennes, survenue le 30 novembre 2007, un montant de plus de 22 M$ leur étant versé en 2007-08. Programme d'habilitation de sécurité en matière de transport maritime (PHSTM) : La portée du programme a changé en ce sens qu'au départ, il avait été financé pour trois grands ports, une date de mise en œuvre, un simple modèle couvrant tous les employés portuaires et une mise en œuvre sur cinq ans. On a décidé d'étendre la portée géographique du programme, de le mettre en œuvre sur deux ans et d'avoir deux régimes très différents pour les terminaux des navires porte-conteneurs et des navires de croisière. À cause de ces modifications, le projet est devenu plus complexe et plus sensible et il était davantage nécessaire d'assurer l'uniformité au niveau national, de sorte que l'AC a dû assurer la coordination et la supervision pour cette mise en œuvre complexe. En conséquence, il a fallu des fonds supplémentaires qui ont été obtenus au moyen d'une réaffectation interne à TC d'environ 800 k$. |
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19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) Sans objet | |||||||
20. Personne-ressource : Michel Tremblay Transports Canada |
10. Partenaires fédéraux |
11. Activités de programme des partenaires fédéraux |
12. Nom des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) (en milliers de dollars) |
14. Dépenses prévues 2007-2008 (en milliers de dollars) |
15. Dépenses réelles 2007-2008 (en milliers de dollars) |
16. Résultats prévus 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
a. Initiative sur le matériel de détection des radiations b. Initiative sur le contrôle des équipages maritimes et des passagers c. Inspections des paquebots de croisière |
Sûreté 1 | a. Initiative sur le matériel de détection des radiations | 31 670 | 5 420 | 5 420 | Amélioration des mesures de sûreté aux ports et aux installations maritimes | Amélioration des mesures de sûreté aux ports et aux installations maritimes |
Sûreté 1 | b. Initiative sur le contrôle des équipages maritimes et des passagers | 34 900 | 7 224 | 6 124 | Amélioration des mesures de sûreté aux ports et aux installations maritimes | Amélioration des mesures de sûreté aux ports et aux installations maritimes | |
Sûreté 1 | c. Inspections des paquebots de croisière | 2 350 | 2 350 | 2 350 | Amélioration des mesures de sûreté aux ports et aux installations maritimes | Amélioration des mesures de sûreté aux ports et aux installations maritimes |
18. Commentaires sur les écarts : Initiative sur le contrôle des équipages maritimes et des passagers - Pénurie de personnel pendant la haute saison de mai à octobre. Ressources insuffisantes dans le service pour effectuer le contrôle de tous les navires à certains endroits. |
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant): Sans objet |
20. Personne-ressource : David Sheehan Gestion des initiatives horizontales et des politiques d'application 191, avenue Laurier Ouest, 19e étage |
10. Partenaires fédéraux |
11. Activités de programme des partenaires fédéraux |
12. Nom des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) |
14. Dépenses prévues 2007-2008 (en milliers de dollars) |
15. Dépenses réelles 2007-2008 (en milliers de dollars) |
16. Résultats prévus 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
Sécurité publique et Protection civile Canada |
PA 1 - Secteur de la gestion des urgences et de la sécurité nationale |
Exercices de formation à la lutte contre le terrorisme relatifs à la sûreté maritime (parfois appelé formation au moyen de scénario) |
200 000 (07/08) chaque année - permanent selon la présentation au SCT |
200 000 | 85 541 | Valider les activités au chapitre de la sûreté maritime et de la sûreté portuaire en élaborant et en menant des exercices et en préparant un rapport postérieur aux opérations à l'intention du GTISM. Le Programme de sûreté maritime vise à améliorer la coordination et la coopération entre les organismes au moyen de l'identification des lacunes, des forces et faiblesses. |
Sûreté portuaire - Consultations et planification de projet concernant la mise sur pied d'exercices de sûreté portuaire prévus pour l'automne 09 avec les principaux partenaires de planification. COSM - Rédaction du rapport postérieur aux opérations pour l'exercice Ardent Sentry 06 - consultation importante avec l'équipe du projet COSM, l'agent chargé de la formation et des exercices pour le projet, et les représentants d'autres Ministères pour les exercices, en vue d'harmoniser les initiatives d'exercice avec les activités d'élaboration de projets |
