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Réponse aux comités parlementaires |
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Réponse du gouvernement au troisième rapport du Comité sénatorial permanent des peuples autochtones, intitulé « Élections chez les Premières nations : Une question de choix fondamental » Le Comité sénatorial permanent des peuples autochtones a présenté au Sénat son troisième rapport sur les élections chez les Premières nations, le 12 mai 2010. Le Sénat a adopté ce rapport le 13 mai 2010 et a demandé une réponse du gouvernement, qui a été déposée au Sénat le 20 octobre 2010. Dans ses deux premières recommandations, le Comité demande au ministère des Affaires autochtones et du Développement du Nord d’aider toutes les Premières nations qui tiennent actuellement des élections sous le régime de la Loi sur les Indiens à adopter des codes communautaires et d’entreprendre diverses activités en ce sens, et, sous la direction des Premières nations, d’établir des mécanismes de consultation appropriés pour assurer la participation véritable de tous les membres des communautés à l’élaboration, à la mise en œuvre et à la modification ultérieure des codes communautaires. Dans ses deux autres recommandations, le Comité demande que le Ministère, en collaboration avec les Premières nations et leurs organismes, prenne des mesures pour créer une Commission électorale et d’appel des Premières nations et élaborer des projets pilotes pour préparer et mettre en œuvre des initiatives électorales menées par les Premières nations et pour guider l’élaboration de politiques ou de lois dans ce domaine. Pour en savoir plus sur la réponse du Ministère, consultez la réponse du gouvernement au troisième rapport du Comité sénatorial permanent (voici les liens vers le rapport sur le site Web du Comité : http://www.parl.gc.ca/Content/SEN/Committee/403/abor/rep/GovernmentResponse03-f.pdf et http://www.parl.gc.ca/Content/SEN/Committee/403/abor/rep/GovernmentResponse03-e.pdf). Réponse du gouvernement au troisième rapport du Comité permanent de la Défense nationale, intitulé « La souveraineté du Canada dans l’Arctique » Le Comité permanent de la Défense nationale a présenté son troisième rapport sur la souveraineté du Canada dans l’Arctique à la Chambre des communes le 17 juin 2010 et a demandé une réponse du gouvernement, qui a été déposée le 18 octobre 2010. Le ministère des Affaires autochtones et du Développement du Nord s’est chargé de coordonner la réponse exhaustive de la part du gouvernement aux 17 recommandations du Comité, qui portent sur une vaste gamme de questions relevant du mandat et des responsabilités de plusieurs ministères. Les recommandations du Comité comprennent : la création d’un comité du Cabinet sur les affaires arctiques; la mise à contribution des Inuits dans les projets de recherche scientifique touchant l’environnement du Nord; le déploiement de plus d’efforts pour reconnaître les importantes contributions historiques des peuples autochtones du Canada à la souveraineté dans l’Arctique; la mise à contribution du Nunavik et du Nunatsiavut dans la Stratégie pour le Nord et d’autres programmes du gouvernement; le rétablissement du poste d’Ambassadeur à l’Arctique; le renforcement du Conseil de l’Arctique; l’acquisition rapide de navires de patrouille extracôtiers de l’Arctique et la construction du brise-glaces promis; l’obligation, pour tous les navires étrangers qui pénètrent dans les eaux arctiques canadiennes de faire rapport au Système de trafic de l’Arctique canadien (NORDREG); la prestation des infrastructures nécessaires pour assurer le passage en toute sécurité des navires dans les eaux arctiques canadiennes; l’affectation des ressources nécessaires à la Garde côtière canadienne pour lui permettre de bien s’acquitter de son mandat dans l’Arctique; le financement intégral de la mission Constellation RADARSAT; le règlement du différend avec les États¬ Unis au sujet de la mer de Beaufort; le leadership dans l’élaboration de régimes internationaux régissant les activités dans l’Arctique. Pour en savoir plus sur la réponse du Ministère, consultez la réponse du gouvernement au troisième rapport du Comité permanent (voici le lien vers le rapport sur le site Web du Comité : Réponse du gouvernement au deuxième rapport du Comité mixte permanent sur l’examen de la réglementation (Règlement sur les successions d’Indiens) Le Comité mixte permanent d’examen de la réglementation a présenté son deuxième rapport sur le Règlement sur les successions d’Indiens à la Chambre des communes le 9 décembre 2010 et a demandé une réponse du gouvernement, qui a été déposée en Chambre le 25 mars 2011. Ce Comité effectue un examen très technique et détaillé des textes réglementaires et peut s’attarder à des questions pendant plusieurs décennies. Dans le cas du Règlement sur les successions d’Indiens, le Comité mixte a rendu son premier rapport au Parlement sur cette question dans un document déposé en Chambre le 7 juin 1999, après en avoir examiné l’article 14 pendant plusieurs années. Par l’article 14 du Règlement, on a voulu habiliter le ministre des Affaires indiennes et du Nord canadien à décider qu’une femme soit « réputée » être la veuve d’un Indien décédé aux fins de l’article 48 de la Loi sur les Indiens. L’article 48 a trait à la distribution de la succession d’un Indien mort intestat et établit, entre autres, la part du survivant. Le Comité mixte est d’avis que l’article 14 déborde des pouvoirs conférés par la Loi sur les Indiens. La réponse du gouvernement au deuxième rapport du Comité mixte permanent d’examen de la réglementation n’a pas encore été affichée sur le site Web du Comité. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
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Chapitre 3 : L’adaptation aux impacts des changements climatiques (décembre 2010) Présenté à la Chambre des communes par le commissaire à l’environnement et au développement durable (CEDD) à l’automne 2010, ce rapport cherche à savoir si les ministères examinés lors de la vérification cernent et évaluent les risques que posent les changements climatiques dans les secteurs qui relèvent de leur compétence respective, et s’ils prennent des mesures pour s’adapter à ces risques en en tenant compte dans leur planification et leur prise de décisions. Il traite de la période allant de 2006 à juin 2010. Le rapport contient trois grandes constatations. Première constatation : le gouvernement n’a pas établi de priorités claires en matière d’adaptation aux changements climatiques. Tout spécialement, le gouvernement n’a pas créé de politique, de stratégie ou de plan d’action fédéral en matière d’adaptation. Le chapitre conclut que cela est du ressort d’Environnement Canada et de Ressources naturelles Canada, à titre de responsables fédéraux de l’adaptation. Deuxième constatation : les programmes ont échangé de l’information sur les impacts des changements climatiques et les mesures d’adaptation de manière à répondre aux besoins de leurs clients, de leurs intervenants et de leurs partenaires, mais le financement de ces programmes — y compris le Programme d’adaptation aux changements climatiques (PACC) d’AADNC — devrait prendre fin en mars 2011. Troisième constatation : les ministères examinés lors de la vérification n’ont pas pris de mesures concrètes pour s’adapter aux impacts des changements climatiques. Le Comité recommande que tous les ministères vérifiés, notamment AADNC, définissent les mesures d’adaptation dont ils ont besoin pour faire face aux risques liés aux changements climatiques dans leurs secteurs de responsabilité. AADNC a entrepris — mais non terminé — une évaluation de la vulnérabilité aux changements climatiques. Les résultats de cette évaluation seront pris en compte dans le processus de mise à jour du profil de risque de l’organisation et dans le cycle de renouvellement et de gestion des programmes. Un rapport de suivi sera présenté au Comité de vérification d’AADNC en avril 2012. Pour en savoir plus le rapport, consultez : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/docs/parl_cesd_201012_03_f.pdf. Chapitre 1 : Le Plan d’action économique du Canada (octobre 2010) Présenté à la Chambre des communes par le vérificateur général à l’automne 2010, ce rapport porte sur la conception et la mise en œuvre du Plan d’action économique par le gouvernement fédéral. Sa portée se limite aux programmes d’Industrie Canada, d’Infrastructure Canada et d’Affaires autochtones et Développement du Nord Canada. Pour en savoir plus sur le rapport, consultez : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/docs/parl_oag_201010_01_f.pdf. |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
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La Commission de la fonction publique du Canada (CFP) a mené une vérification externe d’AADNC pendant l’exercice 2010-2011. En 2010, la CFP a vérifié les mesures de dotation d’AADNC. À la suite de cette vérification, la CFP a formulé plusieurs recommandations visant à améliorer des secteurs du processus de dotation. Par exemple, les recommandations cherchent, entre autres choses, à améliorer la qualité des renseignements versés dans le système d’information sur les ressources humaines et à mettre au point des méthodes et outils d’évaluation des candidats qui soient plus justes et exacts. Le Ministère a accepté les recommandations de la CFP et a commencé à préparer un plan d’action. Le directeur général, Services des ressources humaines et du milieu de travail, tient constamment la haute direction au courant de l’avancement de la mise en œuvre du plan d’action. Pour en savoir plus sur le rapport et la réponse d’AADNC, consultez le site Web à l’adresse suivante : http://www.psc-cfp.gc.ca/adt-vrf/rprt/2010/ar-rv/3-inac-ainc/index-fra.htm. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
1. La gestion et le contrôle financiers et la gestion des risques – Rapport Le Point de juin 2011 (chapitre 1) Le Bureau du vérificateur général (BVG) a réalisé une vérification de suivi portant sur la gestion financière et le contrôle financiers et la gestion des risques au cours de l’été et de l’automne 2010. La vérification visait à déterminer si le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, le Bureau du contrôleur général du Canada au sein du Secrétariat et des ministères sélectionnés avaient réalisé des progrès satisfaisants dans la mise en œuvre des recommandations sélectionnées et dans la prise en main des observations pertinentes présentées dans le Chapitre 1 – La gestion gouvernementale : l’information financière du rapport Le Point de la vérificatrice générale de mai 2006 et son rapport d’avril 2003, Chapitre 1 – La gestion intégrée du risque. Cette vérification a évalué les progrès réalisés dans la mise en œuvre du modèle du dirigeant principal des finances et dans la mise au point d’un cadre de gestion intégrée du risque au MAECI. Le rapport définitif a été déposé le 9 juin 2011. La vérification a permis de conclure que la capacité de gestion financière s’est accrue à l’échelle du gouvernement. Les ministères ont déployé des efforts pour recruter, former et perfectionner des agents financiers et des gestionnaires des services financiers ayant les qualifications et l’expérience requises. La proportion des dirigeants principaux des finances qui possèdent une accréditation d’une association de comptables professionnels est passée de 33 p. 100 en 2002 à 82 p. 100 en 2010. Le BVG a formulé plusieurs recommandations. On peut consulter tous les détails des réponses des ministères dans le site Web du BVG à http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201106_01_f_35369.html 2. Vérification de la vérification interne – Rapport Le Point de juin 2011 (chapitre 3) La vérification de suivi de la vérification interne dans les grands ministères et organismes a été réalisée par le BVG au cours de l’été et de l’automne 2010. L’objectif de la vérification était d’évaluer les progrès réalisés par le gouvernement dans la prise en main des préoccupations soulevées dans le Chapitre 1 – La vérification interne dans les ministères et les organismes du rapport de 2004 du BVG. Le Bureau du dirigeant principal de vérification a reçu comme note globale « respecte généralement les normes », la note la plus élevée parmi trois notes possibles. Le rapport final regroupant les résultats de tous les ministères et organismes inclus dans la vérification du BVG a été déposé au Parlement le 9 juin 2011. La vérification a permis de conclure aussi que les 24 grands ministères et organismes – qui représentent environ 95 p. 100 du total des actifs, des passifs, des revenus et des dépenses du gouvernement – ont formé des comités ministériels de vérification indépendants auxquels siègent des personnes très compétentes venant de l’extérieur du gouvernement. L’influence de ces comités et l’appui prononcé de la haute direction ont contribué à renforcer la vérification interne au gouvernement. Le MAECI n’a pas reçu de recommandations concernant cette vérification. On peut consulter les détails du rapport dans le site Web du BVG à www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201106_03_f_35371.html. 3. Les dépenses pour les sommets du G-8 et du G-20 de 2010 – Rapport du printemps 2011 (Chapitre 1) La vérification des dépenses fédérales pour les sommets du G-8 et du G-20 a été réalisée au cours de l’été et de l’automne 2010. Cette vérification a évalué la planification et la gestion budgétaire du MAECI liées à ses rôles dans le cadre des sommets. Le rapport définitif a été présenté au Parlement le 9 juin 2011. Le MAECI n’a pas reçu de recommandations concernant cette vérification. On peut trouver les détails du rapport dans le site Web du BVG à www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201104_01_f_35220.html. |
Vérifications externes : (Remarque : Ces vérifications concernent d’autres vérifications externes réalisées par la Commission de la fonction publique du Canada ou le Commissariat aux langues officielles) |
1. Étude de la Commission de la fonction publique sur l’utilisation des services d’aide temporaire dans les organisations de la fonction publique L’étude a porté notamment sur le MAECI et a permis d’explorer l’utilisation des services d’aide temporaire dans 11 organisations de la fonction publique; ses conclusions ont été publiées en octobre 2010. Même si l’étude a reconnu le rôle des services d’aide temporaire pour combler les besoins en ressources à court terme des organisations, les conclusions générales ont été les suivantes :
On peut trouver les détails du rapport d’étude dans le site Web de la Commission de la fonction publique à www.psc-cfp.gc.ca/adt-vrf/rprt/2010/th-at/index-fra.htm#toc5. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Comité permanent de l'agriculture et de l'agroalimentaire (CPAA)
La réponse du gouvernement du Canada à ce rapport se trouve à l'adresse suivante : http://parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?DocId=4654344&Mode=1&Parl=40&Ses=3&Language=F
La réponse du gouvernement du Canada à ce rapport se trouve à l'adresse suivante : http://parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?DocId=5051365&Mode=1&Parl=40&Ses=3&Language=F |
Réponse à la vérificatrice générale (et au commissaire à l'environnement et au développement durable) |
Chapitre 9 – Les maladies animales – Agence canadienne d'inspection des aliments L'Agence canadienne d'inspection des aliments surveille la progression des maladies animales à l'échelle mondiale, réglemente l'importation d'animaux et de leurs produits et intervient lorsque des maladies animales sont dépistées au Canada. De concert avec l'industrie, les provinces et d'autres ministères fédéraux, l'Agence exécute un certain nombre de programmes et fournit des services visant à protéger les ressources animales du Canada. Chaque année, environ 200 millions de dollars, soit 30 % de son budget, sont affectés aux programmes relatifs à la santé des animaux. Par rapport à ces programmes, le BVG a évalué l'état de préparation de l'Agence en cas d'urgence liée à une maladie animale, ou urgence zoosanitaire. Une urgence zoosanitaire est une situation exceptionnelle qui exige une intervention rapide dépassant le champ des activités normales. Le BVG a aussi examiné comment l'Agence avait géré les urgences zoosanitaires récentes. Les tâches de vérification dont il est question dans ce chapitre étaient pour l'essentiel terminées au 30 avril 2010. L'Agence canadienne d'inspection des aliments a accepté toutes les recommandations. Ses réponses suivent chacune des recommandations du chapitre. Rapport : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/docs/parl_oag_201010_09_f.pdf Liste des recommandations et des réponses : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201010_09_f_34292.html#appa |
Vérifications externes (autres vérifications effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada ou par le Commissariat aux langues officielles) |
Aucune vérification externe n'a été effectuée par la Commission de la fonction publique du Canada ni par le Commissariat aux langues officielles pendant l'exercice 2010-2011. |
Réponse aux comité permanent des comptes publics intitulé |
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Rapport 18 : Chapitre 8, L'amélioration de l'efficacité de l'aide - Agence canadienne de développement international du rapport de l'automne 2009 de la vérificatrice générale du Canada (Présenté à la Chambre le 20 septembre 2010) |
Réponse du gouvernement : 8e rapport du Comité permanent des comptes publics, « Le chapitre 8, L'amélioration de l'efficacité de l'aide – Agence canadienne de développement international du Rapport de l'automne 2009 de la vérificatrice générale du Canada » (Présenté à la Chambre le 19 janvier 2011) |
Réponse aux comité permanent de la condition féminine, intitulé « Santé maternelle et infantile » |
Rapport 2 : Santé maternelle et infantile (Présenté à la Chambre le 16 juin 2010) |
Réponse du gouvernement : deuxième rapport du Comité permanent de la condition féminine, « Santé maternelle et infantile » (Présenté à la Chambre le 8 octobre 2010) |
Réponse aux comités parlementaires |
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Aucune recommandation n'a été reçue au cours de la période visée par le rapport |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable |
Aucune recommandation n'a été reçue au cours de la période visée par le rapport |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
L'Agence n'a participé à aucune vérification externe au cours de la période visée par le rapport. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Aucune recommandation n’a été émise par un comité parlementaire au sujet de l’Agence pour l’exercice 2010-2011. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
Rapport de la vérificatrice générale du Canada – Automne 2010, Chapitre 1 – Le Plan d’action économique du Canada. L’objectif de cette vérification était de déterminer si les entités fédérales sélectionnées ont géré adéquatement des programmes choisis du PAEC en mettant en œuvre des méthodes de gestion appropriées et en exécutant, en temps opportun, les programmes au profit des bénéficiaires admissibles. L’initiative FAC et le PILC, livrés par les organismes de développement régional, étaient inclus dans l’étendue de cette vérification. Aucune recommandation n’a été adressée à l’Agence. Le rapport complet du BVG peut être consulté le site Web de l’Agence. |
Vérifications externes : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles. |
Vérification de l’Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec par la Commission de la fonction publique du Canada (CFP). La CFP a procédé, en 2010-2011, à une vérification à l’Agence visant à déterminer si elle a instauré un cadre, des pratiques et des systèmes appropriés pour gérer ses activités de nominations, puis à déterminer si les nominations et les processus de nomination respectent la Loi sur l’emploi dans la fonction publique et les autres autorisations en vigueur. La diffusion du rapport de vérification est prévue au cours de l’année 2011. |
Réponses aux comités parlementaires |
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L’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) a comparu devant trois comités parlementaires en 2010-2011. Le 14 avril 2010, M. Robert Smith, directeur général du Développement des collectivités, et M. Kent Estabrooks, directeur général des Finances et des services administratifs, ont comparu devant le Comité sénatorial permanent des finances nationales. L’APECA était l’une des cinq agences de développement régional à comparaître devant le comité au sujet des crédits de financement accordés dans le cadre du Budget principal des dépenses. Les agences de développement régional ont discuté plus particulièrement de l’administration du Programme de développement des collectivités dans leur région respective du Canada. MM. Smith et Estabrooks ont expliqué aux membres la façon dont le programme est géré dans la région du Canada atlantique ainsi que le rôle joué par les Corporations au bénéfice du développement communautaire relativement à l’attribution de financement dans le cadre de ce programme. Le 2 mars 2011, M. Andrew Noseworthy, conseiller principal (énergie), a comparu devant le Comité sénatorial permanent de l’énergie, de l’environnement et des ressources naturelles. M. Noseworthy a expliqué aux membres la façon dont l’APECA est structurée et son rôle quant au soutien au développement économique du Canada atlantique. Il a en outre précisé le rôle de facilitateur joué par l’APECA dans le dossier de la Porte d’entrée de l’énergie de l’Atlantique et auprès de l’Office de l’énergie de l’Atlantique. En réponse à une question d’un membre, M. Noseworthy a présenté le Fonds d’innovation de l’Atlantique et a donné des exemples de projets qui ont été financés dans le cadre de ce programme. Le 10 mars 2011, M. Kent Estabrooks, vice-président intérimaire des Finances et des Services corporatifs, et M. Peter Hogan, vice-président intérimaire du bureau de la Nouvelle-Écosse, ont comparu devant le Comité sénatorial permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie. Des représentants de l’APECA, d’Industrie Canada et de l’Agence fédérale de développement économique pour le Sud de l’Ontario étaient également présents lors de la réunion pour clarifier certains points et répondre aux questions liées aux Budget supplémentaire des dépenses (C). M. Estabrooks a expliqué que l’Agence met l’accent sur l’efficience interne afin de respecter le budget prévu sans affecter les services offerts dans le cadre du programme. M. Hogan a présenté la façon dont l’APECA collabore avec les gouvernements des provinces de l’Atlantique et les organismes locaux afin de favoriser le développement économique. Il a également souligné que les priorités de l’APECA demeurent l’innovation, la productivité, le développement des collectivités et le commerce. M. Estabrooks a en outre insisté sur la rigueur du processus de diligence raisonnable mis en place par l’APECA pour évaluer toutes les propositions de projets. Les comités n’ont formulé aucune recommandation au cours de l’exercice 2010-2011. |
Réponses aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
Le premier rapport produit par le Bureau du vérificateur général du Canada (BVG), en octobre 2010, au sujet du Plan d'action économique du Canada (PAEC) portait, entre autres, sur des initiatives administrées par l’APECA (p. ex. le Fonds d’adaptation des collectivités et le Programme
d’Infrastructures de loisirs Canada). Bien que la vérification ait donné lieu à bon nombre de recommandations liées à l’exécution en temps voulu, au respect des critères d’admissibilité et des exigences législatives, à l’évaluation et à la maîtrise des risques ainsi qu’aux rapports au Parlement, l’APECA n’était pas particulièrement visée par
aucune de ces recommandations. L’APECA n’a donc pas eu à justifier ses programmes. Le rapport complet est disponible sur le site Web du Bureau du vérificateur général du Canada. La deuxième vérification du PAEC menée par le BVG, qui traite entre autres du Fonds d’adaptation des collectivités administré par l’APECA, est en cours à l’échelle nationale. Ce rapport, qui mettra l’accent sur la répartition du fonds de stimulation, sera déposé à l’automne 2011. |
Vérifications externes (Nota : Ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Vérification effectuée par la Commission de la fonction publique (CFP) La CFP a amorcé la vérification de la fonction de dotation en novembre 2009. Le rapport final a été publié à l’automne 2010, et est disponible sur le site Web de la CFP. Un plan d’action de la gestion a été élaboré. Outre la mise en œuvre d’un cadre de surveillance de la dotation (axé davantage sur la définition des rôles et des responsabilités liées à la fonction de dotation), ce plan prévoit des mesures en matière de formation ainsi qu’une surveillance accrue des processus de dotation non annoncés. Le cadre de surveillance de la dotation, qui contient des mesures particulières quant à la communication de résultats à la haute direction, a été approuvé en mars 2011. Il sera mis en œuvre au cours de l’exercice 2011-2012. Vérification effectuée par le Commissariat aux langues officielles (CLO) – en cours L’Agence est l’un des nombreux organismes et ministères qui participent à l’exercice des bulletins de rendement menés par le CLO. L’exercice a débuté en novembre 2010, et les résultats seront inclus dans le rapport annuel 2010-2011 du CLO, qui doit être publié à l’automne 2011. L’APECA a été choisie pour participer à cet exercice en raison du rôle qu’elle joue relativement au respect de la partie VII de la Loi sur les langues officielles, plus particulièrement en ce qui a trait aux subventions et aux contributions. L’Agence s’attend à ce que les résultats soient favorables, puisqu’elle maintient son engagement de servir ses clients dans la langue officielle de leur choix et de favoriser l’épanouissement des communautés de langues officielles en situation minoritaire. Ces objectifs demeurent prioritaires pour l’Agence. Vérification effectuée par la Commission canadienne des droits de la personne (CCDP) – en cours En février 2011, la CCDP a indiqué qu’elle effectuerait une vérification des politiques ainsi que des pratiques relatives à l’équité en matière d’emploi en vigueur à l’Agence, et qu’elle évaluerait leur degré de conformité par rapport aux lois et aux règlements applicables. Les résultats seront diffusés à l’automne 2011. Grâce à sa campagne de déclaration volontaire à l’intention de ses employés ainsi qu’au renouvellement de son plan d’action relatif à l’équité en matière d’emploi en mars 2011, l’Agence devrait être en mesure de respecter la plupart des exigences de cette vérification. |
Réponse aux comités parlementaires |
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S.O. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable |
Faciliter la circulation des marchandises commerciales importées Le rapport de vérification du Bureau du vérificateur général du Canada intitulé Faciliter la circulation des marchandises commerciales importées a été déposé au Parlement le 26 octobre 2010. La vérification formule quatre recommandations. Recommandation 8.28 : L'Agence des services frontaliers du Canada devrait améliorer ses systèmes et ses méthodes de contrôle de la qualité des renseignements qui lui sont communiqués par voie électronique dans le cadre du processus d'importation des marchandises commerciales afin d'obtenir l'assurance raisonnable que ces renseignements sont exacts, complets et actuels. Elle devrait ensuite utiliser les résultats de ces contrôles de la qualité pour apporter des améliorations de façon continue. Recommandation 8.49 : L'Agence des services frontaliers du Canada devrait améliorer son évaluation de la conformité aux normes de service établies et devrait recueillir et publier des renseignements sur le service à la clientèle afin d'améliorer la prévisibilité de son processus d'importation des marchandises. Recommandation 8.59 : Afin d'avoir une plus grande assurance que le calcul des droits et des taxes exigibles fait par les importateurs est exact et complet, l'Agence des services frontaliers du Canada devrait améliorer son évaluation et le contrôle qu'elle exerce à l'égard des éléments suivants :
Recommandation 8.64 : L'Agence des services frontaliers du Canada devrait s'assurer que la Politique sur l'établissement d'une nouvelle cotisation est appliquée correctement et de façon uniforme. Elle devrait ensuite assurer un contrôle auprès des importateurs pour veiller à ce qu'ils apportent les mesures correctives nécessaires. Le rapport de vérification et les réponses de l'ASFC sont accessibles au |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Commissariat des langues officielles Le Commissariat aux langues officielles publie des bulletins de rendement concernant un certain nombre d'institutions fédérales. Les bulletins de rendement évaluent les points forts et les faiblesses des institutions fédérales par rapport à leurs diverses obligations en vertu de la Loi sur les langues officielles. Le bulletin de rendement de 2009‑2010 de l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) a attribué à l'Agence une note globale de E. Il est possible d'accéder au bulletin de rendement de l'ASFC, complété et mis en ligne en 2010-2011, au |
[Les comités parlementaires demandent depuis longtemps à obtenir de meilleurs renseignements de la part des ministères et organismes dans leurs rapports au Parlement quant au suivi des recommandations des comités. Par conséquent, les ministères et organismes sont encouragés à discuter du
cheminement des progrès réalisés afin de répondre aux recommandations des comités parlementaires et de fournir tout renseignement supplémentaire sur les mesures correctives importantes apportées.]