PA 2 - Police et application de la loi |
c.Centre des opérations de la sûreté maritime (COSM) Grands Lacs / Voie maritime du Saint-Laurent (GL-VMSL) (installation provisoire) |
420 000 06/2005- 03/2008 |
140 000 | 167 600 |
Améliorer la vigilance dans le secteur maritime dans la région des GL-VMSL. Obtenir des fonds pour une installation permanente |
Amélioration de la vigilance dans la région des GL-VMSL grâce à l'installation provisoire. On a obtenu un financement pour l'installation permanente dans le budget 2008. |
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Total $ | Total $ | Total $ | |||||
18. Commentaires sur les écarts : PA1 - La Division des exercices nationaux (DEN) de SPPCC a tenu des consultations avec l'équipe du projet COSM qui est chargée de la mise sur pied des installations de COSM sur les côtes est et ouest et des plans et procédures connexes. Au cours des discussions, on a parlé de la possibilité de participer aux exercices futurs de la GC, mais l'équipe de projet a déterminé qu'il serait prématuré de participer à l'élaboration et à la conduite d'un autre exercice de SM, en prévision des modifications et de la mise en œuvre de la formation concernant les plans et procédures qui ont été décidées à la suite des exercices Ardent Sentry 06 et Frontier Sentinel. DEN a continué de faire périodiquement des consultations au sujet du projet de COSM. En outre, le port de Vancouver s'était déjà engagé à participer à des exercices avec d'autres organisations et ne pouvait pas participer à d'autres exercices. On a entrepris des travaux avec des intervenants clés du port de Halifax pour élaborer un programme intergouvernemental d'exercices de sûreté portuaire. PA2 - Afin d'atteindre les objectifs du projet COSM GL-VMSL, 27 000 $ ont été réaffectés à l'initiative au niveau de la direction générale. |
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19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant): Sans objet | |||||||
20. Personne-ressource : Anita Dagenais |
10. Partenaires fédéraux |
11. Activités de programme des partenaires fédéraux |
12. Nom des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) |
14. Dépenses prévues 2007-2008 |
15. Dépenses réelles 2007-2008 |
16. Résultats prévus 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. Ministère des Pêches et des Océans | Garde côtière canadienne |
a. Opérations supplémentaires de la flotte (Fait partie de la sous-activité de programme Services de la flotte de la Garde côtière) |
10 000 000 (chaque année, permanent) | 10 000 000 | 10 000 000 | Porter le nombre de jours-navires opérationnels à un niveau supérieur au niveau de base fixé avant l'initiative SPAT. | Le nombre total de jours-navires de la flotte de la GCC a été porté à un niveau supérieur au niveau de base. |
b. Système d'identification automatique (SIA) et système longue portée d'identification et de poursuite (SLPIP) (Fait partie de la sous-activité de programme Services de communications et de trafic maritimes) |
1 500 000 | 2 500 000 | 1 449 057 | Maintenir l'initiative sur la bonne voie. Le projet d'immobilisations devrait se terminer en 2009/10. Le système permanent devrait être mis en place en 2010/11. | On a terminé l'évaluation de sept soumissions recevables. Un soumissionnaire a été retenu et le contrat a été attribué. | ||
c. Centre des opérations de sûreté maritime Grands Lacs/Voie maritime du Saint-Laurent (Fait partie de la sous-activité de programme Sûreté maritime) |
360 000 | 360 000 | 360 000 | Trouver un financement permanent pour remplacer le financement provisoire qui vient à son terme. En outre, participer à la conception et à la mise sur pied d'une installation permanente COSM - GL. | Le budget 2008 octroyait des fonds pour la mise sur pied d'un COSM - GL permanent. On est à élaborer des mesures de rendement. | ||
d. Équipes d'application de la loi en sûreté maritime Grands Lacs/Voie maritime du Saint-Laurent (Fait partie de la sous-activité de programme Contribution aux autres objectifs du gouvernement) |
4 427 300 | 4 427 300 | 4 997 900 | Fournir des navires armés en équipage pour mettre en œuvre le programme EALSM dans les Grands Lacs/Voie maritime du Saint-Laurent conjointement avec la GRC. | Un total de 757,7 jours-navires a été fourni pour le programme EALSM. | ||
e. Acquisition de patrouilleurs semi-hauturiers pour les Grands Lacs/Voie maritime du Saint-Laurent (Fait partie de la sous-activité de programme Contribution aux autres objectifs du gouvernement) |
0 | 19 829 000 | 2 798 000 | Maintenir l'initiative sur la bonne voie. La livraison du premier navire est maintenant attendue pour octobre 2009 et du dernier pour juillet 2010. | Une demande de propositions révisée a été diffusée en novembre 2007. | ||
Gestion des pêches et de l'aquiculture |
f. Augmentation des vols de surveillance aérienne pour Conservation et protection (Fait partie de la sous-activité de programme Conservation et protection) |
7 000 000 (chaque année, permanent) |
7 000 000 | 7 000 000 | Porter le nombre d'heures de surveillance aérienne à un niveau supérieur au niveau de base fixé avant l'initiative SPAT. | Le nombre total d'heures de surveillance aérienne a été porté à un niveau supérieur au niveau de base. | |
Total 23 287 300 | Total 44 116 300 | Total 26 604 957 | |||||
18. Commentaires sur les écarts :
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19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant): Sans objet | |||||||
20. Personne-ressource : Mark A. Henry |
10. Partenaires fédéraux |
11. Activités de programme des partenaires fédéraux |
12. Nom des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) |
14. Dépenses prévues 2007-2008 |
15. Dépenses réelles 2007-2008 |
16. Résultats prévus 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. MDN . | PA 1 | a. COSM | 165 000 000 | 11 742 928 | 6 760 886 |
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PA 1 | a. IMIC3 | 10 000 00 + 7 000 000 chaque année en PF et E | 435 000 | 210 978 | Réalisation de la phase de définition, publication de la DP et début de la phase de mise en œuvre. | Phase de définition reportée | |
Total 173 000 000 |
Total 12 177 928 |
Total 6 971 864 |
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18. Commentaires sur les écarts : Il a fallu plus longtemps que prévu pour établir les estimations fondées et les documents de DP. | |||||||
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant): Sans objet | |||||||
20. Personne-ressource : Capitaine de corvette Clark Patterson |
10. Partenaires fédéraux |
11. Activités de programme des partenaires fédéraux |
12. Nom des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) |
14. Dépenses prévues 2007-2008 |
15. Dépenses réelles 2007-2008 |
16. Résultats prévus 2007-2008 |
17. Résultats obtenus en 2007-2008 |
1. GRC |
PA 1.3.5 La stratégie de la Direction de la sûreté maritime est une approche intégrée et stratégique visant à prévenir, à décourager et à déceler les activités illicites et l'entrée de marchandises ou de personnes non autorisées pouvant menacer la sécurité du Canada, des États-Unis et de la collectivité internationale. La stratégie vise essentiellement à réduire les failles et les vulnérabilités de nos systèmes et installations maritimes en ce qui concerne le terrorisme et le crime organisé. |
Projet sur les ports nationaux Équipes intégrées de police portuaire (EIPP) |
7 038 000 | 6 774 200 | 4 815 600 |
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Équipes sur l'application de la loi en sûreté maritime (EALSM) | 5 860 000 | 6 841 200 | 4 721 200 |
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PA 1.3.5 | Équipe d'intervention d'urgence de la sûreté maritime (EIUSM) | 7 410 000 | 7 125 400 | 4 939 400 |
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Équipe nationale de coordination de la sûreté côté eau | 900 000 | 920 600 | 798 000 | Soumission des recommandations au gouvernement, de concert avec Transports Canada, sur les stratégies pour atténuer les menaces liées à la sûreté côté eau (p. ex. l'infrastructure essentielle, les plates-formes de forage, la capacité sous l'eau, la présence visible de la police sur l'eau) |
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2. GRC | PA 1.3.5 | Centre des opérations de la sûreté maritime (COSM GL/VMSL) | 1 200 000 | 1 840 000 | 1 125 000 |
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Centre des opérations de la sûreté maritime (côtes est et ouest) | 1 405 000 | 1 211 000 | 1 098 000 |
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PA 1.3.5 PA 7.6.19 PA 3.6.19 |
Système d'inspection des véhicules et du fret (VACIS) | 1 080 000 | 926 000 | 779 200 | Accroître l'application de la loi dans l'installation portuaire, visant le crime organisé et les menaces à la sécurité nationale à l'un des ports de mer les plus importants au Canada (Halifax). |
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Programme d'accès aux zones réglementées des infrastructures maritimes
Programme d'intervention d'urgence - Sûreté maritime |
200 000
600 000 |
206 000
876 600 |
179 600
179 600 |