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Les réponses du gouvernement (RG) sont demandées par les comités parlementaires en vertu de l’article 109 du Règlement de la Chambre des communes ou du règlement 131(2) du Sénat. De telles demandes font partie des rapports présentés aux
comités parlementaires respectifs. Le 18 août 2010, le ministre du Revenu national a présenté la RG au septième rapport du Comité permanent des comptes publics (PACP) intitulé Le chapitre 4,
« L'intérêt sur les acomptes versés par les sociétés – Agence du revenu du Canada », du rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada.
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Entre le 27 avril 2010 et le 1er mars 2011, les représentants de l’Agence du revenu du Canada (ARC) ont comparu à 11 reprises devant divers comités parlementaires à la Chambre et au Sénat. Voici les comités permanents devant lesquels les
représentants de l’ARC ont été invités à comparaître.
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(a) Le 20 mai 2010, l’ARC a fourni d’autres renseignements au FINA, pour faire suite à la comparution des représentants de l’Agence du revenu du Canada (ARC) devant le Comité permanent des finances le 18 mars 2010 concernant le Budget supplémentaire des dépenses (C) 2009 2010 : Crédit 1c sous la rubrique Agence du revenu du Canada.
(b) Le 25 mai 2010 : Comparution au sujet du Budget principal des dépenses 2010-2011 : Crédits 1 et 5 sous la rubrique Agence du revenu du Canada. Lors de cette comparution, le Comité a demandé d’autres renseignements que les témoins de l’ARC se sont
engagés à fournir. Ces renseignements ont été acheminés au Comité le 16 juillet 2010.
(c) Le 29 novembre 2010 : Comparution au sujet du projet de loi C-470, Loi modifiant la Loi de l'impôt sur le revenu (révocation d’enregistrement). Le Comité a demandé d’autres renseignements lors de cette comparution, et l’ARC s’est engagée
à fournir ces renseignements au Comité. Ces renseignements ont été acheminés au Comité le 7 décembre 2010.
(d) Le 13 décembre 2010 : Comparution au sujet de l’évasion fiscale et des comptes bancaires à l’étranger. Au cours de la réunion mentionnée ci dessus, le Comité avait demandé d’autres renseignements que les représentants de l’ARC s’étaient engagés à fournir. Ces renseignements ont été transmis le 11 février 2011. Une série de demandes de suivi a été reçue les 14 et 16 février 2011, à laquelle on a donné suite le 28 février 2011. Une demande distincte de renseignements
supplémentaires a été reçue le 17 février 2011, et les renseignements de suivi ont été fournis le 16 mars 2011. Le 22 mars 2011, l’ARC s’est fait demander d’autres précisions, qu’elle a transmises le même jour.
(e) Le 1er mars 2011 : Comparution au sujet du Budget supplémentaire des dépenses (C) de 2011 2012 de l’ARC. Lors de cette comparution, le Comité a demandé d’autres renseignements. Toutefois, la 40e législature avait été
dissoute en raison d’élections générales. Au moment de la dissolution, les comités cessent d’exister jusqu’à ce que la Chambre les reconstitue après l’élection; tous les ordres de renvoi expirent; les présidents et vice présidents de tous les comités sont également relevés de leurs
fonctions; le gouvernement n’est plus tenu de fournir réponse aux rapports de comités si cela lui avait été demandé durant la session qui s’est terminée.
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Demandes de suivi du Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences, du développement social et de la condition des personnes handicapées (HUMA) : Mesures de soutien par le gouvernement fédéral aux parents adoptifs
(a) Le 25 novembre 2010, des représentants de Ressources humaines et Développement des compétences Canada (RHDCC) ont comparu devant le Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences, du
développement social et de la condition des personnes handicapées (HUMA) à propos des mesures de soutien du gouvernement fédéral aux parents adoptifs. Lors de cette réunion, les
représentants de RHDCC ont pris note de demandes de renseignements de suivi à acheminer à l’ARC. RHDCC a envoyé la demande de suivi à l’ARC le 6 décembre 2010. Les renseignements ont été fournis au Comité le 13 décembre 2010. Bien que l’on ait par la suite invité des
représentants de l’ARC à comparaître à ce sujet le 14 décembre 2010, aucun renseignement de suivi n’a alors été demandé.
(a) Le Comité a invité des représentants de l’ARC à comparaître lors de son étude du projet de loi C-46 (Accord de libre échange Canada Panama). Aucun renseignement de suivi n’a été demandé.
(a) Rapport du printemps 2010 de la vérificatrice générale du Canada, Chapitre 1 – Le vieillissement des systèmes de technologie de l’information. Le 1er juin 2010, le Comité a entendu un groupe de témoins, y compris l’ARC, le Bureau du
vérificateur général du Canada, le Secrétariat du Conseil du Trésor, le ministère des Ressources humaines et du Développement des compétences, le ministère des Travaux publics et des Services gouvernementaux, le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration et la Gendarmerie royale du Canada. Aucun renseignement de
suivi n’a été demandé. Veuillez consulter la section 4 (ci dessous) pour obtenir d’autres détails.
(a) Le 27 avril 2010, les membres du Comité permanent de la sécurité publique et nationale se sont réunis afin de discuter de la contrebande du tabac. Il y avait deux groupes de témoins, dont le premier comprenait des témoins de la GRC, de l’ASFC, de l’ARC, de Santé Canada et de Sécurité publique. Conformément aux préférences du Comité, seule la GRC a prononcé un discours d’ouverture. Aucun renseignement de suivi n’a été
demandé.
Demandes de suivi du Comité sénatorial permanent des affaires juridiques et constitutionnelles (LCJC)
(a) Le 27 mai 2010, les membres du comité mentionné ci dessus se sont réunis afin d’étudier le projet de loi S-9, Loi modifiant le Code criminel (vol d’automobile et trafic de biens criminellement obtenus). Des représentants de l’ASFC et de l’ARC ont été invités à comparaître. Aucun renseignement de suivi n’a été demandé.
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Le 4 novembre 2010, le PACP a modifié la motion existante afin qu’elle soit rédigée comme suit : « Que tous les ministères et organismes du gouvernement fédéral qui ont fait l'objet d'une vérification de la part du Bureau du
vérificateur général du Canada fournissent un plan d'action détaillé pour donner suite aux recommandations de la vérification qui ont été convenues – avec des mesures précises, les délais d'exécution et les noms des responsables – au Comité des comptes publics et au
Bureau du vérificateur général du Canada dans les trois mois suivant le dépôt de la vérification à la Chambre des communes; et que les ministères et organismes qui sont invités à comparaître devant le Comité des comptes publics pour discuter des conclusions d'une vérification remettent
si possible un plan d'action au Comité avant la tenue de la séance; et Que les plans d'action ministériels et les rapports d'étape reçus par le Comité soient publiés sur son site Web. »
N.B. : Le 23 novembre 2010, le PACP a entrepris une étude du chapitre 3, « La prestation des services », du rapport de l’automne 2010 de la vérificatrice générale du Canada. Puisque ce chapitre ne comprenait aucune recommandation à propos de la
vérification à l’ARC, l’ARC n’était pas exigée de fournir un plan d’action au PACP.
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En 2010 2011, divers comités parlementaires ont présenté des rapports où l’ARC était mentionnée. Les voici.
Le FINA a étudié le traitement fiscal et la description des entreprises de prestation de services personnels et a présenté, le 10 juin 2010, un rapport intitulé « Serviteur ou maître? Différentes façons de voir l'entreprise de
prestation de services personnels ». Des représentants de l’ARC ont comparu le 3 décembre 2009, et l’ARC a été mentionnée à plusieurs reprises dans le rapport du Comité. Le
FINA a demandé une RG, laquelle a été présentée par le ministre des Finances le 7 octobre 2010.
Rapport 3 – Serviteur ou maître? Différentes façons de voir l’entreprise de prestation de services personnels (adopté par le Comité le 8 juin 2010; présenté à la
Chambre le 10 juin 2010)
RG : Troisième rapport du Comité permanent des finances : « Serviteur ou maître? Différentes façons de voir l’entreprise de prestation de services
personnels » (présentée à la Chambre le 7 octobre 2010 par le ministre des Finances)
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Le 23 mars 2010, le PACP a entrepris une étude du chapitre 3, « Les lois de l’impôt sur le revenu », du rapport de l’automne 2009 de la vérificatrice générale du Canada. Des représentants de l’ARC ont été invités à comparaître. Le PACP a présenté son rapport le 28 avril 2010, et l’ARC a été mentionnée dans la recommandation 4 : « Que
d’ici le 31 mars 2011, l’Agence du revenu du Canada remette un rapport d’étape au Comité des comptes publics pour rendre compte des mesures prises pour donner suite aux recommandations contenues dans le chapitre 3 du rapport de novembre 2009 de la vérificatrice générale ». Le Comité a demandé une RG. Le ministre des Finances a présenté la RG à la Chambre le 20 septembre 2010.
Rapport 12 – Le chapitre 3, « Les lois de l’impôt sur le revenu », du rapport de l’automne 2009 de la vérificatrice générale du Canada (adopté par le Comité le 15 avril
2010; présenté à la Chambre le 28 avril 2010)
RG : Douzième rapport du Comité permanent des comptes publics : « Le chapitre 3, ’Les lois de l’impôt sur le revenu’, du rapport de
l’automne 2009 de la vérificatrice générale du Canada » (présentée à la Chambre le 20 septembre 2010 par le ministre des Finances)
Le 1er juin 2010, le Comité permanent des comptes publics (PACP) a étudié le chapitre 1, « Le vieillissement des systèmes de technologie de l’information », du rapport du printemps 2010 de la vérificatrice
générale du Canada, et a présenté son rapport le 2 février 2011. Des représentants de l’ARC ont comparu devant le PACP, et l’ARC a
été mentionnée précisément dans la recommandation 2 : [Traduction] « Que Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, Ressources humaines et Développement des compétences Canada, l’Agence du revenu du Canada et la Gendarmerie royale du Canada fournissent au Comité permanent des comptes publics, d’ici
le 30 avril 2011, un tableau décrivant leurs projets d’investissement dans les technologies de l’information et indiquant si des analyses de rentabilisation de ces projets ont été effectuées. »
Bien qu’une RG ait été demandée et que le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada en était responsable, à la suite de la dissolution de la 40e législature en vue d’élections générales, le 26 mars
2011, le gouvernement a cessé d’être obligé de préparer une RG. Au moment de la dissolution, les comités cessent d’exister jusqu’à ce que la Chambre les reconstitue après l’élection; tous les ordres de renvoi expirent; les présidents et vice
présidents de tous les comités sont également relevés de leurs fonctions; le gouvernement n’est plus tenu de fournir réponse aux rapports de comités si cela lui avait été demandé durant la session qui s’est terminée.
Rapport 25 – Le chapitre 1, « Le vieillissement des systèmes de technologie de l’information », du rapport du printemps 2010 de la vérificatrice générale du Canada (adopté par le
Comité le 2 décembre 2010; présenté à la Chambre le 2 février 2011)
Le 23 novembre 2010, le PACP a entrepris une étude du chapitre 3, « La prestation des services », du rapport de l’automne 2010 de la vérificatrice générale du Canada. Bien que l’on n’ait pas invité de représentants de
l’ARC à comparaître devant le PACP, l’ARC a été mentionnée à plusieurs reprises dans le rapport que le Comité a présenté à la
Chambre le 25 mars 2011. Même si une RG a été demandée et que le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration en était responsable, à la suite de la dissolution de la 40e législature, le 26 mars 2011, le gouvernement a cessé d’être
obligé de préparer une RG. Au moment de la dissolution, les comités cessent d’exister jusqu’à ce que la Chambre les reconstitue après l’élection; tous les ordres de renvoi expirent; les présidents et vice présidents de tous les comités sont
également relevés de leurs fonctions; le gouvernement n’est plus tenu de fournir réponse aux rapports de comités si cela lui avait été demandé durant la session qui s’est terminée.
Rapport 27 – Le chapitre 3, « La prestation des services », du rapport de l’automne 2010 de la vérificatrice générale du Canada (adopté par le Comité le 24 mars 2011;
présenté à la Chambre le 25 mars 2011)
L’ACVA a examiné la nouvelle Charte des anciens combattants et, le 17 juin 2010, a présenté à la Chambre un rapport intitulé « La nouvelle Charte vivante des anciens combattants à l'heure de la mise au
point ». L’ARC a été mentionnée une fois dans le rapport dans le contexte de la prestation de retraite supplémentaire. On n’a pas invité de représentants de l’ARC à comparaître.
L’ACVA a demandé une RG à sa recommandation, et le ministre des Anciens Combattants et ministre d’État (Agriculture) en a présenté une le 7 octobre 2010.
Rapport 1 – La nouvelle Charte vivante des anciens combattants à l’heure de la mise au point (adopté par le Comité le 15 juin 2010; présenté à la Chambre le 17 juin
2010)
RG : Premier rapport du Comité permanent des anciens combattants : La nouvelle Charte vivante des anciens combattants à l’heure de la mise au
point (présentée à la Chambre le 7 octobre 2010 par le ministre des Anciens Combattants et ministre d’État (Agriculture))
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Printemps 2010 – Rapport de la vérificatrice générale du Canada
Déposé au Parlement le 20 avril 2010
Chapitre 1 – Le vieillissement des systèmes de technologie de l'information
L’Agence du revenu du Canada (ARC) était une des cinq entités gouvernementales vérifiées. Aucune recommandation n’était adressée à l’Agence.
http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201004_01_f_33714.html
Automne 2010 – Rapport de la vérificatrice générale du Canada
Déposé au Parlement le 26 octobre 2010
Chapitre 3 – La prestation des services
L’ARC était une des trois entités gouvernementales vérifiées. Aucune recommandation n’était adressée à l’Agence.
http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201010_03_f_34286.html
Chapitre 7 – Les organismes de bienfaisance enregistrés – Agence du revenu du Canada
Il y a quatre recommandations à l’endroit de l’ARC qui concernent l’amélioration des processus administratifs et l’observation.
http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201010_07_f_34290.html
Réponse aux comités parlementaires Aucune recommandation n'a été formulée de la part des comités parlementaires à l'intention de l'Agence Parcs Canada en 2010–2011. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et du développement durable Le Bureau du vérificateur général a effectué une vérification externe des états financiers 2009–2010 de l'Agence Parcs Canada. |
Vérification externe Aucune vérification externe n’a été faite à l’intention de l’Agence Parcs Canada en 2010–2011. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale |
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Vérifications externes |
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Réponse aux comités parlementaires |
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Comité permanent de l'agriculture et de l'agroalimentaire Compétitivité de l'agriculture canadienne La réponse est publiée sur le site Web du Parlement du Canada. Les jeunes agriculteurs : l'avenir de l'agriculture La réponse est publiée sur le site Web du Parlement du Canada. |
Réponse au vérificateur général du Canada (y compris le commissaire à l'environnement et au développement durable) |
Le chapitre 5 du Rapport du vérificateur général du printemps 2010 concerne une vérification sur la recherche scientifique à Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC). L'objectif de la vérification était de déterminer si le Ministère avait géré ses activités de recherche de manière à respecter son orientation stratégique et ses priorités, y compris la façon dont il gère ses projets de recherche, ses ressources humaines et ses immobilisations. Le Ministère a accepté les six recommandations formulées à la suite d'une vérification et a préparé un plan d'action qui est maintenant en voie d'être mis en œuvre pour donner suite à toutes les recommandations. Trois chapitres du rapport du vérificateur général de l'automne 2010 font référence à AAC. Ces chapitres traitaient des vérifications à l'échelle du gouvernement (Chapitre 1 : Le Plan d'action économique du Canada (PAE); Chapitre 2 : La gestion et le contrôle dans les petites entités; Chapitre 4 : La gestion des conflits d'intérêts). La vérification du Plan d'action économique du Canada s'est intéressée à l'élaboration et à l'exécution des programmes d'infrastructure du PAE, y compris à l'Initiative de modernisation des laboratoires fédéraux. À la suite de la vérification, aucune recommandation n'a été faite à AAC. L'objectif de la vérification sur la gestion et le contrôle dans les petites entités était de déterminer si trois petites organisations fédérales avaient mis en place des procédures efficaces de contrôle de la gestion concernant les cartes d'achat, les contrats, les déplacements des cadres et l'hébergement, et si elles adoptaient de saines pratiques de gestion des ressources humaines dans certains domaines précis. L'Agence canadienne du pari mutuel (ACPM) était l'une des trois organisations évaluées. L'ACPM a été mentionnée dans la recommandation qui concerne les accords de rendement et les formulaires d'évaluation pour les cadres supérieurs. Le Ministère était d'accord avec la recommandation et y a donné suite. La vérification de la gestion des conflits d'intérêts a permis d'examiner les politiques, les mesures de contrôle, les mécanismes et les cadres en matière de gestion des conflits d'intérêts et la façon dont le Secrétariat du Conseil du Trésor et cinq ministères, y compris AAC, ont évalué l'efficacité de leurs activités liées à la gestion des conflits d'intérêts. La vérification a permis de constater que les mécanismes facilitant la gestion des conflits d'intérêts étaient en place dans les cinq ministères vérifiés, mais qu'un suivi était nécessaire pour s'assurer que les signalements de conflits d'intérêts étaient traités en temps opportun. La vérification a aussi permis de constater qu'AAC a pris des mesures pour traiter les problèmes liés à la gestion des conflits d'intérêts soulevés dans la vérification de 2007 du Programme canadien de stabilisation du revenu agricole. AAC est cité dans trois des cinq recommandations formulées à la suite de la vérification. AAC était d'accord avec les recommandations; il a préparé un plan d'action détaillé et a donné suite aux recommandations. Les rapports du vérificateur général ainsi que les recommandations et les réponses de la direction qu'ils comprennent peuvent être consultés sur le site Web du vérificateur général à l'adresse suivante http://www.oag-bvg.gc.ca. |
Vérifications externes (remarque : il s'agit d'autres vérifications externes menées par la Commission de la fonction publique du Canada ou par le Commissariat aux langues officielles) |
Sans objet |
Réponse aux comités parlementaires |
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Rapport du Comité permanent des comptes publics : Le chapitre 2, « Le processus de nomination par le gouverneur en conseil », du rapport Le point de 2009 de la vérificatrice générale du Canada Ce rapport a été adopté par le Comité permanent des comptes publics le 16 mars 2010, et déposé à la Chambre des communes le 29 mars 2010. La réponse du gouvernement, demandée par le Comité, a été déposée à la Chambre des communes le 20 septembre 2010. Chacune des six recommandations du Comité y recevait une réponse. La réponse se trouve sur le site Web du Parlement du Canada. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
Automne 2010 — Rapport de la vérificatrice générale du Canada Le Bureau du Conseil privé est évalué dans ce chapitre, mais aucune recommandation ne lui est adressée. http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201004_02_f_33715.html Automne 2010 — Rapport de la vérificatrice générale du Canada Dans ce chapitre, la vérificatrice générale évalue si les entités fédérales concernées ont adéquatement géré les programmes visés du Plan d’action économique (PAE) du Canada, c’est‑à ‑dire mis en place des pratiques de gestion adéquates et fourni sans retard les programmes aux bénéficiaires admissibles. Elle conclut que les programmes du PAE vérifiés ont été mis en œuvre adéquatement, selon des pratiques de gestion satisfaisantes, et dans des délais acceptables. À la recommandation 1.69, la vérificatrice générale demande, une fois la mise en œuvre du PAE terminée, que le ministère des Finances et le BCP préparent un rapport sommaire destiné au Parlement, qui renfermerait un compte rendu détaillé des répercussions du PAE sur l’économie. Les ministères ont accepté dans ses grandes lignes cette recommandation, et ont déclaré leur volonté d’aider le gouvernement à rendre compte de la mise en œuvre et des répercussions économiques du PAE, en droite ligne des cinq rapports aux Canadiens produits jusqu’à présent. Le BCP, le SCT et Finances Canada acceptent également la recommandation 1.74, qui demande que ces organismes évaluent les pratiques instaurées dans le cadre du PAE afin de déterminer celles qui pourraient au besoin être mises en œuvre pour accroître la rapidité et l’efficience des processus de conception et de mise en œuvre d’initiatives et de programmes actuels et futurs. http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201010_01_f_34284.html#appb |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Sans objet en 2010-2011. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Le 29 septembre 2010, le directeur général des élections a comparu au Comité sénatorial permanent des affaires juridiques et constitutionnelles afin d'obtenir pour Élections Canada l'approbation officielle de mettre à l'essai, pendant l'élection partielle du 29 novembre 2010 dans la circonscription de Winnipeg-Nord, un appareil d'assistance au vote (AAV) destiné aux électeurs handicapés. Le 21 octobre 2010, le Comité a déposé son Rapport sur l'utilisation d'un dispositif d'assistance électronique au vote conçu pour aider les électeurs ayant une déficience. Le rapport a approuvé la demande de mise à l'essai de l'AAV et a formulé certaines recommandations, dont l'une indiquant que le directeur général des élections devrait présenter au comité, d'ici le 1er mars 2011, les résultats du projet pilote. Le 7 octobre 2010, le directeur général des élections a comparu au Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre pour faire approuver de façon officielle le projet pilote d'AAV. Le 1er mars 2011, le directeur général des élections a soumis aux deux comités un rapport sur le projet pilote d'AAV, qui comprenait la réponse d'Élections Canada aux recommandations des comités du Sénat et de la Chambre. Le rapport est disponible à : www.elections.ca/content.aspx?section=res&dir=rep/oth/avd&document=index&lang=f. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
Aucune recommandation n'a été reçue au cours de l'exercice 2010-2011. |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Aucune vérification externe n'a été effectuée au cours de l'exercice 2010-2011. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Au cours de la période visée par le rapport, le Centre n'a déposé aucune réponse à des rapports de comités parlementaires. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable |
Au cours de la période visée par le rapport, le Centre n'a déposé aucune réponse à des rapports de la vérificatrice générale. |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Au cours de la période visée par le rapport, le Centre n'a pas participé à des vérifications externes. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Deuxième rapport – Pratiques exemplaires pour les services d’établissement Le 30 mars 2010, le Comité permanent de la citoyenneté et de l’immigration a présenté son rapport et six recommandations à la Chambre des communes. Les recommandations portaient sur un large éventail de questions, entre autres : élaborer une proposition pour la création d’un site Web interactif sur les pratiques exemplaires pour les services d’établissement; juger favorablement les propositions conjointes présentées aux fins de financement de services d’établissement; continuer d’appuyer et d’élargir les partenariats locaux en matière d’immigration; utiliser avec souplesse l’approche modernisée en matière de programmes d’établissement en ce qui concerne les programmes de soutien au démarrage d’entreprises et au travail indépendant, ainsi que les services de santé mentale et de counselling familial; laisser plus de latitude quant à la période d’admissibilité aux différents services d’établissement; et inclure le counselling traumatologique et le soutien scolaire au nombre des activités admissibles en vertu du Programme d’aide à la réinstallation. La réponse du gouvernement du Canada a été déposée le 20 septembre 2010. Le 12 mai 2010, le Comité permanent des comptes publics a présenté le rapport et huit recommandations à la Chambre des communes. Les recommandations portaient sur des questions liées au Programme des travailleurs qualifiés (fédéral), y compris l’arriéré de demandes et les conséquences du grand nombre de nouveaux demandeurs. La réponse du gouvernement du Canada a été déposée le 20 septembre 2010. Le 29 novembre 2010, le Comité permanent des langues officielles a présenté son rapport et 21 recommandations à la Chambre des communes. Les recommandations portaient sur un large éventail de questions, y compris la capacité des communautés de langues officielles en situation minoritaire (CLOSM) de recruter, d’accueillir et d’intégrer les nouveaux arrivants, et la capacité du gouvernement fédéral d’appuyer l’épanouissement des CLOSM en ayant recours à des partenaires, à un financement et à des initiatives en matière d’immigration. En raison de la dissolution de la 40e législature, aucune réponse du gouvernement n’a été déposée à la Chambre des communes. Le 25 mars 2011, le Comité Permanent des comptes publics a présenté le rapport et quatre recommandations à la Chambre des communes. Les recommandations portaient sur les problèmes liés à la prestation des services à Citoyenneté et Immigration Canada, y compris l’important arriéré et l’allongement du temps de traitement dans le Programme de citoyenneté. En raison de la dissolution de la 40e législature, aucune réponse du gouvernement n’a été déposée à la Chambre des communes. Le Ministère a également été cité dans une recommandation du rapport du Comité suivant : En février 2011, le Comité permanent des comptes publics a présenté le rapport à la Chambre des communes. Il a demandé que Citoyenneté et Immigration Canada, Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, Ressources humaines et Développement des compétences Canada, et la Gendarmerie royale du Canada présentent au Comité des comptes publics, au plus tard le 30 avril 2011, un rapport sur les progrès dans la mise en œuvre des recommandations formulées par le Bureau du vérificateur général au chapitre 1 de son rapport du printemps 2010. En raison de la dissolution de la 40e législature, aucune réponse du gouvernement n’a été déposée à la Chambre des communes. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Le CAL n'a rien à déclarer pour la période visée. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable |
Le CAL n'a rien à déclarer pour la période visée. |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Le CAL n'a rien à déclarer pour la période visée. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
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Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
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Réponse aux comités parlementaires |
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Aucune recommandation reçue. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable |
Aucune recommandation reçue. |
Vérifications externes (Nota : Il s'agit d'autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada ou par le Commissariat aux langues officielles.) |
La Commission de la fonction publique (CFP) a réalisé une vérification externe intitulée « Vérification de la Commission canadienne des grains ». Celle-ci visait à déterminer si la Commission canadienne des grains avait un cadre, des systèmes et des pratiques appropriés pour gérer ses activités de nomination, et à déterminer si les nominations et les processus de nomination sont conformes à la Loi sur l'emploi dans la fonction publique (LEFP), au Cadre de nomination de la CFP (y compris les lignes directrices et l'Instrument de délégation et de responsabilisation en matière de nomination conclu avec la CFP), et aux politiques et autres documents régissant l'organisation. La vérification a permis d'examiner les activités associées au Cadre de responsabilisation en gestion de la dotation pour la période du 1er avril 2008 au 31 mars 2010. Afin d'évaluer la conformité aux exigences de la LEFP, elle a aussi permis d'étudier un échantillon représentatif de nominations pour la période du 1er avril 2008 au 30 novembre 2009. La vérification fait quatre recommandations : la Commission canadienne des grains a accepté les conclusions de la vérification et a élaboré un plan d'action pour régler les problèmes décelés dans le rapport de vérification. La CFP surveillera les mesures de suivi de la Commission canadienne des grains relatives aux recommandations découlant de la vérification dans le cadre de ses activités régulières de surveillance, y compris le Rapport ministériel sur l'obligation de rendre compte en dotation. Pour obtenir de plus amples renseignements sur la vérification, veuillez consulter le site Web à l'adresse suivante : http://www.psc-cfp.gc.ca/adt-vrf/rprt/2010/ar-rv/7-cgc-ccg/index-fra.htm. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Suivi envoyé aux comités parlementaires après la comparution de la Commission de la fonction publique Du 1er avril 2010 au 31 mars 2011 Au cours de l'exercice 2010-2011, la Commission de la fonction publique (CFP) a présenté un total de 17 suivis à 8 comparutions devant des comités parlementaires. À la Chambre des communes, la CFP a comparu devant le Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires à deux reprises, devant le Comité permanent des langues officielles et devant le Comité permanent des affaires étrangères et du développement international. Au Sénat, la CFP a comparu devant le Comité permanent des finances nationales à trois reprises, et une fois devant le Sous-comité des anciens combattants. Les 17 suivis portent sur un éventail de sujets, tels que les obstacles auxquels s’est heurtée la CFP dans la collecte de données aux fins de l'étude sur les services d’aide temporaire, la ventilation des postes unilingues et bilingues par région, le PFETE, les programmes de recrutement postsecondaire et le favoritisme bureaucratique. Les comparutions de la CFP devant le Parlement se trouvent sur le Web, sous Comparutions parlementaires. |
Réponse à la vérificatrice générale |
Le chapitre 2 du rapport du printemps 2010 de la vérificatrice générale porte sur la modernisation de la gestion des ressources humaines. Il y est fait état des aspects de certaines activités liées à la dotation menées par la CFP. La vérificatrice
générale n'a fait aucune recommandation à la CFP. À l'été 2010, la vérificatrice générale a fourni à la CFP son rapport de vérification sur les états financiers de la CFP pour 2009-2010. La vérificatrice générale n'a fait aucune recommandation. |
Réponse à la Commission de la fonction publique à propos des vérifications externes |
En menant ses vérifications des activités de dotation effectuées par les ministères et organismes durant la période visée par le rapport, la CFP a réalisé les vérifications et études suivantes : Vérifications d'entité
Études
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Réponse aux comités parlementaires |
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Comité permanent des comptes publics Chapitre 1, «Analyse comparative entre les sexes», du Rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada (déposé à la Chambre des communes le 14 avril 2010). Le rapport formulait cinq recommandations. Le comité a recommandé que CFC produise un rapport d’étape. CFC a dirigé la préparation de la réponse du gouvernement au rapport, réponse qui a été présentée à la Chambre le 13 août 2010. Dans sa réponse, le gouvernement a réitéré son engagement en faveur de l’ACS et sa confiance à l’endroit du Plan d’action ministériel pour l’analyse comparative entre les sexes, qu’il juge de nature à accélérer l’intégration de l’ACS. En décembre 2010, CFC a déposé un rapport d’étape sur la mise en œuvre du Plan d’action pour l’ACS. Ce rapport exposait les progrès accomplis par certains ministères en vue de devenir autonomes en matière d’ACS, ayant appris et institué la pratique. Ce rapport reconnaît toutefois que d’autres organismes pourraient bénéficier d’un cycle de mise en œuvre plus long. Rapport du Comité permanent des comptes publics : Réponse du gouvernement : Rapport d’étape : |
Réponse à la vérificatrice générale (y compris le commissaire à l’environnement et au développement durable) |
En 2010–2011, CFC n’a reçu aucune recommandation de la vérificatrice générale. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Le CNRC est comparu à deux occasions devant des Comités parlementaires en 2010-2011.
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Réponse aux rapports de la vérificateur général, y compris du commissaire à l'environnement et du développement durable |
Aucune vérification du rendement n'a été effectuée par le vérificateur général en 2010-2011. |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
À l'automne de 2010, le CNRC a été choisi par le Commissaire aux langues officielles dans l'échantillon de 13 organismes gouvernementaux évalués, le bulletin de rendement de ces organismes sera publié dans le Volume II du Rapport du commissaire. Comme par les années passées, chaque organisme sera évalué en fonction de critères regroupés dans les cinq catégories suivantes : gestion du Programme des langues officielles, service au public, langue de travail, participation des Canadiens anglophones et francophones et développement des communautés de langue officielle en situation minoritaire et promotion de la dualité linguistique. Cette année, le rapport se concentrera sur les deux derniers critères, communautés de langue officielle en situation minoritaire et promotion de la dualité linguistique. |
Dix-neuvième rapport du Comité permanent des comptes publics, 40e législature, 3e session, « Le chapitre 5, L'acquisition de véhicules militaires pour service en Afghanistan, du Rapport de l'automne 2009 de la vérificatrice générale » (Adopté par le Comité le 7 octobre 2010;
Présenté à la Chambre le 25 octobre 2010). Rapport original Réponse du gouvernement |
Recommandation | Réponse/Engagement du gouvernement | État |
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2. Que, d'ici le 31 janvier 2011, la Défense nationale fournisse au Comité des comptes publics un compte rendu des progrès accomplis pour donner suite aux recommandations faites par le Bureau du vérificateur général au chapitre 5 de son Rapport de l'automne 2009, et qu'elle continue de fournir des comptes rendus annuels jusqu'à ce qu'elle ait donné suite à toutes les recommandations du BVG. | Le gouvernement accepte cette recommandation et fournira des comptes rendus annuels à la vérificatrice générale jusqu'à ce qu'on ait donné suite à l'ensemble des recommandations formulées par le BVG. De plus, le MDN rendra compte des progrès réalisés dans la mise en oeuvre des recommandations du BVG dans le Rapport ministériel sur le rendement jusqu'à ce qu'on ait donné suite à l'ensemble des recommandations du BVG. | Veuillez consulter la section intitulée « Réponse aux rapports de la vérificatrice générale ». |
4. Que la Défense nationale veille à ce que les décisions clés concernant les besoins opérationnels urgents soient clairement documentées, comme le recommande le Bureau du vérificateur général dans son Rapport (5.83). | Le gouvernement accepte cette recommandation et a commencé à la mettre en oeuvre. La Défense nationale a diffusé des lignes directrices provisoires pour les besoins opérationnels imprévus, lesquelles décrivent les documents essentiels minimaux requis pour les achats urgents. Par ailleurs, la Défense nationale révise son processus d'approbation de projets pour s'assurer que des renseignements pertinents ne sont pas exclus lorsque des approbations de projets sont accordées en mode accélérée en cas de projets urgents. À cette fin, la Défense nationale révise son Guide d'approbation des projets et consultera le Secrétariat du Conseil du Trésor dès qu'une ébauche officielle sera établie. Le Guide d'approbation des projets révisé devrait recevoir l'approbation définitive en septembre 2011. | Une nouvelle ébauche entièrement revue du Guide d'approbation des projets (GAP) du MDN a été élaborée et fait actuellement l'objet d'un examen. Nous attendons les commentaires du Secrétariat du Conseil du Trésor au plus tard le 22 août 2011. Le nouveau GAP doit être étudié et approuvé par le Conseil de gestion du Programme (CGP) du MDN le 15 septembre 2011, ce qui permettra sa mise en oeuvre intégrale sur le site intranet (interne) du Ministère d'ici novembre 2011. |
Deuxième rapport du Comité permanent de la Défense nationale, 40e législature, 2e session « Services de santé offerts au personnel des Forces canadiennes, en particulier dans le cas des troubles de stress post-traumatique » (Adopté par le Comité le 8 juin 2009; Présenté
à la Chambre le 17 juin 2009) Rapport original Réponse du gouvernement |
Recommandation | Réponse/Engagement du gouvernement | État |
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9. Les Forces canadiennes devraient fournir à leurs membres et à leurs familles de l'information sur le risque de violence familiale associé au TSO et au SSPT et offrir des services aux familles de militaires qui subissent ou risquent de subir ce type de violence. | Le gouvernement a déjà pris des mesures à cet égard. Une directive des FC a été communiquée faisant état des étapes à suivre lorsqu'un incident de violence familiale se produit. Elle explique la politique des FC en matière de violence familiale, établit un cadre pour la gestion et la mise en oeuvre de la politique à l'échelle nationale et dans les unités et confère des responsabilités et des pouvoirs pour les divers éléments de la politique. Les FC ont également mis sur pied une équipe interdisciplinaire comprenant des fournisseurs de soins de santé, des aumôniers, des policiers militaires et des employés des Centres de ressources pour les familles des militaires qui participent à l'instruction des militaires sur la prévention de la violence familiale et sur l'intervention en cas d'incident. Par ailleurs, le nouveau Bureau des conférenciers des FC sur la santé mentale et les blessures liées au stress opérationnel élabore actuellement un nouveau programme d'études en matière de santé mentale qui comprendra de l'information sur le risque de violence familiale associé au TSO et au SSPT et coordonne sa mise en oeuvre. Alors que le nouveau programme est en cours d'élaboration, les FC concentrent leurs efforts sur la façon de motiver les militaires à encourager leurs familles à assister aux séances d'information durant lesquelles le lien entre violence familiale et TSO sera abordé. |
Les Forces canadiennes comptent maintenant 24 centres intégrés de soutien au personnel répartis aux quatre coins du Canada qui apportent du soutien aux militaires malades et blessés et à leur famille, ainsi qu'aux familles des militaires décédés. Les centres offrent un soutien personnel et administratif uniforme et de grandes qualités, adaptées aux besoins individuels propres à chaque étape du rétablissement, de la réadaptation et de la réinsertion. Les centres continuent d'améliorer leurs programmes de soutien par les pairs et d'aider les militaires touchés par un trouble de stress post-traumatique, une déficience physique grave, et par la perte d'un être cher. De plus, les familles peuvent obtenir, dans le cadre du programme de soutien social blessures de stress opérationnel (SSBSO), par l'entremise de coordonnateurs de soutien par les pairs qualifiés. Le Bureau des conférenciers – SM et TSO a mis au point un nouveau programme d'études en santé mentale portant spécifiquement sur les familles et les déploiements qui comprend de l'information à propos de potentiels comportements répréhensibles liés au TSO et au TSPT. L'Unité interarmées de soutien du personnel (UISP) est maintenant pleinement opérationnelle et a dirigé l'établissement de centres intégrés de soutien du personnel dans 24 localités aux quatre coins du Canada. L'UISP s'est montrée très efficace dans sa façon de fournir un soutien adapté aux militaires blessés ainsi qu'à la famille de ces derniers. La collaboration de l'Unité avec de nombreux partenaires fournisseurs de services a grandement simplifié la prestation de soutien personnel et administratif de grande qualité et uniformisé à ceux qui en ont besoin. Le personnel de l'UISP a acquis une expertise et une expérience considérables qui lui facilite la prestation d'un programme de soutien complet adapté aux besoins de chacun. Les familles des militaires décédés ont maintenant un point de contact permanent avec les Forces canadiennes, en plus de pouvoir bénéficier des services offerts par l'entremise de l'UISP. Ce programme permet aux militaires et à leur famille d'obtenir des renseignements pertinents, dont certains ont trait aux stratégies de réduction du stress, aux expériences couramment vécues au cours du cycle de déploiement, et au continuum de la santé mentale, lequel est utile pour reconnaître les comportements qui indiquent qu'il vaut mieux demander de l'aide. Afin de permettre au plus grand nombre possible de familles de profiter de ce programme d'études, les cours sont offerts dans le cadre de séances personnelles et sur le Web. On encourage également les militaires des FC à discuter avec leur famille des questions abordées dans le cadre de la formation en santé mentale préalable aux déploiements. En outre, la formation offerte durant la période de décompression est conçue pour aider les militaires qui rentrent au pays à réussir leur réintégration à la vie familiale. En plus de tout ce que nous venons de décrire, on a remis sur pied le Comité consultatif sur la violence familiale des FC (CCVF FC). |
10. Les Forces canadiennes devraient instituer un programme de sensibilisation des professionnels de la santé embauchés à contrat aux particularités de l'expérience militaire dans le contexte d'une mission internationale, surtout quand elle comporte tout genre de degré de combats. | Le gouvernement travaille actuellement dans ce sens. Des initiatives locales telles que la formation clinique collective offerte aux BFC Gagetown et Valcartier à tous les professionnels de la santé, sont déjà en voie de développer chez les professionnels de la santé du secteur public et à contrat une telle compréhension, mais il y aurait des avantages à se doter d'une approche plus officielle. À cette fin, le Groupe des services de santé des FC a récemment commencé à élaborer une trousse d'orientation destinée initialement aux employés civils, dont fonctionnaires et les entrepreneurs. La trousse devrait inclure des renseignements sur la culture des militaires, leur organisation, leur terminologie et leurs opérations nationales et internationales, dont celles comportant des combats, de même que sur la santé au travail chez les militaires. La trousse pourrait être prête dès novembre 2009. | Ce point a été soulevé dans les discussions du groupe de travail sur l'amélioration de la qualité. L'intention consiste à mettre au point une trousse d'orientation permettant d'informer les professionnels de la santé sur la nature particulière des expériences que vivent les militaires dans le cadre d'une mission internationale, surtout quand elle comporte des combats. Les Services de santé des FC élaboreront un programme d'orientation (un cours « FC 101 ») harmonisé au programme d'orientation du Ministère. Ce cours FC 101 serait offert à tous entrepreneurs professionnels de la santé à forfait durant la séance d'orientation annuelle de leur unité. On s'attend à ce que le cours soit offert à compter d'août 2012. |
15. Les Forces canadiennes doivent reconnaître la persistance, dans leurs rangs, d'une certaine culture, peut-être même d'un préjugé négatif, à l'endroit de la maladie mentale. |
Les FC reconnaissent les préjugés négatifs liés aux problèmes de santé mentale et sont très proactives en s'attaquant au problème. Le nouveau Bureau des conférenciers, qui comprend des cliniciens en santé mentale et des anciens combattants ayant souffert de TSO, participe activement à l'éducation des membres des FC et de la chaîne de commandement à toutes les étapes de la carrière d'un militaire, notamment en ce qui concerne la santé mentale et l'importance de créer un environnement positif afin que les militaires demandent des services de santé mentale tôt. Plus récemment, la campagne du CEMD a fait de la santé mentale une question de leadership. Il y a des preuves indiquant que ces efforts visant à réduire les préjugés négatifs ont porté fruit dans la mesure où les militaires demandent de l'aide beaucoup plus tôt lorsque des problèmes de santé mentale surviennent, ce qui indique une nette diminution des préjugés négatifs en tant qu'obstacle aux soins. Par ailleurs, la Global Business and Economic Roundtable on Addiction and Mental Health a récemment « louangé les Forces pour la réussite de ses efforts visant à éliminer les préjugés associés aux problèmes de santé mentale ». M. Bill Wilkerson, président de la Table ronde, a déclaré que « les forces militaires et paramilitaires ont franchi le Rubicon en reconnaissant que la maladie mentale traduit un mauvais état de santé et non une faiblesse personnelle ». Certaines notions liées à la santé mentale et au TSO sont déjà incluses dans tous les cours de la qualification militaire de base des officiers et des militaires du rang, ainsi que dans les cours de la qualification élémentaire en leadership et de la qualification avancée en leadership. Toutefois, les FC examinent actuellement les descriptions détaillées des connaissances, des capacités et des autres qualités requises de la part de tous les membres des FC, aussi bien les officiers que les militaires du rang. Au terme de cet examen, on devrait augmenter le nombre de cours durant lesquels on aborde la problématique du TSO. À compter du 1er octobre 2009, il y aura également une formation préalable au déploiement normalisée sur la santé mentale et le TSO pour tous les membres des FC, y compris les chefs de tous les niveaux. Cette instruction préalable au déploiement portera notamment sur la reconnaissance des comportements souvent associés aux problèmes de santé mentale et les mesures d'intervention éventuelles. On y offrira aussi des renseignements sur les ressources disponibles. |
L'éducation et les programmes sur la santé mentale actuellement en place traitent efficacement de cette question. Cette éducation favorise la compréhension et l'acceptation des problèmes de santé mentale, ce qui, en contrepartie, entraîne un changement positif de culture. À cet égard, notre plus important allié est l'appui indéfectible des hauts dirigeants, qui ont toujours manifesté un intérêt dynamique et sincère à l'égard de la santé et du bien-être de leurs subordonnés. Les hauts dirigeants ont créé un climat qui élimine les stigmates associés aux problèmes et aux soins de santé mentale. Nous sommes maintenant l'employeur ayant adopté l'approche à multiples facettes la plus globale au Canada en ce qui a trait à l'élimination des obstacles à l'obtention de soins en santé mentale. Nos programmes de formation en santé mentale s'avèrent efficaces pour changer les attitudes et les croyances qu'ils visaient à changer. Les membres des FC sont beaucoup moins susceptibles que les militaires des É.-U., du Royaume-Uni, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande d'affirmer rencontrer des obstacles relativement aux soins de santé mentale. Il s'agit maintenant d'un processus continu solidement établi et mis en oeuvre avec succès. |
19. Le ministère de la Défense nationale devrait s'assurer que l'on consacre des ressources adéquates à l'établissement d'un nombre suffisant d'unités interarmées de soutien au personnel et de centres intégrés de soutien au personnel pour offrir ces services dans tout le pays. | Le MDN s'efforce continuellement d'accroitre les ressources tant financières qu'humaines soutenant les établissements à l'échelle du pays. À l'heure actuelle, il y a une unité interarmées de soutien au personnel, dont relèvent 19 centres intégrés de soutien au personnel de la chaîne de commandement répartis sur le territoire canadien. On évalue toujours avec les FC la nécessité d'établir des centres additionnels. | Les Forces canadiennes comptent maintenant 24 centres intégrés de soutien au personnel répartis aux quatre coins du Canada qui apportent du soutien aux militaires malades et blessés et à leur famille, ainsi qu'aux familles des militaires décédés. Les centres offrent un soutien personnel et administratif uniforme et de grandes qualités, adaptées aux besoins individuels propres à chaque étape du rétablissement, de la réadaptation et de la réinsertion. Les centres continuent d'améliorer leurs programmes de soutien par les pairs et d'aider les militaires touchés par un trouble de stress post-traumatique, une déficience physique grave et par la perte d'un être cher. |
20. La chaîne de commandement de l'unité de la Réserve doit intervenir directement et en amont auprès des membres de retour au pays pour qu'ils terminent le plus tôt possible le processus post-déploiement, soit les mesures administratives, les entrevues et les rendez-vous médicaux nécessaires. Dans le cas d'un réserviste qui bénéficie de soins et de traitements continus après une période de service à temps plein, la chaîne de commandement de l'unité de la Réserve doit communiquer régulièrement avec le gestionnaire de cas des Services de santé des Forces canadiennes et suivre activement le programme de traitement du soldat. |
Le gouvernement est d'accord que la chaîne de commandement militaire doit intervenir directement dans la santé des militaires rentrant au pays. Pour veiller à ce que les réservistes rentrant au pays se livrent à tous les entrevues, mesures administratives et examens médicaux, le MDN a mis sur pied un programme appelé Équipe de liaison médicale de la Réserve dans le cadre duquel on communique avec tous les réservistes regagnant le pays et on les suit pour faire en sorte que toutes les étapes de dépistage post déploiement soient effectuées. À ce jour, on a communiqué avec 90 p. 100 des membres de la Première réserve ayant participé à la ROTO 5 de la mission des FC en Afghanistan, le dernier contact ayant lieu 12 mois après leur retour au Canada. Environ 80 p. 100 des membres de la Première réserve participant à la ROTO 6 ont eu leur contact initial. L'Équipe de liaison médicale de la Réserve communique aussi régulièrement avec les gestionnaires de cas des FC, et le cas de tous les membres de la Première réserve ayant besoin de soins sont abordés lors de conférences de cas durant lesquelles on examine les besoins particuliers en matière de soins de santé ainsi que les plans de gestion de ceux-ci. |
On a indiqué au Groupe des Services de santé des FC (Gp Svc S) de mettre fin aux activités de l'Équipe de liaison médicale de la Réserve (ELMR) à compter du 31 mars 2011 parce qu'il ne s'agissait pas d'une initiative approuvée ou financée. Reconnaissant l'importance des fonctions, le Gp Svc S FC a redéfini les priorités relatives aux fonds existants, et les tâches qu'accomplissait l'ELMR seront transférées à l'Équipe de liaison médicale de l'Ambulance de campagne (ELMAC). De nouveaux membres d'équipe seront nommés et financés à l'intérieur des limites existantes des fonds de la Réserve des Services de santé pour les services de classe A. |
34. Le gouvernement fédéral devrait agir immédiatement afin de fournir les ressources nécessaires pour que le Système d'information de santé des Forces canadiennes puisse être entièrement fonctionnel, à l'aide notamment d'une base de données. | Le SISFC améliorera la gestion de l'information sur la santé produite dans les établissements des FC. Cependant, les membres des FC reçoivent également des soins des systèmes de soins de santé. Par conséquent, la capacité opérationnelle totale du SISFC ne sera pas atteinte avant que le SISFC soit déployé dans chaque clinique des FC puis relié au nouveau système national de dossiers de santé électroniques. Cela permettra aux fournisseurs de soins des FC et du système public d'avoir accès à des renseignements complets. Comme il l'est recommandé, les FC, en tant que membre du PFSS, collabore avec d'autres organisations fédérales ayant des besoins similaires dans le cadre d'un effort pangouvernemental visant à définir les pré-requis pour une participation fédérale au système national de dossiers de santé électroniques. | La réalisation du projet de Système d'information de santé des Forces canadiennes (SISFC) se poursuit selon l'échéancier et le budget prévus. De plus, durant la période de référence, 27 des 42 cliniques ont mis en oeuvre la phase finale. Des intervenants ont réagi très positivement à la phase finale, à laquelle on réfère sous le nom de notes d'évolution sur les soins primaires. Le Dirigeant principal de l'information du Secrétariat du Conseil du Trésor continue de considérer le SISFC comme étant un modèle solide pour les autres ministères fédéraux ayant des responsabilités liées à la prestation de services de santé. Le 31 mars 2011, on a terminé une étude de faisabilité d'interopérabilité pour indiquer les prochaines étapes relatives à la connectivité à d'autres administrations provinciales qui formulent également des recommandations sur la connexion avec d'autres ministères fédéraux. |
Premier rapport du Comité permanent des comptes publics, 40e législature, 2e session, Le chapitre 4, « Les soins de santé fournis aux militaires - Défense nationale du Rapport d'octobre 2007 de la vérificatrice générale du Canada » (Adopté par le Comité le 12 février
2009; Présenté à la Chambre le 25 février 2009) Rapport original Réponse du gouvernement |
Recommandation | Réponse/Engagement du gouvernement | État |
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1. Que le ministère de la Défense nationale remette au Comité des comptes publics un rapport d'étape détaillé d'ici le 31 octobre 2008 pour rendre compte de la façon dont progresse le mise en oeuvre du plan élaboré pour remédier aux lacunes relevées par le Bureau de la vérificatrice générale dans son rapport de vérification sur les soins de santé fournis aux militaires. | Le gouvernement accepte cette recommandation, à condition que l'échéance soit révisée. Le gouvernement a élaboré un plan d'action pour donner suite aux recommandations formulées dans le Rapport de la vérificatrice générale sur les soins de santé fournis aux militaires. Ce plan d'action a été présenté au Comité permanent des comptes publics le 31 janvier 2008. Un plan d'action actualisé a été fourni à la vérificatrice générale au printemps 2009. Le MDN a l'intention de fournir au Comité d'ici la fin juin 2009 un exemplaire de ce plan d'action actualisé, qui comprendra des précisions sur les progrès réalisés à ce jour. Des rapports d'étape sur la mise en oeuvre de ces recommandations seront fournis régulièrement à la vérificatrice générale. Des exemplaires de ces rapports seront fournis au Comité lorsqu'ils seront disponibles. | Un rapport d'étape détaillé a été remis au Comité le 7 juillet 2010. |
2. Que le ministère de la Défense nationale définisse dans son Rapport ministériel sur le rendement le coût total du système de soins de santé destinés aux militaires, de même que le nombre de médecins, d'infirmières, de dentistes, de pharmaciens, de techniciens médicaux et d'adjoints aux médecins à l'emploi de ce système. | Le gouvernement accepte cette recommandation. Le MDN communiquera cette information dans le Rapport ministériel sur le rendement de l'année financière 2009-2010. Dans les années ultérieures, le MDN cherchera également d'autres moyens de communiquer cette information au public. |
Le budget actuel pour le Gp Svc S FC est de 451,3 M$. Ce montant constitue la majeure partie des dépenses prévues pour le système de santé des FC, mais il faut noter qu'il exclut la solde des militaires de la Force régulière et le coût des opérations actuelles.