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Total 25 693 000 |
Total 26 722 000 |
Total 19 127 400 |
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18. Commentaires sur les écarts : EIPP : il y a une différence de 263 800 $. Ce montant représente les fonds qui ont été transférés par erreur au mauvais programme, c.-à -d. EIUSM. EALSM : fonds transférés du programme EIUSM pour réparer un des navires de la GCC pour le programme. EIUSM : report de 2,7 M$ à 07- 08 pour l'achat des canots pneumatiques à coque rigide Équipe nationale de coordination de la sûreté côté eau : des fonds d'immobilisations ont été transférés pour couvrir les dépenses relatives aux véhicules. COSM GL/VMSL : 660 000 $ ont été reportés de 06-07. VACIS : inutilisation de 147 000 $ à cause de problèmes de dotation. Programme d'intervention d'urgence - Sûreté maritime : des fonds ont été réaffectés de EIPP. |
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19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant): Sans objet | |||||||
20. Personne-ressource Inspecteur Lori Seale-Irving |
1. Nom de l’initiative horizontale : Projet d’assainissement des étangs bitumineux et des fours à coke de Sydney | |||||
2. Nom du ou des ministères responsables :TPSGC | 3. Activité de programme du ministère responsable : Services du Bureau de l’écologisation des opérations gouvernementales | ||||
4. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : 12 mai 2004 | 5. Date de clôture de l’initiative horizontale : 2014 | ||||
6. Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture) : Jusqu’à 280 M$ (+ la part de la province de la NouvelleÂÉcosse, soit 120 M$ = un financement total de 400 M$ pour le projet). | |||||
7. Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : Entente fédérale provinciale de partage des coûts afin de procéder à l’assainissement des étangs bitumineux et du site des fours à coke de Sydney, situés sur des terres appartenant au gouvernement fédéral et au gouvernement provincial, au cœur de Sydney, en Nouvelle-Écosse. Ces sites ont été contaminés par les activités de fabrication de l’acier durant un siècle. Le projet appuie l’initiative de développement durable du gouvernement fédéral et tient compte des aspects environnementaux, sociaux et économiques de la région de Sydney. Le projet produira des bénéfices à long terme pour tous les Canadiens. Lorsque les travaux d’assainissement seront terminés, la province de la Nouvelle-Écosse prendra possession des terres. Elle assurera la gestion et la surveillance des contaminants restants conformément au protocole d’accord. L’adresse du site Web de l’organisme provincial qui gère le projet d’assainissement est la suivante :http://www.tarpondscleanup.ca. L’adresse du site Web de l’Agence canadienne d’évaluation environnementale est la suivante : http://www.ceaa-acee.gc.ca/050/viewer_f.cfm?cear_id=8989#Documents |
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8. Résultats partagés Le projet produira des bénéfices environnementaux, sociaux et économiques pour les habitants de la NouvelleÂÉcosse, les collectivités de Premières nations et l’ensemble de la population canadienne. De nouveaux terrains pourront être exploités dans le centreÂville de Sydney, ce qui contribuera à la revitalisation du secteur, en proie au marasme économique. |
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9. Structure de gouvernance
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10. Partenaires fédéraux | 11. Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | 12. Nom des programmes des partenaires fédéraux | 13. Affectation totale (2004-2014) | 14. Dépenses réelles 2007-2008 | 15. Dépenses prévues 2008-2009 |
1. ENVIRONNEMENT CANADA | Conseiller TPSGC sur les questions techniques, les études historiques et les questions scientifiques liées aux sites contaminés. | a. S.O. | 7 640 000 $ | 678 086 $ | 619 742 $ |
2. SANTÉ CANADA | Conseiller TPSGC sur les questions de santé, les questions techniques et l’évaluation des risques. | a. S.O. | 4 410 000 $ | 515 396 $ | 550 000 $ |
3. TPSGC Coût de fonctionnement de TPSGC : Partage des coûts : |
AP 1Direction fédérale | a. S.O. |
25 870 000 $
282 240 000 $ |
1 845 565 $
8 354 767 $ |
2 928 000 $
21 451 043 $ |
Total : 320 160 000 $ | Total : 11 393 814 $ | Total : 25 548 785 $ | |||
16. Résultats prévus pour 2007-2008 :
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17. Résultats atteints en 2007-2008 : Fin des travaux préventifs et préliminaires. |
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18. Commentaires sur les écarts : S.O. |