À l'heure actuelle, le système de santé militaire des FC emploie 128 dentistes, 121 administrateurs de soins de santé, 57 officiers des opérations des services de santé, 234 médecins (y compris les spécialistes); 197 infirmières, 35 pharmaciens, 30 physiothérapeutes, 26 travailleurs sociaux, 16 techniciens en génie génétique, 202 techniciens dentaires, 20 techniciens de laboratoire, 27 techniciens en radiologie, 1162 techniciens médicaux et 163 adjoints médicaux. |
3. Que le ministère de la Défense nationale mène une enquête approfondie d'ici le 30 juin 2009 sur l'état de santé mentale des membres des Forces canadiennes et sur la qualité des soins de santé mentale qui leur sont offerts, à eux ainsi qu'à leur famille, en mettant plus particulièrement l'accent sur les militaires qui reviennent d'opérations à l'étranger. | Le gouvernement accepte l'intention de cette recommandation et s'emploie déjà à la mettre en oeuvre. Deux sondages sont actuellement en cours dans le cadre d'un programme ordinaire ayant pour objet de déterminer les aspects du soutien du personnel devant être revus. Le premier sondage, le Sondage sur la santé et le style de vie des Forces canadiennes (2008), aidera à déterminer l'état de la santé mentale dans les FC en plus de dresser un portrait de la santé et de la condition physique globale des membres des FC. Le sondage insiste beaucoup sur les questions de santé mentale et pose des questions sur la dépression, la détresse mentale, le syndrome de stress post-traumatique et le suicide. De plus, il y a longue section sur le recours aux services de santé mentale et la satisfaction des patients. Le sondage est envoyé à une sélection aléatoire de membres des FC puis est comparé aux sondages antérieurs. Le sondage a été envoyé en trois cycles pour tenir compte de variations saisonnières pour des facteurs comme l'activité physique. Le premier cycle a été envoyé à l'automne 2008. Bien que les résultats pour les trois phases du sondage ne soient pas prêts à analyser avant l'automne 2009, des résultats préliminaires sur la santé mentale pourraient être disponibles d'ici juillet 2009. Le deuxième sondage (intitulée Votre opinion) mesure les attitudes du personnel des FC et de leur famille à l'égard des FC et de leurs programmes de qualité de vie. La prochaine version de l'enquête sera envoyée aux membres des FC en juin 2009 et comportera des questions visant à mesurer l'accessibilité des services de santé mentale pour les membres des FC et leur famille. Obtenir les points de vue de ceux qui rentrent d'une opération outre-mer est particulièrement utile pour assurer que le système de soins de santé des FC répond aux besoins des militaires. Outre les deux sondages, les membres des FC qui rentrent d'un long déploiement reçoivent des briefings sur les questions de santé mentale et ont l'occasion d'aborder, en privé, toute préoccupation personnelle avec un professionnel de la santé mentale, y compris leurs inquiétudes quant à l'accessibilité des services. De 90 à 180 jours après leur rapatriement au Canada, les militaires sont tenus de remplir un questionnaire détaillé sur la santé et de se soumettre à une entrevue approfondie avec un professionnel de la santé mentale pour discuter des questions en suspens. | Le Sondage sur la santé et le style de la vie du personnel des Forces canadiennes 2008/2009 : Version de la force régulière (SSSV) et À vous la parole : résultats du printemps 2008 ont été remis au Comité le 10 décembre 2010. |
4. Que la Défense nationale fasse rapport dans son Rapport ministériel sur le rendement de la situation et de la mise en oeuvre du Système d'information sur la santé des Forces canadiennes, et indique notamment si le budget et l'échéancier sont respectés. | Le gouvernement accepte cette recommandation. Le MDN communiquera cette information dans le Rapport ministériel sur le rendement de l'année financière 2009-2010. Dans les années ultérieures, le MDN cherchera également d'autres moyens pour communiquer cette information au public. | La réalisation du projet de Système d'information de santé des Forces canadiennes (SISFC) se poursuit selon l'échéancier et le budget prévu. Durant la période de référence, 27 des 42 cliniques ont terminé l'implémentation de la phase finale. |
5. Que la Défense nationale confirme dans son Rapport ministériel sur le rendement que tous les médecins, infirmières, dentistes et pharmaciens détiennent une autorisation d'exercer et que tous les techniciens médicaux et adjoints aux médecins sont accrédités. La Défense nationale devrait aussi faire rapport du nombre de professionnels qui se prévalent du Programme de maintien des compétences cliniques. | Le gouvernement accepte cette recommandation. Le MDN communiquera cette information dans le Rapport ministériel sur le rendement de l'année financière 2009-2010. Dans les années ultérieures, le MDN cherchera également d'autres moyens pour communiquer cette information au public. |
La cellule d'accréditation nationale assure un contrôle de la conformité avec la politique des Svc S FC en ce qui a trait à l'accréditation et à l'autorisation d'exercer pour les professionnels de la santé. Les processus et les mécanismes d'établissement de rapports sont en place pour permettre une gestion efficace de
l'accréditation au sein du système de santé.
Programme de maintien des compétences cliniques (PMCC) – La majorité des médecins généralistes et spécialistes, des nouvelles infirmières bachelières, des physiothérapeutes, des pharmaciens, des travailleurs sociaux, des dentistes et des techniciens dentaires, des techniciens de salle d'opération, de laboratoire et en radiologie des FC occupent des postes cliniques et exercent une pratique clinique quotidienne. En ce qui a trait aux cliniciens employés à un poste d'état-major et d'administration, l'outil de suivi du PMCC est utilisé pour signaler lorsque des militaires exécutent des activités liées au PMCC ne faisant pas partie de leurs tâches quotidiennes. Au total, 278 participants de la Force régulière de différents groupes professionnels ont présenté un rapport relatif au PMCC durant l'AF 2010-2011. Habituellement, les cliniciens de la Force de réserve travaillent dans leur environnement clinique en exerçant un emploi civil. Par conséquent, ils doivent exercer leurs fonctions seulement pendant un certain temps dans un environnement clinique des FC pour maintenir leurs compétences militaires. Au cours de l'AF 2010-2011, 26 participants de différents groupes professionnels ont présenté un rapport à cet égard relativement au PMCC. |
Vingtième rapport du Comité permanent des comptes publics, 40e législature, 2e session, Le chapitre 5, « La gestion et le contrôle financiers - Défense nationale du Rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada » (Adopté par le Comité le 18 novembre
2009; Présenté à la Chambre le 3 décembre 2009) Rapport original Réponse du gouvernement |
Recommandation | Réponse/Engagement du gouvernement | État |
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1. Que le ministère de la Défense nationale remette au Comité des comptes publics au plus tard le 31 décembre 2010 un rapport d'avancement sur la mise en oeuvre des recommandations formulées au chapitre 5 du Rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale. | Le gouvernement accepte cette recommandation. Après la publication du Rapport 2009 de la vérificatrice générale, le MDN a élaboré un plan d'action pour orienter ses efforts dans la mise en oeuvre des recommandations formulées par la vérificatrice générale. Ce plan d'action a été présenté au Comité des comptes publics le 28 septembre 2009. Certains des progrès en voie d'être réalisés comprennent l'élaboration d'une nouvelle stratégie ministérielle qui aidera à établir des liens clairs entre les activités quotidiennes du Ministère et les orientations générales du gouvernement, tel que décrites dans la Stratégie de défense Le Canada d'abord; l'élaboration d'une Architecture des activités de programme qui démontre comment les programmes de la Défense atteignent des objectifs stratégiques, ainsi que la mise en oeuvre d'une nouvelle structure de gouvernance en matière de gestion financière avec la nomination du premier dirigeant principal des finances du MDN et la mise sur pied du Comité des finances de la Défense et du Comité de direction stratégique de la Défense. Le MDN continuera d'assurer la mise en oeuvre du plan d'action et présentera un rapport d'avancement au Comité d'ici le 31 décembre 2010. | Un rapport sur les mesures adoptées par le ministère de la Défense nationale pour donner suite au Chapitre 5 – La gestion et le contrôle financiers du Rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada a été remis au Comité le 9 février 2011. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter la section intitulée « Réponse aux rapports de la vérificatrice générale ». |
Onzième rapport du Comité permanent des comptes publics, 39e législature, 1ere session, Le chapitre 2 du Rapport de la vérificatrice générale du Canada de mai 2006, « Défense nationale - Le recrutement et le maintien en poste du personnel militaire » (Adopté par le Comité le
30 novembre 2006; Présenté à la chambre le 7 décembre 2006) Rapport original Réponse du gouvernement |
Recommandation | Réponse/Engagement du gouvernement | État | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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3. Que le ministère de la Défense nationale prenne l'engagement formel de traiter les demandes pour devenir membres des Forces canadiennes dans un délai de trente jours, de veiller à ce que tous les candidats en soient avertis et de rendre compte de l'atteinte de ces objectifs dans son Rapport ministériel sur le rendement annuel. | Le gouvernement continuera à rechercher d'autres moyens d'accélérer le traitement des demandes, et il progresse dans l'élaboration d'un système à toute épreuve pour mesurer le rendement en fonction du cadre d'évaluation du Conseil du Trésor concernant des normes de service. Les progrès réalisés dans l'atteinte des objectifs ci-dessus figureront dans le Rapport ministériel sur le rendement annuel du ministère de la Défense nationale, à commencer par celui de la période se terminant le 31 mars 2007. |
En raison d'un manque de ressources ainsi que de retards systémiques en ce qui a trait aux évaluations médicales et aux vérifications de sécurité, le MDN n'atteindra pas l'objectif visant à faire une offre d'enrôlement à 30 p. 100 des candidats dans les cinq jours suivant une demande d'emploi et à 40 p. 100 des
candidats dans les 30 jours suivant leur demande.
Tout candidat qui déclare avoir déjà subi une blessure ou un problème de santé doit demander à son médecin civil de lui fournir une évaluation de la gravité de ces blessures, ce qui demande souvent l'obtention de documents provenant de spécialistes. L'expérience du MDN a démontré que dans la réalité, le temps minimum requis pour qu'un candidat parvienne à obtenir un rendez-vous auprès d'un spécialiste, pour qu'il achemine ensuite les renseignements obtenus à un centre de recrutement, puis pour que le personnel médical du MDN examine ces renseignements est de plusieurs semaines, voire de plusieurs mois. L'application du principe d'universalité des services empêche le MDN de présenter une offre d'enrôlement jusqu'à ce que l'état de santé adéquat du candidat ait été confirmé. Tous les candidats doivent faire l'objet d'une vérification de sécurité qui permettra de déterminer s'ils pourront se voir attribuer une habilitation de sécurité, ce qui est un élément essentiel pour obtenir un poste dans les Forces canadiennes. Bien que le temps nécessaire pour exécuter cette vérification varie considérablement selon le contexte entourant chaque candidat, l'organisation du Grand Prévôt adjoint – Sécurité (GPA Sécur), qui est chargée de l'exécuter, accuse un retard important dans le traitement des dossiers. Par conséquent, ce processus demande normalement plus d'un mois et, souvent, plusieurs mois. En plus des retards liés aux vérifications médicales et relatives à la sécurité, les réductions actuelles et planifiées du Groupe du recrutement des Forces canadiennes (GRFC) diminueront davantage la capacité du MDN à enrôler les candidats rapidement. On prévoit une réduction de 18 p. 100 de la main-d'oeuvre du GRFC, et le nombre de détachements de recrutement pourrait être réduit de 25 p. 100. Ces réductions aggraveront le retard du traitement des candidats, et le GRFC ne sera pas en mesure d'offrir à tous les Canadiens une chance égale de se joindre aux Forces canadiennes. Les citoyens les plus touchés par les réductions seront ceux des régions nordiques et rurales.
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8. Que le ministère de la Défense détermine le taux de départ par attrition des femmes membres des Forces canadiennes et, lors des entrevues de départ, qu'il cherche à établir quels facteurs ont poussé les membres féminins à quitter les Forces avant la fin de leur service. Il devrait rendre compte des résultats ainsi que des mesures correctives prises pour encourager les femmes à terminer leur service dans ses rapports annuels sur le rendement, à commencer par celui de la période se terminant le 31 mars 2008. | Une fois qu'il aura analysé à fond les résultats au cours de l'automne 2007, le gouvernement pourra mieux comprendre les raisons poussant les membres féminins à quitter les Forces canadiennes. S'il décèle des tendances exigeant des changements, le gouvernement prendra les mesures correctives appropriées. Les résultats de l'analyse du sondage de même que toute mesure corrective prise figureront dans le Rapport ministériel sur le rendement annuel de la période se terminant le 31 mars 2008. |
La stratégie de maintien en poste des FC qui a été approuvée par le Conseil des Forces armées (CFA) en mars 2009 et qui comporte 6 axes d'intervention et 43 initiatives, continue de progresser sur un certain nombre de fronts (les principaux axes d'intervention sont la gestion de la carrière ou de l'emploi, la conciliation
carrière-famille, et l'instruction de base). Les recherches sur l'attrition dans les FC ont été élargies, et celles portant sur l'attrition et le maintien à l'effectif des femmes sont terminées pour les groupes professionnels des officiers de la Marine, de même que pour les pilotes et les opérateurs de systèmes de combat
aérien. Une comparaison exhaustive des taux d'attrition globaux chez les hommes et les femmes sur une période de 20 ans se trouve dans le Rapport annuel sur l'attrition dans la Force régulière [AF 2007-2008 et AF 2009-2010 (ébauche)]. On a mené plusieurs études sur l'attrition survenant au cours de la première année de
service ainsi que sur les tendances observées relativement à l'attrition des membres des FC ayant participé à la Force opérationnelle en Afghanistan. Afin d'appuyer la stratégie de maintien à l'effectif des FC, on continue d'effectuer le sondage relatif au maintien à l'effectif et de mener des entrevues de départ pour
recueillir des données sur les intentions de mouvement du personnel.
Les taux d'attrition chez les femmes durant l'AF 2010-2011 ont été légèrement supérieurs à ceux des hommes (qui s'élevaient à 5,4 p. 100 pour les officiers et à 7,1 p. 100 pour les MR). Chez les femmes, les taux ont diminué au cours de l'année dernière. (Les taux indiqués pour l'AF 2010-2011 sont préliminaires). |
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9. Que le ministère de la Défense nationale rende compte des résultats des entrevues de départ qu'il mène auprès des membres des Forces canadiennes dans ses rapports annuels sur le rendement, à commencer par celui de la période finissant le 31 mars 2007. Il faudrait y préciser la méthodologie et la portée des entrevues. | Le ministère de la Défense nationale veillera à inclure dans son Rapport ministériel sur le rendement annuel les informations visées par cette recommandation. Cependant, étant donné que l'analyse approfondie des résultats des sondages ne sera entreprise qu'à l'automne 2007, il ne pourra rendre compte de ces résultats qu'à partir de son rapport de la période se terminant le 31 mars 2008. |
Les entrevues de départ sont menées auprès de l'ensemble des membres de la Force régulière qui quittent les FC de leur propre gré. La participation à l'entrevue est volontaire. L'analyse des données recueillies dans le cadre de ces entrevues vise à évaluer la satisfaction des militaires qui partent à l'égard de plusieurs enjeux organisationnels, et à déterminer dans quelle mesure ces enjeux ainsi que certains facteurs de mécontentement ont influencé leur décision de quitter les FC. Les rapports finaux avec l'analyse des données recueillies entre 2005 et 2008 ont maintenant été publiés. Les résultats indiquent que parmi les éléments les plus satisfaisants pour les répondants se trouvaient la solde et les avantages sociaux; les politiques et les règlements; les aspects liés à la supervision, ainsi que la qualité et la quantité des possibilités de carrière et de formation professionnelle. En contrepartie, les éléments à l'égard desquels les répondants se sont déclarés le moins satisfaits étaient la façon dont les FC gèrent les personnes qui offrent un faible rendement; le système de gestion de carrière et les aspects liés à la famille et aux affectations. Les éléments ayant le plus influencé les militaires ayant décidé de quitter les Forces canadiennes étaient le système de gestion de carrières; le temps qu'ils pouvaient passer auprès de leur famille; et les répercussions des différentes affectations sur le maintien de l'équilibre familial, sur l'emploi de leur conjoint et sur la possibilité de s'installer définitivement dans une région donnée. Les résultats démontrent qu'une éventuelle augmentation du degré de satisfaction à l'égard du système de gestion de carrière, des affectations et de l'équilibre travail-vie personnelle pourrait favoriser le maintien à l'effectif. De plus, une analyse visant à mieux comprendre l'expérience vécue par les nouveaux militaires par rapport aux attentes qu'ils avaient à l'égard des FC a montré que plus de la moitié des répondants considéraient la vie militaire comme étant pire ou bien pire que ce à quoi ils s'attendaient. Les résultats ont également montré que plus la différence entre la vie militaire et l'idée que s'en était faite un nouveau membre des FC est grande, moins ce dernier éprouve le sentiment d'être à sa place au sein des FC et d'être engagé dans l'organisation, et plus les éléments énoncés plus haut risquent de pousser ce militaire à quitter les FC. Ces résultats soulignent à quel point il est important de veiller à ce que les recrues nourrissent des attentes réalistes avant de se joindre aux FC, de bâtir l'engagement des recrues envers l'organisation, et d'optimiser la compatibilité entre les militaires et les valeurs des FC. On analyse actuellement les données recueillies à l'aide de la version actuelle du questionnaire, auquel les militaires répondent depuis l'été de 2008. De plus, on utilise le sondage des FC sur le maintien des effectifs, auquel répondent les militaires des groupes professionnels « à risque » en matière d'attrition, pour étudier différents éléments en lien ou non avec le travail et pour déterminer l'influence qu'ils exercent sur l'intention d'une personne de demeurer dans les FC durant les cinq prochaines années. On a publié les résultats descriptifs du sondage des FC sur le maintien des effectifs de 2008 et de 2010. On a entamé les préparations relatives à l'administration du sondage de 2012. Les résultats du sondage de 2010 constitueront un outil qui servira à mesurer le rendement de la stratégie de maintien à l'effectif des FC. |
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10. Que le ministère de la Défense nationale fixe un taux d'attrition maximal acceptable de ses effectifs formés et surveille le rendement de l'ensemble des mesures instaurées à cet effet. Le Ministère doit commencer, dès la période se terminant le 31 mars 2007, à rendre compte de ses progrès dans son Rapport ministériel sur le rendement annuel. | Le gouvernement inclura des taux d'attrition dans le Rapport ministériel sur le rendement annuel de la Défense nationale, à compter de celui de la période se terminant le 31 mars 2007. Toutefois, les données porteront sur l'analyse de tendances plutôt que sur des cibles prédéterminées. |
En raison du nombre de facteurs influençant l'attrition qui sont indépendants de la volonté des FC (notamment l'état de l'économie canadienne), au lieu de fixer un objectif de taux d'attrition maximum acceptable de ses effectifs qualifiés, les FC suivent de près tous les aspects de l'attrition et ont recours à la
modélisation statistique pour prévoir le taux d'attrition de chaque groupe professionnel à chaque année financière (AF). Ces prévisions servent à déterminer, dans le cadre de processus officiels structurés, le nombre d'employés devant être recrutés chaque AF pour chaque groupe professionnel. Elles sont
publiées dans le Plan de recrutement stratégique (PRS). Au cours de l'AF, les taux de recrutement et d'attrition font l'objet d'un suivi mensuel, et le plan de recrutement stratégique est rajusté au besoin.
Même si, entre 2006 et 2008, le taux d'attrition volontaire de la Force régulière est passé de 4 p. 100 à 6,9 p.100, cette augmentation était raisonnable dans la mesure où les FC avaient la capacité de recruter et de former suffisamment de personnes nécessaires pour remplacer ceux ayant quitté les FC. Or, les besoins de recrutement et de formation supplémentaires qui se sont révélés nécessaires pour réaliser les objectifs d'expansion de la Force ont mis à rude épreuve tant le système de recrutement que celui de la formation. Au cours de l'AF 2009-2010, le PRS a été fixé à un niveau plus élevé que l'habitude. On a cherché à recruter 7 454 employés. Le taux de recrutement réel a dépassé l'objectif fixé; en effet, 7 522 personnes ont été recrutées dans la Force régulière. Le nombre de départs naturels prévu était de 6 250. Toutefois, compte tenu du ralentissement de l'économie et du succès de la stratégie de maintien en poste des FC, seulement 5 293 personnes ont quitté la Force régulière au cours de la dernière AF. Par conséquent, grâce à une hausse du taux de recrutement et à la baisse du taux d'attrition, les effectifs des FC ont augmenté de 2 229 au cours de cette période. Puisqu'on avait répondu aux besoins en matière d'expansion de la Force, on a modifié le Plan de recrutement stratégique des FC pour l'AF 2010-2011 afin de fixer un objectif de 4 724 recrues. À la fin de mars 2011, les effectifs globaux de la Force régulière s'établissaient à 68 254, dépassant légèrement l'objectif de croissance de 68 000 fixé pour 2011-2012. Le Plan de recrutement stratégique a fait l'objet d'une nouvelle modification pour les prochaines années, et on a réduit l'objectif de nouvelles recrues pour l'AF 2011-2012 à environ 4 000. On s'attend à recruter environ 4 300 personnes au cours des années subséquentes. Cette baisse diminuera la pression exercée sur le système de recrutement. Cependant, la vague de recrutement des dernières années a fait en sorte qu'il existe un bassin d'employés actuellement en formation professionnelle initiale ou élémentaire. On déploie des efforts pour augmenter la capacité de formation et pour faire passer le plus rapidement possible les membres du personnel faisant partie de l'effectif en formation élémentaire à l'effectif qualifié en activité. Or, en raison de la durée de nombreux programmes de formation professionnelle et technique, il faudra attendre quelques années avant de voir une augmentation substantielle de l'effectif qualifié en activité.
(Les taux indiqués pour l'AF 2010-2011 sont préliminaires). |
Quinzième rapport du Comité permanent des comptes publics, 39e législature, 1ere session, Le chapitre 5 du Rapport de la vérificatrice générale du Canada de novembre 2006, « La Réinstallation des membres des Forces canadiennes, de la GRC et de la fonction publique fédérale »
(Adopté par le Comité le 16 mai 2007; Présenté à la chambre le 29 mai 2007) Rapport original Réponse du gouvernement |
Recommandation | Réponse/Engagement du gouvernement | État | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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5. Que le ministère de la Défense nationale, la Gendarmerie royale du Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor fassent état, dans leurs rapports sur le rendement, des résultats du Programme de réinstallation intégrée relativement à leurs employés, notamment du nombre d'employés concernés et des coûts du Programme, et indiquent si celui-ci donne les résultats escomptés, et ce, à partir du prochain rapport sur le rendement portant sur l'exercice terminé le 31 mars 2008. | Le gouvernement accepte cette recommandation. |
Le Programme de réinstallation intégré des FC (PRIFC) vise à réinstaller les membres du personnel des FC et leur famille de la façon la plus efficace possible et au coût le plus raisonnable possible pour le public, tout en nuisant le moins possible à l'employé et à sa famille ainsi qu'aux opérations
ministérielles.
En 2010, les Services globaux de relogement (SGR) Brookfield ont assuré la coordination des déménagements suivants, par trimestre :
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et du développement durable |
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Durant la période visée, la vérificatrice générale (VG) et le commissaire à l'environnement et du développement durable ont déposé un rapport de vérification au Parlement axé spécifiquement sur la défense nationale, à savoir le Chapitre 6 – L'achat d'hélicoptères maritimes, dans le rapport d'octobre 2010. Dans le chapitre consacré à « L'achat d'hélicoptères maritimes » , la VG a conclu que dans les cas du Projet des hélicoptères maritimes (PHM) [CH148 Cyclone] et du Projet d'hélicoptères de transport moyen à lourd (HTML) [CH147 Chinook], le MDN ne s'était pas complètement conformé aux dispositions clés de la Politique du CT sur la gestion des grands projets de l'État, ni à ses propres lignes directrices, qui figurent dans le Guide d'approbation des projets (GAP). En ce qui concerne le processus de passation du marché pour le Cyclone, la VG a conclu que Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) et le MDN s'étaient généralement conformé aux dispositions des Règlements du gouvernement sur les passations de marché et de la Politique des marchés du CT, mais qu'une modification apportée en 2008 n'était pas conforme à la stratégie initiale de la soumission conforme la moins disante. En ce qui concerne l'acquisition du Chinook, qui a fait appel au processus du préavis d'adjudication de contrat (PAC), la VG a signalé que le processus n'était pas conforme ni à la lettre, ni à l'esprit des règlements et des politiques pertinents en matière de passation de marchés. De plus, la VG a conclu que les deux projets d'acquisition d'hélicoptères avaient connu des hausses de coûts et d'importants retards d'exécution. Ce chapitre, y compris la réponse du Ministère aux recommandations de la vérificatrice générale, se trouve sur le site Web du vérificateur général du Canada : Derniers rapports de vérification du BVG Le Chapitre 2 du rapport d'octobre 2010 a examiné trois petites entités, notamment l'Agence de logement des Forces canadiennes (ALFC). La VG a conclu que les trois entités avaient des mesures de contrôle de gestion en place qui étaient conformes aux exigences du CT et qui sont appliquées dans la gestion de l'utilisation de cartes d'achat, la passation de marchés, les déplacements des hauts gestionnaires et l'accueil. La réponse du MDN à l'unique recommandation, qui visait les trois entités, se trouve également sous le lien ci-dessus. En réponse à la demande annuelle du vérificateur général, la Défense nationale a fait le point sur l'état de l'ensemble des recommandations formulées dans les rapports de vérification du BVG déposés au Parlement durant la période de cinq ans s'échelonnant de 2005-2006 à 2009-2010. Cela comprenait notamment des renseignements à jour sur la suite donnée aux recommandations formulées dans le rapport de l'automne 2009 sur « L'acquisition de véhicules militaires pour service en Afghanistan ». Durant l'AF 2010-2011, le Bureau de l'ombudsman de l'approvisionnement (BOA) a publié un Examen des pratiques d'approvisionnement intitulé « Vérification ministérielle des dossiers des fournisseurs pour valider les paiements contractuels » qui visait le MDN, entre autres ministères. Le rapport formulait une recommandation visant l'ensemble des ministères et une recommandation visant TPSGC. Le Résumé de cet examen faisait partie du rapport annuel du BOA de l'année en question, qui a été déposé au Parlement par le ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux le 15 juin 2010. |
Vérifications externes (Nota : Ces vérifications se rapportent aux autres vérifications externes faites par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
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Vérification du Système d'instruction individuelle et d'éducation des FC En juin 2010, le Commissariat aux langues officielles (CLO) a rendu public le rapport sur la vérification effectuée en 2008 du Système d'instruction individuelle et d'éducation. Dans l'ensemble, le rapport a été bien reçu par le Ministère. Le rapport, y compris ses recommandations et les réponses au plan d'action des FC, se trouve sur le site Web du CLO à l'adresse suivante : http://www.ocol-clo.gc.ca/html/audits_verifications_f.php#BFI Les recommandations formulées par le CLO ont été appuyées puisqu'elles aident le MDN et les FC à orienter leurs efforts et leurs ressources en vue de la réalisation à long terme de la conformité à la Loi sur les langues officielles (LLO) et donneront aux membres des FC la possibilité de suivre leur instruction dans la langue officielle de leur choix. En réalité, plusieurs mesures ont déjà été adoptées pour mettre en oeuvre ces recommandations. Cependant, des efforts et des ressources sont toujours requises pour aider les FC à réaliser leur plan à long terme, soit d'offrir à tous les militaires la possibilité de suivre leur instruction dans la LO de leur choix et, en bout de ligne, à se conformer à la LLO. Suivi de la vérification de la langue de travail au QGDN En juin 2010, le CLO a demandé un rapport de progrès détaillé faisant état des mesures correctives adoptées par le MDN et les FC en vue de mettre en oeuvre les 12 recommandations contenues dans le rapport. Le rapport produit par le MDN et les FC a souligné le fait que, depuis la vérification, des progrès avaient été réalisés en ce qui a trait à la haute direction, à la sensibilisation et à l'éducation et à l'enseignement de la seconde LO. Le rapport précisait qu'il y avait toujours des lacunes dans des domaines comme le maintien d'un milieu de travail propice à l'usage des deux LO, des compétences des gestionnaires et des superviseurs en seconde LO et de la prestation de services personnels et centraux dans les deux LO. Dans une lettre de réponse datée de mars 2011, le CLO a reconnu que des progrès avaient été réalisés, mais il a cependant fait remarquer que davantage d'efforts sont requis pour créer un milieu de travail propice à l'usage des deux langues officielles. Le CLO a reconnu que les mesures présentées dans le rapport de progrès semblent prometteuses et a rappelé que des mécanismes de surveillance de la conformité efficaces devraient être mises en oeuvre pour aider le MDN et les FC à se conformer aux dispositions de la LLO. La lettre se trouve sur le site Web du CLO à l'adresse suivante : http://www.ocol-clo.gc.ca/html/audits_verifications_f.php. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Comité permanent des transports, de l’infrastructure et des collectivités (28 octobre 2010) – Objet : Date limite du 31 mars 2011 du gouvernement du Canada pour la fin des travaux des projets aux termes du Fonds de stimulation de l’infrastructure et du programme Infrastructure de loisirs du Canada. Aucune recommandation ne fut formulée. Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires (OGGO) (2 juin 2010) – Objet : Étude des projets liés à l’énergie renouvelable et financés par le gouvernement du Canada. Aucune recommandation ne fut formulée. Comité permanent sénatorial de l’industrie, des sciences et de la technologie (INDU) (13 mai 2010) – Objet : Budget principal des dépenses 2010–2011 : Crédits 1 et 5. Aucune recommandation ne fut formulée. Comme suite à la comparution de DEO devant le comité, un membre a posé les questions suivantes : Question : Quels sont les délais qu’une compagnie doit prévoir lorsqu’elle présente une demande de contribution à un organisme de développement régional (ODR)? Réponse : Diversification de l’économie de l’Ouest Canada (DEO) n’offre pas à ce moment une aide directe aux sociétés privées. Le Ministère offre des contributions aux organismes sans but lucratif, aux organismes de recherche et aux établissements postsecondaires. Les projets non admissibles sont souvent cernés rapidement. Le temps requis pour faire preuve de diligence raisonnable dans certains projets peut varier de quelques semaines à plusieurs mois, selon la complexité du dossier. Lorsque l’examen d’une demande requiert plus de temps, une communication permanente est établie avec le promoteur et les questions soulevées sont traités. Question : À quel niveau se situe la délégation de pouvoir pour les projets dans chaque ODR? Réponse : La responsabilité sur le plan de la diligence raisonnable dans le cadre de l’examen des projets relève du sous-ministre et des sous-ministres adjoints régionaux. Ils doivent également informer les promoteurs lorsque les projets ne satisfont pas aux critères. La responsabilité en ce qui a trait à l’approbation des subventions et des contributions incombe au ministre d’État (Diversification de l’économie de l’Ouest canadien). Le sous-ministre et les sous-ministres adjoints régionaux ont le pouvoir d’autoriser un paiement ou une modification des accords de contribution approuvés. Comité sénatorial permanent des finances nationales (14 avril 2010) – Objet : Discussion portant sur le Programme de développement des collectivités, examen du Budget principal des dépenses et des fonds alloués aux SADC par les ODR. Aucune recommandation ne fut formulée. Comme suite à la comparution de DEO devant le comité, les membres du comité ont effectué des demandes d’information : Demande d’information no 1 : Des renseignements supplémentaires sur les mesures précises prises pour surveiller et évaluer le rendement. Réponse : Le Cadre national de gestion et de responsabilisation axé sur les résultats (CGRR) est employé par tous les ODR. Le cadre comprend un modèle logique et des stratégies permanentes de mesure, d’évaluation et de rapports sur le rendement. La stratégie de mesure du rendement suggère des indicateurs pour les extrants et les résultats au sein d’un modèle logique et montre comment ces indicateurs peuvent être saisis, la fréquence et les coûts associés. La stratégie d’évaluation comprend des enjeux et des questions, ainsi que les exigences en matière de saisie des données. La stratégie en matière de rapports illustre une approche méthodique pour la présentation de rapports sur les résultats d’évaluations et de rendement. Comme tous les autres ODR, DEO a mis en place un Cadre de vérification axé sur les risques (CVAR) qui fournit une explication des rôles et des responsabilités de la direction et de la fonction de vérification interne; une évaluation des principaux risques du programme; les consignes en matière de la surveillance du programme, les vérifications des Sociétés d’aide au développement des collectivités et du Ministère; les stratégies de présentation de rapports. Demande d’information no 2 : Renseignements sur les réussites Réponse : Des exemples de réussites liées au Programme de développement des collectivités dans les éditions d’Accès Ouest et de Travailler avec l’Ouest, des publications de DEO. Demande d’information no 3 : Lien vers les états financiers du Ministère. Réponse : http://www.wd-deo.gc.ca/eng/11656.asp Demande d’information no 4 : Des renseignements sur les critères utilisés par les SADC pour accorder des prêts, y compris la détermination de critères, de modalités et de produits livrables communs. Réponse : Les modalités du Programme de développement des collectivités s’appliquent à tous les ODR et le paragraphe 2.1 précise les modalités entourant la gestion des fonds d’investissement. Dans ce contexte, dans l’Ouest canadien, chaque SADC établit ses propres politiques qui régissent les activités internes et la gestion du fonds d’investissement. Demande d’information no 5 : Des exemples de prêts consentis dans différentes régions et collectivités. Réponse : Les modalités des accords de contribution stipulent que les SADC peuvent consentir les types d’investissements suivants :
Dans le cadre de l’évaluation du Programme de développement des collectivités effectuée en 2008, DEO a mené des études de cas dans 10 SADC de l’Ouest canadien. Les exemples fournis illustrent bien la diversité et la taille des entreprises financées par les SADC partout dans l’Ouest canadien. |
Réponse aux comités parlementaires |
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S.O. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable |
S.O. |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
S.O. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
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Vérificatrice générale Avril 2010 Chapitre 4 – Pour un développement durable dans les Territoires du Nord-Ouest : examine comment Affaires autochtones et Développement du Nord Canada, Environnement Canada, et Ressources humaines et Développement des compétences Canada ont appuyé les revendications territoriales, un régime de réglementation en matière d’environnement et la capacité de la communauté à participer à des occasions de perfectionnement des capacités et de développement économique, qui sont tous considérés comme essentiels au développement durable et équilibré des Territoires du Nord-Ouest. Une recommandation a été présentée à Environnement Canada dans le cadre de cette vérification. La vérification ainsi que la réponse du Ministère sont disponibles en cliquant sur le lien suivant : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201004_04_f_33717.html Juin 2011 Chapitre 3 – La vérification interne : vérifie la direction et la supervision fournies à la fonction de vérification interne des ministères et organismes par le Bureau de la vérificatrice générale du Canada. La vérification examine également un échantillon d’activités de vérification interne afin de déterminer si 24 des plus grands ministères avaient mis sur pied des comités de vérification indépendants. Une recommandation présentée à tous les Ministères avait déjà été mise en œuvre par Environment Canada. Cette vérification est disponible en cliquant sur le lien suivant : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201106_03_f_35371.html Commissaire à l’environnement et au développement durable Décembre 2010 Chapitre 1 – Les déversements de pétrole provenant de navires : vérifie si Transport Canada, la Garde côtière canadienne (Pêches et Océans Canada) et Environnement Canada avaient pros des mesures raisonnables pour appliquer les dispositions législatives et d’autre mesures en vue de se préparer à réagir et d’intervenir en cas d’incidents de pollution provenant de navires dans le milieu marin canadien. Des recommandations sont présentées à Environment Canada dans le cadre de cette vérification. La vérification ainsi que la réponse du Ministère sont disponibles en cliquant sur le lien suivant : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_cesd_201012_01_f_34424.html Chapitre 2 – La surveillance des ressources en eau : détermine su le Programme de surveillance de la qualité des eaux douces et le Programme national de relevés hydrométriques d’Environment Canada étaient bien administrés de sorte qu’ils permettent de surveiller de façon adéquate la qualité et la quantité des ressources en eaux douces de surface au Canada et de faire rapport à cet égard. Des recommandations sont présentées à Environment Canada dans le cadre de cette vérification. La vérification ainsi que la réponse du Ministère sont disponibles en cliquant sur le lien suivant : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_cesd_201012_02_f_34425.html Chapitre 3 – L’adaptation aux impacts climatiques : vérifie si les entités retenues avaient mis en place des mécanismes pour favoriser l’échange d’information et la gestion des risques afin d’harmoniser les stratégies d’adaptation aux impacts des changements climatiques. Des recommandations ont été présentées à Environnement Canada dans le cadre de cette vérification. La vérification et la réponse du Ministère sont disponibles en cliquant sur le lien suivant : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_cesd_201012_03_f_34426.html |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Commissaire aux langues officielles Vérification de la prestation des services météorologiques et environnementaux bilingues sur le réseau téléphonique automatisé d’Environment Canada – Suivi Il s’agit d’une vérification de suivi faite en 2010 à la suite d’une vérification effectuée en 2008 qui visait à déterminer si Environment Canada, et plus particulièrement le Service météorologique du Canada, respectaient leurs obligations en vertu de la partie IV de la Loi sur les langues officielles dans le but de fournir des services météorologiques dans les deux langues officielles. La vérification de 2008 se concentrait exclusivement sur les services météorologiques offerts à la population canadienne sur le réseau téléphonique automatisé du Service météorologique du Canada. La vérification de 2010 a permis de mesurer les progrès des mesures de gestion accomplis en réponse aux recommandations de la vérification de 2008. Les deux vérifications ainsi que la réponse du Ministère aux recommandations contenues dans la vérification de 2008 sont disponibles en cliquant sur le lien suivant : |
Le gouvernement du Canada a présenté sa réponse au Neuvième rapport du Comité permanent des comptes publics (PACP), Chapitre 2, « La propriété intellectuelle », du Rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada, qui avait été déposé à la Chambre des communes le 19 avril 2010. Les recommandations 2, 3 et 5 du rapport du PACP concernaient Industrie Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada. La recommandation 4 concernait le Conseil national de recherches du Canada, un organisme membre du portefeuille d’Industrie Canada. Les réponses portaient principalement sur la responsabilité conjointe d’Industrie Canada et du Secrétariat du Conseil du Trésor de surveiller et d’évaluer la mise en œuvre de la Politique sur le titre de propriété intellectuelle découlant des marchés d’acquisition de l’État par les autres organismes.
Le 20 septembre 2010, le Comité permanent des comptes publics a présenté son quinzième rapport, intitulé Certains rapports ministériels sur le rendement 2008-2009 – ministère de l’Industrie, ministère des Transports. S’acquittant de son obligation, le gouvernement a préparé une réponse complète aux sept recommandations contenues dans ce rapport. Cette réponse a été rédigée par le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, Industrie Canada, Transports Canada et le Bureau du Conseil privé.
Les recommandations 1, 2, 3 et 4 concernaient Industrie Canada. Le Ministère a répondu positivement à ces quatre recommandations, en mettant l’accent sur l’ajout d’explications plus détaillées dans ses RMR et la démonstration claire des liens entre ses activités, ses résultats prévus et son rendement réel.
Bureau de la concurrence
Comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie de la Chambre des communes
Le 20 juillet 2010, des représentants du Bureau de la concurrence ont témoigné devant le Comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie de la Chambre des communes dans le cadre de l’étude de la fermeture imminente de la raffinerie Shell, à Montréal. Ils ont confirmé que le dossier
n’entrait pas dans le mandat du Bureau, mais que le Bureau pourrait entreprendre un examen en cas de vente (mais pas en cas de fermeture) conformément aux dispositions de la Loi sur la concurrence relatives aux fusions.
Des représentants du Bureau ont aussi comparu devant ce comité le 9 décembre 2010 dans le cadre de l’étude du projet de loi C-452, Loi modifiant la Loi sur la concurrence (enquête sur un secteur de l’industrie). Les représentants du Bureau ont souligné que le projet de loi C-10, adopté en 2009, modifiait la disposition anticartellaire de la Loi sur la concurrence afin de permettre la création d’un régime criminel d’application plus efficace pour les concurrents participant à la fixation des prix, à la répartition des marchés ou à la restriction des extrants. Ils ont aussi précisé que ces modifications étaient entrées en vigueur après le dépôt du projet de loi C-452. Finalement, ils ont confirmé que le commissaire de la concurrence détenait le pouvoir d’entreprendre une enquête sans avoir reçu de plainte et que, de fait, environ 30 % des enquêtes officielles qu’il menait à ce moment-là avaient été entreprises sans avoir reçu de plainte.
Comité sénatorial permanent des transports et des communications
Le 7 décembre 2010, des représentants du Bureau ont témoigné devant le Comité sénatorial permanent des transports et des communications dans le cadre de l’étude des nouveaux enjeux dans le secteur canadien du transport aérien. Ils ont fait un exposé sur le processus d’examen des fusions, les
enjeux relatifs à la fixation de prix inéquitable, la collusion et l’enquête en cours sur des entreprises de fret aérien.
Comité sénatorial permanent des banques et du commerce
Des représentants du Bureau ont aussi témoigné devant le Comité sénatorial permanent des banques et du commerce le 9 février 2011 dans le cadre de l’examen du projet de loi S-201, Loi modifiant la Loi sur le Bureau du surintendant des institutions financières (cartes de crédit et de
débit). Ils ont rappelé le mandat du Bureau et parlé de son annonce récente selon laquelle il allait contester les règles anticoncurrentielles de Visa et de MasterCard. Ils ont également souligné que le projet de loi S-201 n’avait pas de lien direct avec la portée et le mandat de la Loi sur la concurrence. Le
témoin a conclu en rappelant aux membres du comité que le Bureau ne pouvait réglementer, aux termes de la Loi sur la concurrence, ni les activités quotidiennes des marchés ni la fixation des prix dans un secteur ou une industrie quelconque, y compris les prix des services financiers au Canada.
Aucune demande de renseignements supplémentaires n’a été présentée après ces comparutions devant les comités parlementaires en 2010-2011.
Réponse à la vérificatrice générale du Canada (y compris au commissaire à l’environnement et au développement durable)
Rapport de la vérificatrice générale du Canada du printemps 2010, chapitre 2, « La modernisation de la gestion des ressources humaines »
La Loi sur la modernisation de la fonction publique (LMFP), déposée en 2003, est la plus importante réforme de la gestion des ressources humaines depuis les années 1960. C’est une réalisation complexe à laquelle participent une multitude de parties
intéressées, depuis les organismes centraux responsables des ressources humaines jusqu’aux administrateurs généraux en passant par les gestionnaires hiérarchiques et les professionnels des ressources humaines. Cette loi, qui modifie quatre textes législatifs, vise à transformer la façon dont le gouvernement fédéral
recrute, gère et appuie ses employés. Elle préconise des méthodes de recrutement plus souples, des responsabilités mieux définies en matière de gestion des ressources humaines, des relations syndicales-patronales harmonieuses et l’intégration accrue de la formation et du perfectionnement offerts aux employés de la fonction
publique.
En 2005, le Bureau du vérificateur général du Canada (BVG) a noté que le gouvernement avait établi une assise solide pour gérer la mise en œuvre de la LMFP. Dans sa vérification de 2009, il s’est penché sur les répercussions de la LMFP sur le régime de gestion des ressources humaines. La vérification a consisté à examiner la documentation des six organismes directement investis de responsabilités selon la LMFP, soit le Bureau du Conseil privé, le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada (notamment le Bureau du dirigeant principal des ressources humaines), la Commission de la fonction publique, l’École de la fonction publique du Canada, la Commission des relations de travail dans la fonction publique et le Tribunal de la dotation de la fonction publique, ainsi qu’à tenir des entrevues avec des représentants de ces organismes. Le BVG a aussi rencontré des représentants de six entités de son choix, dont Industrie Canada, et tenu des entrevues structurées avec des administrateurs généraux.
Le BVG a notamment conclu que les principales exigences de la LMFP avaient été satisfaites. Les modifications apportées visent à assouplir le système de dotation de la fonction publique et la gestion des recours. La responsabilité première de la gestion des ressources humaines a été confiée aux administrateurs généraux. Ils l’exercent maintenant directement, en plus de celles qui leur sont déléguées en matière de gestion des ressources humaines et de dotation. Le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada et l’équipe chargée de l’examen de la LMFP ont accepté les recommandations du BVG et répondu à chacune. Aucune recommandation ne visait précisément l’une ou l’autre des entités rencontrées, dont Industrie Canada.
Le rapport complet peut être consulté sur le site Web du Bureau du vérificateur général du Canada.