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19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Le financement fédéral estimatif accordé à la Sydney Tar Ponds Agency de la NouvelleÂÉcosse pour les dépenses à frais partagés engagés dans les travaux d’assainissement pour l’exercice 2008-2009 s’élève à 21,5 M$. |
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20. PersonnesÂressources : Randy Vallis, directeur, Projet d’assainissement des étangs bitumineux et des fours à coke de Sydney Brenda Powell, chef, Gestion des affaires, Projet d’assainissement des étangs bitumineux et des fours à coke de Sydney |
1. Nom de l’initiative horizontale : Marché en direct du gouvernement du Canada (MDGC) | |||||
2. Nom du ou des ministères responsables : TPSGC |
3. Activité de programme du ministère responsable : Services des approvisionnements |
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4. Date de mise en œuvre de l’initiative horizontale : décembre 2002 |
5. Date de clôture de l’initiative horizontale : 31 mars 2008 |
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6. Total des fonds fédéraux versés (de la mise en œuvre à la clôture) : 47,73 M $ | |||||
7. Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : Le Marché en direct du gouvernement du Canada (MDGC) consiste en un répertoire électronique que les ministères et organismes peuvent consulter pour chercher les biens et les services offerts dans le cadre d’offres à commandes et d’arrangements en matière d’approvisionnement de TPSGC et générer des formulaires de commande pour les biens et les services qu’ils ont choisis. Les outils électroniques comme le MDGC appuient le renouvellement des achats du gouvernement du Canada puisqu’ils permettent d’automatiser et de simplifier les processus d’achat, facilitent l’établissement de rapports normalisés sur les activités d’achat et permettent de maintenir un niveau élevé de transparence et de responsabilité. |
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8. Résultats partagés Le projet du MDGC permettra de réaliser des économies de 127 M$. Les avantages anticipés et quantifiables attribuables au MDGC proviennent de la contribution des outils électroniques qui facilitent la conformité aux mécanismes d’approvisionnement obligatoires, des économies liées aux processus en raison de l’automatisation des processus d’affaires et des prix plus bas obtenus grâce à la disponibilité de l’information d’achat précise et à jour, nécessaire à l’exploitation du pouvoir d’achat à l’échelle des dépenses gouvernementales. |
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9. Structure de gouvernance En plus d’être chargé de l’établissement de modèles économiques et opérationnels à l’appui de l’initiative, TPSGC assurera la surveillance des divers éléments du MDGC pendant la période de mise en œuvre et d’exploitation. L’équipe du projet du MDGC examine les modifications législatives et stratégiques possibles lorsque des occasions de faire des affaires différemment se présentent. Elle examine ces modifications en collaboration avec les groupes responsables des lois, des politiques et des programmes de TPSGC et le Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT).
Le Comité consultatif des clients est un groupe de travail axé sur la clientèle qui compte actuellement des membres provenant de plus de 20 ministères et organismes. |
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10. Partenaires fédéraux |
11. Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux |
12. Nom des programmes des partenaires fédéraux |
13. Affectation totale (de la mise en œuvre à la clôture) |
14. Dépenses réelles 2007-2008 |
15. Dépenses prévues 2008-2009 |
1. TPSGC | Services des approvisionnements | MDGC | 13,63 M$ | $ | 6,542 M$ |
2. SCT | Services des approvisionnements | MDGC | 34,1 M$ | 9,685 M$ | $ |
Total 47,73 M$ | Total 9,685 M$ | Total 6,542 M$ | |||
16. Résultats prévus pour 2007-2008 Devenir la principale source d’information concernant les offres à commandes stratégiques et les arrangements en matière d’approvisionnement stratégiques du gouvernement du Canada. Rendre accessibles toutes les offres stratégiques et tous les arrangements stratégiques obligatoires par l’entremise du MDGC. |