Rapport de la vérificatrice générale du Canada de l’automne 2010, chapitre 1, « Le Plan d’action économique du Canada »
À la fin de 2008 et au début de 2009, le Canada était plongé dans une récession mondiale. Le budget fédéral de janvier 2009, intitulé Le Plan d’action économique du Canada, visait à contrer ce ralentissement en stimulant l’économie, notamment en augmentant les dépenses publiques dans les
secteurs de l’économie et les régions du pays les plus touchés. Le PAE devait encourager les citoyens à dépenser, favoriser la construction d’habitations et d’infrastructures ainsi que soutenir les entreprises et les collectivités. En tout, ces initiatives représentaient
quelque 40 milliards de dollars en aide du gouvernement fédéral, auxquels s’ajoutaient 12 milliards provenant des provinces et des territoires. Par la suite, le fédéral a haussé sa contribution à quelque 47 milliards de dollars, et les provinces et territoires, à 14 milliards.
Plus de 35 entités fédérales, dont Industrie Canada, ont travaillé à mettre en œuvre près de 90 programmes dans le cadre du PAE. Parmi les programmes gérés par Industrie Canada, citons le Programme d’infrastructure du savoir (PIS) et le Programme des manifestations touristiques de renom (PMTR).
Le BVG a vérifié le PAE pendant son exécution. Il a examiné la conception et la mise en œuvre des programmes ainsi que les mesures prises pour veiller à ce que seuls les projets admissibles reçoivent des fonds. Il a choisi 11 programmes à examiner, notamment le PIS et le PMTR. Il a vérifié, entre autres, le rôle joué par les organismes centraux (le Bureau du Conseil privé, le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada et le ministère des Finances Canada). Trois grands ministères ont été soumis à un travail de vérification approfondi : Industrie Canada, Infrastructure Canada et Affaires indiennes et du Nord Canada. Le BVG a aussi examiné la possibilité d’utiliser les travaux de vérification interne de ces ministères.
Le BVG a notamment conclu que les ministères et les organismes centraux avaient pris les mesures nécessaires pour s’assurer que leurs programmes et leurs processus étaient conçus de façon à accélérer le choix des projets et l’allocation des fonds. Par exemple, le Bureau du Conseil privé et le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada ont adopté un processus pour accélérer l’obtention des autorisations de principe et des autorisations financières nécessaires à la réalisation de nombreux programmes du PAE, comme le PIS. Le temps nécessaire à la conception, à l’examen et à l’approbation des programmes est ainsi passé de six à deux mois. Tous les projets vérifiés respectaient les critères d’admissibilité précisés dans les modalités des programmes. Afin d’être admissibles, les projets devaient satisfaire à deux conditions importantes : pouvoir commencer rapidement et être terminés, ou presque, pour le 31 mars 2011.
Le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, le ministère des Finances Canada et le Bureau du Conseil privé ont accepté les recommandations du BVG et répondu à chacune. Aucune recommandation ne visait précisément Industrie Canada.
Le rapport complet peut être consulté sur le site Web du Bureau du vérificateur général du Canada.
Rapport du commissaire à l’environnement et au développement durable de l’automne 2010, chapitre 4, « Les pétitions en matière d’environnement »
Le processus de pétitions en matière d’environnement est un mécanisme officiel qui permet aux citoyens d’exprimer leurs préoccupations aux ministres et aux ministères fédéraux au sujet de questions environnementales, et d’obtenir une réponse de leur part. Au nom du vérificateur général du Canada, le
commissaire à l’environnement et au développement durable gère ce processus et surveille les réponses des ministres fédéraux. Aux termes de la Loi sur le vérificateur général, le commissaire doit soumettre un rapport annuel sur le nombre et la nature des pétitions reçues, ainsi que sur
l’état d’avancement de leur traitement et les délais de réponse des ministères.
Le rapport annuel courant porte sur les pétitions et les réponses reçues entre le 1er juillet 2009 et le 30 juin 2010. Pendant cette période, le commissaire a reçu 18 pétitions. Deux d’entre elles, soit les pétitions nos 287 et 301, visaient Industrie Canada. Industrie Canada a répondu à la pétition no 287 dans les temps, soit le 26 octobre 2009, et en a fait mention dans son RMR de 2009-2010. Il a reçu l’autre le 30 juin 2010 et y a répondu le 14 décembre suivant.
Deux autres pétitions, les pétitions nos 301B et 306, ont été reçues en janvier 2011. Le commissaire en fera mention dans son rapport de 2011.
Un résumé des pétitions reçues par le BVG est affiché dans le Répertoire des pétitions du commissaire peu après leur transmission au ministère chargé d’y répondre. Le texte intégral d’une pétition est affiché, sous réserve du consentement des pétitionnaires, après le dépôt de la pétition à la Chambre des communes. Le Répertoire peut être consulté sur le site Web du Bureau du vérificateur général du Canada.
Activités en 2010-2011
Réponse
Pétition no 301, intitulée « Allégation d’interprétation erronée des conditions de la liste d’exclusion établie aux termes de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale ayant trait à la construction d’une tour de communication dans la
municipalité de Pontiac, au Québec ».
Réponses à venir
Pétition no 301B, intitulée « Pétition de suivi concernant l’allégation d’interprétation erronée des conditions de la liste d’exclusion établie aux termes de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale ayant trait à la construction
d’une tour de communication dans la municipalité de Pontiac, au Québec ».
Pétition no 306, intitulée « Réglementation des engrais à base de biosolides en vertu de la Loi sur les engrais ».
Rapport du commissaire à l’environnement et au développement durable de l’automne 2010, chapitre 4, « Les pétitions en matière d’environnement » (décembre 2010) | ||||
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Ministère ou organisme | Nombre de réponses demandées | Nombre de réponses envoyées en retard | Pourcentage de réponses envoyées dans les temps (%) |
Avis de retard* |
Industrie Canada | 1 | 0 | 100 | 0 |
Vérification de la commissaire à la protection de la vie privée du Canada, intitulée Pratiques relatives au retrait des renseignements personnels de certaines institutions fédérales
Secteur : programme Ordinateurs pour les écoles, Opérations régionales (octobre 2010)
Le rapport complet peut être consulté sur le site Web du Commissariat à la protection de la vie privée du Canada.
Utilisation des services d’aide temporaire dans les organisations de la fonction publique (étude réalisée par la Commission de la fonction publique en octobre 2010)
Le rapport complet peut être consulté sur le site Web de la Commission de la fonction publique.
Réponse aux comités parlementaires |
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En mai 2010, le Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires (OGGO) a présenté à la Chambre des communes un rapport d’étape intitulé « Mise en œuvre du plan d’action économique ». Ce rapport contenait six recommandations, dont deux avaient des répercussions sur Infrastructure Canada. Plus particulièrement, on recommande d’autoriser la mise en œuvre de projets après l’échéance du 31 mars 2011, en ce qui concerne les programmes qui relèvent du Plan d’action économique (recommandation 3), et on suggère de distribuer le financement non utilisé du Fonds de stimulation de l’infrastructure au moyen d’un modèle de fonds provenant de la taxe sur l’essence (recommandation 5). Infrastructure Canada a collaboré avec le ministère des Finances pour préparer des réponses à ces deux recommandations. Conformément à l’article 109 du Règlement, l’OGGO a demandé de recevoir une réponse à son rapport dans un délai de 120 jours civils. Le ministère des Finances a dirigé la réponse du gouvernement avec la collaboration d’Infrastructure Canada, du Secrétariat du Conseil du Trésor et du Secrétariat des communications et de la consultation du Bureau du Conseil privé. La réponse du gouvernement a été préparée sous pli de mémoire au Cabinet, signée par le ministre des Finances et soumise au Bureau du Conseil privé afin que le comité du Cabinet puisse l’examiner et l’approuver. La réponse finale approuvée du gouvernement a été déposée à la Chambre des communes le 20 septembre 2010. La réponse aux recommandations 3 et 5 était généralement conforme aux messages normalisés et soulignait l’importance de stimuler l’économie de façon opportune et ciblée lorsqu’elle en avait besoin, tout en honorant l’engagement du gouvernement de rétablir l’équilibre budgétaire en procédant à la réduction progressive des fonds de stimulation. Les auteurs de la réponse soulignaient aussi l’objectif du Fonds de stimulation de l’infrastructure et faisaient remarquer que le gouvernement collaborait étroitement avec ses homologues provinciaux, territoriaux et municipaux pour veiller à ce que les projets soient terminés à temps et que toutes les économies découlant des projets dont le budget n’a pas été totalement dépensé soient réinvesties. |
Réponse au vérificateur général (y compris le commissaire à l’environnement et au développement durable) |
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1. Vérification des comptes publics de 2009-2010 Infrastructure Canada a pris les mesures suivantes en réaction aux observations du Bureau du vérificateur général (BVG).
2. Vérification du rendement du Plan d’action économique du Canada (PAE)
3. Vérification (de la vérification interne) dans les ministères et organismes
4. Vérification de l’Appui pour le Sommet du G8 2010 et le Sommet G20 – chapitre 2 (Fonds d’infrastructure du G8)
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Vérifications externes : (Remarque : Il s’agit des autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada ou le commissaire aux langues officielles). |
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Vérification d’Infrastructure Canada effectuée par le Commission de la fonction publique du Canada La Commission de la fonction publique du Canada a procédé à une vérification externe intitulée Vérification d’Infrastructure Canada. Il s’agissait d’une vérification des ressources humaines qui a permis d’examiner les pratiques de dotation du service des ressources humaines d’Infrastructure Canada. Le rapport de vérification finale a été publié en octobre 2009 et portait sur la période du 1er janvier 2006 au 30 avril 2008. La CFP exige qu’Infrastructure Canada rende des comptes deux fois par année à la Commission afin de s’assurer que les préoccupations mentionnées dans la vérification seront complètement dissipées. Dans le rapport sur les progrès réalisés fourni au Comité ministériel de vérification (CMV) en septembre 2010, on a confirmé qu’on avait donné suite aux six plans d’action de la direction relatifs à cette vérification. La CFP procède actuellement à une vérification de suivi du Ministère afin de s’assurer que nous avons donné suite adéquatement aux recommandations de la vérification initiale. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
Le Ministère est mentionné au chapitre 3 « La vérification interne » du rapport du printemps 2011 de la vérificatrice générale où il est évalué si les ministères s’en tiennent à la politique prévoyant un examen externe de la fonction de vérification interne au moins une fois tous les cinq ans et si ces mêmes ministères ont fait des progrès satisfaisants dans l’application de la recommandation 1.92 du rapport de novembre 2004 du vérificateur général selon laquelle ils devraient veiller à ce que leur groupe de vérificateurs internes organise une évaluation externe de la qualité d’ici janvier 2007. De telles évaluations portent sur tout l’éventail des activités de vérification interne. La vérificatrice générale a constaté que peu de ministères, Justice Canada compris, avaient procédé à un tel examen externe de qualité et elle a conclu à un manque de progrès dans ce domaine. Par conséquent, elle recommande ce qui suit à la section 3.80 du chapitre 3 :
Réponse du ministère de la Justice du Canada : Le Ministère est d’accord Le ministère de la Justice prévoit effectuer une évaluation externe de la qualité pendant l’exercice 2011 2012. |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Le Ministère n’a pas fait l’objet en 2010 2011 d’une vérification menée par la Commission de la fonction publique du Canada ni par le Commissariat aux langues officielles. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
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Le Comité permanent des anciens combattants (ACVA) a amorcé un examen de la Nouvelle Charte des anciens combattants en octobre 2009 et a fait part de ses conclusions par la publication de son rapport La nouvelle charte vivante des anciens combattants à l'heure de la mise au point le 17 juin 2010. Les auteurs ont souligné que le Ministère a fait preuve d’une très grande ouverture et a généreusement et rapidement fournit l’information dont le Comité avait besoin pour mener l’examen.
Le 7 octobre 2010, le ministre de l’époque Jean-Pierre Blackburn a déposé la réponse demandée du gouvernement à la Chambre des communes. Le gouvernement a répondu positivement aux recommandations de l’ACVA et a mis en évidence des exemples de changements déjà annoncés, comme les améliorations aux services pour renforcer la gestion de cas, réduire l’attente et éliminer la bureaucratie. Dans la réponse, on mentionne également l’annonce (récente à l’époque) de l’intention du gouvernement d’apporter des modifications législatives et réglementaires améliorant la Nouvelle Charte. Depuis la réponse du gouvernement, les modifications législatives ont reçu la sanction royale et les modifications réglementaires sont en cours. La mise en œuvre de ces modifications mènera à l’augmentation de l’accès à l’allocation pour déficience permanente, à l’apport de soutien additionnel aux vétérans qui ne peuvent pas occuper un emploi convenable et rémunérateur et à l’augmentation de l’allocation pour perte de revenus.
Le 21 mars 2011, le ministre a comparu devant l’ACVA à propos du Budget principal des dépenses plus le Budget supplémentaire des dépenses (C).
L’étude continue de l’ACVA, l’Étude sur le stress lié au combat et ses conséquences sur la santé mentale des vétérans et leur famille a été interrompue à la dissolution du Parlement le 25 mars 2011.
The Sous-comité des anciens combattants du Comité sénatorial permanent de la sécurité nationale et de la défense (VEAC, anciennement le SubSCONSAD) n’a publié aucun rapport pendant cette période. Le VEAC a repris son étude à long terme des services et des avantages offerts aux militaires des Forces canadiennes, aux anciens combattants, aux membres et anciens membres de la Gendarmerie royale du Canada et à leurs familles.
L’étude porte principalement sur la mise en œuvre de la Nouvelle Charte des anciens combattants.
Réponse aux comités parlementaires | |
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable | |
Vérificatrice générale Rapport du printemps 2010 |
Chapitre 1 – Le vieillissement des systèmes de technologie de l’information La vérification avait pour objectif de déterminer si les organisations retenues avaient adéquatement cerné les risques relatifs au vieillissement des systèmes de technologie de l’information essentiels et si elles géraient ces risques. Les organisations gouvernementales responsables des dépenses les plus importantes en TI ont été examinées, c’est-à -dire l’Agence du revenu du Canada, Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, Ressources humaines et Développement des compétences Canada, la Gendarmerie royale du Canada et Citoyenneté et Immigration Canada – ainsi que le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, Direction du dirigeant principal de l’information. |
Recommandations |
Cinq recommandations visaient plusieurs organismes fédéraux. Trois recommandations visaient Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. 1.49 Citoyenneté et Immigration Canada, Ressources humaines et Développement des compétences Canada et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada devraient adopter une approche axée sur la gestion de portefeuille pour l’ensemble du ministère afin de veiller à cibler les investissements dans les TI actuels et prévus qui favorisent le plus l’atteinte des objectifs opérationnels, avec un niveau de risque acceptable et à un coût raisonnable. 1.50 Citoyenneté et Immigration Canada, Ressources humaines et Développement des compétences Canada et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada devraient élaborer un plan d’investissement pluriannuel dans les TI qui assure un bon équilibre entre les investissements obligatoires, de maintien et discrétionnaires requis pour appuyer les systèmes en place et améliorer la prestation des services. 1.59 Ressources humaines et Développement des compétences Canada, Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, Citoyenneté et Immigration Canada et la Gendarmerie royale du Canada devraient élaborer un plan d’action pour chaque risque important lié au vieillissement des systèmes de TI. Leur plan devrait comprendre les stratégies précises, les activités clés, les produits à livrer et les échéances nécessaires pour gérer ces risques. Ces organisations devraient soumettre des rapports périodiques de leurs progrès à la haute direction. |
Réponse du ministère | Travaux publics et Services gouvernementaux Canada était d’accord avec les recommandations et s’est engagé à mettre en application des mesures correctives. Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201004_01_f_33714.html |
Chapitre 3 – La réhabilitation des édifices du Parlement L’objectif de la vérification était de déterminer si Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (Travaux publics) gère le projet de réhabilitation des édifices du Parlement en appliquant de bonnes méthodes de gestion qui respectent le caractère patrimonial des édifices tout en permettant de répondre aux besoins du Parlement. |
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Recommandations |
Une recommandation visait Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. 3.56 Le ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux Canada, en collaboration avec les présidents du Sénat et de la Chambre des communes et avec leur appui — et de concert avec le Comité sénatorial permanent de la régie interne, des budgets et de l’administration et le Bureau de régie interne — devrait élaborer et proposer des mécanismes pour veiller à ce que les responsabilités et la reddition de comptes à l’égard des édifices du Parlement soient confiées au Sénat et à la Chambre des communes. |
Réponse du ministère | Travaux publics et Services gouvernementaux Canada était d’accord avec les recommandations et s’est engagé à mettre en application des mesures correctives. Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter : S'il vous plaît voir la Section I ou http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201004_03_f_33716.html |
Vérificatrice générale Rapport de l’automne 2010 |
Chapitre 1 – Le Plan d’action économique du Canada Travaux publics et Services gouvernementaux Canada était un de dix ministères sélectionnés pour cette vérification. |
Recommandations | Aucune recommandation ne visait Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201010_01_f_34284.html |
Chapitre 4 – La gestion des conflits d’intérêts
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Recommandations |
Six recommandations visaient plusieurs organismes fédéraux. Trois recommandations visaient Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. 4.64 Agriculture et Agroalimentaire Canada, Patrimoine canadien, Ressources humaines et Développement des compétences Canada, Ressources naturelles Canada et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada devraient élaborer une méthode d’évaluation des risques qui comprend le recensement des risques et leur classement par priorité, des stratégies d’évaluation et d’atténuation et l’évaluation des risques résiduels, dans les secteurs clés où d’importants conflits d’intérêts peuvent surgir. 4.65 Une fois qu’ils auront déterminé les secteurs à haut risque dans le cadre d’un processus approprié d’évaluation des risques, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Patrimoine canadien, Ressources humaines et Développement des compétences Canada, Ressources naturelles Canada et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada devraient exiger que les fonctionnaires travaillant dans les secteurs à haut risque recensés déclarent régulièrement s’ils se trouvent ou non en conflit d’intérêts. 4.72 Patrimoine canadien, Ressources humaines et Développement des compétences Canada, Ressources naturelles Canada et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada devraient s’assurer que leur formation repose sur les risques de conflit d’intérêts auxquels le personnel de secteurs précis fait face dans l’exercice de ses fonctions, et la formation devrait comprendre des études de cas et des scénarios pertinents pour ces secteurs. |
Réponse du ministère | Travaux publics et Services gouvernementaux Canada était d’accord avec les recommandations et s’est engagé à mettre en application des mesures correctives. Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201010_04_f_34287.html |
Chapitre 6 – L’achat d’hélicoptères militaires |
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Recommandations |
Quatre recommandations visaient la Défense nationale. Deux recommandations visaient Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. 6.65 Travaux publics et Services gouvernementaux Canada devrait examiner et appliquer les leçons tirées lors de l’acquisition de ces hélicoptères pour avoir l’assurance que, dans le cadre d’autres grands projets d’acquisition d’équipement à l’avenir, l’ampleur des modifications ou des travaux de développement nécessaires sera entièrement prise en compte dans les documents d’approbation ainsi que dans l’évaluation des risques et que les stratégies d’acquisition et les contrats seront adaptés à la complexité de l’équipement faisant l’objet de l’acquisition. 6.76 Travaux publics et Services gouvernementaux Canada devrait procéder à un examen des leçons apprises relativement au recours à des contrats pour le soutien en service à long terme avant de modifier, en 2013, le contrat conclu avec Boeing, afin de veiller à ce que les risques soient correctement recensés et gérés, que les coûts soient consciencieusement déterminés et que des solutions de rechange pour la prestation de services soient examinées. |
Réponse du ministère | Travaux publics et Services gouvernementaux Canada était d’accord avec les recommandations et s’est engagé à mettre en application des mesures correctives. Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_201010_06_f_34289.html |
CEDD Rapport de l’automne 2010 |
Chapitre 4 – Les pétitions en matière d’environnement Par ailleurs, même si Travaux publics et Services gouvernementaux Canada a répondu en retard à l’unique pétition qui lui était adressée, il n’a dépassé le délai prescrit que d’un jour. |
Recommandations | Le chapitre n’avait aucune recommandation. Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_cesd_201012_04_f_34427.html |
Réponse au Commissariat à la protection de la vie privée du Canada | |
Octobre 2010 |
Pratiques relatives au retrait des renseignements personnels de certaines institutions fédérales |
Recommandations | Aucune recommandation ne visait Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter : http://www.priv.gc.ca/information/pub/ar-vr/ar-vr_pidp_2010_f.cfm |
Réponse au Bureau du Contrôleur général (BCG) | |
BCG Avril 2010 |
Vérification interne horizontale de la gestion des actifs des technologies de l'information dans les petits ministères et organismes (PMO) L'objectif de la présente vérification était de déterminer si les structures de gestion et de contrôle en place dans les PMO constituent un cadre efficace pour la gestion des actifs de TI. Travaux publics et Services gouvernementaux Canada a fait l’objet de la vérification en tant que fournisseur de services communs. |
Recommandations | Aucune recommandation ne visait Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter : http://www.tbs-sct.gc.ca/report/orp/2010/it-titb-fra.asp |
Avril 2010 |
Vérification interne horizontale de la gestion des actifs des technologies de l'information dans les grands ministères et organismes (GMO) La vérification visait à déterminer si les structures de gestion et de contrôle en vigueur dans les organismes centraux et les GMO s'avèrent un cadre efficace permettant de prendre des décisions liées aux technologies de l'information (TI) à l'échelle gouvernementale et à l'échelle ministérielle respectivement. Travaux publics et Services gouvernementaux Canada a fait l’objet de la vérification en tant que fournisseur de services communs. |
Recommandations | Aucune recommandation ne visait Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter : http://www.tbs-sct.gc.ca/report/orp/2010/itl-itgtb-fra.asp |
Au cours de la période visée par le présent rapport, l’Office ne s’est pas fait demander de réagir à une recommandation d’un comité parlementaire.
Au cours de la période visée par le présent rapport, aucune recommandation de la vérificatrice générale ou du commissaire à l’environnement et au développement durable n’a été dirigée vers l’Office.
Aucune vérification externe n’a été effectuée dans l’exercice financier 2010–2011.
Réponse aux comités parlementaires |
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Réponse au vérificateur général (y compris au Commissaire à l’environnement et au développement durable) |
L’ONÉ n’a reçu aucune recommandation. |
Vérifications externes : (Nota : Ces vérifications se rapportent à d’autres vérifications externes faites par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Aucune vérification externe n’a été terminée durant l’exercice 2010-2011. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Réponse au quatrième rapport du Comité permanent du patrimoine canadien intitulé : Le volet de la diversité de la musique canadienne du fonds de la musique du Canada.
Lien à la Réponse du gouvernement : Réponse au quatrième rapport du Comité permanent des comptes publics intitulé : Le chapitre 1, L’analyse comparative entre les sexes du Rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada.
Lien à la Réponse du gouvernement : Lien pour le Rapport d’étape intérimaire : Réponse au deuxième rapport du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international intitulé : L'examen périodique universel du Canada et l'avenir--préserver la réputation internationale du Canada comme chef de file mondial en droits de la personne. Lien à la Réponse du gouvernement : Réponse au troisième rapport du Comité sénatorial permanent des langues officielles intitulé La mise en œuvre de la partie VII de la Loi sur les langues officielles : On peut faire encore mieux.
La Réponse du gouvernement n'est pas disponible en ligne. Réponse au deuxième rapport du Comité permanent des langues officielles intitulé : L’impact des retards d’approbation et de décaissement sur les organismes bénéficiaires du ministère du Patrimoine canadien.