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17. Résultats obtenus en 2007-2008 À la suite du lancement du MDGC en décembre 2006, TPSGC a entrepris une série de consultations auprès de la clientèle en vue d’augmenter le degré de satisfaction des utilisateurs et d’accroître l’utilisation de l’outil. Quatre cents sondages ont été effectués en ligne et dix groupes de discussion ont été menés partout au Canada. Ces consultations ont révélé que le MDGC pouvait encore être amélioré sur plusieurs points. TPSGC a déterminé que l’interfaceÂutilisateur, le contenu et la formation étaient des points qui devaient être améliorés en vue de la version 2.0 de l’outil. Au cours de l’été 2007, les utilisateurs ont participé à la mise au point de l’interfaceÂutilisateur de la version de 2.0. TPSGC a utilisé un agrégateur de contenus pour améliorer le contenu du MDGC, ce qui améliore du même coup l’expérience que font les utilisateurs de cet outil. En outre, le site de formation en ligne a été réorganisé au complet afin qu’il corresponde à la nouvelle interfaceÂutilisateur. Dans leurs commentaires, les utilisateurs ont indiqué que la nouvelle version représentait une amélioration significative par rapport à la version originale. Le nombre d’inscriptions des utilisateurs a augmenté de plus de 60 % au cours des trois mois suivant la sortie de la version 2.0. Dans le cadre de l’analyse de cas concernant le MDGC, TPSGC s’est engagé à rendre accessibles au moyen de l’outil les offres à commandes et les arrangements en matière d’approvisionnement (environ 2 400), qui se rapportent aux dix biens et services obligatoires. En outre, afin que cet outil soit le plus utile possible aux clients, TPSGC a décidé d’y mettre toutes les ententes (environ 8 500) portant sur les biens et services obligatoires ainsi que sur les biens et services facultatifs. Avec cette mesure, TPSCG a fait plus que ce qu’il s’était engagé à faire à l’égard du MDGC. TPSGC était tenu de respecter une série d’engagements concernant le financement du projet du MDGC par le Conseil du Trésor. Tous les engagements ont été respectés, et TPSGC a clôturé le projet du MDGC. Depuis le 1er avril 2008, le MDGC fonctionne sous la supervision des autorités habituelles de TPSGC. On avait envisagé que certains des avantages du MDGC proviendraient de la conformité avec les mécanismes d’approvisionnement obligatoires, l’automatisation efficace des processus d’affaires et l’exploitation du pouvoir d’achat à l’échelle des dépenses gouvernementales au moyen d’information d’achat précise et à jour. Cette attente reposait sur les hypothèses suivantes : le système fonctionnerait avec les systèmes financiers des ministères, son utilisation serait obligatoire et il serait appuyé dans le cadre d’une approche centralisée. Ces hypothèses ont été dépassées par les récentes tendances au sein de l’administration publique fédérale. Des décisions concernant de grands projets similaires de technologie informatique ont amené le gouvernement à adopter une approche plus décentralisée, plus progressive des grands projets de technologie informatique afin de mieux gérer les risques et les coûts. En outre, une loi récente a accru les responsabilités des sousÂministres à titre d’administrateurs des comptes pour y inclure des fonctions administratives comme les ressources humaines et l’approvisionnement. Cette approche va à l’encontre des régimes centralisés comme le MDGC. En réponse à cette situation, une approche plus concertée, fondée sur l’adoption facultative de nouveaux mécanismes d’achat plus faciles à utiliser et plus faciles d’accès, est requise pour répondre à ces nouvelles attentes d’administrateur des comptes, ainsi que la recherche d’une approche axée sur la clientèle pour le compte des ministères clients. Pour appuyer la nouvelle stratégie, une révision et une consultation sont en cours afin de trouver l’approche la plus appropriée, compte tenu de ce nouveau contexte. Vu ce changement de direction, et ce, au moment où le MDGC n’est pas un outil complet, il est impossible de déterminer avec exactitude les économies réalisées grâce au MDGC puisque les ministères ont accès à un catalogue électronique qui n’est pas lié à leur système financier. Les occasions de réaliser des économies par l’utilisation de sources d’approvisionnement préÂconcurrentielles étaient toujours possibles grâce à l’utilisation de ce système, et le taux d’économie potentiel est de 7 à 8 %. |
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18. Commentaires sur les écarts : Sans objet | |||||
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Sans objet | |||||
20. PersonnesÂressources : Ian Christie, gestionnaire des affaires, Marché en direct du gouvernement du Canada, Direction générale des approvisionnements Liliane saint pierre, sousÂministre adjointe, Direction générale des approvisionnements |