Lien à la Réponse du gouvernement : |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
Automne 2010 ‑ Chapitre 4 — La gestion des conflits d’intérêts La présente vérification avait pour objectif de déterminer si le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada et cinq ministères sélectionnés avaient fourni aux fonctionnaires les outils dont ils avaient besoin pour s’acquitter des responsabilités du gouvernement fédéral en matière de gestion des conflits d’intérêts. Patrimoine canadien (PCH) a été choisi à titre d’exemple d’un petit ministère qui, pour l’essentiel, attribue des subventions et des contributions. Quatre des six recommandations sur la mise en œuvre de mesures relatives aux conflits d’intérêts dans certains ministères ont été adressées à PCH. Le Ministère était d’accord avec l’ensemble des recommandations formulées et y a répondu dans le cadre d’un plan d’action de la gestion. Rapport d’étape – Juin 2011 – Chapitre 3 — La vérification interne |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
L’emploi occasionnel : Sources et pratiques Utilisation des services d’aide temporaire dans les organisations de la fonction publique Vérification des nominations découlant des processus de dotation collective |
Septième rapport du Comité sénatorial permanent des pêches et des océans : Rapport sur la mise en œuvre de la Loi sur la protection des phares patrimoniaux (mars 2011) |
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Recommandations:
Rapport: Réponse du gouvernement: |
Sixième rapport du Comité sénatorial permanent des pêches et des océans : Plein feux sur les phares gardés de la Colombie-Britannique et de Terre-Neuve et Labrador (décembre 2010) |
Recommandations:
Rapport: Réponse du gouvernement: |
Quatrième rapport du Comité sénatorial permanent des pêches et des océans : La gestion des pêches et des océans dans l’Ouest de l’Arctique canadien (mai 2010) |
Recommandations:
Rapport: Réponse du gouvernement: |
Deuxième rapport du Comité sénatorial permanent des pêches et des océans : Le contrôle des eaux de l’Arctique canadien : Rôle de la Garde côtière canadienne (avril 2010, publié pour la première fois en décembre 2009) |
En décembre 2009, au cours de la 2e session du 40e Parlement, Le Comité a déposé ce rapport intitulé Septième rapport du Comité sénatorial permanent des pêches et des océans : Le contrôle des eaux de l’Arctique canadien : Rôle de la Garde côtière canadienne. Le Sénat a adopté le rapport et demandé une réponse de la part du gouvernement, mais cette demande a été annulée après qu’on eut prorogé le Parlement en janvier 2010. Pour obtenir une réponse du gouvernement, le Comité a déposé de nouveau le rapport en avril 2010. Recommandations:
Rapport : Réponse du gouvernement : |
Report | Link |
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Bureau du vérificateur général du Canada / Commissaire à l'environnement et au développement durable | |
Les déversements de pétrole provenant de navires | http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_cesd_201012_01_f_34424.html |
L'adaptation aux impacts climatiques | http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_cesd_201012_03_f_34426.html |
Les pétitions en matière d'environnement | http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_cesd_201012_04_f_34427.html |
Commission de la fonction publique | |
Dotation | http://www.psc-cfp.gc.ca/adt-vrf/rprt/2010/ar-rv/2-dfo-mpo/index-fra.htm |
Vérification des attestations d'études1 | http://www.psc-cfp.gc.ca/adt-vrf/rprt/2010/vec-vae/index-fra.htm |
1 Il s'agit d'une étude réalisée par la Commission de la fonction publique et non d'une vérification réelle.
Réponse aux comités parlementaires |
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De mars 2010 à mars 2011, Ressources humaines et Développement des compétences Canada (RHDCC) a déposé trois réponses gouvernementales aux rapports des comités parlementaires.
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable |
Printemps 2010 – chapitre 1 du rapport de la vérificatrice générale du Canada
Le vieillissement des systèmes de technologie de l'information Objectif Dans l'ensemble, la vérification a révélé que même si le Ministère a entrepris certaines démarches pour gérer les risques liés au vieillissement de ses systèmes de technologie de l'information, le travail est loin d'être terminé. Quatre des cinq recommandations du chapitre visent conjointement le Ministère et d'autres organisations vérifiées. Le Ministère a accepté les recommandations formulées dans le chapitre et la mise en œuvre des mesures correspondantes est prévue en mars 2012. La réponse du Ministère se trouve à l'adresse suivante : Printemps 2010 – chapitre 2 du rapport de la vérificatrice générale du Canada Objectif
RHDCC et cinq autres organisations ont, dans le cadre de la vérification, été sélectionnées pour faire l'objet d'un examen selon la taille de l'organisme, les volumes de la dotation et l'étendue de la vérification. Le Ministère n'est visé par aucune des deux recommandations formulées dans le chapitre. Le chapitre 2 du rapport de la vérificatrice générale est affiché à l'adresse suivante : Printemps 2010 – chapitre 4 du rapport de la vérificatrice générale Objectif
De manière générale, la vérification a révélé que les programmes de RHDCC appuient la formation professionnelle des Autochtones dans les Territoires du Nord-Ouest et permettent d'effectuer un suivi des objectifs et des cibles à court terme. Cependant, le Ministère doit encore évaluer l'incidence à long terme de ses programmes de formation professionnelle sur la durabilité des emplois des Autochtones dans les Territoires du Nord-Ouest. Même si le Ministère a accompli des progrès, il doit encore mettre en œuvre, comme il se doit, certaines mesures clés, notamment la création d'un régime de réglementation de l'environnement à l'échelle du territoire et l'élaboration de programmes de développement économique qui répondent aux besoins uniques de ce dernier. Parmi les huit recommandations du chapitre, une seule vise RHDCC. Le Ministère a accepté cette recommandation et la mise en œuvre des mesures correspondantes est prévue en décembre 2014. La réponse du Ministère figure à l'adresse suivante : Automne 2010 – chapitre 1 du rapport de la vérificatrice générale du Canada Le Plan d'action économique du Canada Objectif Bien qu'aucune des trois recommandations du chapitre ne vise RHDCC, le Ministère est indirectement touché par les deux recommandations suivantes : les projets financés satisfont aux critères d'admissibilité d'après l'information fournie dans les demandes, et les vérificateurs internes des ministères ont fourni avis et assurance. Les détails de ces répercussions indirectes figurent dans le rapport de vérification (paragraphes 1.32 à 1.37 et 1.54 à 1.59 respectivement). Le chapitre 1 du rapport de la vérificatrice générale se trouve à l'adresse suivante : Automne 2010 – chapitre 2 du rapport de la vérificatrice générale La gestion et le contrôle dans les petites entités – Commission d'appel des pensions Objectif Dans l'ensemble, la vérification a révélé que chacune des trois organisations dispose des procédures de contrôle efficaces qu'elles avaient appliquées conformément aux exigences relatives à la gestion des cartes d'achat, à la passation de marché, aux frais de déplacement des cadres supérieurs et à l'accueil. La vérification a également démontré que même si de saines pratiques de gestion des ressources humaines avaient été mises en place par les organisations dans les secteurs examinés, la documentation relative aux ententes et aux évaluations de rendement pourrait être améliorée. La seule recommandation formulée dans le chapitre vise conjointement les trois organisations et a été acceptée. Le Ministère a accepté cette recommandation et a effectué la mesure correspondante immédiatement. La réponse du Ministère se trouve à l'adresse suivante : Automne 2010 – chapitre 3 du rapport de la vérificatrice générale du Canada Objectif Dans l'ensemble, la vérification a révélé que RHDCC communique clairement à ses clients et à ses employés les normes de service qu'il a élaborées, surveille régulièrement son rendement par rapport à ces normes et établit fréquemment des rapports à ce sujet. De plus, cette surveillance régulière lui a permis de prendre les mesures nécessaires pour résoudre un certain nombre de problèmes liés à la prestation des services. Plus important encore, ce chapitre souligne le fait que le Ministère est intervenu dans plusieurs domaines pour améliorer la qualité de ses services et fait mention, à titre d'exemple, des mesures prises par le Ministère pour améliorer les services offerts dans le cadre du programme d'assurance-emploi. La seule recommandation du chapitre ne vise pas RHDCC. Le chapitre 3 du rapport de la vérificatrice générale est affiché à l'adresse suivante : Automne 2010 – chapitre 4 du rapport de la vérificatrice générale du Canada Objectif De façon générale, la vérification a permis de constater que même si le Secrétariat du Conseil du Trésor joue un rôle important dans la gestion des conflits d'intérêts, il ne fournit pas un soutien continu aux ministères. Les deux éléments ayant été négligés sont l'orientation et la formation. La vérification a également permis de constater que les ministères visés par la vérification disposent des mécanismes et des mesures d'aide requis pour gérer les conflits d'intérêts, que les administrateurs désignés connaissaient leurs responsabilités et que des processus destinés à traiter les déclarations de conflits d'intérêts ont été mis en place. Toutefois, les ministères doivent effectuer un suivi des mesures requises et veiller à ce que les déclarations soient traitées rapidement. Finalement, la vérification a permis de constater que même si les ministères comprennent maintenant davantage la nécessité d'examiner l'ensemble de leur organisation en vue de cerner les risques de conflits d'intérêts, aucun d'entre eux n'a pris de mesures à cet égard. Quatre des six recommandations du chapitre visent, entre autres, RHDCC. Le Ministère a accepté ces recommandations et la mise en œuvre des mesures correspondantes est prévue en mars 2012. La réponse du Ministère se trouve à l'adresse suivante : |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
Commissaire à la protection de la vie privée Objectif RHDCC a été visé par la vérification en raison de la mesure dans laquelle il utilise les technologies sans fil pour transmettre et conserver des renseignements personnels, du nombre de points d'accès sans fil à ses réseaux sans fil et du nombre d'employés à qui un dispositif portable sans fil a été confié. Dans l'ensemble, la vérification a permis de cerner des lacunes relatives aux mesures de sécurité mises en œuvre par RHDCC pour conserver temporairement des dispositifs destinés à être détruits. Cinq des neuf recommandations du chapitre visent, entre autres, RHDCC, et une seule vise seulement le Ministère. RHDCC a accepté les recommandations du chapitre et la mise en œuvre des mesures correspondantes est prévue par la fin août 2011. La réponse de RHDCC se trouve à l'adresse suivante : Bureau de l'ombudsman de l'approvisionnement Objectif Une des deux recommandations qui ont découlé de la vérification vise, entre autres, RHDCC. Le Ministère a accepté la recommandation et a effectué la mesure correspondante en hiver 2011. La vérification est affichée sur le site suivant : Commission canadienne des droits de la personne Objectif Dans l'ensemble, selon les recommandations du rapport, le Ministère doit augmenter le taux de réponse au questionnaire de déclaration volontaire et combler les lacunes dans toutes les catégories professionnelles dans un délai de trois ans. RHDCC s'est engagé à créer un milieu de travail inclusif qui représente la diversité canadienne et prévoit éliminer tous les écarts observés en augmentant le taux de réponse au questionnaire de déclaration volontaire, en mettant en œuvre un nouveau plan d'équité en matière d'emploi pour la période de 2010 à 2012, et en exerçant une surveillance étroite des progrès réalisés à l'égard de la représentation des membres des groupes désignés. Le rapport de vérification n'était pas accessible au public au moment de la rédaction du présent rapport. Commissariat aux langues officielles Objectif Le rapport souligne que des efforts considérables ont été déployés par Service Canada pour assurer une offre de service active dans les deux langues officielles, ce qui donné lieu à des résultats concrets. Il met également l'accent sur le leadership et l'engagement de la haute direction de Service Canada et, plus particulièrement, du sous-ministre adjoint de la Direction générale de service aux citoyens. Dans le rapport, on mentionne toutefois que la capacité bilingue dans certaines régions laisse parfois à désirer, particulièrement en ce qui a trait au nombre de postes désignés bilingues et au profil linguistique exigé pour les postes d'agents de service aux citoyens et de chefs d'équipe, et qu'une meilleure gouvernance est nécessaire à cet égard. Sept recommandations selon lesquelles il faut améliorer la prestation de services en français et en anglais dans les points de services désignés bilingues visent Service Canada. Le Ministère a accepté les recommandations énoncées dans le chapitre et la mise en œuvre des mesures correspondantes est prévue en mars 2013. La réponse du Ministère se trouve à l'adresse suivante : |
Réponse aux comités parlementaires |
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l’environnement et au développement durable |
Rapport de la vérificatrice générale du Canada, Printemps 2009 (BVG 2009-05) – Chapitre 6 – Certains accords de contribution – Ressources naturelles Canada Recommandation 6.28 Réponse Recommandation 6.29 Réponse Rapport de la vérificatrice générale du Canada, Printemps 2009 (BVG 2009-05) – Chapitre 3 – La santé et la sécurité dans les immeubles à bureaux fédéraux Recommandation 3.80 Réponse Recommandation 3.88 Réponse Recommandation 3.93 Réponse Rapport de la vérificatrice générale du Canada, avril 2005 (BVG 2005-04) – Chapitre 1 – Ressources naturelles Canada – La gouvernance et la gestion stratégique Recommandation 1.111
Réponse (mise à jour 2011) Rapport de la commissaire à l’environnement et au développement durable, septembre 2006 (CEDD 2006-09) – Chapitre 1 – La gestion des activités fédérales en matière de changements climatiques Recommandation 1.44 Réponse (mise à jour en 2011) Rapport de la commissaire à l’environnement et au développement durable, septembre 2006 (CEDD 2006-09) – Chapitre 2 – L’adaptation aux répercussions des changements climatiques Recommandation 2.56 Réponse (mise à jour en 2011) En novembre 2010, la direction a fourni davantage de documentation au sujet d’un article publié sur les changements climatiques. Cet article a été préparé en collaboration avec d’autres ministères fédéraux et administrations provinciales, territoriales et municipales, ainsi qu’avec d’autres parties intéressées et universitaires participant à cette initiative. Rapport de la commissaire à l’environnement et au développement durable, septembre 2006 (CEDD 2006-09) – Chapitre 3 – La réduction des émissions de gaz à effet de serre attribuables à la production et à la consommation d’énergie Recommandation 3.32 Réponse (mise à jour 2011) |
Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) |
S.O. |
Réponse aux comités parlementaires | |
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Le rapport « Promouvoir des solutions novatrices pour relever les défis des ressources humaines en santé » du Comité permanent de la santé a été publié le 17 juin 2010. La réponse du gouvernement a été déposée le 6 octobre 2010. Le rapport du Comité contenait vingt-neuf recommandations. Le Comité a déclaré qu'il est nécessaire de voir les choses dans l'ensemble et de faire preuve d'audace quant aux ressources humaines en santé afin d'élaborer des solutions locales et uniques qui font appel à un large éventail de professionnels de la santé, des sages-femmes aux gestionnaires de l'information sur la santé. Le Comité a conclu qu'une collaboration continue entre les différents ordres du gouvernement est requise, y compris un leadership du gouvernement fédéral quant à la prestation de mécanismes de financement sécuritaires et durables qui visent : une réforme des soins primaires, une meilleure intégration des professionnels de la santé formés à l'étranger et l'augmentation du nombre de ressources humaines en santé autochtone. Le Comité a recommandé que le gouvernement fédéral soit plus efficace dans la promotion de la planification en collaboration des ressources humaines en santé avec les administrations intéressées, soit au moyen des mécanismes existants ou par l'établissement de nouveaux mécanismes. Dans sa réponse, le gouvernement du Canada a confirmé son engagement à régler les problèmes soulevés en matière de ressources humaines en santé et souligné le travail colossal déjà accompli à cet égard. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Comités de la Chambre des communes - HESA (40-3) - Promouvoir des solutions novatrices pour relever les défis des ressources humaines en santéLe rapport « La voie de l'avenir : Comment réagir aux taux élevés de tuberculose dans les réserves des Premières nations et les collectivités inuites » du Comité permanent de la santé a été publié le 8 juin 2010. La réponse du gouvernement a été déposée le 6 octobre 2010. Le rapport du Comité contenait quatorze recommandations selon les thèmes suivants : Programme national de lutte antituberculeuse de Santé Canada, Collaboration entre ordres du gouvernement, Participation des collectivités des Premières nations et des Inuits à la lutte antituberculeuse et Déterminants sociaux de la santé. Dans sa réponse, le gouvernement a réitéré son engagement à réduire les taux de tuberculose chez les Premières nations et les Inuits vivant dans les réserves et reconnu la complexité de la tuberculose et le besoin d'efforts coordonnés de différents partenaires afin de réduire le fardeau de cette maladie. De plus, le gouvernement a insisté sur le fait que la façon la plus efficace de prévenir les maladies, dont la tuberculose, est de se pencher sur les déterminants sociaux de la santé des Premières nations. Le gouvernement a aussi déclaré qu'il est résolu à travailler en collaboration avec les partenaires afin de réduire l'incidence de la tuberculose sur les populations autochtones du Canada. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site |
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable | |
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Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) | |
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Réponse aux comités parlementaires
Comité permanent des comptes publics : Quatrième rapport, chapitre 1, « L’analyse comparative entre les sexes », du rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada
Sommaire du Rapport | Progrès accomplis dans la concrétisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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L’analyse comparative entre les sexes (ACS) est un outil qui sert à évaluer l’impact probable des politiques sur les hommes et les femmes, distinctement. Lorsqu’elle est utilisée efficacement, l’ACS permet d’intégrer les différences entre les hommes et les femmes à chaque étape du processus d’analyse des politiques. L’exécution de l’ACS est une responsabilité commune à l’ensemble de l’appareil gouvernemental fédéral. Le Comité est d’avis que Condition féminine Canada (CFC) devrait jouer un rôle de chef de file en ce qui a trait à la mise en œuvre de l’ACS et qu’elle est l’entité la mieux placée pour boucler la boucle de la responsabilité en faisant état des progrès accomplis par le gouvernement quant à la mise en œuvre de son plan d’action. On a ajouté une Opinion complémentaire au Rapport, soit celle de membres du Comité représentant le Parti conservateur du Canada, dans le but de souligner le rôle de chef de file que joue le Canada en matière d’ACS. L’Opinion complémentaire traite également de la publication du Plan d’action ministériel pour l’analyse comparative entre les sexes. Le partenariat entre CFC, le Bureau du Conseil privé (BCP) et le Secrétariat permettra aux ministères et organismes d’échanger relativement aux défis afférents à l’ACS. | Dans les recommandations 2 et 3, lesquelles ont trait à la fonction d’examen critique, le Comité a demandé au Secrétariat et au BCP d’ordonner aux ministères et organismes d’expliquer par écrit pourquoi ils ont jugé pertinent ou non pertinent de tenir compte des répercussions sur le genre. Les organismes centraux
affirment qu’ils s’acquittent généralement de la fonction d’examen critique de façon non officielle ou verbale, et que la documentation n’améliorerait pas systématiquement la nature de cette fonction. Au regard de la recommandation 4, on demandait au Secrétariat de préciser l’engagement du gouvernement relativement à l’ACS et de mettre au point un plan de communication pour expliquer clairement en quoi consistent les attentes à l’endroit des ministères et organismes en ce qui concerne l’ACS. Depuis le dépôt du Plan d’action ministériel pour l’analyse comparative entre les sexes, CCF, avec l’aide des organismes centraux, collabore avec les organisations fédérales pour satisfaire les attentes quant à l’application de l’ACS et à la création des éléments du cadre sur l’ACS. |
Réponse du gouvernement (Déposée à la Chambre des communes le 18 août 2010) |
Comité permanent des comptes publics : Cinquième rapport,chapitre 1, « La protection des renseignements et des biens du gouvernement lors de l’octroi des contrats », du rapport d’octobre 2007 de la vérificatrice générale du Canada
Sommaire du Rapport | Progrès accomplis dans la concrétisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité fait état de préoccupations au sujet de la protection des renseignements et des biens du gouvernement confiés à des entrepreneurs du secteur privé. Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) est le principal responsable de l’approvisionnement au sein du gouvernement fédéral. Le Secrétariat a adopté la Politique sur la sécurité du gouvernement et, conformément à cette politique, chaque ministère est responsable d’assurer la protection des renseignements et des biens de nature délicate qu’il a en sa possession aux fins des contrats qu’il administre. Le Comité est d’avis que le Secrétariat doit travailler plus activement en vue de s’assurer que les politiques du Conseil sont faciles à comprendre et que les ministères et organismes comprennent leurs responsabilités. Le Comité a critiqué le Secrétariat en ce qui concerne sa capacité de surveiller le respect des politiques et sa disposition à tenir les ministères responsables du non-respect des politiques du Conseil du Trésor. |
Pour donner suite à ces recommandations, TPSGC et le Secrétariat ont soumis au Comité les résultats collectifs des évaluations du Cadre de responsabilisation de gestion réalisées dans le cadre des rondes V et VI. Ces résultats montrent la conformité des institutions fédérales à la composante de gestion 19 (Gestion efficace de la sécurité et de la
continuité des activités). Le Secrétariat et TPSGC ont également remis au Comité les résultats d’un examen visant à déterminer si le Programme de sécurité industrielle doit s’appliquer à tous les contrats exigeant une cote de sécurité de niveau « secret » ou supérieur. L’examen a permis de déterminer que le traitement de ces contrats ne doit pas être centralisé et de formuler plusieurs recommandations afin d’améliorer le traitement des exigences de sécurité à l’échelle du gouvernement. |
Réponse au cinquième rapport du Comité permanent des comptes publics (Déposée à la Chambre des communes le 20 septembre 2010) Rapport sur l’examen de la sécurité dans l’octroi des contrats (Présenté au Comité le 9 mars 2011) |
Comité permanent des comptes publics : Sixième rapport, chapitre 3, « La gestion des ressources humaines – Affaires étrangères et Commerce international Canada », du rapport de mai 2007 de la vérificatrice générale du Canada
Sommaire du Rapport | Progrès accomplis dans la concrétisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité a fait état de préoccupations selon lesquelles le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international du Canada ne dispose pas d’un plan stratégique en matière de ressources humaines et que, par conséquent, sa capacité de réagir à l’égard de la croissance et de l’évolution des besoins et de réaliser ses objectifs, comme la coordination des activités du Canada à l’étranger, pourrait être entravée. | Le Secrétariat a contribué à la réponse formulée pour les deux recommandations. Le Comité a demandé que lui soient soumis les résultats issus de la révision des Directives sur le service extérieur, ainsi que le plan d’action pour la mise en œuvre de ces résultats. La révision a été menée à bien en 2008 et est entrée en vigueur le 1er avril 2009. De nouvelles directives sont entrées en vigueur. Préalablement à la date d’entrée en vigueur, on a procédé à une importante activité de sensibilisation auprès des clients et à la formation des administrateurs. De plus, le Comité a demandé au Secrétariat de travailler en collaboration avec des membres du Conseil national mixte en vue de rehausser la souplesse et l’accessibilité de l’assurance en cas de décès ou de mutilation accidentels des fonctionnaires affectés à l’étranger. Le gouvernement est d’avis que l’assurance fournie par le gouvernement du Canada à titre d’employeur, par l’intermédiaire de la Commission de la sécurité professionnelle et de l'assurance contre les accidents du travail, est fiable et efficace en ce qui concerne les fonctionnaires affectés à l’étranger. En guise de réaction au Rapport de la vérificatrice générale de mai 2007, le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international a souscrit à une assurance supplémentaire en cas de décès ou de mutilation par accident à l’intention des fonctionnaires affectés en Afghanistan et en Iraq auprès d’un fournisseur externe. D’autres ministères et organismes lui ont emboîté le pas. |
Réponse du gouvernement au rapport du Comité permanent des comptes publics (Déposée à la Chambre des communes le 18 août 2010) |
Comité permanent des comptes publics : Huitième rapport, chapitre 6, « Certains accords de contribution – Ressources naturelles Canada », du rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada
Sommaire du Rapport | Progrès accomplis dans la concrétisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité s’est dit inquiet du fait que l’Office de l’efficacité énergétique de Ressources naturelles Canada (RNCan) a conclu une série d’accords de contribution avec des organismes du secteur privé. Une vérification interne a permis d’évaluer les pratiques de contrôle et de gestion de RNCan quant à l’administration des accords de contribution et de trouver des violations substantielles aux modalités des accords. Le Comité étant d’avis qu’une situation similaire pourrait survenir dans d’autres ministères et organismes, il estime que toutes les organisations fédérales doivent adopter des mesures afin de prévenir les situations de conflit d’intérêts. Il croit également que le Secrétariat devrait fournir à tous les ministères et organismes des directives additionnelles quant aux façons d’éviter les conflits d’intérêts dans l’administration des subventions et contributions. | On a demandé au Secrétariat de fournir aux ministères et organismes des règles et des directives claires, y compris des exemples de dispositions contractuelles, pour les aider à reconnaître et à éviter les situations de conflit d’intérêts avec les entrepreneurs et les bénéficiaires de paiements de transfert. De plus, on a invité le Secrétariat
à fournir des directives sur la façon de concilier les obligations contractuelles possiblement contradictoires qui découlent d’accords de contribution et d’exigences légales de la Loi sur la gestion des finances publiques. Le gouvernement convient que la prévention des situations de conflit d’intérêts est essentielle au maintien de la confiance du public à l’égard des institutions publiques. De plus, le gouvernement tient à s’assurer que les exigences sont aussi claires que possible. Au cours des dernières années, le gouvernement a apporté des changements considérables afin de permettre aux fonctionnaires de reconnaître et d’éviter les conflits d’intérêts. En outre, le gouvernement s’emploie à renouveler la série de politiques du Conseil du Trésor et à préciser les responsabilités de gestion des administrateurs généraux, notamment celle qui consiste en l’application des exigences de conformité et des conséquences précises. Par ailleurs, le Secrétariat travaille actuellement à l’élaboration d’un nouveau Code de valeurs et d’éthique de la fonction publique. Enfin, la Directive sur la vérification des comptes du Conseil du Trésor, qui a été renouvelée en 2009, énonce des exigences précises visant à ce que les paiements soient adéquatement autorisés, qu’ils soient justes et qu’ils remplissent des obligations légitimes. |
Réponse du gouvernement au huitième rapport du Comité permanent des comptes publics (Déposée à la Chambre des communes le 20 septembre 2010) |
Comité permanent des comptes publics : Neuvième rapport, chapitre 2, « La propriété intellectuelle », du rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada
Sommaire du Rapport | Progrès accomplis dans la concrétisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité fait état de préoccupations selon lesquelles le gouvernement fédéral ne gèrerait pas efficacement la propriété intellectuelle appartenant à l’État. Le Comité a conclu que l’approche décentralisée actuellement en place ne fonctionne pas bien. Le Comité est également d’avis que le Secrétariat doit renforcer son leadership et assurer une meilleure coordination et une orientation plus ferme à cet égard. De même, le Secrétariat doit mettre à profit les pratiques exemplaires et l’expertise du Conseil national de recherches du Canada pour aider davantage les ministères et organismes fédéraux à élaborer des politiques et des pratiques efficaces pour gérer la propriété intellectuelle créée à l’interne. | Industrie Canada et le Secrétariat collaborent afin d’exercer un meilleur contrôle sur l’application de la Politique sur le titre de propriété intellectuelle découlant des marchés d’acquisition de l’État. De plus, ils travaillent ensemble pour veiller à ce que les données inhérentes à la propriété intellectuelle
soient interprétées avec exactitude et à ce que les systèmes d’information indiquent correctement la propriété en vue des prochaines évaluations de la politique. En novembre 2009, un plan d’action conjoint d'Industrie Canada et du Secrétariat a été soumis au Comité. Toutes les activités qu'Industrie Canada et le Secrétariat s’étaient engagés à réaliser ont été menées à bien ou sont en cours de réalisation. Parmi les efforts déployés par le gouvernement pour fournir des conseils tant sur le plan administratif qu'en matière de politiques, il convient de citer le guide de mise en œuvre destiné à aider les fonctionnaires responsables à comprendre les exigences de la politique. L’École de la fonction publique du Canada, sous la supervision d’Industrie Canada et du Secrétariat, prépare actuellement un cours portant sur le cadre général de la propriété intellectuelle et les directives relatives à l’interprétation de la politique. |
Réponse du gouvernement au neuvième rapport du Comité permanent des comptes publics (Déposée à la Chambre des communes le 18 août 2010) |
Comité permanent des comptes publics : Dixième rapport, Comptes publics du Canada 2009
Sommaire du Rapport | Progrès accomplis dans la concrétisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité a recommandé au gouvernement de s’engager fermement à adopter la comptabilité d’exercice pour l’affectation des crédits plutôt que d’adopter une approche prudente. De plus, le Comité a fait valoir des préoccupations selon lesquelles les ministères et les organismes permettent la péremption de fonds et les pertes pour l’État, et les erreurs relevées dans les Comptes publics du Canada sont trop peu souvent signalées. | La réponse du gouvernement porte sur la comptabilité d’exercice pour l’affectation des crédits, une question qui préoccupe depuis longtemps le Comité. En 2008, le gouvernement a mis en œuvre un projet pilote visant à instaurer l’établissement des budgets selon la comptabilité d’exercice, lequel projet est toujours en cours. Seize ministères et organismes divulguent de l’information financière établie selon la comptabilité d’exercice dans leurs Rapports sur les plans et priorités (RPP). Tous les autres ministères et organismes ont incorporé cette information dans leur RPP 2011-2012. En 2012-2013, une évaluation sera menée pour déterminer les avantages et les coûts de l’affectation des crédits selon la comptabilité d’exercice. Le président du Conseil du Trésor demandera alors aux parlementaires intéressés d’établir un groupe de travail pour participer au processus d’évaluation et faire rapport au Cabinet et au Parlement des résultats et des recommandations découlant de l’évaluation. Par ailleurs, la réponse du gouvernement porte également sur la question des erreurs relevées dans les Comptes publics du Canada. Le gouvernement accepte que le contrôleur général du Canada fasse état des erreurs et autres préoccupations recensées dans les Comptes publics du Canada avant le début des audiences du Comité sur la question. Ainsi, avant le début des audiences du Comité en mars 2011, le gouvernement a informé le greffier du Comité des erreurs connues dans la version publiée du rapport. En outre, toutes les corrections apportées sont maintenant affichées dans la nouvelle section « Errata » de la page Web des Comptes publics du Canada. La réponse du gouvernement met en évidence plusieurs initiatives que le gouvernement a mises en place pour améliorer les contrôles internes. La Politique sur le contrôle interne du Conseil du Trésor, entrée en vigueur en avril 2009, donne suite à la préoccupation du Comité concernant les pertes de fonds ou de biens attribuables à des infractions, à des actes illégaux ou à des accidents signalées dans le volume III des Comptes publics du Canada. Par conséquent, depuis l’automne 2010, les grands ministères ont été les premiers organismes à intégrer à leurs rapports ministériels sur le rendement des liens renvoyant à une évaluation annuelle fondée sur le risque portant sur l’état des contrôles internes. |
Réponse du gouvernement au dixième rapport du Comité permanent des comptes publics (Déposée à la Chambre des communes le 18 août 2010) |
Comité permanent des comptes publics : Quinzième rapport, Certains rapports ministériels sur le rendement 2008-2009 – ministère de l’Industrie et ministère des Transports
Sommaire du Rapport | Progrès accomplis dans la concrétisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité a conclu que les parlementaires portent peu d’attention aux rapports ministériels sur le rendement (RMR), en partie, parce qu’ils trouvent que leur qualité laisse à désirer. Il a recommandé que tous les comités permanents de la Chambre des communes examinent les RMR qui leur sont renvoyés afin de veiller à ce que ceux-ci renferment l’information nécessaire pour permettre aux parlementaires d’obliger le gouvernement à rendre des comptes. Toutefois, le Comité souligne qu’il revient aux parlementaires et aux comités d’inciter le gouvernement à produire des rapports qui sont utiles et de formuler des recommandations pour améliorer ces rapports. | Dans sa réponse, le gouvernement affirme que l’amélioration de la qualité globale des RMR continue de faire partie de ses priorités. En 2007, le Secrétariat a mis en œuvre une stratégie visant à améliorer le contenu et la présentation de ces documents. En ce qui concerne le RMR de 2013-2014, le Secrétariat étudiera comment les ministères et organismes peuvent utiliser les sites Web ministériels pour présenter les méthodologies d’indicateur utilisées afin de fournir aux parlementaires des renseignements plus exacts sur le rendement, y compris des renseignements sur la méthodologie utilisée pour présenter les résultats. Le Comité a recommandé que le RMR renferme de l’information crédible et équilibrée. Le gouvernement convient que le RMR doit brosser un portrait fidèle des succès et des écarts d’un ministère ou d’un organisme pour la période de référence visée. Le Secrétariat appuie la production de rapports équilibrés. De plus, il a élargi sa directive relative au RMR de 2010-2011 afin d’insister sur la nécessité pour les ministères et les organismes de discuter des mesures prises, lorsque nécessaire et étayées par des preuves, pour modifier la conception et le mode d’exécution du programme afin d’en améliorer le rendement. Le Secrétariat s’est également engagé à mettre au point une nouvelle structure commune qui comprendra un répertoire et un modèle uniformisés que tous les ministères et organismes pourront utiliser lors de la préparation des RMR de 2010-2011. Les ministères et organismes continueront de disposer de la souplesse nécessaire pour adapter le rapport à leur contexte, mandat et résultats uniques. Le gouvernement appuie la recommandation du Comité selon laquelle les ministères et organismes doivent présenter dans leurs sites Web des données financières détaillées et de l’information sur le rendement au regard de leurs programmes. Divers ministères et organismes ont déjà commencé à afficher de l'information plus détaillée sur leurs programmes, offrant ainsi un complément d'information aux résultats rapportés dans les RMR. |
Réponse du gouvernement au quinzième rapport du Comité permanent des comptes publics (Déposée à la Chambre des communes le 31 janvier 2011) |
Comité permanent des comptes publics : Dix-septième rapport, chapitre 1, « L’évaluation de l’efficacité des programmes », du rapport de l’automne 2009 de la vérificatrice générale du Canada
Sommaire du Rapport | Progrès accomplis dans la concrétisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité encourage l’élaboration d’évaluations de l’efficacité, car celles-ci fournissent aux gestionnaires des données objectives et probantes sur la mesure dans laquelle les programmes gouvernementaux produisent les résultats escomptés. Il se réjouit du fait que le gouvernement a raffermi les exigences d’évaluation. Or, il souhaiterait constater d’autres améliorations à cet égard. | Le gouvernement est d’accord avec le Comité quant à l’importance de l’évaluation des programmes pour éclairer la prise de décision au moyen de données fiables sur l’efficacité des programmes. De plus, il apprécie le soutien du Comité à l’égard de l’élaboration continue de l’évaluation de l’efficacité au
sein du gouvernement fédéral et du récent renforcement des exigences de la politique. Le gouvernement reconnaît que l’évaluation de programme est une source clé d’information sur l’optimisation des ressources des programmes, y compris leur efficacité, leur efficience, leur rentabilité et leur pertinence. En tant qu’outil de gestion, l’évaluation soutient l’amélioration des politiques et des programmes, la gestion des dépenses, la prise de décision du Cabinet et les rapports publics, car il en découle une information fiable et neutre sur l’optimisation des ressources des programmes gouvernementaux. Depuis le renouvellement du Système de gestion des dépenses du gouvernement du Canada en 2007, l’évaluation joue un rôle de plus en plus important dans la gestion efficace des dépenses publiques. La réponse du gouvernement au quatrième rapport du Comité permanent des comptes publics, lequel fut déposé en juillet 2008, confirmait également cette importance. En effet, elle acceptait la recommandation selon laquelle le Secrétariat devait rehausser l’importance que revêt l’évaluation en ajoutant l’évaluation des programmes aux exigences clés du système de gestion des dépenses. Ainsi, la Politique sur l’évaluation de 2009 a instauré des changements majeurs en ce qui a trait à la fonction d’évaluation à l’échelle du gouvernement. Ces changements visent à élargir la portée de l’évaluation des programmes, à axer l’évaluation sur les questions relatives à l’optimisation des ressources, à assurer la collecte continue des données sur le rendement afin de soutenir les évaluations, et à rehausser la gouvernance et la neutralité de la fonction. Étant donné les changements de taille qu’apporte la Politique sur l’évaluation de 2009, un plan de mise en œuvre graduelle échelonné sur quatre ans a été adopté dans le but de donner aux organisations suffisamment de temps pour s’adapter aux nouvelles exigences et pour renforcer leur capacité d’évaluation en vue de satisfaire aux exigences de la politique. Pendant la mise en œuvre de la Politique sur l’évaluation et de la Politique sur la structure de la gestion, des ressources et des résultats, le Secrétariat continuera de fournir des conseils et un soutien aux ministères et organismes quant à l’amélioration de leurs fonctions d’évaluation et de leur mesure continue du rendement. Le rapport annuel sur l’état de la fonction d’évaluation sera rendu public après son approbation par le Conseil du Trésor, et il fera état des progrès inhérents à la fonction d’évaluation. |
Réponse du gouvernement au dix-septième rapport du Comité permanent des comptes publics (Déposée à la Chambre des communes le 31 janvier 2011) |
Comité permanent des comptes publics : Dix-neuvième rapport, chapitre 5, « L’acquisition de véhicules militaires pour service en Afghanistan », du rapport de l’automne 2009 de la vérificatrice générale du Canada
Sommaire du Rapport | Progrès accomplis dans la concrétisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Pour que les Forces canadiennes puissent s’acquitter de leurs tâches en Afghanistan de façon sûre et efficace, la Défense nationale et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) ont acheté de nouveaux équipements offrant une meilleure protection contre les dispositifs explosifs de circonstance. Le Comité a souligné le travail accompli en Afghanistan par les militaires des Forces canadiennes et a reconnu le travail des fonctionnaires de la Défense nationale et de TPSGC pour procurer aux Forces canadiennes cet équipement dans les meilleurs délais. Cependant, le Comité juge important de tirer leçon de cette expérience afin de pouvoir répondre aux besoins urgents de façon efficiente et efficace à l’avenir. Le Comité critique la Défense nationale pour ne pas avoir divulgué certains renseignements importants au Secrétariat. | Dans la recommandation 3, le Comité demande à TPSGC et au Secrétariat d’établir des critères et des lignes directrices sur la gestion des achats urgents. Pour donner suite à la recommandation du Comité, TPSGC, avec la participation du Secrétariat, a élaboré et affiché dans Internet un avis relatif aux politiques établissant une nouvelle section sur la « gestion des achats urgents » dans le Guide des approvisionnements de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, entré en vigueur le 20 décembre 2010. Le but de cet avis relatif aux politiques est de mettre à jour les instructions destinées aux agents de négociation des marchés qui portent sur le processus d’acquisition de biens et de services lorsqu’il y a un besoin urgent à combler. L’avis relatif aux politiques définit ce qu’on entend par un besoin urgent et énonce des stratégies pour accélérer le processus d’achat lorsqu’un besoin est qualifié d’urgent. Il insiste sur l’importance de communiquer avec TPSGC au début du processus, d’élaborer une approche intégrée et de dialoguer dès le début avec l’industrie et les autres intervenants. Il précise que des processus de révision simultanée devraient être établis et utilisés dans la mesure du possible. Lorsqu’un projet doit être approuvé par le Conseil du Trésor, on envisage d’élaborer une présentation au Conseil du Trésor conjointe signée à la fois par le ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux et par celui du ministère responsable dans le but d’obtenir simultanément l’approbation du projet et du contrat. |
Réponse du gouvernement au dix-neuvième rapport du Comité permanent des comptes publics sur l’acquisition de véhicules militaires pour service en Afghanistan (Déposée à la Chambre des communes le 18 février 2011) |
Chapitre 1 – Le Plan d’action économique du Canada
La vérification a permis d’examiner le Plan d’action économique alors qu’il était en cours d’exécution, la conception et la mise en œuvre des programmes, ainsi que les mesures prises pour s’assurer que seuls les projets admissibles recevaient du financement. Le Secrétariat a reçu deux recommandations. Pour consulter sa réponse, se reporter à l’Annexe B—Tableau des recommandations du chapitre visé.
Chapitre 4 – La gestion des conflits d’intérêts
La vérification avait pour objectif de déterminer si les ministères et les organismes ont mis à la disposition des fonctionnaires les outils dont ils ont besoin pour s’acquitter des responsabilités du gouvernement fédéral concernant la gestion des conflits d’intérêts. Le Secrétariat a reçu deux recommandations. Pour consulter sa réponse, se reporter à l’Annexe — Tableau des recommandations.
Chapitre 6 — L’achat d’hélicoptères militaires
La vérification visait à déterminer si la Défense nationale et Travaux publics et Services gouvernementaux Canada avaient géré l’achat des hélicoptères maritimes et des hélicoptères de transport moyen à lourd conformément aux principales dispositions législatives et réglementaires applicables. Le Secrétariat n’a reçu aucune recommandation à cet égard.
Chapitre 1 – Le vieillissement des systèmes de technologie de l’information
La vérification visait à déterminer si les organismes visés ont cerné et géré adéquatement les risques liés au vieillissement des systèmes de TI. Le Secrétariat a reçu une recommandation. Pour consulter sa réponse, se reporter à l’Annexe — Tableau des recommandations.
Chapitre 2 – La modernisation de la gestion des ressources humaines
La vérification avait pour objectif de déterminer si les organismes centraux responsables des ressources humaines ainsi que les ministères et les organismes choisis aux fins de la vérification avaient mis en œuvre les nouvelles exigences de la Loi sur la modernisation de la fonction publique. Le Secrétariat a reçu une recommandation. Pour consulter sa réponse, se reporter à l’Annexe — Tableau des recommandations.
Sans objet
Le Comité permanent des comptes publics a déposé son rapport, Rapport 11 – Le chapitre 7, la gestion des urgences – Sécurité publique Canada, du rapport de l'automne 2009 de la vérificatrice générale du Canada (PDF, 120 Ko) à la Chambre des communes le 28 avril 2010.
Le gouvernement a présenté sa réponse au rapport à la Chambre des communes le 20 septembre 2010.
Le Comité permanent de la sécurité publique et nationale a déposé son rapport, Rapport 1 – Fermeture de prisons agricoles et approvisionnement alimentaire à la Chambre des communes le 14 avril 2010.
Le gouvernement a présenté sa réponse au rapport à la Chambre des communes le 20 septembre 2010.
Réponse aux comités parlementaires |
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En décembre 2008, le Bureau du vérificateur général a déposé son rapport comprenant un chapitre (7) sur l’économie et l’efficience des services au Service correctionnel du Canada. Le Comité permanent des comptes publics (CPCP) a publié son 15e rapport en juin 2009 en réaction à ce chapitre. Le gouvernement a préparé une réponse, qui a été déposée à la Chambre des communes le 19 octobre 2009 : http://www.oag-bvg.gc.ca/internet/Francais/parl_oag_200812_f_31776.html Rapport du CPCP : http://www.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?DocId=3960844&Mode=1&Parl=40&Ses=2&Language=F Réponse du gouvernement : http://www.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?DocId=4144540&Mode=1&Parl=40&Ses=2&Language=F Un dernier rapport de situation a été déposé en novembre 2010. En avril 2010, le Comité permanent de la sécurité publique et nationale (SECU) a déposé son premier rapport sur la fermeture de prisons agricoles et l’approvisionnement alimentaire. Le gouvernement a préparé une réponse, qui a été déposée à la Chambre des communes le 20 septembre 2010. Rapport du SECU : Réponse du gouvernement : http://www.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?Mode=1&Parl=40&Ses=3&DocId=4655210&File=0&Language=F En juin 2010, le Comité permanent de la santé (HESA) a déposé son 6e rapport, Promouvoir des solutions novatrices pour relever les défis des ressources humaines en santé. Le gouvernement a préparé une réponse, qui a été déposée à la Chambre des communes le 6 octobre 2010. Rapport du HESA : |
Réponse à la vérificatrice générale (de même qu’au commissaire à l’environnement et au développement durable) |
En février 2009, la vérificatrice générale du Canada a déposé son rapport de décembre 2008 à la Chambre des communes. Tel qu'il a été mentionné dans la section précédente, le chapitre 7 concernait le SCC. Dans sa réponse au rapport de la vérificatrice générale,
le SCC s’est dit d’accord avec les cinq recommandations formulées et s’est engagé à prendre des mesures pour y donner suite d’ici au 31 mars 2010. Toutes les recommandations ont été entièrement mises en œuvre avant la fin de l’exercice 2010‑2011. Le rapport du BVG et la réponse du SCC
peuvent être consultés à l’adresse suivante : De plus, le rapport annuel du commissaire à l’environnement et au développement durable de décembre 2008 faisait référence au SCC et, plus précisément, à l’engagement suivant :« Réduction de notre consommation d'eau par l'entremise de la réalisation d'une série de mesures d'économie d'eau potable. D'ici mars 2010, nous réduirons de 10 pour cent notre consommation d'eau potable. » La vérification a révélé que l’absence d’une surveillance adéquate et le non‑établissement de rapports par les établissements ont fait en sorte que le SCC ne peut pas faire un suivi fiable des progrès réalisés relativement à son engagement. Depuis le moment de la vérification, des
mesures ont été prises pour améliorer notre capacité de faire un suivi des progrès réalisés à l’égard de nos engagements, et nous sommes encore sur la bonne voie pour atteindre notre objectif de réduction. Le rapport du CEDD est disponible à l’adresse suivante : |
Vérifications externes (remarque : Il s’agit d’autres vérifications externes réalisées par la Commission de la fonction publique du Canada ou le Commissariat aux langues officielles) |
En novembre 2010, le Commissariat aux langues officielles a déposé au Parlement le volume II de son rapport annuel pour 2009‑2010, qui inclut le bulletin de rendement. Le SCC a reçu une note globale de « D », ou « faible ». Le SCC a accepté les résultats et s’est engagé à apporter des améliorations. On a élaboré un plan d’action d’amélioration relative aux langues officielles axé sur les résultats et visant à combler les lacunes cernées. Ce plan, qui a été approuvé par le Comité national de gestion des ressources humaines en janvier 2011, est en train d’être mis en œuvre. Il inclut, entre autres sujets, une solide surveillance de l’offre active dans toute l’organisation, ce qui inclut :
Vous pouvez consulter le bulletin de rendement à l’adresse suivante : |
Réponse aux comités parlementaires |
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Statistique Canada a contribué à la réponse du gouvernement formulée par Agriculture et agroalimentaire Canada au rapport du Comité permanent de la Chambre de l'agriculture et de l'agroalimentaire. Le septième rapport du comité, Les jeunes agriculteurs : l'avenir de l'agriculture, a été déposé en Chambre le 19 novembre 2010. La réponse du gouvernement à ce rapport a été déposée le 21 mars 2011. Le rapport peut être consulté à l'adresse suivante : http://www.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?DocId=4755476&Mode=1&Parl=40&Ses=3&Language=F La réponse du gouvernement peut être consultée à l'adresse suivante : http://www.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?DocId=5051365&Mode=1&Parl=40&Ses=3&Language=F |
Réponse au vérificateur général (y compris celle au Commissaire à l'environnement et au développement durable) |
Aucune recommandation n'a été reçue. |
Vérifications externes (autres vérifications externes menées par la Commission de la fonction publique du Canada ou le commissaire aux langues officielles) |
Aucune vérification externe. |
Réponse aux comités parlementaires |
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Le Ministère n’a reçu aucune recommandation provenant des rapports déposés par le Comité permanent des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités. Ainsi, le Ministère n’a pas fourni de réponse à ce comité parlementaire. En mars 2010, le Comité permanent des comptes publics a publié son troisième rapport intitulé Le Chapitre 7, Les examens spéciaux des sociétés d’État – 2008 - Rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada. Dans le rapport, trois recommandations traitaient des règlements et de la viabilité financière de l’Administration de pilotage des Grands Lacs. Il y avait également quatre recommandations à l’égard de via Rail demandant un rapport d’étape sur les mesures prises par la Société afin de mettre en œuvre les recommandations de la vérificatrice générale, sur les mesures prises afin d’atténuer les risques et les menaces posés pour son système de technologie de l’information, sur l’état des dépenses pour l’amélioration des stations dans le corridor Windsor-Québec et sur l’état des plans pour améliorer l’achalandage et les recettes. La réponse du gouvernement a été présentée à la Chambre le 20 septembre 2010. Le 20 septembre 2010, Agriculture et Agroalimentaire Canada a présenté la réponse du gouvernement au troisième rapport du Comité permanent de l’agriculture et de l’agroalimentaire intitulé Compétitivité de l’agriculture canadienne (qui a été adopté le 6 mai 2010 par le Comité), dans lequel Transports Canada a apporté sa contribution pour la recommandation 4.9 voulant que le gouvernement donne rapidement suite aux conclusions de l’étude du niveau de service dans le transport ferroviaire des grains actuellement réalisée par Transports Canada. À la suite à la réponse du gouvernement, le Ministère a publié son Examen des services de transport ferroviaire des marchandises – Rapport final en janvier 2011. La réponse du gouvernement a été déposée à la Chambre le 20 septembre 2010. |
Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable |
Le premier chapitre du rapport de la vérificatrice générale de l’automne 2010 concerne la prestation de certains programmes du Plan d’action économique mis en œuvre par 12 ministères. Transports Canada est mentionné dans l’initiative de modernisation des laboratoires fédéraux. Aucune recommandation ne visait Transports Canada. Le rapport est disponible sur le site Web du Bureau du vérificateur général du Canada. Le premier chapitre du rapport de l’automne 2010 du commissaire à l’environnement et au développement durable porte sur la vérification des déversements de pétrole provenant de navires. Dans le rapport, on examine comment Transports Canada, Pêches et Océans Canada (Garde côtière canadienne) et Environnement Canada avaient géré les déversements de pétrole et de produits chimiques provenant de navires dans les eaux canadiennes de l’Arctique, du Pacifique et de l’Atlantique ainsi que dans le golfe du Saint Laurent. Trois recommandations visaient Transports Canada. Le Ministère a accepté ces recommandations et il a fourni une réponse de la direction, qui est incluse dans le rapport. Le rapport et le plan d’action de la direction sont disponibles sur le site Web du Bureau du vérificateur général du Canada. |